Perdue dans la folie d'un autre monde

Carroll est une jeune femme rêveuse et imprévisible, elle est lunatique à la limite de la bipolarité. Elle a plusieurs facettes qu'elle apprend à contrôler depuis la levée de la malédiction. Car c'est... Magique~

Nous allons donc diviser toutes ces personnalités ainsi :

Carroll : Sa personnalité principale, la vraie. C'est une jeune femme souriante et rêveuse, têtue mais pas non plus à outrance. Elle est prête à tout pour défendre ceux qu'elle aime, mais jamais elle ne mettrai quelqu'un en danger. Elle réfléchi beaucoup et essaie d'imaginer 6 choses impossible par jour, avant le petit déjeuner. Elle aime croire en l'impossible et est motivée par le désir d'être utile aux autres. Cependant, elle a une peur : Aimer. Elle a perdu deux hommes qu'elle aimait... Et son père... Alors comment l'amour pourrait-il être bon ?

Alice : Alice est la personnalité la plus douce qu'ai Carroll. Elle est elle mais enfant, à son retour de son premier séjour à Wonderland. Elle est douce et voit le bien en tous. Très naïve elle en est dangereuse pour elle-même, pensant que personne n'est mauvais, qu'il suffit de prendre chaque personne sous le bon pli... Elle est aussi très futée, ou plutôt pense l'être. Elle croit que tot ce qu'elle fait est très malin et elle pense un peu tout savoir. Elle prend pour acquis tout ce qu'elle peut entendre ou croire. Comme le fait que la Chine est rempli uniquement de pandas... Quoi c'est mignon non? Comme Alice elle est mignonne... Seul ce mot peut la définir...

Pleasance : Pleasance était le second nom d'Alice avant. Elle est sa personnalité "forte". Pleasance est une version de Carroll plus déterminée, moins émotive, plus directe. Elle prend part plus facilement à une bataille et est prête à trancher une gorge si le besoin est. Elle voile ses sentiments et ne laisse jamais la douceur prendre le dessus sur elle. Elle ne peut pas dire des mots doux, être faussement gentille. Si elle vous dit une gentillesse, c'est qu'elle est mûrement et franchement pensée. Si elle vous met une claque par contre, vous l'aurez mérité à coup sûr. Elle n'est pas méchante, juste franche et directe. Si alice est douce comme la soie, Pleasance est dure comme le fer.

MAIS ! me direz-vous... Comment Carroll vit-elle avec tout ça en elle ? Chacune de ces personnalité s'est créé à cause d'un séjour à Wonderland, elles sont donc toutes magiques et sont toutes une part d'elle. Carroll a fixé un nom sur chacune d'elles pour les définir, mais elle est toujours Carroll dans ces moments et a conscience de tout, se souvient de tout... C'est comme un lunatisme très poussé. Elle apprend doucement à tout contrôler afin de les user de la meilleure des façon.

Avant la malédiction

Alice Pleansance Liddell. Petite fille née dans le Comté du Cheshire, elle a grandit à Chester, le chef-lieu du comté. Fille du dirigeant de Chester, Alice n'a jamais manqué de rien, elle était respectée et aimée de tous. Elle avait le plus grand chateau de l'autorité unitaire dans laquelle se trouvait sa ville et avait à sa disposition bien des domestiques. Mais au final, les jolies robe et les bonnes manières n'étaient pas vraiment faites pour Alice... Elle aimait lire et rêver. Elle aimait parler à son chat et sourire aux fleurs. Elle était une petite fille rêveuse et bienveillante.

Un jour, alors que sa soeur lui faisait une leçon d'histoire au bord de l'eau, Alice vit un lapin blanc... avec un manteau et une montre ! Mais quelle jolie montre avait-il là ! Elle avait à peine 7 ans et elle ne savait pas vraiment ce qui était de bon ton et ce qui ne l'était pas... Et elle jugea bon de le suivre. Père comprendrait ! Et c'est ainsi qu'Alice tomba dans le trou béant dans le sol par lequel s'était enfuit le lapin... Où était-elle ? Elle n'en savait rien, mais ce monde était si... merveilleux ! Ce pays! avec ces libellules dragons et tous c'est chamignons ! C'était le Pays des merveilles ! Oui voilà ! Ainsi allait l'appeler Alice ! Tout était géant pour elle. Une chenille fumant le houka la reçue non loin d'un vieux miroir. et lui offrit une bouteille, elle allait la faire grandir ! Mais était-elle prête? Grandir si jeune, était-ce bon ? Non, Alice ne devait pas faire encontre à la science ! Et la science disait que les petites filles étaient PETITES! Alice devait donc juste avancer. Elle descendit le grand chemin pavé avant de découvrir une forêt, le nord était repérable grâce à la mousse ! Ca elle le savait ! et son père lui avait toujours dit de se rendre au nord  Alors Alice prit la route de la mousse et des feuilles mortes. Pourquoi? Seule elle le sait.

Après avoir longuement marché, Alice tomba sur une petite maison très mignonne non loin d'un château où un petit garçon à peine plus vieux qu'elle coupait du bois... ou du moins essayait.


Alice avait toujours les bonnes manières, surtout si cela pouvait impressionner la personne en face, mais le petit garçon n'était guère impressionner et lui répondu simplement "Chez moi"... Elle comprit donc qu'elle devait se présenter... Alice Pleasance Liddell. Il s’appelait Will. Elle lui offrit un sourire et il lui offrit un verre d'eau et un cookie. Elle lui raconta son histoire et il s'y intéressa de loin... un autre monde, plus censé que celui-ci... Etait-ce le sien? Il n'était pas d'ici et attendait le lapin pour repartir... Non, Helas la jeune Alice venait d'un autre monde encore... Et bientôt, alors que leurs esprits étaient à présent liés, Alice retrouva le lapin... Il devait ramener Will chez lui. Alice était-elle la bonne alice ? Peut-être pas... Elle devait rentrer chez elle... si elle était LA alice, son heure n'était pas venue... Elle serait posée en voyage... Et ainsi, Alice retourna chez elle où le drame était survenu : Son père les avait quitté pendant sa journée d'absence... Ainsi Alice Liddell fut pour toujours gravée en elle... Une part de son passé. A présent, elle serait Pleasance.

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Pleasance, c'était le nom que lui avait choisi son père mais sa mère ne l'aimait pas. Il fut donc son second prénom et Alice décida d'en faire son prénom usuel après la mort de son père. Elle s'enferma sur elle-même, repensant sans cesse au pays des merveilles et à Will... Le jeune homme qui ne lui avait pas parlé pour son titre mais pour son histoire... Qu'allait-il devenir maintenant?
Pleasance avait parlé de son séjour à sa soeur qui lui affirma que ce n'était qu'un rêve... Mais elle ne voulait pas y croire, elle en devenait parfois aggressive, brusque... Déçue de ne pas être prise au sérieux. Elle fut présenté à des psychiatres, des médecins mais tous en conclurent que c'était l'enfance qui se faisait et un traumatisme due au décès de son père. Elle s'en voulait de ne pas avoir été là, d'avoir dormit et elle avait donc transformé son rêve en réalité d'après les médecins... Un moyen de se donner à la fois une excuse mais aussi de se culpabiliser...

Les années passèrent et Pleasance continua de vivre tout en étant persuadée que Wonderland était réel mais le gardant pour elle, jusqu'au jour où elle vécu à nouveau la scène de la chute et se retrouva encore une fois dans ce maudit Pays des merveilles... Les couleurs étaient vives, toujours aussi criardes... Mais quelque chose avait changé... l'aura des lieux... Will... Elle voulu le retrouver ! Mais... cela faisait près de 10 ans et il était rentré chez lui... Il ne serait pas ici... Pleasance avança et arracha un bout de champignon avec sa bague... Saleté, elle s'en débarassa mais son bijoux garda des morceau incrusté dans ses décorations... tant pis. Elle avança donc jusqu'à un labyrinthe, cherchant l'issue.



Se dit-elle en mettant un premier pied sur les dalles dorées qui se mirent à propager une onde dès que son pied fut posé... Courir... Elle devait courir... Et dans sa course, Pleasance pensa qu'ici tout était possible... Alors peut-être que les filaments de champignons pouvait l'aider à devancer les soldats ! Elle lecha alors sa bague dans l'espoir que quelque chose arrive mais tout ce qu'elle pu constater c'est qu'elle faisait à présent la taille d'une pièce d'échiquier... La taille suffisante pour se glisser sous les buissons et se cacher dans cette bouteille arabe tombée juste ici... si elle avait sue alors ce qui allait en découler... Pleasance rencontra ici Cyrus, le génie de cette bouteille. Il lui offrit 3 voeux qu'elle cacha dans son talon pour ne jamais s'en servir et faire de lui un homme libre... mais surtout, elle trouva l'amour en lui. Jusqu'à cette chute, quelques semaines plus tard... Il tomba dans la mer brûlante... Seul son collier, signe de son amour pour Pleasance resta sur le bord de la falaise... Elle avait encore perdu quelqu'un qu'elle aimait à cause du Pays des Merveilles... Pays de malheur...
A son retour, Pleasance se fit suivre par un psychologue pour son état de déprime... Mais un mot de trop l'envoya dans un hopital psychiatrique... Un asile pour fou où leur seul but était de la lobotomiser... Pourquoi personne ne la croyait ? Pourquoi n'avait-elle pas de preuve ?! Pourquoi tout le monde l'appelait Alice ? Elle ne voulait plus l'être !... Mais elle du se faire une raison un jour... Et nier le pays des merveilles... Et Cyrus... Et Will...

Mais La vie n'est jamais aussi simple... Et quand 8 ans plus tard, un bruit secoua sa cellule, Alice comprit... Il était là pour elle, au milieu de sa chambre... Le Lapin Blanc. Malgré sa robe inconfortable et ses mains liées, Alice sauta la tête la première dans le trou... Elle pouvait fuir un monde pire que celui des merveilles : Celui de la réalité comme l'appelait ses médecins.

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Le retour d'Alice au pays des Merveilles, LA Alice ! Elle était là pour accomplir son destin, le frabieux jour ! Elle allait mettre fin au Jabberwocky... Mais pourquoi elle ? Pourquoi pas une autre Alice ? Elle voulait renoncer, elle n'était pas une combatante... Elle ne voulait plus toucher à une épée depuis le décès de Cyrus... Mais le Lapin avait tout prévu... Et en voulant rebrousser chemin, Alice ne pu que croiser le regard de Will, Will Scarlet, le jeune homme de son premier voyage...


Dit-il en la regardant, l'air enjôleur. Il detestait le Pays des merveilles plus qu'elle... Pourquoi? Il ne lui disait pas... Mais Alice (ou Pleasance ?) ne voulait se passer de sa compagnie pour l'instant. Elle se trouva une tenue plus adéquate qu'une camisole : Une robe blanche, des bottes en cuir et un bandeau bleu dans les cheveux... Elle devait sauver le Pays des merveilles.

Le Chapelier organisait une révolte paraissait-il... Qui était le chapelier ? Alice ne connaissait aucune des personnes dont Will et le lapin lui parlait... Mais elle devait combattre pour eux et avec eux... Alors elle était prête ! Elle fit leur connaissance et arrivé le frabieux jour, Alice était prête. Dans sa tenue de combat, aussi gracieuse que dangereuse, elle retrouva Will sur le belvédère comme convenu avant le combat afin qu'il lui dise ces derniers mots :


Mais quelques secondes plus tard, alors qu'elle n'eut même pas le temps de répondre, leurs mains enlacées disparurent dans la fumée violette qui s'était emparée du pays de part les terriers et les miroirs...

Pendant la malédiction

Carroll Alice Dodgson

Voici les trois mots inscrits sur la plaque qui décorait sa porte dans les sous-sols de l'hôpital. Pourquoi Carroll? Pourquoi tout le monde l'appelait carroll? Elle était Pleasance... ou Alice... Mais pourquoi personne ne la croyait ? Elle n'était pas folle ! Elle ne délirait pas ! Elle était saine d'esprit et pleinement dans la vérité ! Mais ça, personne ne le croyait ! Ils étaient tous stupide ou bien ? Comment est-il possible d'être aussi bête ? Non mais ils ont leurs raisons... Peut-être que ils n'ont pas le choix de faire semblant... C'est surement ça... Mais non il faudrait être stupide pour y croire... Chut... Ils arrivent...


Pourquoi riait-il cet abruti ? Et c'était Liddell! pas Dodgson ! Carroll Dodgson n'était pas réelle. Elle lui lança alors un crochet du gauche avant d'être maintenue par d'autres médecins qui lui mirent la camisole, elle était folle et violente... mais subitement elle devenait douce comme la soie, douce comme une enfant... Et après elle pleurait...


elle pleurait cette phrase toute la journée... Carroll souffrait d'un trouble de la personnalité aiguë. Un genre de Tripolarité. Un lunatisme poussé qui faisait d'elle une patiente difficile à cerner... Et puis ses délires... En plus de souffrir de trouble de la personnalité elle était sujet à la fantaisie. Convaincue que ses rêves au pays des merveilles étaient réels...

Carroll a donc passé les 28 ans de la malédiction à clamer qu'elle n'était pas folle, à demander après Will, à demander de lui rendre sa vie. Elle jurait ne pas être folle... Que Carroll n'était pas réelle. Mais elle savait qu'elle souffrait d'un problème... Elle était... 3 en 1, elle en avait conscience et pourtant elle savait qu'elle était toujours elle dans chacun de ces instants... Elle subissait chaque jour que la malédiction faisait comme une torture, sous des traitement divers, enfermée, sans visite. Elle n'avait jamais le droit de sortir au cas où elle tenterait une fugue... Une vie de prisonnier dans une prison matelassée... Sa prison blanche... mais un jour, à 20h15, elle senti que quelque chose changeait... Et le lendemain, les médecins lui proposèrent de voir le soleil pour la première fois depuis... Depuis aussi longtemps qu'ils pouvaient s'en souvenir... Mais cela faisait 28 ans...

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La veille, une prénommée Emma Swan était arrivée en ville... Pourquoi son arrivée perturbait autant la vie de la ville ? Carroll se posait la question... Elle voulait savoir, mais elle n'avait pourtant pas le droit de sortir des jardins, elle entendait les rumeurs grâces aux visiteurs. Le bain de soleil la rendait plus calme, plus douce. Elle avait donc chaque jour le droit de sortir, avec des minutes en plus. Croyait-elle toujours à ses délirs? Oui, les médecins en étaient sûrs. Mais, était-elle dangereuse pour elle ou les autres ? Plus à présent, elle suivait un nouveau traitement qui devait l'aider à se contrôler. Un bracelet géo-localisateur à la cheville et une attestation sur l'honneur de revenir toutes les semaines une nuit à l'hôpital plus tard, elle était libre. Libre de rejoindre l'appartement de feu son père... Avait-il vraiment vécu ici? Surement pas... Elle n'y croyait pas, persuadée que son père était mort au 19°... mais elle avait un toit et un but... Elle voulait retrouver son seul ami : Will Scarlet.

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Quelques jours plus tard, Carroll était à la recherche de Will... Mais allait-il s'appeler Will ici ? Elle n'en savait rien, tout le monde l'appelait Carroll... Et si elle était Carroll en vérité et que Alice n'était bien qu'un rêve?... Non, Elle allait trouver Will... elle le décrivait donc physiquement... Mais personne ne savait où il était... Elle faisait la peine de certains commerçant de sa rue quand chaque jour, elle demandait après Will.


Et très vite, la rumeur s'était répandue. Heureusement pour elle, c'est un jour où elle retournait voir les médecin qu'elle vit le fils de la maire inerte sur un lit... Elle était à la vitre quand Emma Swan déposa un baiser sur son front et que tout le monde comprit... Et elle aussi... Elle n'était donc pas folle... Carroll Dodgson, la jeune femme délirante enfermée ici depuis l'enfance n'avait jamais existé... Elle était LA Alice... Ces rêves qu'elle avait fait n'en était pas... C'était des visions... Et Will n'était pas le fruit de son imagination...

Après la malédiction

La malédiction avait eu un point positif : Le prétendu père décédé avait laissé à Carroll et sa soeur -une parfaite inconnue en réalité- une très grosse somme d'argent. Elle allait donc pouvoir vivre sans réel emploi pendant quelques temps et se consacrer à l'écriture... Elle voulait raconter des histoires aux autres ! Leur faire découvrir la sienne et celle de Carroll. Ou bien celle d'Alice et la sienne... Quel était le bon sens des mots ?

Carroll n'est pas quelqu'un que l'on remarque beaucoup si ce n'est pour ses recherches -sur Will mais aussi des personnes venant du pays des merveilles- et ses petites sautes d'humeurs. Elle est aussi souvent en ville à faire des choses étrange comme suivre des fourmis tout le long de la route avant de partir suivre un oiseau... Pourquoi ? Seule elle le sait.

Elle doit toujours se rendre à l'hôpital pour ses sautes d'humeur et elle apprend doucement à contrôler tout cela même si ses personnalités sont imprévisibles. La magie ne s'apprend pas aussi facilement et ces propriétés étaient un genre de magie, une magie-mémoire causée par le Pays des merveilles et ses voyages. Ils avaient encrés en elle quand elle passait les monde, fractionnant à chaque fois ce qu'elle était.

Ces capacité magique lui donnaient d'ailleurs l'envie de trouver un mentor pour apprendre la magie, peut-être pourrait-elle ainsi retrouver will? Et ses "amis" ? Mais était-ce seulement possible?