StoryBrooke Pet Shelter #Mathias_&_Jarod

Il revenait de ballade avec les chiens. Il tellement l'habitude désormais de sortir les chiens qu'il les prenait cinq par cinq, histoire de pouvoir en sortir le plus possible. Et puis, mine de rien, les chiens du refuge étaient beaucoup mieux dressés que ses propres chiens. Là où ses carlins pouvaient tirer sur la laisse et passer leur temps à faire des zigzags devant ou derrière lui, les chiens du refuge avaient appris à rester à leur place et à ne surtout pas tirer sur la laisse. De plus, beaucoup avaient un rappel parfait et ainsi, Mathias pouvait se permettre de les lâcher régulièrement dans la forêt.

Il remit un par un les chiens dans leurs boxes respectifs, s'assurant au passage qu'ils avaient de l'eau, avant de se retrouver devant le boxe de son chien préféré. Maya, une grande pit bull, dont personne ne voulait. Les gens la voyait comme un monstre dangereux et assoiffé de sang, alors qu'elle était en réalité une boule remplie d'amour et de câlin à donner. Mathias n'hésita pas une seconde à passes ses mains à travers les barreaux pour caresser la chienne qui essayait de lui lécher le visage.

J'te prendrais si je pouvais ma belle, tu le sais hein ?

La chienne réussit à lui lécher le nez avant qu'il ne puisse se relever. Sourire aux lèvres, il partit en direction des chiens en quarantaine, s'essuyant le visage avec sa manche, avant d'être interrompu par le directeur du refuge qui lui dit que quelqu'un allait venir avec un animal blesser. Mathias hocha la tête et partit alors en direction de l’accueil où un homme l'attendais. Il avait les cheveux mi-long, et sûrement entre la trentaine et la quarantaine.

Je peux vous aider ?

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Mathias & Jarod

Le temps était humide, la forêt était bien plus dangereuse lorsque le temps était ainsi, car on pouvait glisser bien plus facilement. Dans la forêt de Storybrooke je faisais ma ronde habituelle, vérifiant bien qu'il n'y ait pas de piège à animaux, c'était déjà arrivé que j'en trouve et cela me mettait toujours hors de moi. Le sol était boueux alors il était aussi plus difficile de suivre la trace des animaux, l'animal avait très bien pus passer plus tôt, comme la trace pouvait dater, c'était plus difficile de se repérer mais je me faisais au climat, la nature était ainsi je n'allais pas me plaindre. Je craignais déjà l'hiver, il arrivait que des animaux carnivores manquent de nourriture et s'approchent de la ville, je me devais alors de les éloigner, en rien je n'allais les tuer, je tentais de leur trouver des nouvelles ressources et ce n'était jamais évident. Si les carnivores approchaient Storybrooke, la j'étais sur que ceux-ci seraient de suite abattus et je ne voulais pas qu'on en vienne la, tout le monde a le droit de manger.
Cela devait bien faire plus de trois heures que je marchais, je m'apprêtais à rentrer lorsque j'entendis un gémissement ce qui me fit faire de suite demi-tour. Je fouillais l'endroit, écoutant très attentivement puis je finis par trouver une miniscule boule de poil toute boueuse. Retirant ma veste je récupéra l'animal qui devait sans doute tenir dans le creux de ma main, nettoyant la petite bête comme je pouvais, je remarqua que c'était un chaton à peine sevré ... Qu'est-ce qu'un chaton faisait dans une forêt ? Enfin peu importe cette question, il grelottait, il devait sans doute mourir de faim et il allait mourir si personne ne s'en occupé sérieusement. J'enveloppais bien le chaton dans ma veste pour lui tenir bien chaud, avant de le mettre dans mon sac que je mis en bandoulière contre mon torse, et c'est d'un pas rapide que je regagna ma maison pour prendre ma moto et aller au refuge la petite bête contre moi.
Je n'avais pas trainé, j'étais rapidement arrivé au refuge et je me moquais pas mal de l'allure que je devais avoir, je demandais de suite à voir quelqu'un et c'est un jeune homme qui m'accueillit. Je sorti la veste en boule de mon sac avant de montrer au jeune homme le tout petit chaton.

-Je l'ai trouvé en forêt, seul, vue sa taille il est bien loin d'être sevré

L'homme en face de lui le regarda avant de se pencher vers son sac. Mathias se pencha en avant pour le voir sortir une veste roulée en boule dans son sac. Le blond le regarda doucement déplié le tissu, révélant un tout petit chaton qui, soudain à l'air froid, ce mit à piailler comme un oisillon. La pauvre bête était trempée et parsemée de boue, mais vu l'état des bottes de l'étranger, il n'y avait aucun doute sur le fait que quand le chaton avait été trouvé, il était dans un état bien pire.

Je l'ai trouvé en forêt, seul, vue sa taille il est bien loin d'être sevré

Mathias hocha la tête et s'approcha. Il enroula ses mains autour du petit corps avec toutes les précautions du monde, mais à peine commença-t-il à soulever la boule de poile qu'elle se mit à hurler.

Ce ptit gars à l'air d'aimer votre veste. Vous voulez bien me suivre, on va aller dans la nurserie pour s'occuper de lui.

Il partit en marchant rapidement vers la dite salle, l'homme sur les talons. Sur le chemin, il se retourna et se mit à marcher à l'envers, sachant de toute manière parfaitement où il allait.

En passant, je m'appelle Mathias Beyau.

Ils arrivèrent à la nurserie, où de nombreuses caisses de transports était dispersées sur des étagères. Dans chacune d'elle se trouvait un femelle recueillit avec sa portée, que ce soit un chien, un chat, ou même un rongeur. Ils prenaient soin de chaque animal, peu importe leur taille où les préjugés que les gens peuvent avoir dessus.

La pièce était bien chauffé, on pouvait entendre des petits piaillement de chiots, ou des couinements de lapereaux, et une légère odeur de lait y flottait ; c'était l'une des pièces préféré du blond.

Mathias alla tout de suite vers la table au centre de la pièce.

Vous pouvez le poser ici. Il faut le sécher et le réchauffer.

Il se dépêcha ensuite d'aller chercher une serviette propre et des lingettes de nettoyage spécial bébé.

Où est-ce que vous avez dit que vous l'avez trouver ?

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Mathias & Jarod

Tenant précieusement la petite boule de poil contre moi avant de le place devant le jeune homme, je pus voir qu'il était encore plus petit que ce que je ne le pensé, il n'avait même pas encore les yeux ouverts, ce n'était même pas des miaulements mais des piaillements que l'on pouvait entendre, il était aussi tout tremblant, si fragile et déjà orphelin ... Lorsque le jeune homme voulut le prendre la petite bête hurla de protestation ce qui m'alarma de suite, avant que le jeune homme le dépose de nouveau sur ma veste en me disant qu'il devait sans doute davantage apprécié ma veste ce qui me fit légèrement, mais très légèrement sourire. Finalement reprenant ma veste, j'accompagna le jeune jusqu'à la nurserie, celui-ci en profitant pour se présenter et je marmonna un "Jarod" en retour, bien trop occupé à observer les lieux. C'était très propre est bien entretenue, on pouvait entendre aboiement, miaulement et piaillement d'oiseaux, puis finalement je rentrais dans une salle plus chaude on l'on pouvait trouver davantage de bébé animaux. Je me demandais bien d'où pouvait provenir tout ces animaux, il y en avait tellement ... Je déposais le chaton sur la table centrale de la pièce, frottant doucement le dos du chaton avec ma veste, puis prenant une serviette que Mathias nous ramena pour le nettoyer, le sécher mais surtout le réchauffer.

-J'ai en forêt, j'ai entendu un petit gémissement alors j'ai bien cherché et je l'ai trouvé en boule dans la boue

Sans trop m'en rendre compte, je souriais tout en séchant le chaton, je devais avoir l'air d'un parfais idiot ... Puis je repris.

-Comment se fait-il qu'il y ait autant d'animaux ici ? Ne me dites pas qu'ils ont étaient abandonnés ?

Jarod avait suivit Mathias, portant le chaton avec lui. Quand le blond revint avec les lingettes et la serviette, l'homme en face de lui en pris une et commença a laver le chaton du mieux qu'il le pouvait

J'étais en forêt, j'ai entendu un petit gémissement alors j'ai bien cherché et je l'ai trouvé en boule dans la boue.

Mathias releva la tête vers l'homme et le vit sourire. Le pouvoir des chatons se dit il, prenant une lingettes à son tour pour nettoyer la tête de l'animal.

Pauvre chou. Ça explique son état.

Puis Jarod, qui avait noté que la salle était relativement pleine de toute sorte d'animaux posa la question que Math se posait tous les jours.

Comment se fait-il qu'il y ait autant d'animaux ici ? Ne me dites pas qu'ils ont étaient abandonnés ?

Malheureusement, si. Soit les gens les ont déposé ici, soit on les a trouvé dans la rue. Vous seriez surpris de savoir combien de gens achète un animal à noël pour l'abandonner dès janvier.

Une fois la bouille du chaton débarbouillez, Mathias se dit qu'il avait surement faim et retourna donc vers les placards pour en sortir le lait en poudre. Il en versa dans un biberon, finit de le remplir avec de l'eau, puis le mit au micro-ondes quelques secondes. Quand le four se mit à biper, il sortit le biberon, déposa quelques gouttes du liquide sur son poignet pour vérifier la température puis retourna à côté de l'homme et de l'animal.

C'était comme s'occuper d'un bébé. Il fallait les laver, les réchauffer, les nourrir, et recommencer dès que le monstre avait fini sa sieste. Mathias espérait au moins pouvoir mettre le chaton sous l'une des mères qui avait des petits du même âge. Le lait en poudre était bien, mais rien ne remplaçait le lait d'un vrai chat. De plus, le blond n'était pas un chat, donc il ne pouvait pas faire l'éducation de la boule de poil en face de lui.

Le petit père doit avoir faim, vous voulez lui donner à manger pendant que je finis de le laver et que je l'excamine à peu ? C'est simple, il suffit de lui mettre la tétine dans la bouche, et il fera le reste tout seul.

Il tendis le biberon à l'homme avec un grand sourire.

Vous ne faisiez que vous balader,dans la forêt, où vous travaillez dans la forêt ? Genre, garde forestier ou chasseur ?

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Le petit bonhomme en sécurité je le nettoyais en compagnie de Mathias avec des serviettes et lingettes chaudes. Je pouvais entendre ses petits gémissements avant qu'il ne commence à faire des légers ronron signe d'un meilleur confort pour lui et moi, bien voilà que j'en venais à sourire légèrement devant cette petite bête et tout l'amour qu'elle réclamée. Elle n'avait rien demandé et si je ne l'aurais pas trouvé, il sera mort ... Je ne sais pas pourquoi cela me touché autant, mais j'avais du mal à retenir des larmes d'émotions mais je fis comme ci de rien était. Finalement je demanda au jeune homme pourquoi il y avait autant d'animaux ici, d'ailleurs je redoutais un peu la réponse et lorsqu'il confirma mes doutes je fus envahis par la rage et la colère puis je repris rapidement mon calme pour soigner le petit bonhomme, mais en gardant un goût amère dans la bouche.

-L'humain est horrible

Puis Mathias s'occupa de la préparation du biberon du survivant, pendant que je le caressais avec un immense soin, comment faire du mal à ce petit être ? J'eu un léger sursaut lorsque le jeune homme revint et me demanda de donner le biberon au petit chaton, je fis des gros yeux ne sachant pas trop comment m'y prendre avant que celui-ci ne me montre, alors je suivis ses conseils et de suite le petit bonhomme engloutis son lit. Relevant la tête vers Mathias j'arquais un sourcil.

-Chasseur de chasseur ? Non je suis garde forestier et c'est bien la première fois que je vois un chaton aussi loin de la ville .... Et aussi petit ... Il va vivre ? Dis-je inquiet.

L'humain est horrible.

Mathias avait relevé la tête en entendant les paroles de Jarod.

Je ne vous le fait pas dire.

Et encore Jarod n’avait pas visité la quarantaine. Dans la nurserie, tous les animaux étaient en bonnes santés. Dans la zone de quarantaine, il y avait les malades et les blessés. Mais cela n’était rien face à ce chien retrouvé dans une forêt, brulé au troisième degré sur quatre-vingt pourcent de son corps, en France. Ces nouvelles avait bouleversé Mathias a un tel point qu’il avait été obligé de s’assurer que ses propres chiens se portait bien alors que les deux carlins ne faisaient que dormir sur le canapé.

Mathias revint au présent quand Jarod pris le biberon dans ses mains. Comme prévu, le chaton attrapa la tétine entre ses dents avant d’aspirer le lait.

- Chasseur ? Non je suis garde forestier et c'est bien la première fois que je vois un chaton aussi loin de la ville .... Et aussi petit ... Il va vivre ?

Mathias lui souris à ces questions. Sous ses airs d’ours mal léché, Jarod avait l’air bien sympathique. Après tout, on peut connaitre les gens rien qu’à la manière dont ils traitent les animaux.

Et bien et il plutôt jeune, je dirais deux semaines. Il devrait déjà avoir ouvert les yeux et être plus gros que ça. Vu qu’il est déshydraté je pense qu’il n’a pas été nourri depuis un jour. Vous l’auriez retrouvé demain et c’était trop tard. Mais là, vu avec quel entrain il boit son lait, je ne vois pas pourquoi il ne s’en sortirait pas. Je vais le présenter à Haven, qui a deux chatons un peu plus jeunes.

Sur ses mots, il partit vers l’une des caisses. Il l’ouvrit, et une chatte rousse aux yeux bleus sortit sa tête de la caisse, cherchant quelques caresses en ronronnant. Au fond de la caisse, les deux petits se mirent à chouiner.

Haven est une bonne maman. Elle s’occupe très bien de ses petits et je pense qu’elle acceptera petit père ici présent sans problème. Mais on ne va pas prendre de risque.

Mathias pris l’une des couvertures dans la caisse et, après quelques caresses sur la tête de la chatte, il referma la caisse. Couverture en main, il retourna vers Jarod, voyant avec satisfaction que le chaton avait presque fini son biberon.

Il restera sous chauffeuse ce soir, dans la couverture pour qu’il prenne l’odeur d’Haven, et je ferais les présentations demain. Si vous voulez, je peux vous appeler pour vous dire si tout c’est bien passé ?

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Je soupirais tout en donnant le biberon au petit bonhomme, pas que j'étais agacé de le faire bien au contraire, non ce qui me faisait soupirer c'était le fait de savoir que l'être humain était capable de faire autant de mal à un petit animal sans défense. Puis je relevais les yeux vers Mathias, celui-ci semblait vraiment adorer les animaux et cela me réchauffé le cœur de voir qu'il existé encore ce genre de personne. Puis tout en continuant le biberon à la petite bête je ne pouvais m'empêcher de sourire sans m'en rendre vraiment compte, je n'avais pas confiance en l'humain mais ce petit être avait de suite réussi à capturé mon cœur, il avait besoin d'une famille pas d'être orphelin. Puis le jeune homme me présenta sa futur mère qui offrait déjà son lait à ses deux petits.

-Les animaux ont davantage le sens du partage et de la famille que l'humain

Finalement il referma la caisse offrant une caresse à la mère, puis prenant une couverture m'assurant que c'était pour que le petit s'habitue à l'odeur de la mère. M'appeler ? Bien sur que j'aurais voulut qu'il m'appel pour voir le petit bonhomme mais .... Je n'avais pas de téléphone.

-J'aurais aimé ... Mais ... Je n'ai pas de téléphone Dis-je en baissant la tête et continuant de caresser le petit père qui avait bientôt fini son biberon.

Les animaux ont davantage le sens du partage et de la famille que l'humain.

Oui, Jarod avait raison. Pour les animaux, peu importait la race, la couleur, l'espèce. Si un petit avait besoin d'aide, alors les animaux feraient tout pour l'aider. Les humains, c'était une autre histoire, mais Mathias aimait se rappeler qu'il existait des exceptions, des hommes et des femmes qui défendait la cause animal, les injustices, les droits des femmes et des hommes. Mathias faisait tout pour faire partie de cette catégorie de personne.

Le petit chaton continuait de boire sans se faire prier. Suite à la question de Mathias, Jarod avait baissé la tête, le regard vers le sol.

J'aurais aimé ... Mais ... Je n'ai pas de téléphone.

Face à cette réponse, Mathias se contenta de hausser les épaules. Certes, lui ne s'imaginait pas une vie sans technologie. Mais il pouvait comprendre que d'autre personne n'en ai pas.

Pas de soucis. Vous passez quand vous voulez, vous demandez Mathias, et je vous emmènerais le voir.

Une fois le biberon vide, Mathias le pris délicatement des mains de l'homme pour aller le déposer sur le comptoir.

Je vais le mettre dans la couveuse. Je vous le laisse, le temps de tout préparer.

Mathias souris à Jarod et s'en alla dans la pièce d'à côté, une toute petite pièce à la température élevée spécialement conçu pour les petits seuls. Heureusement, il n'y avait personne. Tous les chiots et chatons avaient soit assez grandi pour rejoindre les cages, soit trouvé une mère d'adoption. Le chaton serait donc seul ce soir. Mathias disposa dans une petite cage sans toi des serviettes absorbantes sur le fond avant de mettre des couvertures polaires au dessus. Puis il prit la couverture qu'il venait de prendre à Haven pour la mettre au dessus de tout ça. Enfin, il alluma la plaque chauffante qui se trouvait sous la caisse, le thermostat, et laissa le tout chauffer, retournant voir Jarod.

Bon et bien, voilà. Je vais aller mettre le petit dans son lit.

Le plus délicatement possible, il prit le chaton dans ses mains et se dépêcha d'aller le déposer dans sa caisse. Il revint dans la pièce principale, fermant la porte derrière lui.

Comme dit plutôt, vous venez quand vous voulez pour le voir.

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C'est étrange comment je m'étais attaché à cette petite boule de poil en peu de temps, en même temps ce petit chaton avait quelque chose de tellement attendrissant et de familier ... Je ne pouvais pas le laisser orphelin ayant était moins même orphelin et abandonné, en voyant cette petite bête je n'ai pas pus résister à "l'adopter", c'était comme ci il faisait déjà parti de la famille. Le jeune homme me dit que je pouvais venir le voir quand je voulais et cette fois-ci j'eu un étrange sentiment, d'habitude je n'avais rien n'y personne qui me donnait une raison de me lever, mise à part mon métier, mais tant que cette petite bête ne serait pas totalement hors de danger j'avais ce sentiment d'être particulier. Puis il était temps de mettre le petit dans la couveuse, le jeune homme prépara son petit lit pendant que je l'aidais, le chaton était tout tremblant mais pas du au froid, sans doute du au fait qu'il était très jeune et fragile. Puis lorsque cette fois-ci il partie avec le petit félin, j'eu un petit soupire "triste" puis regarda par la fenêtre dérivant dans mes pensées avant que le garçon ne revienne.

-Merci Mathias je voudrais savoir ce qu'il va devenir par la suite ? Il va grandir dans cet établissement ? Ah oui et je vous doit combien ?

Bon tant pis pour le pris j'avais l'habitude de me débrouiller seul et de ne pas vivre d'or et d'argent.

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