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 C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle

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MessageSujet: C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle   C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle EmptyJeu 8 Oct - 22:14

C'pas le cadavre que je vais

enterrer mais toi !


Chester & Aguistin ♥



En l'apparence, aujourd'hui, aurait pu être une journée comme une autre pour Aguistin Réveil matin aux aurores, douche brûlante rapide, habillage avec son traditionnel costume noir, petit déjeuner devant les informations, et ensuite partir au travail dans sa belle voiture de fonction, noire brillantine. Puis le déroulée aurait été plus que normal, des clients à recevoir, à hocher la tête tout en écrivant le nom du défunt sur le dossier, à les accompagner pour choisir les urnes, les cercueils, leur donner des mouchoirs puis les raccompagner à la sortie, doucement mais en les pressant quand même parce que l'heure du déjeuner c'est très important. Là, il aurait sans doute invité la petite stagiaire à manger au restaurant à coté du fleuriste partenaire des pompes funèbres et dans ce lieu glauque, Aguistin aurait été comme un poisson dans l'eau. Un petit café pour ne pas avoir à faire la sieste, et l'après midi pouvait débuter. Souvent il était de sorti dans le cimetière, à chaperonner les personnes enterrant un proche, et à vérifier que l'entreprise de mise en biere effectuait correctement son travail. C'était lui, qui avait demandé à être sur le terrain, même si c'était étrange, il aimait le calme de l'endroit, côtoyer les morts, se poser des questions sur la vie après la mort. Et la fin de d'après midi arrivait comme ça, et plusieurs choix s'offraient à lui. Soit il continuait la chasse du midi et il invitait la petite stagiaire a allait boire un verre au Rabbit Hole pour passer une fin de soirée plus que prometteuse ou alors, il allait au supermarché acheter des plats préparés qu'il mangerait encore une fois devant la télévision, en regardant les programmes de la télévision avant de s'endormir sur le canapé et de se faire réveiller au beau milieu de la nuit par Ricardo pour regagner son lit.

Mais non, aujourd'hui on était le jour maudit, le jour qu'Aguistin redoutait, qu'il venait même à détester, et dont il ne voulait qu'une chose, rester dans son lit jusqu'au la journée suivant. Quel est ce jour ? Son anniversaire ? Le jour de la mort de ses parents ? Noël ? Non, aucun de cela, il aurait aimé d'ailleurs, car ils étaient toujours moins pénible que celui là, cette journée dont il devait participer tous les trimestres avec le fameux « psychologue ». Pourquoi, ce mot sortait à chaque fois de la bouche du chef de service à son supérieur, même encore maintenant alors qu'il était censé y être habitué. Pourquoi leur entreprise de pompe funèbre avait elle fait appel à un charlatant pour soi disant aider les familles en deuil et tutti quanti. Il pouvait très bien le faire, et il s'en sortait relativement très bien. Cependant, on lui avait expliqué que c'était aussi pour le personnel, que de côtoyer les morts à longueur de journée pouvait poser des petits problèmes, et qu'avoir une personne avec qui en parler, était la moindre des choses que l'entreprise pouvait faire. Oui c'était très bien, mais lui n'avait aucun soucis avec ça, et les problèmes qui lui avait fait consulter un psy' n'avait strictement rien avoir avec les morts. Alors il ne voyait pas pourquoi on lui avait collé le monsieur-je-sais-tout-mieux-que-tout-le-monde-alors-que-je-ne-sais-rien-du-tout aux basques, exclusivement à lui, aujourd'hui. Soit disant un programme renforcé pour les personnes de terrains, mais lui, il était persuadé que c'était à cause du rapport du Docteur Hooper et le fait qu'il était parti en claquant la porte que son supérieur lui faisait. C'était donc totalement ronchon, et grognon qu' Aguistin arriva assez en avance. Il avait envie de pouvoir finaliser des dossiers importants sans avoir quelqu'un dans ses pattes, pour l'observer en permanence.

Assis à son bureau, jouant avec son stylo, il réfléchissait au nouveau catalogue pour les cercueils. Parce que oui, tout comme la Redoute ou les 3 Suisses, l'entreprise de Pompes Funèbres de Storybrook avait son propre catalogue, avec les meilleurs produits dessus. Certes, il n'y avait pas beaucoup de concurrence dans le secteur, mais le coté perfectionniste de l'ancien corbeau voulait être toujours en pole position et dans tous les domaines. Mais en même temps, un autre projet lui tenait à cœur, celui de la rénovation de la partie accueil. Il avait pensé que donner un aspect un peu plus chaleureux à la pièce primordiale était nécessaire pour que les clients se sentent en confiance, et écouter dans l'épreuve tragique qu'ils traversaient. Alors son patron lui avait dit de faire un dossier en bêton, et que si et seulement si ce dossier était impeccable, peut être qu'en conseil d'administration il plaiderait en sa faveur. Après Aguistin n'avait pas de crainte, il savait se positionner dans les échelons et il était arrivé à mettre la plus part des dirigeants dans sa poche.  Forcément, il savait que son dossier passerait en un claquement de doigt, mais avoir l'unanimité lui apporterait une satisfaction personnelle.

Finissant des gribouillages sur ses feuilles, préférant être à l'ancienne et utiliser du papier plutôt que son ordinateur, il entendit la petite clochette, signe qu'une personne venait de rentrer dans l'établissement. Priant tous les cieux pour que ça soit une famille en détresse plutôt que le psychologue de malheur, il se planqua sous son bureau quand il le vu passer, pour aller jusqu'à l’accueil. Finalement, il allait peut être les laisser ses vitres transparentes, à son bureau, c'était vraiment très pratique pour voir qui allait et qui venait dans le lieu. Regardant à travers une petite ouverture dans le contre plaqué du meuble, il soupira quand il le vu monter les marches. Pourquoi ne venait il pas l'embêter immédiatement ? S'asseyant à même le sol, Aguistin sentait que quelque chose lui échappait et ça commençait à l'énerver. Deux minutes après, il sursauta, hurlant en se cognant la tête contre le bois, en pestant qu'il avait oublié la réunion d'information, comme à chaque fois que le psy' se trouvait dans les parages. Il allait être en retard et il détestait ça. Sortant de sa cachette, attrapant des piles de dossier au passage, il courut alors dans le grand immeuble pour se rendre dans la salle de réunion. Se stoppant devant la grande porte, il remit son costume en place, passa une main dans ses cheveux noirs de jais et ouvrit la porte, n'ayant aucunement honte d'arriver le dernier. Enfin ça, c'est ce qu'il montrait, c'était son éblouissant jeu d'acteur, au fond de lui, il était totalement mortifié.

Saluant le peuple d'un geste de la main, s’excusant à demi mot, il alla se placer à coté du directeur, tout en remarquant que la personne à sa gauche n'était d'autre que Thomas, le psychologue de malheur. Lui adressant un sourire aussi faux que dans la pub colgate, il se mit en place pour commencer la séance de travail. Les secondes passèrent, puis les minutes s’égrainèrent et Aguistin n'avait qu'une envie, partir le plus loin d'ici, ou commettre un meurtre, au choix. Il avait fait la part de son boulot en commentant les différents types de personnalité qu'il avait pu avoir dans le mois, faisant son très bon élève, le premier de la classe, et là, il voulait s'en allait, ce que disait les autres, il le savait déjà, alors autant faire quelque chose de constructif. Il avait déjà réalisé un corbeau en origami, et il aurait été capable de faire toute la famille si le directeur n'avait pas mis fin à sa séance de torture. Enfin ça, c'était jusqu'à ce qu'il se rappelle qu'il avait Thomas pour la journée avec lui.« Une remarque comme pendant cette réunion et tu finis dans un cercueil compris? » Son regard était aussi dur que de la pierre, signe qu'il était plus que sérieux et surtout plus que capable de mettre à exécution sa menace. Marchant d'un pas rapide pour rejoindre son bureau, il souffla discrètement pour ne pas montrer à l'autre toubib qu'il était sur le point de perdre le contrôle de sa colère. Non, il ne lui ferait pas se plaisir là, il allait lui montrer qu'il était capable de faire mentir son dossier médical.

« Monsieur, Madame Carry, je vous redis encore toutes mes condoléances. » Serrant la main du couple qui revenait pour la deuxième fois, il se mit parfaitement dans son rôle de conseiller funéraire. « Je vous présente Monsieur Riddle, il est psychologue arnaqueur, et sera là si vous avez besoin d'une aide particulière. » Ces mots lui écorchaient les lèvres mais il ne pouvait leur dire la vérité, il tenait quand même à garder son poste. Se tournant vers le susnommé Riddle, le ton et le sentiment était bien moins aimable avant de reprendre en deux minutes son masque de scène. « Tes théories fumeuses tu oublies de suite, tu te contentes d'hocher la tête et de me laisser faire mon job. La famille Carry enterre la mère de Madame cet après midi mais elle revient ici pour finaliser l'achat du cercueil. » Lançant des éclairs au brun, Aguistin se retourna alors vers le couple tout en leur faisant un grand sourire. « Vous vous êtes décidés ? Ou vous avez envie de refaire un tour pour voir ? » Le mari répondit à la place de la jeune femme, trop chamboulé, et le petit monde se leva pour aller dans la salle de vente. Ouvrant la danse, le conseiller se rendit vers le dernier cercueil sur lequel le couple avait mis leur véto. « Toujours celui ci où vous préférez voir le plus clair ? Je sais que Madame avait une préférence pour lui.»  Penchant la tête sur le coté, il se mordit la lèvre inférieur quand il entendit les inepties de l'autre idiot sur le choix des couleurs. Serrant les poings, il s'avança seul, essayant de se calmer, avant d'être rejoint par Monsieur Carry. « Alors ? » « Nous allons écouter Monsieur Riddle, ma femme pense qu'il a raison, on va prendre le foncé. »

Surtout, ne pas s'énerver, ne pas s'énerver, ne pas s'énerver. Aguistin se repasser la phrase en boucle dans sa tête, alors qu'il gardait son sourire de connivence envers ses clients. « Très bien, finalisons les papiers pour que l'on puisse envoyer le cercueil dans la salle de préparation. » Rongeant son frein, il accéléra le pas, sortant les dossiers et apposant sa signature partout, alors qu'il entendait la voix de Thomas sortit encore une fois des inepties. Pourquoi devait il subir ça ? Qu'avait il fait pour mériter une chose pareille ? « Comme convenu, l'enterrement se passera à 15h30 au cimetière car avant, il me semble qu'il y a la cérémonie avec le pasteur. Nous nous retrouvons donc devant la concession pour la mise en biere à l'heure prévue. » Faisant sortir les personnes en grand gentlemen, il se tourna alors vers Chester, à la limite de se contrôler. « C'était quoi ça ? C'est une blague non ? Tu va pas me faire ça à tout le temps ? Ou du moins pas à l'enterrement cet après midi avec toutes les personnes présentes ? » Sa voix tremblait de colère, et il faisait un effort monstre pour ne pas mettre cette tête brune dans le mur. Appuyant sur l’arrête de son nez pour essayer de se calmer, il pensa qu'il avait quand même fait des progrès par rapport à la fois dernière où c'était au bout de cinq minutes qu'une violente dispute avait éclaté entre eux. Combien de temps supporterait il l'homme qui le fixait intensément avant qu'il ne recouvre son cadavre fumant avec de la terre fraîche, rigolant de sa libération comme un psychopathe.?! That is the question ! "Et changes moi de chemises, on ne va pas à un enterrement avec une chemise couleur prune." Même si, il fallait bien le reconnaître, cet abruti était bien trop sexy pour son propre bien dedans. Mais ça, jamais Aguistin ne se l'avouerait, plutôt passer dans le crématorium que de le dire.



Prophète ! — dis-je, — être de malheur ! oiseau ou démon, mais toujours prophète ! que tu sois un envoyé du Tentateur, ou que la tempête t’ait simplement échoué, naufragé, mais encore intrépide, sur cette terre déserte, ensorcelée, dans un logis par l’Horreur hanté, — dis-moi sincèrement, je t’en supplie, existe-t-il, existe-t-il ici un baume de Judée ? Dis, dis, je t’en supplie ! » Le corbeau dit : « Jamais plus ! »

©Pando


Dernière édition par Aguistin M. Ó Broin le Lun 12 Oct - 0:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle   C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle EmptySam 10 Oct - 19:26

Thomas & Aguistin

C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi !

Observant l'extérieur d'un air sérieux,il termina de faire glisser le archet sur les cordes de son violon ,terminant ainsi de jouer les quatre saisons de Vivaldi ,plus particulièrement "Le printemps",l'esprit maintenant vide et concentrer sur la journée qui commençait,certaine personnes se vide l'esprit en courant lui il préfère jouer du violon et puis au moins il est sur de ne jamais attraper froid en courant en pleine hiver.Il déposa l'instrument sur son support avant de tourner les talons pour quitter sa chambre,déjà habillez ,il attrapa son thermos de thé avec un chat dessus avant d'ouvrir la porte d'entrée.

A peine quitta-il sa maison pour prendre la direction des pompes funèbres que son téléphone sonnais déjà,il poussa un soupire avant d'attraper son téléphone pour décrocher."Docteur Riddle a l’appareille...non Monsieur Johnson nous n'avons pas rendez vous aujourd'hui ,je ne suis pas la de la journée,on se voit demain a 10h30 et pas avant...c'est sa ,au revoir et bonne journée a vous aussi."Il raccrocha avant d'ouvrir son thermos pour boire un peut de thé ,marchant d'un pas décider,il redoutais déjà cette journée,la passer avec Aguistin pour ce programme pour les personnes de terrain était a la fois intéressant et une mauvaise idée,les deux hommes ne pouvais s’empêcher de se chamailler ou de se disputer,ils ne savaient pas comment agir comme deux hommes civilisés quand ils étaient dans la même pièce.Il était un psychologue ,il devrait être au dessus de ce genre d'immaturité ,mais apparemment son cerveau pensait le contraire.

Une fois arrivée devant le bâtiment ,il se stoppa quelques secondes,prit une grande inspiration ,ouvrit la porte avant d'expirer,il pouvait le faire,il savait être un adulte civilisée et mature,il n'avais pas besoin de se disputer avec qui que se soit,il pouvait être maître de lui même et garder son sang froid,il se rappela rapidement qu'il y avait une réunion alors sans même s'arrêter il traversa l'entrée avant de se diriger vers la salle de réunion a grand enjambée.

"Bonjour tout le monde."Sourire polie au lèvres il regarda tour a tour les personnes présente avant de leur serrer la main avant de s'installer a table,déposant son thermos près de lui tout en restant silencieux,écoutant les diverses conversation autour de lui,notant que Aguistin n'étais pas encore présent,il avait surement du oublier la réunion,en parlant du loup celui-ci venait d'ouvrir la porte,le docteur se retint de lever les yeux au ciel,se contentant de l'observer pendant quelque seconde avant de re-boire du thé.

La réunion se passa sans problème,donnant son avis sur certain point ,ignorant son voisin qui était visiblement bien agitée.Il ne pu s'empècher de ricanner quand a la fin de la réunion celui-ci le menaça,mais Thomas ne répondit pas il se contenta de se relever ,attrapant son thermos avant de suivre l'autre homme en direction de son bureau.Encore une fois un sourire polie s'afficha sur ses lèvres quand il remarqua le couple présent dans la pièce,il déposa son thermos avant de leur serrer.Je vous présente mes sincères condoléance."Il ignora royalement Aguistin qui c'était tournée vers lui pour encore une fois le menacer,il se contenta de lever les yeux au ciel tout en lui lançant un sourire carnassier,si il croyait qu'il allait se taire,il pouvait se mettre le doigts dans l'oeil.

Il récupéra son thermos avant de suivre le petit groupe,offrant un mouchoir a la fille de la défunte pour qu'elle puisse essuyer ses larmes,il écouta d'une oreille distraite le conseiller funéraire.La femme semblait légèrement perdu alors il se plaça a ses côtés sans trop envahir son espace personnelle avant de lui indiquer qu'un cercueil foncer serait peut être mieux qu'un clair,lui expliquant son point de vue ,il savait que sa ne plairait pas a Aguistin,il pouvais même le voir du coin de l’œil serrer les poings mais il s'en fichait royalement,il se retient même de lever le poing en l'air quand la femme se décida de prendre le foncer,il était un homme sérieux dans une situation sérieuse,ce n'était pas le moment de faire l’imbécile.

Une fois le couple partie,il afficha un léger sourire amusée tout en buvant de son thé."Tu devrait peut être allez voir un médecin pour ta tension ,toute cette colère embouteiller ,sa ne peut pas être bon pour ta santé."Il dit le plus calmement possible."Que crois tu que je vais faire a l'enterrement a part mon métier ? Demander a changer l'emplacement des fleurs pour une question d'énergie ?."Il demanda le sourcil arquée."Personne ne t'oblige a écouter se que je raconter aux clients et si cette situation te dérange tant que cela ,pourquoi ne va tu pas voir le directeur,je suis sur qu'il sera ravis d'entendre ton avis sur la question."Il afficha un sourire faux avant de regarder sa montre.

"Désoler tu devra me regarder me pavaner avec cette chemise ,en attendant j'ai une consultation ...essaie de ne pas faire une syncope entre temps veut tu ?."Il tourna les talons avant de se diriger vers l’accueil ,il salua la secrétaire avant de prendre la direction des escaliers pour se rendre dans son bureau temporaire ou ce trouvais l'un des employer des pompes funèbres.




luckyred.


Dernière édition par Thomas C. Riddle le Dim 25 Oct - 17:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle   C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle EmptyLun 12 Oct - 0:46

C'pas le cadavre que je vais

enterrer mais toi !


Chester & Aguistin ♥





« Oui c'est sur, un vrai médecin en comparaison par rapport à toi. » Véritablement, il était sur le point de craquer, mais il faisait tout pour canaliser sa colère. Caroline lui avait dit qu'il en était capable, alors rien que pour elle, il éviterait de faire un massacre dans son bureau. Après combien de temps allait il pouvoir tenir comme ça, c'était une autre question. Déja là, il trouvait qu'il s'était surpassé, qu'il allait même pouvoir rentrer dans le livre des record, enfin dans son livre des records, pour avoir tenu plus de cinq minutes face au démon qu'était Thomas pour lui. Peut être pouvait il même espérer ne pas finir dans la cellule du commissariat cet après midi et laisser travailler Sébastian, qui le sortait toujours de ce mauvais pas. « Avec toi on ne sait jamais, si ça se trouves ça va faciliter la perception du deuil ou je ne sais quel sottise du genre. » Non mais là c'était de la provocation, et bizarrement même si le psychologue avait dit ça sur le ton le plus calme possible, il sentait qu'il serait capable de le faire. Pourquoi ? Aucune idée, peut être parce qu'il pensait qu'il n'était qu'un être sadique, prêt à tout pour le faire enrager, ou tout simplement parce qu'il ne croit pas à la science de la psychologie.  

Faisant le tour de son bureau, il se tourna lentement vers Thomas quand ce dernier lui demanda pourquoi il n'avait pas demandé au boss de ne pas travailler avec lui. Si avant c'était de la provocation, il ne savait pas comment il pouvait qualifier ça. Sa main lâcha le dossier qu'il tenait tellement qu'il tremblait de rager, ce qui ne fit que l'énerver d'avantage alors qu'il se dépêcha de les ramasser. Mais qu'avait il fait pour mériter ça ? Il n'avait pourtant tuer personne, mais si ça continué, il allait faire des armes sur l'homme en face de lui. « Pardon ? Je crois avoir mal compris là ? » Tout comme sa main, sa voix tremblait, n'arrivant presque plus à contenir son émotion négative. « Comme si j'avais eu le choix … » Il y avait deux possibilités. Soit il était idiot, et Aguistin pouvait essayer de passer outre parce que la bêtise était la seule chose au monde qui ne pouvait se soigner, soit il le faisait exprès, rien que pour avoir le loisir de le voir s'énerver, sortir de ses gonds et là, ça irait très mal. Et ça ne pouvait être les deux car pour faire sa deuxième possibilité, il fallait être rusé, et surtout sadique, très sadique. Faisant craquer sa nuque, il fixa alors ces iris qui voulaient le faire souffrir. « Il a bien entendu mon avis sur la question, crois moi et c'est à cause de ça que j'ai du aller voir ton collègue, l'autre arnaqueur de la ville ... » S'il ne supportait pas Thomas, c'était sans doute pire avec Hooper. « C'est ma punition, sans doute, pour avoir fait peur à Hooper et avoir ouvert les yeux aux quelques imbéciles qui allaient de leur plein grès. »

Un sourire sadique s'élargit sur ses lèvres en repensant aux tremblements d'Archibald. Au moins il avait eu une satisfaction dans cette journée, ce qui n'allait pas être le cas maintenant. « On ne se pavane pas à un enterrement crétin, n'as tu donc aucun respect pour les morts ? » Voila, il s'était énervé, c'était la goutte qui avait fait déborder le vase, sa voix avait augmenté de plusieurs décibels et heureusement que l'ancien chat ne sachant pas qu'il était chat venez de filer à l'anglaise, évoquant un soi disant rendez vous dans un calme le plus total, et ça l'énervait encore plus. De rage, il tapait sur la table et la vitre de son beau bureau en verre trembla. Il poussa ses portes documents au sol en hurlant qu'il n'avait qu'une envie, l'étriper. Essayant de reprendre contenance, il devait sortir de là pour évacuer toute cette tension. Attrapant son long manteau, il claqua la porte, faisant encore trembler toute la pièce. Plus aucun bruit n'était émis dans le rez de chaussé de l'entreprise, tout le monde savait qu'une épée de Damoclès se trouvait sur leur tête quand Aguistin était dans cet état là. Regardant chaque personne comme s'il voulait les tuer une à une, il n'était pas satisfait. C'était la tête de ce maudit psychologue qu'il voulait voir accrocher à son bureau. « Vous avez un problème ? Non, le spectacle est terminé, mettez vous au boulot. »

Il avait hurlé ça, n'aimait aucunement être le centre d'attention de cette façon là. Il devait faire payer à Riddle ce qu'il lui avait fait. Alors qu'il allait pour sortir, pour prendre le frais comme son coté raisonnable lui disait, il fit demi tour pour prendre la direction du premier étage. Montant les marches quatre à quatre, il bouillonnait de rage et de colère, et le sang pulsait au niveau de ses tempes, lui faisant littéralement voir rouge. Cherchant le bureau provisoire, il rentra dedans comme une tornade, se fichant parfaitement du simple employé qui discuté avec Thomas. Puis au vu de la tête de ce dernier, il devait royalement s'embêter pour être poli, alors il n'avait qu'a le remercier de sa bonne action. Enfin, ça c'était avant qu'il l'attrape par le col pour le plaquer contre le mur, bien décider à faire sortir sa cervelle par ses oreilles. Il le secoua comme un prunier avant d'appuyer de tout son poids sur lui, écrasant son pied au passage. Pourquoi cet abruti était plus grand que lui ? C'était pas du jeu mais il s'en fichait. « Si tu meurs, je te promets que tu auras un enterrement digne de ton nom, et ça calmera ma tension. » Oh oui, cette idée le réjouissait grandement, surtout si c'était lui l'auteur de ce décès, et qu'en plus il s'occuperait de le mettre en terre. Ses iris noirs comme les ailes du corbeau qu'il avait été jadis, fixèrent les bleus de son interlocuteurs comme le pelage qu'il avait eu aussi et un silence lourd s’abattit sur la salle. Le temps s'était comme arrêté, suspendu, comme avant, quand les aiguilles de la tour de l'horloge ne fonctionnait pas. Dans cette pièce, le même phénomène c'était répété. Il n'y avait plus un bruit, pas même une respiration extérieure à celle des deux protagonistes et on aurait pu entendre une mouche faire du tricot.

Que pouvait il bien se passer dans la tête d'Aguistin et de Thomas ? Bonne question dont même le psychologue n'aurait pas la réponse. Enfin en tout cas, le cerveau de l'ancien présage de la mort venez de totalement grillé. Il l'était déjà bien entendu, comme toutes les personnes de Storybrook, surtout celle faisant des explosions en tout genre, des combats de peluches de licornes, des endormissements n'importe où, des tirs de flèches sur de pauvres innocents. Mais là, c'était pire, ses pauvres neurones qui étaient déjà en surchauffe à cause de sa colère venaient de passer au niveau supérieur, un niveau jamais atteint, pire que dans une centrale nucléaire en train d'être exploité à fond. Mais au lieu de tout casser dans la pièce, de tout brûler comme l'adolescente qu'il avait prit sous son aile et qui avait un petit peu le même soucis que lui, il resta juste stoïque, comme si son cerveau montrait un tracé plat mais que sa conscience, elle, était bloquée à l’intérieur mais qu'elle aussi était totalement assommé, hypnotisé par les deux yeux bleus qui le fixaient aussi. Ce n'est que quand il sentit deux mains agripper ses poignets, peau contre peau, recevant une sorte de décharge électrique que tout redevint normal. Fermant les yeux, papillonnant même à cause du fait qu'il les avait gardait ouvert et que donc des poussières étaient rentrés, il avait la tête qui tournait. S'accrochant à son tour au bras qui l'agrippait, il était hors de question qu'il s'évanouisse ici.

Faisant comme si de rien n'était, il se mordit la lèvre inférieur en se repassant la scène dans sa tête, maintenant que le mécanisme était à nouveau en marche. Mais pourquoi avait il fait ça ? Pourquoi était il monté dans ce bureau ? N'avait il pas comprit qu'il avait affaire au diable en personne et qu'il ne lui arriverait que des malheurs en sa présence ? Remettant son costume en place, il n'avait toujours pas quitté du regard Thomas, et c'était un petit peu à celui qui allait lâcher en premier mais il devait trouver un mot qui ferait mouche pour pouvoir filer à l'anglaise, comme il savait si bien le faire. « Ma proposition tient toujours, et je me ferais une joie de recevoir tes proches pour discuter urnes funéraires, parce que tu serais encore capable de revenir en mort vivant pour distiller tes conseils. ça sera vraiment un plaisir que de te voir brûler ! » Profitant du trouble, il sortit alors de la pièce calmement, descendit les marches aussi, sentant le regard des gens de l'entreprise sur lui, se demandant qu'est ce qui avait bien pu se passer, ouvrant les doubles portes en verre, faisant quelques pas, il observa qu'il n'y avait plus personne pour se mettre à courir comme un dératé. Quel idiot il avait été, mais qu'est ce qu'il s'en voulait d'être comme ça. N'aurait il pas pu connecter son neurone et comprendre qu'il allait faire un truc qu'il allait regretter par la suite ? Non bien sur, c'était trop compliqué pour lui.

S’arrêtant dans sa course folle devant la petite supérette, il rentra sans dire un mot, ruminant toujours sa colère et sa bêtise. Il avait faim, et sans doute sa faiblesse qui avait fait foirer son plan d'éclater la tête à Thomas comme une noix avait été du à ça. Attrapant le premier sandwich qui passait par là, mais en choisissant bien attentivement le jus de fruit qu'il allait prendre, il ressortit comme il était entré, sans une parole. Accélérant à nouveau le pas, il arriva enfin dans le cimetière, l'endroit qu'il préférait le plus au monde, bon peut être pas avant son appartement. Traversant les allées, pour se mettre tout au fond, là ou il était sur que personne ne viendrait le déranger, peut être à part Sebastian, qui savait où le trouver, il s'affala sur un banc, comme s'il portait toute la misère du monde. Pour lui, c'était effectivement le cas, et il aurait bien voulu rejoindre les gens avec qui il travaillait. Croquant dans son sandwich, il ne comprenait vraiment pas ce qui venait de se passer. Il était monté pour se défouler, pour arranger les papiers à sa source d'ennui et qu'avec t'il fait ? Une sorte de mini syncope qui avait anéanti son cerveau. Mais pourquoi ? Il n'avait pourtant pas toucher à des substances étranges, le plat de nouilles de hier soir n'était pas périmé, et il n'avait même pas pioché dans le saladier de sucrerie de son colocataire et meilleur ami. Certes, c'était de fait connu par tous qu'il avait du mal à gérer sa colère, et quelques autres sentiments de même nature, mais là c'était autre chose, et ça l'énervait encore plus de ne pas savoir. Non, il ne devait pas se faire un cycle de colère, comme il savait si bien le faire.

Fermant les yeux, voulant chasser le visage de Riddle qui était ancré dans sa rétine, il essaya alors de penser à autre chose. Tiens, à Caroline, la jeune fille qu'il appréciait beaucoup, dont il s'était promis de veiller sur elle, sentant qu'elle était un peu comme lui, un animal solitaire, perdu, et dont la vie ne lui avait pas fait beaucoup de cadeau. C'était d'ailleurs au cimetière qu'ils s'étaient rencontrés, et s'il trouvait pour lui même sa passion des morts presque normal, il ne voulait pas qu'une jeune fille comme elle, à la fleur de la vie, reste dans cet endroit morbide. Il l'avait amené au cinéma, au parc, l'avait aidé à faire des devoirs de littérature, et lui, qui souvent ne se soucier que de lui, ou de Ricardo, avait vraiment pris goût à épauler la jeune fille. Une sorte de fibre paternel avait répondit à l'appel de l'âme blessé de Caroline, surtout quand elle lui avait expliqué ce que son véritable père lui faisait subir. Ça, il avait encore du mal à l'accepter, et si Ricardo ne le retenait pas, il irait dire deux ou trois petits mots à ce fameux Thackery. Mais sans doute que l'ancien vampire s'ignorant, ne voulait pas que son ami le plus proche finisse le reste de ses jours derrière des barreaux. A cette idée, Aguistin se décrocha un petit sourire, sincère. Ah Ricardo, son meilleur ami, son ami d'enfance de l'orphelinat, quand lui venait de perdre ses parents et que Ricardo cherchait les siens. Un lien étrange, particulier, à l'image des deux hommes qui cohabitaient toujours ensemble. C'était tellement étrange, que parfois il n'arrivait pas à dire exactement depuis quand ils habitaient en colocation.

D'ailleurs son portable venait de vibre dans sa poche, et c'était celui à qui il pensait, comme s'ils étaient reliés télépathiquement. Regardant vite fait, il faillit s'étouffer avec le jus de fruit qu'il était en train de boire quand il comprit la blague qu'il venait de lui envoyer. Voila, au moins, lui savait comment lui remonter le moral et enfermer toute cette colère qui le rongeait. Répondant, le temps passa rapidement, comme ça, avec des échanges de blagues mais il secoua la tête quand il lui expliqua qu'il était à nouveau tombé dans les pommes à cause d'une transfusion sanguine. Secouant la tête, il se demandait toujours pourquoi il travaillait dans ce centre. Vu qu'il lui avait dit ça, il soupira en pensant qu'il devait lui dire ce qu'il avait fait. Penaud, il lui répondit donc que pour sa matinée, il avait bien failli apparaître en premier page pour le meurtre d'un psychologue. Quand il vu s'afficher sur son blackerry noir, le numéro de Ricardo, il sentit que ça allait chauffer pour lui mais heureusement, l'heure du travail le sauva d'une probable discussion. Rapidement il lui envoya qu'il allait devoir couper son téléphone car il avait un enterrement sur le feu.

S'époussetant, il vérifia qu'il était impeccable, aucune salade coincé entre les dents, aucune trace de miette sur son costume, les cheveux bien peignés, il était assez bien dans son rôle de conseilleur funéraire. Voyant le cortège rentrer dans le cimetière, il fit travailler ses méninges pour se souvenir de l'emplacement du caveau et être le premier arrivé, surtout par conscience professionnel. Se plaçant devant, il attendit alors la famille, comptant les secondes avant l'impact, où il mettrait son masque d'empathie. 78 secondes au total avant de s'incliner en prenant les mains de la dame. Tout allait pour le mieux du monde, et il avait repris contenance, mais ça, c'était avant que n'apparaisse comme par magie, Thomas. Son regard croisa le sien, et alors qu'il était pourtant calme, une vague de haine le submergea. Il serra alors un peu trop fort, la main qu'il tenait, et il s'excusa platement quand il entendit le couinement de la femme. Ne voulant y penser, il longea la foule, pour aller voir les personnes s'occupant du cercueil. Posant la main dessus, il était presque comme apaisé, sensation très étrange, qui lui faisait aussi un petit peu peur. Retournant forcément auprès de la famille, il joua son rôle à merveille, sortant le petit texte de la poche qu'il avait préparé avant de laisser place au prête pour s'occuper de la cérémonie de mise en biere. Et forcément, il se retrouva à nouveau à coté de Riddle. « Pitié, pourquoi tu es là ? Moi c'est normal, c'est mon boulot, mais toi ? Outre le fait que je dois te supporter parce que ton copain a dit des trucs faux dans son rapport à la noix et que le boss de l'entreprise veut que tu vienne pour apporter un soutien un peu médical, et blabalbal, mais sérieusement, pourquoi même ici ? Il n'en saura rien si tu ne viens pas, et que tu continues à faire tes trucs de psy' dans ton cabinet. Laisse gérer la mort aux véritables professionnels. Ça voudra mieux pour tout le monde. »



Prophète ! — dis-je, — être de malheur ! oiseau ou démon, mais toujours prophète ! que tu sois un envoyé du Tentateur, ou que la tempête t’ait simplement échoué, naufragé, mais encore intrépide, sur cette terre déserte, ensorcelée, dans un logis par l’Horreur hanté, — dis-moi sincèrement, je t’en supplie, existe-t-il, existe-t-il ici un baume de Judée ? Dis, dis, je t’en supplie ! » Le corbeau dit : « Jamais plus ! »

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MessageSujet: Re: C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle   C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi ! } Thomas C. Riddle EmptyDim 25 Oct - 18:47

Thomas & Aguistin

C'pas le cadavre que je vais enterrer mais toi !

"C'est une expression darling ,je ne vais pas vraiment me pavaner."Avait-il dit tout en levant les yeux au ciel.Comme si il était du genre a se pavaner n'importe où.Il ouvrit la porte du bureau avant de se diriger vers la chaise ,déposant son portable et son thermos sur la table,sortant les dossiers de la dernière fois ,prenant le troisième de la pile,l'ouvrant pour regarder ses dernières notes.Il fut interrompue dans sa lecture par Aguistin qui venait de débouler dans le bureau comme une tornade,leur conversation n'étais pas terminée,il ne pu ouvrir la bouche car l'ancien corbeau venait de le lever de sa chaise pour le coller contre le mur avant de le secouer comme une bombe de peinture,il l'avait vue venir a des kilomètres cette explosion de colère.Il ne pu retenir une grimace quand Aguistin lui écrasa le pied,il aurait pu repousser l'autre,il avait assez de force pour le faire ,mais il préférais laisser l'autre s’exprimer.

"A force de parler de ma mort ,je vais finir par croire que tu veut me tuer,peut être que je devrait en parler avec le shérif pour avoir une ordonnance restrictive contre toi."Finit-il par lâcher avant qu'il ne se taise,l'autre employé des pompes funèbre venait de quitter le bureau,signalant qu'il reviendrais plus tard.

La tension qui régnais dans le petit bureau aurait pu être couper au couteau,le psychologue ce contentais d'observer son interlocuteur de ses yeux bleu,tentant de deviner quel serait sa prochaine action,peut être allait-il le cogner ? Son nez se rappelais d'une bagarre a l'extérieur qui c'étais terminer avec son nez en sang et un coquard pour Aguistin.Celui-ci d'ailleurs semblait avoir complètement buguer sur place,Thomas finit par lui attraper les poignets pour les retirer de ses épaules ,un frissons lui parcourue l'échine ,ressentant comme une décharge électrique.Il se demandais si l'homme allait finir par s'évanouir quand il lui agrippa le bras avec assez de force pour laisser des traces.

Thomas se contenta de rester silencieux quand Aguisitin reprit la parole,des menaces ,encore des menaces,c'étais tellement lassant a force.Il s'éclaircit la gorge quand il quitta le bureau avant d'ajuster les manches de sa veste ,de passer une main dans ses cheveux boucler avant que la porte ne s'ouvre de nouveau,par chance ce n'était pas Aguistin mais simplement son collègue qui étais revenue pour sa consultation,il afficha un sourire polie sur son visage,qui était bien sur faux avant de désigner la chaise de l'autre côté du bureau,il avait du travail a faire.

Le reste de la matinée s’enchaîna rapidement et les clients aussi, il fut embarquer par le directeur de l’établissement pour un déjeuner chez Granny's pour qu'ils puissent discuter du programme ,signalant aussi au passage que l'un de ses employés n'allait pas très bien et que peut être un arrêt maladie serait préférable.Le déjeuner se passa dans la bonne humeur puis se fut le moment d'aller au cimetière,il sortie ses lunettes de soleil car la météo semblait parfaite aujourd'hui,ce qui étais plutôt rare dans cette partie des Etats Unis.

Il se précipita en direction du cimetière,arrivant près du groupe qui était devant l'entrée ,il ne perdit aucune minutes a rêvasser il avait du travail a faire,a peine arrivée que la fille de la défunte se dirigea vers lui pour ensuite le présenter a toute la famille,il reconnaissait certaine personnes qui étaient déjà ses clients,il leur adressa un signe de tête polie avant d'offrir quelque mots a certains tout en se dirigeant vers l'intérieur du cimetière,soutenant un vieux monsieur qui avait du mal a marcher tout seul.Son regard croisa celui d'Aguistin mais le psychologue se contenta de rester avec la famille au début avant de s'éloigner,se retrouvant côte a côte avec l'ancien corbeau."Le docteur Hooper n'est pas mon copain,il est bien trop "positif" a mon gout."Lacha-t-il après quelques seconde de silence."Ecoute sa ne me fait pas plus plaisir a moi non plus de passer du temps avec toi,mais on me la demander,alors je vais faire mon travail et tu va faire le tient,jusqu'à se que ton boss soit satisfait de notre travail,si tu veut râler ,râle auprès de quelqu'un qui s'en soucis ,parce que ce n'est vraiment pas mon cas."Il se dirigea assez précipitamment vers une des vieilles femmes qui avait faillit tomber,avant de lui offrir son bras tout en s'assurant qu'elle allait bien.




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