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Limenia Merlyne
I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness
Je me présente, je me nomme Limenia Merlyne! Je suis né(e) il y a un peu plus d'une centaine d'année à Nerverland. Vous l'avez bien compris j'ai donc pas moins de 100 ans, ou plus, je n'ai pas vraiment compté et pas une ride sur mon visage! Pour les intéressées je suis célibataire Pour pas qu'il n'y ai pas de mal entendu je suis heterosexuelle! Avant d'aller plus loin je dois vous prévenir, dans le monde Réel on me connaît sous le nom de "sirène" du conte Peter Pan ! De Sirène oisive je suis passé(e) à monitrice plongée sous-marine. Et pour finir, on me confonds souvent avec Isolda Dychauk.. Je fais aussi partie du groupe des selfish.
Anecdotes
Limenia vit au jour le jour dans un squat depuis bientôt deux ans, elle vole sa nourriture dans des maisons ou des magasins lorsque ses anciennes camarades de l'orphelinat ne peuvent pourvoir à ses besoins. Elle a de plus un petit problèmes d'équilibre lorsqu'elle marche sur le sol - en deux dimensions. Mais elle retrouve de son assurance lorsqu'elle évolue sur un plan en trois dimensions - l'eau est l'idéal, mais aussi des structures en hauteur.
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Caractère
Limenia a beau avoir vécu de nombreuses années - dirons-nous décennies ? - elle n'a pourtant jamais grandement évolué. Depuis sa plus tendre enfance, elle est paresseuse et oisive. Elle déteste fournir des efforts pour au final n'avoir rien en retour, et n'aime d'ailleurs pas fournir des efforts tout court pour un résultat qu'elle ne verrait pas immédiatement. C'est qu'elle n'est pas patiente du tout, et attend le plaisir immédiat. Dans ce sens, elle est opportuniste, puisqu'elle saisira la moindre occasion pour peu que cela lui apporte quelque chose. C'est sans aucune surprise donc qu'elle se trouve être relativement égoïste, puisqu'elle pense surtout à son propre plaisir, et aussi narcissique - seigneur qu'elle aime regarder son reflet. Mais son égoïsme est relatif, car son plaisir peut englober celui de personnes qu'elle apprécie. Comme il faut en finir avec ces cotés négatifs, mentionnons donc qu'elle est assurément inconsciente de ce qu'elle fait et de ses conséquences - presque comme une enfant - et peut se révéler - encore comme une enfant - d'une mesquinerie affligeante.
Mais il ne faut pas garder une image trop noire de la demoiselle, parce que si elle peut se montrer méchante et cruelle, ce n'est pas intentionnellement mais bien par une naïveté immature. Elle ressemble véritablement à une enfant qui n'aurait jamais grandit - quelle surprise à Neverland - et est aussi enthousiaste et prête à s'amuser qu'il est possible de l'être. Elle peut bien entendu se révéler gentille et prête à rendre de petits services pour qui sait le lui demander - tout dépend de qui - et faire preuve d'un peu de sérieux lorsque les circonstances l'exigent. Passionnée, elle s'investira dans ses activités - si les dites activités l'intéressent bien entendues - et vous la trouverez, au final, toujours avec un sourire aux lèvres. Malicieuse et espiègle, elle est une personne somme toute joyeuse et lumineuse.
Vivre à Storybrook a fait perdre à Limenia un peu de l'insouciance propre à la nature d'une Sirène. Un poil plus sérieuse et débrouillarde, elle reste toutefois la même personne, un petit problème d'équilibre en plus.
crackle bones
Derrière l'écran
Derrière mon écran, moi je m'appelle Vicky. Actuellement j'ai 18 ans, et je RP depuis sept ans. J'ai découvert le forum au hasard. De moi on dit que je suis quelques passionnée et curieuse. D'ailleurs je trouve le forum super et je suis content(e) d'y être. Ah j'ai un petit mot pour vous au fait : Vous êtes super .
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crackle bones
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Dernière édition par Limenia Merlyne le Dim 20 Sep - 22:16, édité 5 fois
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Ne rien faire de sa vie, première leçon
la reine de l'oisiveté
Avant la malédiction
Les bras de la femme maintenaient avec force la petite fille sous l'eau. Son petit corps se contorsionnait et repoussait l'autre, dans l'espoir de s'échapper, mais la prise était ferme et des remous se formaient autour d'elles. La prise se fit plus ferme encore sur l'enfant, tandis que ses bras s'agitaient en tout sens, comme un petit diable qu'une créature mortelle aurait attrapé, tentant de la garder sous contrôle, avec grande difficultés. Finalement, d'autres bras virent enserrer les deux corps, et elles furent attirées vers le fond de l'océan, et la fillette redoubla d'effort pour s'échapper, en vain. La lumière solaire s'estompait alors qu'elles étaient entrainées vers le fond, et lorsqu'elles furent entourées d'une dizaine d'autres sirènes, l'étreinte se desserra, libérant la femme et l'enfant. Cette dernière jeta un dernier regard vers le bleu flou assombrit du ciel et soupira. On la réprimanda, gronda, et une adulte resserra sa main sur son petit bras, l'entrainant à la suite du banc. Aussi loin qu'elle se souvenait, Limenia ne s'était jamais sentit à sa place. Ce n'était pas qu'elle venait d'un autre banc de sirène, ou qu'elle était différente physiquement. Cela ne venait pas d'un rejet des autres, car le banc acceptait toutes les sirènes. C'était dans sa tête. C'était elle qui se sentait mal. Différente ce qui composait le banc. Les sirènes étaient unis et pensaient constamment à la globalité du groupe, ensemble, c'était la devise. Aucune individualité, on pensait avant tout au plaisir globale. Tout se faisait en groupe, et même les enfants étaient élevés en groupe. Limenia ne connaissait pas ses parents, et pourtant elle aurait aimé. Comment pourrait-elle un jour engendrer une sirène qu'elle ne pourrait pas aimer comme elle le devrait ? Elle ne savait pas si elle avait de véritable frères et soeurs, car tout le banc se considérait comme une famille : tous étaient ses soeurs, ses frères. Le banc se déplaçait presque constamment dans l'océan, et surtout, les sirènes ne remontaient jamais à la surface.
«Pourquoi » lui avait-on un jour demandé, «devrions-nous remonter à la surface ? Tu n'y trouvera que la surface vide et morne de l'océan, des bateaux remplit d'hommes cruels et égocentriques, le vent qui fouettera ton visage et la chaleur qui brulera tes écailles. Rien d'autre. Qu'y a-t-il pour nous la-haut ?». Elle répondait qu'il y avait d'autres personnes là-haut. , «Les humains ? Tu nous parle des humains ? Ecoute bien petite perle, le jour ou tu rencontreras un humain, n'attend pas pour fuir Il ne t'arrivera jamais rien de bon avec ceux-là. Fuit aussi vite que tu peux nager, et si tu ne peux pas, charme le de ta voix et entraine le par le fond. Tu m'entend Limenia ? Il n'y a Rien pour nous là-haut ! ». Limenia n'avait pas osé dire que là-haut, il y avait le soleil. Jamais elle n'avouerais que l'astre brulant l'attirait déraisonnablement. Jamais elle n'avouerait qu'elle aimerait contempler son reflet dans l'eau changeante. Et jamais elle n'oserait dire qu'elle brûlait d'envie de rencontrer des humains. Parfois, elle demandait aux aînés pourquoi alors les sirènes avaient le don d'Ursula si elles ne devaient pas remonter à la surface. Les rares fois où elle l'avait fait, on avait ignoré sa question et sévèrement réprimandé à la place.
Et le temps passait, les années défilaient , et Limenia grandit. Quelle âge avait-elle ? Elle ne le savait pas, bien qu'elle ait essayé de compter. mais comment savoir précisément quand il n'y avait comme repaire que le jour et la nuit ? Certaines fois, le banc plongeait si profond dans l'océan que la lumière du jour se dissipait à la surface jusqu'à ne plus même l'apercevoir, se confondant avec la nuit. Jamais elle n'avait comprit comment les sirènes faisaient pour apprécier la froideur de ces eaux. Elle aimait tellement les eaux de surface, chaude et lumineuse. Tout ce que Limenia savait, c'est qu'elle avait à présent l'âge de parler véritablement au sein du banc. Elle n'était plus une enfant. Les humains l'appelleraient adolescente, même si dans le banc ce statut n'avait aucun sens. Il arriva donc un jour, où elle eu cette âge reconnu par le banc, et où elle questionna. Ils tentèrent de la retenir bien sur. Ils voulurent la rattraper, la forcer à rester. Mais l'une des règles du banc étaient de respecter les choix d'une sirène. Elle partit. Accompagnée. Quelle n'avait pas été sa surprise lorsque deux sirènes de son âge - jusqu'alors silencieuses et discrètes, effacées - se joignirent tout à coup à elle, mêlant leur voix à la sienne.
Toutes les sirènes étaient ravie de l'endroit ou leurs nageoires les avaient portées. L'eau était magnifiquement claire, traversé de courant froid. Quelques poissons ne cessaient de leur tourner autour, sûrement surpris de voir de telles créatures en ces lieux, et quelques raies avaient frôlées leur queue. Partie à trois de leur banc initial, Limenia et les deux autres sirènes avaient été rejointe par pas moins d'une dizaine de jeunes filles comme elles. Elles avaient parcourut les océans, découvrant mille et une merveilles. Jamais elle les trois premières sirènes n'avaient pensé trouver d'autres systèmes marins à part celui du banc. Mais il y avait tellement de choses différentes à voir, et l'une de ces choses - qui avaient ravit les sirènes - avaient été Atlantica. Malgré plusieurs années passées au sein du banc, à aucun moment elles n'avaient trouvé ce lieux féerique. Le palais d'or resplendissait sous l'eau, peuplé de sirènes tellement nombreuses qu'elle en avait perdu le compte. Là, le groupe avait perdu quelques jeune fille, fascinées par la ville. Mais les autres - entrainées par Limenia - ne désiraient pas s'installer là, pas avant d'avoir vu les autres merveilles que recelait l'océan.
C'est ainsi qu'elles se retrouvèrent en dehors de la zone d'influence de Posédion, Triton, enfin, le seigneur des eaux. Limenia n'avait aucune idée de comment cela avait pu être possible, ni même comment elle avait pu le savoir, mais à l'instant même où elle avait nagé ici, elle avait sentit le changement de puissance inconnue. Pourtant, loin d'être inquiétée, elle avait découvert avec ravissement les lieux. L'eau était clair, si pure - à l'opposé des grandes eaux froides et sombres des océans - et surtout, elle était chaude. C'était un pur bonheur pour la jeune sirène, et pour ses soeurs. Sa tête creva la surface tranquille de la mer, ses yeux pétillant, et elle pu observer comment étaient les lieux à la surface. Il y avait une île, juste en face d'elle. Une île fortement boisée, bordée de grandes plages blanches et de falaises crayeuses. Une terre. Malgré sa liberté nouvelle, et ses quelques temps d'errance dans les océans, Limenia ne s'était jamais vraiment approchée aussi près des terres. Jetant un regard en arrière, elle vit les autres sirènes se laissant portant par les courants tranquille, jouant avec les poissons. D'un mouvement de nageoire, elle s'élança vers les terres inconnues.
C'était l'un des plus beau endroit qu'elle ait jamais vu. La lagune était magnifique, un petit coin de paradis perdue dans ce royaume. Des rochers affleuraient parfois à la surface de l'eau, au fond une cascade répondait un doux bruit dans le trou d'eau entouré de falaises. Splendide, et les autres sirènes étaient étrangement d'accord avec elle.
Ce n'est pas comme si elles avaient décidé de s'installer là, elles ne s'étaient même pas posées la question. C'est juste qu'elles étaient restées là la première nuit, et le lendemain elles avaient passé leur temps dans la lagune, à jouer avec les poissons et les crabes, à se prélasser sur les rochers et la plage, à se plonger sous la cascade. Et les jours s'éternisaient, et aucune n'avait finalement émit le souhait de partir. Limenia voyait les sirènes apprendre à aimer les rayons du soleil, qui réchauffaient leur peau et faisait luire leurs écailles, et cette simple pensée la faisait sourire. Si elles l'accompagnaient depuis quelques temps déjà, elle avait été depuis toujours à l'écart, toujours différente. Et maintenant, elles se ressemblaient et s'amusaient ensemble. Quel bonheur. Etait-il possible que les sirènes s'installent ici un temps ?
De prime, Limenia avait d'abord pensé qu'il n'y avait personne sur cette ile. Pourtant, un matin, il y eu un humain. Un terrestre. Il se tenait là, droit, et il semblait attendre quelque chose. La coïncidence semblait trop belle, mais les sirènes restèrent sous l'eau, intriguées mais aussi effrayées par ce premier homme qu'elles voyaient de leur existence. L'écho du banc résonnaient aux oreilles des jeunes filles, leur interdisant d'approcher cet humaine et de fuir au large tant qu'elles le pouvaient, et Limenia la première sortit timidement la tête de l'eau - de toute façon bien trop pure pour qu'il ne les voit pas. Peter - tel était son nom - était semble-t-il le propriétaire des lieux. Soupires chez les créatures, qui se plaisaient ici. Pourtant, il ne les chassait pas de la lagune. Mieux même semblait-il, à mesure qu'écoutait la jeune sirène, il les autorisait à s'établir dans les lieux ! Certaines conditions étaient bien sûr requise, mais elles semblaient ridicules aux sirènes qui ne souhaitaient de toute façon amener personne ici - c'était leur Eden à présent. Rapporter toutes activités étranges dans les parages ne leur demandait pas beaucoup d'effort non plus, et c'est avec joie qu'elles acceptèrent. Il leur donna même l'autorisation de jouer avec les intrus, et d'entrainer vers le fond des eaux les hommes adultes sur les bateaux. Il se disait capable de savoir tout ce qu'elles faisaient, et elles ne voyaient aucune raison d'en douter.
C'est qu'il les impressionnait quelque peu. Limenia était fascinée par cet humain, bientôt rejointes par ses sœurs, et ne se lassait pas de l'observer de sous l'eau. Il paraissait jeune, mais le temps ne semblait pas avoir prise sur lui. Il passait de temps en temps par la lagune, et lorsqu'il s'y arrêtait, presque toutes les sirènes s'agglutinaient autour de lui pour écouter ses récits, sans jamais s'ennuyer. Quelques fois aussi, d'autres jeunes garçons passaient par là, et s'ils ne recevaient le même accueil que Peter, les sirènes n'étaient pas désagréables, s'amusant même avec eux quelques fois. Et c'est ainsi que se déroula la tranquille vie des sirènes pendant plus de cent ans : des jeux, des sourires, beaucoup de paresse, d'eau et de soleil.
La venue de la malédiction causa la plus grande frayeur jamais vue dans la lagune, sans qu'elles ne puisse rien y faire.
Pendant la malédiction
A Storybrook, Limentia étouffe dans le règlement de l'orphelinat où elle a toujours vécut dans ses souvenirs les plus lointain. Couvre-feu, contrôle, corvées, elle ne brule que de sortir de ces couloirs sombres pour simplement s'allonger au soleil dans un parc. Elle grandit plus ou moins sagement dans cet environnement sinistre et froid. Si elle ne faisait pas de vagues étant petite, l'adolescence vint bouleverser le fragile équilibre. Effrontée, paresseuse, elle refuse tout simplement de faire ses corvées ou de respecter le couvre-feu, et plusieurs fois la police dut la ramener en pleine nuit. Et il vint le jour où, à 17 ans, elle se décida enfin à plier définitivement bagage pour fuguer de cet enfer. Elle se trouva un bâtiment désaffecté - et donc désert - dans le port où elle s'installa. Bien calfeutrée dans son squat, elle vit seule et tranquille, recevant quelques fois la visite de ses amis de l'orphelinat lui apportant un peu de nourriture voler dans les cuisines, des vêtements et des couvertures. Limenia ne dit pas non à ces provisions, mais n'hésite pas le plus souvent à voler pour survivre, entrant discrètement dans des maisons, voir des magasins, pour se ravitailler. Et ainsi deux ans passa, sans que personne ne la retrouve. Si la vie qu'elle mène est un peu solitaire et calme, cela lui convient tout à fait. A 19 ans, elle ne songe pas une fois à reprendre sa vie en main, installé en fait plutôt confortablement dans son squat.
crackle bones
Dernière édition par Limenia Merlyne le Dim 20 Sep - 22:14, édité 1 fois
Aaaah je n'avais point vu Bon du coup je dois trouver quelqu'un d'autre Quelqu'un aurait une petite idée ? J'avoue que je suis pas douée pour ça Une petite miss rousse qui corresponde à la sirène :/ Merci en tout cas
Jack Pumpkin
En réalité, je suis
Le roi des citrouilles
☂ Conte : The Nightmare before Christmas
☂ Emploi : Dirige la boutique de Farces & Attrapes, Ospipailleur
☂ True Love : My dearest friend, we could gaze into the stars...
Si tu cherches une miss rousse tu as par exemple : Deborah Ann Woll, Sophie Turner, Loren Kemp, Jane Levy
Vents Contraires
Couché sous les pluies diluviennes. Un vestige de tes lèvres. Quelques chrysanthèmes, d'un Joyeux Noël. Je t'ai criée sur tous les toits jusqu'à perdre haleine, jusqu'à prendre le froid qu'aucun feu n'apaise...
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Félicitations! Tu as complété ta fiche personnage avec brio! Te voici prêt/prête à aller jouer dans Storybrooke et ses alentours. Tu as été ajouté au groupe Selfish. Pour une expérience optimale, pense bien à [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]! Tu peux aussi chercher des relations en créant ta fiche de liens [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien], demander un rp dans [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et tenir à jour ton journal de bord de RP en créant un sujet [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]!
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