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 We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]

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MessageSujet: We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]   We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON] EmptySam 12 Sep - 15:01

We are Impossible people !
feat la bande de cassos ♥ Bobo & Clairette & Nina .

Il n'était pas le lapin blanc, obsédé par le fait qu'il était toujours en retard, mais aujourd'hui Jefferson n’arrêtait pas de regarder sa montre pour justement ne pas être en retard. Malheureusement pour lui, ce n'était pas la bonne technique car les quelques heures auquel il n'y avait pas fait attention avait coulé son plan d'être à l'heure à son rendez vous. Forcément, il s'était perdu dans la lecture d'un livre ancien très intéressant qui parlait de magie ancestral dans ce monde ci, celui qui en était pourtant dépourvu. Une légende qui expliquait comment un peuple du Nord, là ou il fait froid et nuit presque tout le temps, avait trouvé un artefact qui les aider à faire venir la magie des autres mondes, comme celui des dieux par exemple. Bien entendu, Jeff savait que ce n'était qu'un mythe, vu que les Dieux ne communiqueraient jamais avec les humains, par quelques formes que ça soit, et il le savait bien, vu qu'il était persuadé d'être victime d'une forme de persécution de leur part. Il se pensait parfois, comme le fameux humain, jouet des dieux dans le livre de Bernard Weber où il y avait une école des dieux et le tutti quanti adéquat.

Résultat, il avait laissé l'heure filer comme le lapin blanc dans les jardins anglais de la Reine pour chercher Alice, ce qui voulait dire que Clara devait l'attendre déjà depuis un bon moment. Soupirant de sa propre bêtise, il se dépêcha alors de se préparer convenablement, car même si son peignoir en satin violet était plus que confortable, il ne donnera pas cher de sa peau, la sienne et celle du vêtement s'il sortait comme ça en ville. Enfilant un costume plutôt clair, il voulait contrasté avec le temps pas très clément de ce mois de Septembre. L'automne était entrain d'arriver et même s'il aimait ce mois pour sa fête principale, Halloween, il n'était pas très friand du climat qui allait avec. Trop maussade, trop morose, et il n'avait pas besoin de ça pour l'être. Cependant, aujourd'hui, entre les nuages et le vent qui soufflait, il y avait une petite accalmie. Quoi de mieux que d'aller faire une balade dans les bois avec une amie. Choisissant un foulard d'un bleu sombre, il était fin prêt pour sortir prendre l'air. Envoyant un petit sms d'excuse à Clara, il espérait qu'elle soit toujours présente au lieu dit. Il se souvenait encore de cette rencontre fracassante, dans les laboratoires de chimie, et surtout, quand il avait comprit qui elle était véritablement, qu'il avait ressenti au fond de son être, qu'elle était la reine blanche de Wonderland, celle qui l'avait sauvé d'une mort plus que certaine. Il n'aimait pas le pays des merveilles, c'était un fait avéré, cependant, il y avait des personnes qu'il appréciait tout particulièrement, et qu'il rapprochait presque de la qualification « famille ». Alors ici, dans ce lieu hostile, il se devait de les protéger comme eux avec pris soin de lui dans l'endroit malveillant dans lequel il les avait rencontré.

Attrapant ses clefs et son portable qu'il glissa dans les poches de sa veste beige, il resta quelques instants sur le perron pour estimer la probabilité de pluie qu'il pourrait y avoir. Pas beaucoup, alors pas besoin de parapluie. C'est en petit foulée qu'il partit donc, suivant le chemin qui le mènerait directement à l'orée du bois. La jeune femme était bien présente au rendez vous, et Jefferson ne put s'empêcher de lui faire un énorme sourire en ouvrant grand les bras. « Clara Clara Clara, j'ai eu un petit contre temps mais je suis là. » S'approchant d'elle, il lui claqua alors une énorme bise sur la joue avant de donner un petit coup de main dans sa queue de cheval qui pendait. « J'ai commencé à lire puis voilà, je m'y suis perdu dedans mais maintenant je suis tout à toi, en entier. » Lui faisant un petit clin d’œil, il rigola doucement avant de la suivre se faisant guider par la reine blanche sur le sentier qui sentait bon la terre mouillée et les champignons. Forcément, ça lui rappelait le temps où il allait en ramasser, avec Grâce dans la forêt enchanté, pour les vendre sur le marché et en faire une grosse omelette le soir venu, avec le surplus. Non, il ne devait pas penser à ça, aujourd'hui il avait décidé qu'il ne serait pas triste. Secouant la tête, il reporta son attention sur la jeune femme, qui lui racontait sa vie, content qu'elle l'aide à lui changer les idées. « Et aurais tu une personne en vue ? »

Lui donnant un coup d'épaule, comme un petit garçon trop curieux, il s'éloigna rapidement quand elle lui fit les gros yeux. « Bah quoi ? J'ai pas le droit de poser la question ? Puis c'est naturel, on a tous des besoins hein... » Il avait dit ça d'un ton espiègle, moqueur, comme il savait parfaitement être, avant de partir en courant comme le démon qu'il pouvait être. S'arrêtant quelques mètres plus loin, il lui tira la langue avant d'avoir soudainement un éclair de génie, mais comment n'y avait il pas pensé plus tôt. Après tout, elle se devait d'avoir un homme digne de ce nom et Bonaparte lui avait justement expliqué que le petit frère de sa colocataire, un type formidable, était tout seul. Mais comment allait il l'a faire tomber amoureuse de ce rouquin atypique ? Passant une main dans ses cheveux, les arrachant presque, il faisait chauffer ses neurones à grande vitesse, prit dans cette nouvelle mission qu'il venait de se donner. « Que dirais tu de rentrer par effraction dans un appartement ? » Lui faisant son sourire made in chapelier, un plan un peu ubuesque se mettait en place. Et puis, squatter chez des personnes sans prévenir c'était un peu leur crédeau, à tous les deux. Lui était un grand voleur, arnaqueur, et tous les trucs en « eur » et elle, il l'avait bien trouvé chez lui, dans son manoir. D'ailleurs, il avait failli avoir une crise cardiaque quand Victor l'avait appelé, totalement paniqué en lui disant qu'il avait « stoppé » un cambrioleur. En réalité il avait eu plus peur pour le cambrioleur que pour le docteur, ne sachant pas ce qu'il avait pu lui faire subir tant il avait du avoir peur. Au final, ce n'était que la petite brune qui avait voulu en savoir plus sur lui, ce qui au fond l'avait vraiment touché.

« Tu va voir, c'est très sympathique, et puis ... » Se mordant la lèvre, il ne savait pas s'il devait vraiment lui dire ou pas. Il avait évoqué le sujet, un soir, alors qu'ils prenaient tous les deux le thé, chez la jeune femme alors que sa désagréable colocataire n'était pas là. Mais il avait vite esquivé, comme tout à l'heure d'ailleurs, quand elle avait voulu creusé, car en vérité il avait assez peur de ce qu'elle allait lui dire et du questionnement interne que cela aurait pu engendrer. « C'est chez Bonaparte en fait et il faut que je choppes un truc. » Que ne ferait il pas pour aider ses amis, il était prêt à entendre des commentaires de sa part juste pour qu'elle trouve l'amour. Parce qu'il savait de source sur, qu'un des frères de la meilleure amie et colocataire de l'autre abruti, surnom qui était resté, vivait presque quotidiennement avec eux en fin de mois. C'était donc l'occasion rêvé pour prendre le plus d'information sur le rouquin, voler des affaires, des photos pour le montrer à Clara et lui en faire un bon lavage de cerveau. Bien entendu, Jefferson ne pouvait imaginer une seule minute qu'il y aurait quelqu'un dans cet appartement, au vue de l'heure qu'il était, en début d'après midi. Tout le monde faisait comme lui, se balader, travailler, faire des courses, parce qu'on ne le redit jamais assez, le monde se calque sur la vie du chapelier fou. « Stop, tes commentaires tu les feras après ... »

Attrapant la main de Clara, Jefferson l’entraîna alors dans cette aventure folle, sans queue ni tête, digne du chapelier et conseiller qu'il était. Courant tous les deux à perdre haleine, l'adrénaline courait dans ses veines et il aimait ça tellement qu'il venait à regretter le temps où il était une crapule digne de ce nom. Ils s’arrêtèrent pour reprendre leurs souffles à l'entrée de la ville, pour ne pas paraître suspect. Tenant toujours la petite menotte de son amie dans sa main, il s'amusa à la balancer quand ils reprirent leur chemin, passant d'une rue à l'autre, saluant des personnes qu'ils connaissèrent. « Si je me trompes pas, c'est par là non ? » Suivant après la jeune fille, son sourire sadique refit surface quand il reconnut l'immeuble. Se mettant devant l'entrée, il réfléchit quelques minutes avant d'appuyer sur l'interphone sous le regard presque inquiet de sa complice de méfait. « Bonjour ici Mr Clydeson, hum désolé de vous déranger mais j'ai perdu mon badge et je n'ai pas encore eu le temps d'aller en chercher un autre à la copropriété et malheureusement ma colocataire n'est pas là. Est ce que vous pouvez m'ouvrir s'il vous plaît, ça serait vraiment très aimable de votre part. » Prenant une voix vraiment penaude et désolé, Jefferson aurait très bien pu rentrer à la Comedia Del Arte. Quand il entendit un clic, il fit un signe de victoire à Clara alors qu'il répondait un merci beaucoup à la personne qui venait de faire une grande erreur.

Montant les escaliers avec une certaine excitation, ils se stoppèrent net devant la porte du fameux appartement. « Prête partenaire ? » Sortant son porte feuille, il fouilla dedans pour prendre une carte de fidélité dont il ne se servait pas. « Regardes le professionnel et prends en de la graine jeune Padawan. » Ce n'était pas pour rien si les plus grand comme le Dark One avait fait appel à ses services, et que même aujourd'hui, ils entretenaient d'assez bonnes relations. Le monde magique connaissait les compétences du « chapelier » comme il avait été surnommé à cause de son chapeau faisant office de gare Sncf. En quelques minutes, un bruit se fit entendre, et la porte se déverrouilla. L'ouvrant doucement, il fit même une petite révérence en lui murmurant un « je vous en prie, après vous ma reine. » Laissant Clara rentrer en premier, il vérifia quand même que personne ne les avait vu dans le couloir. Il serait regrettable que cette personne doive subir un terrible accident. Rassuré, il suffit la jeune femme qui en réalité était pétrifiée dans le hall d'entrée. « Ah … c'était pas prévu ça .. » Effectivement, tandis qu'il rentrait comme si'il était chez lui, qu'il allait d'ailleurs dire à Clara d'aller fouiller le salon,  il remarqua qu'ils n'étaient pas seuls, tous faisant une tête de poisson frit. Ne se démontant pas d'un pouce, habitué à ce genre de situation périlleuse, il fit alors un très grand sourire, montrant qu'il était le roi des menteurs. « Mon dieu mais qu'est ce que vous faites ici ? Non mais je ne comprends vraiment pas parce que Léonie, c'est ça Clara hein ? nous as dit que vous ne seriez pas là ! Fichtre la surprise est fichue ... bon tant pis alors ! » Prenant un air désolé, il tapa sur l'épaule de la jeune fille, l'a laissant se démêler avec tout ça alors qu'il allait faire comme chez lui, sous le regard assez dépité de Bonaparte. « Un petit thé ça vous tente ? C'est toujours agréable de discuter autour d'une bonne tasse.» Cherchant une grande casserole pour faire chauffer de l'eau, il n'écoutait qu'a moitié ce qui se disait dans le salon, trop occupé par sa passion première, le thé. Se retournant cependant avec la casserole dans les mains, il fit les gros yeux. « Ah oui, j'oubliais les présentations, la belle demoiselle présente ici est Clara, et moi je suis Jefferson. Enfin ça vous êtes déjà au courant n'est ce pas. » Tournant la tête vers Bonaparte, il ne put s'abstenir de lui faire un énorme sourire, presque charmeur alors qu'il retournait à son occupation principale.

Finalement, ce n'était peut être pas une si mauvaise idée, car au vue du nom qu'il venait d'entendre, c'était bien le roux dont il était convaincu qu'il irait bien avec Clara. « Mais non on est pas des dangereux psychopathes, sérieusement, vous voyez cette demoiselle vous coupez la tête ? Non ... » Par contre sa sœur oui , il l'avait murmuré dans son foulard, grimaçant au souvenir de sa tête qui roulait au sol. « Elle est bien trop jolie pour faire une monstruosité comme ça … » Mettant l'eau sur le feu, il sentit alors une présence dans son dos, avec une certaine aura meurtrière. A force d'avoir tous les temps des gens voulant le tuer, il devinait quand c'était le cas. « Promis je t'expliquerais tout  quand on sera tous les deux mais fait moi confiance, s'il te plait. Je fais ça pour la bonne cause. » Murmurant ses messes basses, il montra Clara du doigt, puis ensuite Nath'. « Et je fais ça aussi pour toi, je suis certain que tu aimerais retrouver ta tranquillité d'avant, car même si tu l’apprécies et tout et tout, t'aimes bien avoir le canapé et tes céréales pour toi tout seul.» Touché coulé, Jeff commençait à connaître un peu l'abruti pour le faire marcher dans ses combines. « Donc, un thé à la pomme pour Monsieur Bonaparte, un au citron pour moi et pour vous ? Qu'est ce que vous voulez ? » Ou comment jeter l'eau du bain avec le bébé dedans, il était passé maître en l'art de la diversion et il en était très fière, comme maintenant d'ailleurs.

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Dernière édition par Jefferson Hatter le Jeu 31 Déc - 0:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]   We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON] EmptyDim 13 Sep - 11:23

We are impossible people
Ou comment le chapelier fou et la reine blanche sont rentrés par effraction chez Bonaparte le cheval et Nina Nath le frérot hyperactif Oh que oui
Aujourd'hui, Clara n'avait pas de cours à assurer, et c'était tant mieux pour elle, parce qu'elle avait bien envie de faire autre chose que de passer de longues heures à écrire sur un tableau noir, debout devant une classe complète d'élèves qui pour la plupart n'en avait rien à faire de ce qu'elle pouvait bien avoir à leur dire. Ok, elle pouvait bien comprendre qu'après avoir passé toute une matinée enfermé, refaire exactement la même chose l'après midi, c'était ennuyant, mais qu'ils soient un peu conscient que pour elle c'était la même chose... A croire que les élèves pensent réellement que eux, les profs, ils sont heureux chaque jour de leur rabâcher tout un tas de trucs compliqués et inutiles pour la vie de tout les jours... Donc voilà, tout ça pour dire qu'elle était bien heureuse de ne pas trainer au lycée en ce moment même. D'ailleurs, en ce début d'après midi, elle avait un rendez vous ! Oh, on se calme de suite, ce n'est en rien un rendez vous galant. Elle avait juste rendez vous pour une petite balade dans les environs boisés de Storybrooke avec un charmant type qu'elle avait rencontré de la plus étrange des façon mais qu'en même temps, elle ne pouvait s'empêcher d'apprécier. Au grand damne de sa colocataire Laerke d'ailleurs.
Après tout, c'est quelque peu compréhensible de sa part de mal voir le fait qu'elle invite souvent à venir prendre le thé un gars un peu fou et qu'elle a rencontré en pleine nuit alors qu'elle le surprenait en train de cambrioler sa réserve de produit chimique. Quand elle disait qu'il était un peu fou, c'était pas une blague. Mais bon, les personnes les plus folles sont les meilleurs, nan ? En tout cas, sur le coup, elle se fichait pas mal de ce que pouvait lui rabâcher Lae au sujet de Jefferson. Il était très agréable avec elle, et n'a jamais réellement eut l'air de lui en vouloir pour son intrusion dans son grand manoir. Elle lui avait un peu rendu la monnaie de sa pièce sur le coup après tout... En attendant, elle ne le voyait nulle part le chapelier. Ils s'étaient donnés rendez vous non loin de sa bâtisse justement, qui était non loin d'une forêt, dans un coin parfait pour les balades justement. Le brune était venue à pied, si elle avait su, elle aurait plus pris son temps. Mais bon, une rencontre avec Jefferson, c'était jamais banal après tout, il était toujours plein de surprise cet homme, ça devait être pour ça qu'elle l'appréciait autant quelque part d'ailleurs. Mais bon, du coup, elle ne fut pas si étonnée que cela de recevoir un message de sa part, lui indiquant qu'il risquait d'être quelque peu en retard.
Mais bon, il ne fut pas si long que cela, et elle sourit en le voyant approcher, répondant à ses grands gestes par un plus simple signe de la main. Elle rigola discrètement à ses excuses alors qu'il lui faisait la bise, puis lui adressa une légère moue lorsque le brun s'amusa légèrement avec ses cheveux.

« Je ne m'inquiétais pas à ton sujet. Ça ne m'étonnes pas, toujours plongé dans tes livres étranges hein ? » Supposa-t-elle en souriant en coin tout en tirant le chapelier par la manche pour lui faire comprendre qu'il était temps de démarrer leur petite balade dans les bois. Elle savait qu'il faisait des trucs un peu étrange chez lui, après tout, ce n'était sans doute pas pour rien si il avait voulu quelques produits chimiques en plus, mais il faisait ce qu'il voulait après tout, il était grand, et elle n'avait pas à se mêler de cela. Alors qu'ils marchaient à leur rythme, profitant du beau temps, de la brise agréable qui secouait les arbres autour d'eux, Clara parlait, un peu de tout et de rien... Étrangement, en compagnie de Jefferson, elle avait cette impression de pouvoir parler comme bon lui semblait, et que le brun serait juste là pour l'écouter. Comme un conseiller quoi. C'était un peu étrange, mais en même temps, Clara aimait bien savoir qu'elle avait quelqu'un a qui elle pouvait raconter n'importe quoi, tout en sachant qu'il ne s'amuserait pas à le répéter à droite ou à gauche ou premier intéressé. Alors qu'elle était en train de lui parler de ses dernières anecdotes au boulot, et notamment comment le directeur avait réagit en découvrant que quelqu'un avait cambriolé sa salle de chimie, elle fut quelque peu interpellée par la question du chapelier cleptomane.

« Une personne en vue ? Comment ça, tu veux dire un copain ? Non non je n'ai rien de tout cela pour l'instant ? Pourquoi un tel intérêt sur ma vie privée tout à coup ? » Demanda-t-elle, les sourcils légèrement fronçait, son visage passant en mode "question réponse", bien qu'elle supposait que Jefferson n'avait posé cette question que dans le but premier de la taquiner un peu. « Je sais bien que c'est naturel... Mais ! » Il lui avait juste suffis de baisser les yeux un instant pour contempler avec passion ses chaussures pour qu'en relevant ses yeux vers le brun elle se rende compte qu'il avait filé en douce un peu plus loin et se tenait à distance raisonnable et lui tirait la langue. « Très drôle Jefferson ! » Le charia-t-elle en trottinant un peu plus vite que son allure de marche habituel histoire de regagner ses côtés rapidement, le regardant avec curiosité alors qu'il semblait se creuser plus que jamais les méninges. Elle connaissait ce genre de regard qu'il avait. Il préparait quelque chose d'important, elle en mettrait sa main au feu. « Rentrer par effraction dans un appartement ? Encore ? » Tout autre personne normale et saine d'esprit aurait été surprise par une telle proposition de la part du brun au foulard, mais pour Clara, c'était presque normal. Après tout, ils étaient tout deux déjà entré par effraction chez l'un et l'autre, donc ils s'étaient quelques peu familiarisés avec ces genres de choses. Comme quoi, même Clara n'était pas si saine d'esprit que cela au fond... Du coup, en voyant un sourire s'étirer sur les lèvres de son ami cambrioleur de l'extrême, elle ne put s'empêcher de sourire à son tour grandement.

Oh oh, alors comme ça, c'était chez Bonaparte qu'ils allaient. Le fameux Bonaparte dont elle avait eut quelque peu vent. Mais sans plus. A vrai dire, la seule chose dont elle était sure à son propos, c'était qu'il était le collègue et colocataire de Léonie. Mais d'ailleurs, maintenant qu'elle y pensait, c'était aussi chez Léonie du coup qu'ils projetaient de s'introduire, allait elle lui en vouloir de ramener chez elle Jefferson comme cela ? Peut être ? Sans doute ? « Je vois je vois, chez Bonaparte hein ? Qu'est ce que tu aurais besoin de prendre de si important que ça chez lui qui requière mon aide ? » Il s'amusait à la taquiner, alors elle aussi elle pouvait bien un peu, mais bon, elle compris rapidement qu'il n'avait pas envie qu'elle perde du temps à ces commentaires de ce genre, il avait l'air plutôt enthousiasme à cette intrusion dans le domicile en tout cas. Suivant le chapelier, dont elle tenait toujours la main alors qu'ils courraient tels deux fuyards qui cherchaient à échapper à la police, ils se dirigèrent vers la ville, quittant rapidement les bois. Clara aimait bien courir, elle trouvait ça agréable, cette sensation qu'on pouvait ressentir lorsque l'on courrait suffisamment vite pour avoir le cœur qui battait la chamade dans notre poitrine avec l'excitation. Mais bon, elle ne fut pas contre faire une petite pose à l'entrée de la ville. Alors que l'on pouvait croire que Jefferson avait fait cela toute sa vie, la petite brune elle était un peu - voir beaucoup - moins endurante que le chapelier.
En tout cas, maintenant qu'ils étaient en ville, fallait ouvrir l'œil pour ne pas se tromper d'appartement à cambrioler. Ce serait bête, et un peu gênant comme situation. Mais bon, Clara était déjà venue une fois dans l'appartement de Léonie, un jour où après s'être croisé une énième fois de plus chez Picard, elles avaient décidées de rentrer boire un verre ensemble chez la rousse. « Oui en effet » indiqua-t-elle pour répondre à l'interrogation de son partenaire. « C'est juste ici ! ». Alors qu'ils s'étaient tout deux approchés de l'entrée, Clara regarda avec incompréhension Jefferson sonner et d'adresser au microphone de l'appartement, essayant visiblemment de se faire passer avec succès pour Bonaparte. Décidemment, il était brillant ! La jeune femme ne put d'ailleurs pas s'empêcher de sourire comme une petite fille toute excitée à l'idée de découvrir un cadeau lorsqu'ils pénétrèrent dans le fameux appartement. Qu'est ce que ça pouvait être excitant d'avoir un ami pareil parfois... Une fois devant la porte, les deux cambrioleurs échangèrent un regard. « Si je suis prête ? Bien sur que je le suis ! » Acquiesça-t-elle d'un mouvement de tête tout en observant avec attention Jefferson démontrer avec brio ses qualités de voleur. Et dire que quand elle s'était infiltrée dans son manoir, elle s'était sentie toute fière et puissante. A côté de lui, elle était rien. Lorsque la porte céda face à la main habile de son partenaire, Clara serra les points en signe de victoire, et, amusée par la petite révérence du cambrioleur, elle joua même le jeu. « Je vous remercies mon très cher chapelier ! » Sans réellement savoir que dans une autre vie c'était une phrase qu'elle aurait parfaitement pu sortir au dit chapelier, sans que ce soit une simple plaisanterie... Parfaitement sereine et confiante, elle rentra donc la première dans l'appartement... Pour se retrouver face à... Beh face aux habitants justement. Enfin, pas de Léonie en vue, mais ça restait tout de même un bien bel échec de leur part. Pétrifiée, un sourire crispé sur le visage, Clara ne savait pas quoi faire d'autre que de dévisager tour à tour les deux hommes qui lui faisait face.

Par chance, Jefferson à la rescousse la sortit de son mauvais pas et alors qu'il reprenait quelque peu la situation en main, elle soupira. Du coup, elle se contentait pour l'instant de rester à côté du chapelier, hochant la tête en guise d'affirmation après chacun de ses mots. « Un petit thé ? Qu'elle bonne idée, j'en suis ! » S'exclama-t-elle alors un peu déçu tout de même que le brun la laisse seule pour se consacré à son thé. Si ça ne tenait qu'à elle, elle l'aurait supplié de rester pour ne pas lui obliger de parler comme ça aux personnes auxquelles elle venait tout juste d'envahir l'espace privé. C'était juste gênant quoi comme situation. « Sinon et bien... Enchanté ! » Sourit elle de façon tellement pas naturelle aux deux hommes, se rendant alors compte beh qu'elle avait complètement zappée l'étape cruciale de la présentation de sa petite personne. Mais encore une fois son brave chapelier était là pour elle, et il s'occupa même de la présenter. Mais en même temps elle était plus que gênée par la dite présentation que Jefferson faisait d'elle, elle n'était pas reine non plus. « Jefferson, je crois qu'ils ont compris là... » Son nom et son prénom ça aurait amplement suffis, mais bon, c'était Jefferson après tout, rien n'était simple lorsqu'il y était mêlé... En attendant, dans cette étrange situation, elle avait fait la connaissance du fameux Bonaparte, et du frère de Léonie. Enfin, l'un des frères si elle avait bien compris. D'ailleurs, elle observa avec curiosité ce dit frère, remarquant que Jeff parlait en privé avec Bonaparte, du coup elle ne voulait pas le dérangé. Du coup fatalement son attention était concentrée sur la quatrième personne de cette pièce. Alors qu'elle cherchait de quoi quelle pourrait bien parler à ce Nathanael, histoire de rompre ce silence simplement perturbé par les messes basses de Jefferson à l'intention du grand blond, le chapelier décida à se moment là de relancer donc le sujet du thé. Décidemment, lui et son fameux thé...

« N'importe quel type de thé m'ira, si c'est toi qui le fait je peux être sur qu'il soit bon, surprend moi ! » Puis, sans vraiment s'en rendre compte, elle se tourna vers le frère de Léonie. « Je ne sais pas si vous aimez ou non le thé, mais si c'est Jefferson qui le fait, vous pouvez être sur que ce sera un régal, faites moi confiance ! » C'était utilise quelque part d'être un minimum sociable. Puis Jefferson avait fait le plus gros du boulot pour détendre quelque peu l'atmosphère après leur arrivée fracassante dans l'appartement. Puis Clara avait hâte de faire plus ample connaissance avec le frère de son amie rousse et ce Bonaparte qui semblait avoir une relation des plus originales avec le chapelier. Et quoi de mieux qu'une discussion autour d'une bonne tasse de thé pour apprendre à faire connaissance à tête reposée ?

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MessageSujet: Re: We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]   We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON] EmptyDim 13 Sep - 16:37



We are impossible people
❝ ft. Les cleptomanes & l'hyperactif Oh que oui

Perché sur le balcon de son appartement, Bonaparte balayait la ville du regard d'un air suspicieux. Aujourd'hui était un jour important, et il devait s'assurer qu'aucun espion international ne viendrait perturber ce grand moment pour tenter de leur dérober leur découverte. Lorsqu'il eu finit de détailler chaque visage avec soin, s'assurant ainsi qu'aucun d'entre eux n'avait l'air suspect, il se décida enfin à rentrer et tira les rideaux, comme pour se camoufler du reste du monde. Ce n'est qu'une fois certain que rien ni personne ne pourrait venir perturber cet instant mémorable que Bonaparte quitta son air très sérieux pour se tourner vers Nathanaël en lui décrochant un sourire presque inquiétant. « C'est bon ! » La voie était libre, Léonie ne rentrerait pas avant un certain moment, ils avaient suffisamment de temps devant eux pour tester cette toute nouvelle recette de cocktail explosif – dans tous les sens du terme – que Nath' avait fini par mettre au point. Enfin...théoriquement parlant. Il était grand temps de tester la découverte ! Et quoi de mieux qu'un jour comme celui-ci !

Pour une fois, l'appartement était presque silencieux alors que les deux hommes s'affairaient à installer tout leur matériel sur la table basse du salon, pressés de mettre la recette à l'épreuve. Ils adoraient jouer aux petits chimistes à leurs heures perdues, particulièrement lorsqu'il s'agissait de faire une découverte si importante pour l'humanité. « Allez, avec ça tu vas devenir riche c'est sûr !! » Bonaparte y croyait dur comme fer, et entre les deux surexcités qu'ils étaient, il ne fallait pas compter sur l'un pour calmer l'autre. Ils étaient comme aspirés par la spirale de l'enthousiasme de la découverte. Pour un peu, ils se prenaient presque pour les plus grands savants de leur siècle. Ils étaient si concentrés sur ce nouveau jouet que la Terre pouvait bien s'arrêter de tourner, ils ne s'en seraient même pas aperçus. C'est tout ce que l'on gagnait lorsqu'on laissait ces deux génis du divertissement seuls ensemble. Sans limite aucune, il fallait s'attendre à absolument tout de leur part. D'ailleurs, ils étaient bien capables de faire exploser l'appart' avec un tel cocktail en préparation. Mais la curiosité de Bonaparte l'avait emporté lorsque son colocataire de fin de mois lui avait parlé de son idée. Et on ne va pas se mentir, Nathanaël n'avait pas eu besoin d'argumenter très longtemps pour convaincre le grand blond. Dès que le petit frère de Léonie cherchait à s'occuper, Bonaparte n'était jamais loin. Il lui ouvrait toujours la porte avec un sourire complice et savait qu'avec lui, les fins de mois n'étaient jamais ennuyeuses. Bref vous l'aurez compris, il appréciait ce petit bonhomme roux presque sinon autant que sa grande soeur Léonie. Les Tavish, c'était vraiment une famille incroyable avec qui il adorait passer tout son temps.

Tout content de cette après-midi qui s'annonçait fort prometteuse, Bonaparte se laissa tomber dans le canapé sans oublier son petit bol de céréales. Parce qu'en plus d'enchaîner les conneries, les deux hommes s'enfonçaient mutuellement dans leur addiction respective. Que voulez vous, on ne faisait pas les choses à moitié dans cette maison. Le blond soupira d'un air satisfait avant d'enfourner une cuillère de céréales dans sa bouche. Ils avaient courru dans tous les magasins de la ville pour trouver tout ce dont ils avaient besoin. Ils étaient désormais fin prêts pour la révélation de l'année. Comme ils ne savaient pas tout à fait s'ils allaient fabriquer un cocktail vraiment comestible ou une bombe, Bonaparte avait même prévu les lunettes transparantes pour se protéger les pupilles. On était jamais trop prudent, et puis ça leur donnait un style encore plus classe. Il ne manquait plus que le générique des experts en fond et ils s'y seraient cru. A fond dans leur délire, ils calculaient les doses au millimètre près, comme des vrais pros. Si Léonie avait débarqué, elle aurait sans doute eu peur de voir avec quelle attention les deux hommes d'habitude si perturbateurs s'appliquaient dans leur travail. Il faut dire que la récompense était alléchante. Bonaparte pouvait déjà imaginer le cocktail couleur magma bouillir dans le verre. Ou alors faire un mini-geyser. Il ne savait même pas à quoi s'attendre, mais il avait hâte, c'était tout ce qui comptait.

Mais alors qu'il était occupé à verser une petite poudre violette au grain près dans leur étrange mélange – et du genre super concentré, en retenant son souffle comme s'il n'y avait plus qu'un cil entre la rédemption ultime et eux – un bruit dans son dos le fit sursauter. La porte venait de s'ouvrir toute seule, et en plus une voix qu'il ne connaissait pas venait d'entrer dans son appartement. Mais le plus malheureux dans l'histoire, c'est qu'à cause de cette agitation soudaine, il avait complètement foiré la manipulation. Presque aussitôt, le mélange se mit à bouillir étrangement et Bonaparte eut à peine le temps de plonger dans le canapé la tête la première que la chose explosa en diffusant une petite odeur sucrée. Seule consolation : ça aurait pu sentir l'oeuf pourri. Mais dans la précipitation, Bonaparte avait renversé son paquet de céréales sur la table et ceux-ci s'étaient mélangés au liquide bizarre qui s'était répendu sur la table basse. Il jura et se retourna aussitôt vers cette intrue qui venait de tout faire foirer en la fusillant du regard. Elle avait l'air presque aussi surprise qu'eux, sinon plus. Accroché au dossier du canapé en ne faisant dépasser que sa tête, comme si la jeune femme allait sortir un flingue et hurler qu'elle venait faire un hold-up, Bonaparte la fixait sans bouger avec un air stupéfait. Une multitude de questions se bousculaient dans sa petite tête. Qui ? Que ? Quoi ? Comment ? Où ? Et surtout POURQUOI ? Une minute. Et si c'était elle la fameuse espionne internationale que les deux bonhommes redoutaient tant avant de commencer leur expérience ??? Bonaparte s'empara discrètement d'un coussin – la seule arme qu'il avait à sa portée – avant de réaliser qu'il connaissait en réalité déjà ce visage surpris. Mais qu'est ce que la copine de Léonie venait fabriquer dans son appart' ? Et surtout en forçant la porte ?? Alors que les yeux de Bonaparte s'agrandissaient au fur et à mesure que les révélations lui venaient, Jefferson entra à son tour.

Aussitôt tout s'expliqua et Bonaparte lui jeta un regard un peu blasé alors qu'il entrait comme si de rien n'était. Léonie hein ? Léonie elle n'avait rien dit du tout, et si elle l'avait prévenu que ce fou furieux s'introdurait dans leur appart' avec une acolyte en plus de ça, Bono' aurait plutôt proposé à Nath' de creuser des tranchées. Sans rien ajouter cependant, il le suivit du regard en le fusillant alors que ce dernier se dirigeait déjà vers la cuisine. Il le connaissait désormais suffisamment pour reconnaître son petit sourire maléfique en coin qu'il avait lorsqu'il préparait quelque chose. Qu'est ce qu'il voulait encore ? Et puis à cause de lui, Nath' ne deviendrait pas le barman le plus connu de toute la planète. Voilà. Alors que la jeune femme se disait enchantée, Bonaparte reposa son regard plus que méfiant sur elle sans lui répondre. Elle était complice. Il ne pouvait croire en personne, même si elle lui faisait ce petit sourire un peu gêné et innocent. Finalement, Jefferson réémergea de la cuisine pour faire les présentations. Bonaparte leva les yeux au ciel lorsque le chapelier lui adressa un de ses sourires maléfiques qui lui permettaient d'avoir tout ce qu'il voulait. Bien sûr qu'ils étaient déjà au courant, et ils ne risquaient pas de l'oublier. Jeff savait s'en assurer. Pour la peine il l'ignora et reporta son attention sur la jeune femme. Clara hein. « Moi c'est Bonaparte. » Finit-il par répondre malgré tout, mais sans cesser de surveiller ses moindres faits et gestes d'un regard accusateur. « Mais on s'est déjà vu. » Il la fixa à nouveau comme s'il s'agissait d'une traîtresse. Elle était déjà venue en paix dans son appartement. Il se rappelait brièvement ce moment où elle avait raconté à Léonie qu'elle s'était introduite chez ce grand fou de Jefferson. Alors quoi ? Elle avait découvert des secrets d'Etat et il lui avait fait un lavage de cerveau pour la faire passer dans son camp ? Ca n'aurait même pas surpris le pauvre blond qui s'attendait à tout venant du chapelier. Il laissa finalement le soin à Nathanaël de se présenter tout seul, et se sentit finalement obligé d'ajouter : « Mais on peut savoir ce que vous venez fabriquer dans notre appart' après avoir débarqué comme une bande de psycopathes dégénérés ? » Bien évidemment, Jefferson évita la question avec brillo alors que la pauvre Clara tentait déséspéremment de l'arrêter. Il y avait peut-être encore un mince espoir de la récupérer dans ce cas. Finalement, Bonaparte quitta son canapé pour rejoindre le coupable numéro 1 dans la cuisine. « Qu'est ce que tu fous bordel ? » Il aurait bien voulu rajouter "immondice de l'humanité" tellement il était dégouté d'avoir échoué dans ce qui devait être la découverte du siècle, mais c'était peut-être un peu trop fort après le sourire qu'il lui avait lancé. Néanmoins, quand il lui parla de bonne cause, ça ne lui disait rien qui vaille. Il fallait toujours se méfier des bonnes causes de Jefferson. « Donne moi une seule bonne raison de ne pas vous balancer par le balcon ! » Bonaparte croisa les bras d'un air impatient, persuadé que le chapelier ne pourrait pas lui échapper cette fois. Et puis celui-ci lui exposa brièvement son plan. « Oh. Oooooh. » Machiavélique, comme d'habitude. Alors en réalité, la pauvre petite Clara s'était faite roulée dans la farine. Il jeta un regard aux deux victimes en souriant, alors que Jefferson continuait d'argumenter, lui rappelant qu'il retrouverait ainsi une tranquillité parfaite. A ces mots, Bonaparte haussa les épaules. Nathanaël n'était pas si envahissant que ça. Enfin, pour quelqu'un de normal peut-être, mais pas aux yeux de Bonaparte. Néanmoins, l'idée lui plaisait bien. Il était curieux de voir comment le plan du chapelier se mettrait en place, et en quelques secondes, c'est finalement lui qui bascula du côté obscur et qui trahissait ses invités. Il jeta un nouveau sourire amusé à Jefferson alors que celui-ci faisait la commande des thés et attrapa l'éponge pour aller nettoyer les restes de leur incroyable expérience foirée. Alors que Clara complimentait la qualité du thé que faisait son pseudo-camarade de méfait, Bonaparte laissa échapper un petit rire avant d'ajouter : « Le roi des thés avec le roi des cocktails, vous allez bien vous entendre ! »

© Mzlle Alice.




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MessageSujet: Re: We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]   We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON] EmptySam 17 Oct - 18:51


We are impossible people



Une fierté s'installait chez Nath'. D'abord parce que si Léonie rentrait, là maintenant -ce qui ne devait surtout pas arriver- elle pourrait être témoin d'un appartement complètement calme, ce qui arrivait quasiment jamais quand elle laissait ses deux hyperactifs ensemble dedans -ce qui arrivait souvent, lorsque Nath' venait "squatter" chez eux en fin de mois, étant trop juste en fin de mois -il faut dire que la douche est un lieu beaucoup trop propice à l'amusement et à l'imagination, tout comme les lumières de son appartement, ce qui faisait qu'il ne s'en servait pas comme un radin pour ainsi dire...-.

Concentré à un point étonnant qu'il alla à pousser sa tasse de chocolat chaud (cent fois plus surprenant) pour se consacrer à son activité, il ne quitta pas les yeux lorsqu'une idée lui traversa l'esprit et qu'il en fit une urgence.

Il faut s'assurer que le monde ne tente pas de nous espionner. Cette découverte, la population de... partout va se l'arracher, faut rester discret, y a plein d'espion maintenant.

Bonaparte eut ainsi la mission d'assurer le territoire. Devenir le barman du siècle... de l'Histoire, c'était pas rien, fallait être sérieux. Puis il voyait déjà Bonaparte et lui en photo sur les plus grands magazines mondiaux, tellement reconnus que toutes les adolescentes auraient un poster d'eux dans leurs chambres. Y aurait même un bac+20 au moins pour atteindre un tel niveau d'expertise. Au minimum.

Mélangeant minutieusement les ingrédients du futur meilleur cocktail intergalactique, Nathanaël commença à danser d'un pied à l'autre, commençant finalement, comme à son habitude, à ne plus tenir en place. IL avait ainsi donc intérêt à finir avant que son besoin irrésistible de bouger absolument partout ne le reprenne.

C'est bon !

Nath' lui fit un sourire. Le meilleur duo de l'univers, c'était sur. Ce n'était pas la première fois qu'eux deux se lançaient dans des expériences à deux dans le genre de celle-ci -pauvre Léonie !-, mais c'était la première fois que c'en était autant important. Les affaires juridiques ou d'état semblaient, aux yeux du rouquin, porter une importance bien moindre par rapport à la petite merveille qui naissait à l'instant.

Allez, avec ça tu vas devenir riche c'est sûr !!

Millionnaire ! Non, multi-millionnaire ! Non multi-milliardaire au moins !

L'excitation commençant à le piquer de plus en plus, il commença à sautiller sur place, n'oubliant pas de rester prudent. Il savait, du moins en avait la plus grande certitude, que lui et son meilleur ami étaient à deux doigts de gagner leurs vies entières.

Nathanaël avait l'impression qu'il manipulait quelque chose de fort et de dangereux, ce qui renforçait son excitation.
Il lâcha le tout quelques instants.

La phase finale de notre trésor universel.

Il prit un gorgée -était censé prendre une gorgée qui s'avère être cinq ou six gorgées qui entamèrent la moitié du mug-, pour mieux se concentrer pour la suite. Alors que cette étrange poudre violette se faisait rajouter au mélange -mieux valait pas savoir où avait-il trouvé ce truc-, un bruit évident se faisait entendre dans l'appartement. Furtivement, Nath leva la tête. Un espion du gouvernement américain !

Splash !

Nath fit les gros yeux, regardant le liquide à la couleur exotique se répandre sur le plan de travail, répandant un odeur sucrée dans l'air. Son destin venait d'être détruit à jamais. Il ne serait jamais connu mondialement pour sa découverte du siècle. Rapidement, les céréales de Bonaparte vinrent se mélanger à la boisson, goûtant les premières à la création perdue des deux hyperactifs, son ami ayant été prit du même sursaut.
Il ferma les poings, prêt à se battre pour sa vie, et venger le cocktail qu'il était prêt à considérer comme sa propre fille, contre ses espions que le président des Etats-Unis envoyait pour la lui dérober -même si au final donc, personne ne pourrait en bénéficier-.

Une femme entra dans la pièce, comme une fleur, surprise elle même de les voir ici. Pourquoi était-elle surprise ? C'était elle qui ne vivait pas ici (enfin Nath était en période de squatte le temps qu'il puisse payer ses factures, mais ça ne changeait rien à la chose) ! S'était-elle trompée d'appartement ? Ça lui était déjà arrivé à Nath, trois fois en fait. Ou peut-être quatre, il doutait de plus en plus quant à la maison dans laquelle il était une nuit de la semaine passée. Ainsi, ç'aurait été facile de lui pardonner, MAIS, Nath n'avait jusque là ruiné la vie de personne -à sa connaissance-, or, la sienne et celle de son ami venaient de l'être quand leur futur succès était parti en miette.

Bonaparte avait l'air de reconnaître la jeune femme, et Nath était sur d'avoir déjà vu l'homme qui entrait avec elle, surement son petit ami. Jefferson ? Le bonhomme fort amusant qui tirait un peu trop sur sa passion du thé -Nath comprenait totalement, mais il ne toucherait à rien d'autre que son merveilleux chocolat chaud, fidèle à ses amours sucrés pour toujours-.

C'est pourquoi, et aussi parce qu'il était toujours quelque peu méfiant -mais apaisé vu que Bonaparte n'avait pas l'air d'être trop nerveux à leur égard-, qu'il ne répondit rien quand Jefferson proposa un thé, et s'éloigna de lui, chocolat chaud à la main, en buvant deux autres gorgées du contenu de son mug.

Alors que Nath n'avait toujours pas dit quelque chose, Jefferson se présenta comme n'étant pas un psychopathe -ce qui en soit faisait psychopathe-, et présenta sa petite amie d'une façon très louche, disant qu'elle ne pouvait rien faire de mal tant elle était belle -et on sait tous que plus c'est beau, plus c'est dangereux, pour preuve, les chats et leur plan de domination mondiale en sont un parfait exemple-. Ils formaient un très beau couple de psychopathe, Nath en fut presque content pour les deux amoureux espions.

Toute cette histoire de thé ne plaisait pas Nath qui était bien dans son monde. Le rouquin fait des cocktails et boit du chocolat chaud. Pas du thé. Que ce soit l'éloge de la petite amie du chapelier pour son thé ou la tentative de rapprocher les deux hommes de Bonaparte en faisant allusion aux rois des cocktails et des thés, Nath serrait son chocolat chaud, comme un enfant malin à qui on essayait de piquer son bonbon par la ruse.

Et puis la méfiance fut oubliée. Si Nath savait être un peu plus concentré, il s'exaspérerait lui même. Son hyperactivité l’empêchait de tenir en place, et la gêne qu'il exprimait envers les deux nouveaux arrivant fut vite remplacée par son besoin insatiable de s'amuser. Et ce qu'il voyait maintenant, c'était que des amis à Bonaparte s'étaient rajoutés au groupe pour s'amuser davantage.

Avant toute chose, il alla quand même prendre une revanche pour son prix nobel perdu, en rajoutant cinq ou six morceaux de sucre dans le thé du chapelier quand celui-ci ne regardait pas. Comme ça chacun perdait sa gloire. Même s'il ne savait pas vraiment si ce qu'il avait fait rendait la chose moins agréable au gout. Il n'y connaissait rien en thé.

Il observa celle qu'on avait presenté comme Clara pour vérifier les dires de Jefferson. Oui, en effet, elle était bien jolie. Jefferson avait de la chance d'être son amoureux. Enfin, lui semblait-il.

Et enfin il prononça ses premiers mots depuis l'intrusion, après avoir fini son chocolat chaud, et le posant sur la table. Ou plutôt, hurla ses premiers mots.

ARRETONS DE PARLER DE THÉ ! Faut impérativement trouver un moyen de s'éclater ! Et j'ai encore plein de cookies !

Il ouvrit un placard dans la cuisine, prit le bocal à cookie, oubliant au passage de refermer le placard, et déversa le contenu de la boite à cookies sur la table, pour que tout le monde puisse se servir directement ici. C'était un grand acte de générosité de sa part, car il ne donnait jamais de ses friandises à moins d'être quelqu'un de spécial pour lui.

Il en prit un -ou peut être cinq-, avant de se retourner et de prendre la première personne qui se présentait à lui -désolé Clara- par les épaules avant de la pousser vers le canapé.

Hééééééééééééé ! Venez voiiiiiiiir !

Il laissa Clara ici, et appuya sortit son téléphone pour mettre de la musique, dont les paroles parlaient d'elles même.

Il retourna dans la cuisine pour tirer les deux garçons dans le salon, les incitant à danser. L'intrusion avait détruit l'invention du siècle, alors maintenant ça se passerait comme lui en a envie.

Il regarda les autres, qui n'avaient pas l'air aussi motivé que lui. Bah quoi ? Fallait en profiter, connaissant Nath, il s'en lasserait dans 3 minutes.

Et bien ? Vous "êtes bien trop jolie" pour rester ainsi ! dit-il pour reprendre les propres mots de Jefferson.

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MessageSujet: Re: We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON]   We are impossible people } ft Clara Quinn, Bonaparte Clydeson & Nathanaël Tavish [ABANDON] EmptyJeu 29 Oct - 19:38

We are Impossible people !
feat la bande de cassos ♥ Bobo & Clairette & Nina .


Jefferson était en train de fouiller dans le placard de Bonaparte comme si c'était le sien, sans aucune impunité, cherchant les thés qu'il avait énoncé deux minutes avant. Or il faillit sursauter quand le rouquin, car ce n'était pas la voix de Clara qui hurlait comme ça, qui fallait arreter de parler de thé. Non mais pour qui se prenait ce petit insolent ? Pour la reine d'Angleterre ? Se retournant lentement, avec une boite en fer dans les mains, il faisait une parfaite imitation d'une poupée tueuse dans un célèbre film d'horreur. « On ne s’arrête jamais de parler de thé, car le thé c'est comme les nœuds papillon, ou tout ce qu'on peut se mettre autour du cou, COOL. » Lui aussi pouvait hurler comme un détraqué, parce que bon, il fallait bine l'avouer qu'il était un peu. Mais ne voulant faire peur, immédiatement, il n'avait accentué que le dernier mot, pour bien faire comprendre, qu'ici, ou même ailleurs, c'était lui le patron. Retournant à l'élaboration de son thé, il haussa un sourcil quand il vu une boule d'énergie pousser Bonaparte du plan de travail de la cuisine, qui d'ailleurs n'avait pas l'air plus dérangé que ça, pour ouvrir avec grand fracas la porte d'un autre placard. Et après c'était lui qu'on traité de fou a tendance hyperactive ? Là, il avait trouvé quelqu'un encore plus hyperactif que lui. « On voit que c'est pas lui qui fait le ménage ». Il s'était penché vers le grand blond, avec un petit sourire ironique, pensant à la pauvre Léonie qui verrait les dégâts en rentrant. Puis, il savait ce que c'était, de faire le ménage derrière des gens mentalement atteints, vraiment pas une partie de plaisir.

Entendant la bouilloire siffler, il décortiqua les sachets de thé industriels pour faire son propre mélange, qui serait à coup sur, bien meilleur. « On abîme pas Clara, j'ai perdu le ticket de caisse et le SAV ne me la reprendrait pas, merci beaucoup. » Au bruit que la jeune femme avait fait en tombant sur le canapé, et heureusement pas sur le sol, Jeff avait compris que Nath' n'y était pas allé avec le dos de la cuillère et cela le fit sourire encore plus perversement qu'avant, n'osant imaginer se qui pourrait se passer en cas d'accouplement. Heureusement, une musique pop le fit sortir de ses pensées salaces et il se prit lui aussi à dodeliner de la tête en rythme, alors qu'il sentait un bras se poser sur le sien. Il n'eut besoin de rien dire, que son regard, tu me touches, je te passes à la moulinette eu l'effet escompté sur le rouquin. Une fois seul, il vérifia le thé, décidant qu'il était à point, il apporta le plateau vers la table remplis de biscuits. « C'est pratique ça … je fais comment maintenant ? » Avait il l'air agacé ? Non voyons, Jeff n'était jamais agacé, toujours ironique, jamais agacé :red : . Finalement, c'est Bonaparte qui l'aida, en faisant un petit tas sur le coté, lui laissant la place pour le plateau.

S'étirant comme un chat bien connu, il poussa d'un coup de popotin Clara qui s'était levée, vers Nath'. « Avec une aussi belle proposition de danse, il ne faut pas hésiter Milady ». Parce qu'après tout, c'était pour ça, qu'il était venu dans cet appartement, et pas pour prendre le thé. Même si, prendre le thé quand on s'invite chez des gens est une option non négligeable. S'affalant enfin dans le canapé, il ne put s'empêcher de sourire en voyant son ancienne reine danser ainsi. Mais forcément la musique s’arrêta alors qu'ils étaient bien lancés. Levant le doigt comme pour leu faire signe qu'il n'avait pas à s'en faire, se fut à son tour de dégainer une petite musique fort sympathique, qui faisait en plus un clin d’œil à leur ancienne vie. « Normalement, ce n'est pas vraiment le style de musique qu'elle affectionne, mais j'aime beaucoup cette musique, et puis, vivement Noël. » C'est vrai qu'en temps normal, Lady Gaga était un petit peu plus « trash », et c'est pour ça qu'elle était l'une des artistes favorites de l'ancien chapelier. Mais là, Winter Wonderland était une musique qui collait bien à l'ambiance jazzy qu'il voulait donner, une petite danse collée serrée ne leur ferait pas de mal.

« Ils sont mignons hein ? Ah que j'aime avoir raison. » Il avait murmuré ça à l'oreille de l'ancien cheval dont d'ailleurs il n'arrivait pas à savoir qui il était avant la malédiction mais là il s'en fichait, car effectivement il trouvait sincèrement que Clara allait bien avec Nathanaël et demandait intérieurement au destin que ce couple fonctionne. Parce que oui, sous ses airs de macho-macho men, Jefferson était un grand romantique. Ça lui rappelait une époque lointaine, qui parfois le faisait encore souffrir, quand il avait Priscillia dans ses bras, et qu'ils dansaient tous les deux devant le feu de cheminée, dans leur chaumière. Certes la blessure dans son cœur était refermée, et il avait mal que lors de grosses crises de démence, comme la fois où il avait aidé Bonaparte sous la pluie, mais parfois, la nostalgie lui donnait du vague à l'âme. Que se serait il passé si sa femme était toujours vivante ? La malédiction aurait quand même été lancée, c'était un fait avéré, mais Paige aurait sans doute vécu avec sa véritable mère, et pas ces espèces de parents de pacotille. Fermant les yeux, pinçant l’arrête de son nez, il ne devait plus y penser, sinon sa journée allait être gâchée. Priscillia devait sans doute veiller sur eux de là où elle était, et elle n'aurait pas accepté qu'il se mette dans un tel état. Soufflant, il reporta son attention sur les deux jeunes gens qui dansaient au milieu de la piste en esquissant un léger sourire à l'encontre de Bonaparte, pour lui signifier, que non il n'allait pas tout détruire et devenir Hulk en mode rageux. Alors que les dernières notes de musiques s'élevèrent dans la pièce, Jefferson servit le thé à tout le monde, même à celui qui disait qu'il fallait arrêter de servir du thé, en rajoutant deux trois épices qu'il avait trouvé dans les placards et surtout en concassant un cookie pour ajouter une note de sucré chocolaté. « Tu m'en dira des nouvelles. Je suis très doué avec ce qui est liquide ! » Il n'était pas le roi du thé pour rien et parfois, l'idée d'ouvrir une boutique comme le lui suggérait Thomas pourrait être une bonne chose pour lui faire passer le temps. « Alors Nathanaël, qu'est ce que tu fais dans la vie ? » Après tout, ils prenaient le thé, dans un calme plutôt relatif, c'était donc le moment pour faire connaissance.

(c) sweet.lips


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