Sujet: [Mission] It's Good to Be Bad Dim 6 Mar - 12:53
It's Good to Be Bad
“Le cauchemar est l'épreuve nécessaire du rêve, sa première incarnation.”
Le signal a été donné par mon supérieur. Il est temps. Je quitte ma demeure bien avant l’aube me rendant dans les bois de Storybrooke avec mon véhicule de fonction sentant le sol chaotique de la forêt, Regina ne pouvait pas créer la ville au milieu d’une prairie ? Si elle tenait tant que ça à de la végétation elle n’avait qu’à rester dans sa précieuse Forêt Enchantée… Enfin passons ce détail. Je me gare à quelques mètres du puit aux souhaits, l’un des portails de Storybrooke avec nos mondes d’origines, si tout va bien ça devrait fonctionner.
Je m’avance jusqu’au puit, me penchant au-dessus pour voir ce trou qui semble sans fin, je lance une pierre dedans juste pour l’amusement avant de me saisir d’une fiole dans ma poche intérieure. J’observe une dernière fois les alentours pour m’assurer que je sois bien seul dans cette foutu forêt, mais à part la brume épaisse qui recouvre le sol rien à l’horizon. J’ouvre ce précieux flacon à la poudre couleur incarnate avant d’en déverser le contenu dans le puit y jetant ensuite le récipient.
C’est moins de deux minutes après qu’une fumée s’en échappe. C’est non intéressé, tripotant la pointe de mon crochet adossé à ma voiture de Shérif que j’observe une femme à l’allure des plus majestueuse se matérialisant devant moi. Avec un sourire au coin je me saisis de sa main lui déposant un baiser sur le dos de celle-ci.
« Votre Majesté. »
Je l’aide à quitter la plateforme du puit en lui proposant mon crochet, la conduisant au chemin de terre à proximité.
« Je me suis renseigné comme vous l’avez demandée. Regina est la maire dans cette ville pittoresque. Elle semble tenir à deux personnes en particulier. Henry, son fils adoptif et Robin de Locksley, son amant d’après mes observations. Je crois bien qu’une certaine Cassandra fait aussi partie de ses proches. Je n’en sais pas davantage. Concernant mon fameux Crocodile, j’ai fait la connaissance de sa belle domestique dans les cellules de votre fille, une certaine Belle. Commencez donc par-là. »
Elle est satisfaite ou pas, je n’en ai rien à faire honnêtement, j’ai accepté de subir la malédiction pour jouer les hiboux concernant sa fille c’est chose faite.
« J’ai rempli ma part du contrat concernant votre fille, n’oubliez pas la vôtre. Le Ténébreux doit mourir, douloureusement si possible. »
Je n’ai pas la moindre idée de ses plans pour mettre fin au Crocodile, mais tant qu’elle arrive à son but, les méthodes ne m’intéressent guère. Je la vois se saisir d’une boule de cristal, elle va se la jouer voyante ? de sa main libre elle fait apparaître cet engin indien ; un attrape-rêve... invoquant quelques choses par des mots incompréhensibles pour moi. Le seul résultat que je vois est une épaisse fumée se propageant autour de nous pour englober la petite ville. A travers la boule en cristal j’arrive à apercevoir certaines personnes encore endormi, notamment Regina et le Crocodile. Si d’abord leurs sommeils semblaient paisibles, je les vois très vite s’agiter.
Ça va être intéressant. Pourquoi je n’ai pas pris du pop-corn ?
code by Silver Lungs
Elsa Snow
En réalité, je suis
Elsa d'Arendelle
☂ Conte : Frozen / OUAT
☂ Emploi : Sculptrice de statues de glace qui ne fondent pas.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Dim 6 Mar - 20:14
It's Good to be Bad
Elsa & Cie
Je n'aime pas les cauchemars...
Eira s’était enfin endormie. Eteignant la lumière du couloir, je me dirige vers la salle de bain avant de me prendre une douche. L’eau ruisselant sur moi me faisant le plus grand bien, quand on a un sang glacé comme le mien, le chaud ne peut nous faire que du bien. Serrant les poings, je ferme les yeux et laisse la chaleur de l’eau me revigorer avant de sortir et de m’entourer d’une serviette. Une fois dans ma chambre, je me saisis d’un pyjama couleur bleu vu qu’on ne change pas les bonnes vieilles habitudes et me glisse sous la couette.
Je ferme les yeux et finis par m’endormir mais alors que je plonge dans les bras de Morphée, je suis soudainement attrapée par un cauchemar. Ma vue se trouble, je n’aime pas faire des cauchemars, je n’ai jamais aimé faire des cauchemars. Ouvrant les yeux, je me rends rapidement compte que je ne suis plus dans mon lit, baissant mon regard, je découvre avec surprise que je porte mon éternelle robe bleue. Bon après tout. Mais alors que je me lève pour tenter de sortir, j’entends la voix de ma petite sœur qui me fait comprendre que je ne peux pas sortir. « Anna ? », je tourne le regard et le pose sur ma sœur qui n’est pas dans un très bon état, elle est entièrement gelée. « Anna… », je m’approche d’elle mais elle me regarde avec de l’ombre dans les yeux.
« Vas t’en Anna, vas t’en Anna. Tu es ma sœur Elsa, tu es ma grande sœur mais tu m’as laissé errée seule dans le château. Tu…Tu n’étais jamais présente pour moi. Vas t’en Anna, vas t’en Anna. Tu es un monstre Elsa, tu m’as gelée le cœur, tu as causé la mort de nos parents, nos parents sont morts à cause de toi, ils sont partis parce qu’ils avaient peur de toi. », je la regarde « Anna, je t’en prie… », « Tu étais tel un fantôme, toujours enfermée dans ta chambre, faisant comme si je n’existais pas. Mais j’avais besoin de toi, j’avais besoin de ma grande sœur, je voulais ma grande sœur, j’avais besoin de toi mais tu as été égoïste Elsa, tu n’as pensé qu’à toi, tu étais différente et tu n’en a même pas parler à ta petite sœur. T’es jusqu’aller à fuir ton royaume et tous nous plonger dans un hiver éternel car tu n’étais pas capable de faire face à la réalité. Tu es une lâche Elsa d’Arendelle ! »
Une larme roule sur ma joue. Mes lèvres tremblent. Je m’approche de ma sœur avant de la regarder « Mais j’ai fait ça pour te protéger Anna ! Je voulais te protéger de moi. Je regrette tellement toutes ses années, ce soir là lorsque je t’ai blessée, je m’en suis atrocement voulu Anna. Je n’avais plus le droit de te voir, mes pouvoirs devenaient trop fort, je ne voulais pas te mettre en danger. Oh oui Anna, je regrette de ne pas avoir été là pour toi petite sœur, j’aurais tellement voulu passer du temps avec toi, j’aurais tellement voulu qu’on soit une réelle famille mais je ne pouvais pas. J’ai passé mon temps toute seule enfermée dans chambre, est-ce-que tu as conscience au moins de la souffrance que j’ai eu ? », « Et toi ? Tu oublies que tu m’as abandonnée Elsa, au moment où j’avais le plus besoin de toi. Quand père et mère sont morts, tu n’étais même pas là, j’ai cessé de frapper à ta porte car je savais que tu ne me répondrais pas. Ils sont morts par ta faute », « Anna, s’il te plait… Je…Je regrette que tu n’es pas pu être comme moi pour pouvoir me comprendre…pour comprendre que je t’aime et que je ne voulais plus te faire de mal. », une larme roule sur ma joue. Un grincement se fait entendre derrière moi. La porte s’ouvre, Anna avance, je l’a suis.
J’avais avoué que je regrettais que ma sœur ait souffert de mon absence et également qu’elle n’ai jamais su avant ce soir là que je faisais tout ça pour la protéger. Je l’a suivais dans le couloir, ne disant rien, mes talons claquant sur le sol de ce couloir sans fin. Ma trêne trainant derrière moi, je posa mon regard sur les cellules « Mais qu’est-ce-que… », des personnes enchaînées et d’autres personnes de Storybrooke étaient là aussi. M’avançant vers la porte entrouverte, je me saisis de la poignée et la tira, faisant face à un néant d’où emaner un escalier nous menant je ne sais où, devais y aller ou non ? Je n’en savais rien mais ça ne me disais rien qui vaille…
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Lun 7 Mar - 8:15
“And I lost a friend in the end, And I think that I cried for days, But now that seems light years away And I'm never going back To who I was. Cause I don't blame you anymore That's too much pain to store. It left me half dead Inside my head And boy, looking back I see I'm not the girl I used to be - When I lost my mind It saved my life"
Ouvrir les yeux. Où est-elle ? Il fait noir, sombre, la poussière vole devant ses yeux. Elle se frotte les yeux. Ceci n’est pas sa chambre. Elle est bien dans sa lit, mais il manque sa couverture, son matelas, son papier peint. Il manque Lola. Elle est seule. Elle ne dort plus seule, plus depuis Robin, plus depuis Lola. Où est-elle ? Elle repousse la couverture et pose ses pieds au sol, sa peau touchant les dalles de pierres froide comme la glace. Elle relève ses pieds et les reposes doucement sur le sol. Après un cours temps d’adaptation, elle peut se lever sans avoir l’impression que ses pieds sont entrain de geler. Elle fait quelques pas. De la buée s’échappe d’entre ses lèvres à chaque expiration. Elle regarde autour d’elle, mais rien qu’une porte, qu’elle tente d’ouvrir et qui se révèle fermée. Elle peut voir entre les barreaux d’autres cellules qui lui semblent vide, un peu floues derrière la brume qui tourbillonne dans le couloir. Il n’y a personne, personne d’autre qu’elle dans ce château de pierre à l’air glacé. Elle se demande un instant si elle n’est pas en train de rêver. Mais tout cela est très étrange, elle n’a jamais fait de rêve tel que celui-ci. Elle ne connait pas cet endroit, ne l’a jamais vu, ne l’a jamais imaginé. Les cachots de son châteaux n’était pas ainsi, les cachots du château de Blanche n’était pas ainsi, aucun lieu qu’elle avait visité dans sa vie ressemblait de peu à l’endroit dans lequel elle se trouvait. Non, cela ne pouvait pas être un rêve, ou un cauchemar. Mais alors où était-elle ? Elle n’avait pas de réponse à cette question. Elle soupire et se retourne, s’apprêtant à aller s’asseoir sur le lit. Elle est fatiguée, lasse. Mais à peine a-t-elle fait demi-tour que son souffle se court. Elle ne respire plus et ses yeux s’humidifient. Là. Devant elle. Il a les bras croisés, le regard dur, la peau pâle. « Da … Daniel ? »
« Nan mais faut vraiment que je fasse tout moi-même. » Lexy marche, ses talons claquant sur le parquet. « Qu … Quoi ? » Regina se tourne vers l’autre femme, qui l’ignore royalement. La brune jette un coup d’œil vers le grand écran accroché au mur. Daniel la regarde, il parle, mais sa voix ne lui parvient pas. Elle s’approche de l’écran doucement et pose une main tremblante contre la vitre, comme pour caresser sa peau, comme pour sentir sa chaleur, mais la vitre est froide et dure. Lexy lève les yeux au ciel et s’approche de Regina. Elle pose ses mains sur les épaules de la brune, la fait se retourner et la regarde dans les yeux avec plein de tendresse. Quand elle se remet à parler, sa voix est douce, très différente de celle qu’elle utilise quand elle parle au monde extérieur. « Écoute, je suis là pour te protéger. Et là, tu as besoin de moi. À quoi je sers sinon à prendre ta place dans des moments comme ça, hein ? » Regina hoche la tête et Lexy essuie les larmes qui ont commencé à couler sur sa joue. « Aller. Je prends le relais. » La blonde emmène Regina jusqu’à sa chambre et la laisse s’installer sur son fauteuil. La reine regarde dans le vide, sans un mot, sans un sourire. Lexy soupire. À elle de jouer.
« Daniel. » Il la regarde, comme s’il sait ce qui est en train de se jouer. Il sourit, un sourire qui ne lui ressemble pas, Lexy le sait sans avoir besoin de le connaitre. Elle s’approche de lui et avance sa main qui passe à travers le corps du fantôme plus facilement qu’à travers de l’eau. « Bonjour. » Elle retire sa main et l’observe, plantant ses yeux dans les siens, le regardant sèchement, méchamment. Il n’est pas vrai. Ce n’est pas un rêve. Que se passe-t-il ? Où sont-elles ? « Okay Daniel. Ou on est, là ? » Il sourit et secoue la tête avant de se mettre à rire. Ce n’est pas Daniel. Qui est-il ? « Bonjour, qui que tu sois. Où est Regina ? Elle a honte n’est-ce pas ? Elle a honte. Elle a gâché ma vie. Sans elle, je serais encore vivant. Sans elle … Oh, sans elle, les choses seraient tellement simple … Mais non. Il a fallu qu’elle naisse. Qu’elle détruise ma vie, celle de sa mère, celle de milliers de personne. Elle pense que Blanche est responsable ? Elle a tort. Elle se voile la face. ELLE EST RESPONSABLE ! TOUT EST DE SA FAUTE ! SA FAUTE ! » Lexy ne tremble pas, ne recule pas, ne bouge pas, fini même par faire un pas en avant. « Oh oui. Sa faute. C’est tellement facile de rejeter la faute sur les autres. Et la tienne de faute ? Tu n’es qu’un lâche Daniel. Tu l’as abandonné Daniel. Viens Regina, on s’enfuit. Vient Regina, tenons tête à ta mère. Et les conséquences, très cher ? Y as-tu pensé ? Non. Tu voulais vivre le grand amour au grand jour, c’est noble. Mais elle t’avait prévenu. Elle t’avait prévenu des risques, non pas des risques, des conséquences. Tu as tenu tête à Cora, et ce faisant, tu as gâché la vie de celle que tu disais aimer. » Il se met à rire. Un rire vrai, comme si cette situation était risible, n’était qu’une bêtise, une plaisanterie. Il secoue la tête en se frottant le nez. « Ah, Lexy. Tu es tellement drôle. »
Regina se lève. Daniel est là, Daniel est présent. Ne devrait-elle pas s’excuser ? Elle a toujours rejeté la faute sur Blanche Neige. Elle lui avait dit, elle lui avait dit de ne pas raconter ce qu’elle avait vu à Cora. Elle l’avait prévenu. Mais cette … Non. Cette enfant, avait été une enfant. Elle avait mal agit, certes, mais elle avait mal agit avec les plus pures intentions. Elle n’était pas responsable. La faute retombait sur Regina. C’était elle, elle qui l’avait mis en danger. Elle savait que sa mère était dangereuse. Elle savait que jamais, jamais elle ne la laissera avec Daniel. Et pourtant elle a mis sa vie en jeu. Elle l’avait mis en danger consciemment. Il était jeune, elle avait gâché sa vie. Elle pensait pouvoir se rattraper en le ramenant. Elle aimait Robin, vraiment. Elle tenait à lui et si elle avait demandé à Victor de ramener Daniel, ce n’était pas pour revivre cet amour perdu. Non. C’était pour donner une deuxième chance à Daniel. Lui donner la chance d’enfin vivre sa vie. Elle voulait rattraper son erreur. Elle avait échoué. Il n’était pas le même, c’était le même corps mais pas le même esprit, il était torturé, souffrant, il voulait tuer, faire ressentir aux autres sa douleur. Pendant un instant, un cours instant, il était à nouveau lui, et il ne lui tenait pas rigueur d’être mort. Non, pour lui, rien n’était de sa faute, elle n’avait rien à se faire pardonné. Et puis il était à nouveau devenu cet être sans âme et, prenant la place de sa mère, elle mit fin à sa vie une deuxième fois.
Elle sort de la chambre, son peignoir autour de son corps tremblant. Les larmes sont aux bords de ses paupières, perchées sur ses cils. Elle descend l’escalier de bois et retourne devant l’écran. Ils parlent. Elle parle. Mais elle n’entend presque rien. Elle s’approche un peu plus près, levant la tête pour voir le visage de Daniel déformé par la colère. « LEXY ! » Non, non, c’est Daniel ! Son Daniel ! Il est là, il est enfin là, la voilà cette deuxième chance, le voilà le moment qu’elle attendait ! Elle doit lui parler, elle doit s’expliquer, elle veut le revoir une dernière fois, encore une dernière. Ne pas oublier son visage, ne pas oublier sa voix, le contact de sa peau contre la sienne, son regard, ses lèvres, la texture de ses cheveux, son odeur … Elle ne veut pas oublier. Chaque jour qui passe l’éloigne de lui, elle oublie, elle se demande ce qu’il dirait, ce qu’il aimait manger, elle oublie son sourire, la manière dont il levait les yeux au ciel et celle dont il ébouriffait ses cheveux, sa posture quand il montait à cheval, la manière dont il flattait l’encolure de sa monture, le bruit qu’il faisait quand il marchait dans la paille, le son de sa voix après une course folle, la couleur de ses iris un jour de pluie et celle de sa peau un jour d’été. Elle voulait se rappeler et chaque jour qui passait la faisait oublier. Elle ne voulait pas oublier. « Quoi encore ? » Regina se retourne pour voir Lexy derrière elle, les bras croisées. Elle jette un regard derrière elle et voit à l’écran que le temps semble comme arrêté. « Tu veux lui parler ? Épargne-toi cette peine. Ce n’est pas lui Regina. C’est un … Fantôme, ou une créature de la sorte. Il n’est pas, le vrai. Il n’est pas, vrai. » Le silence se fait entre les deux femmes. Regina prend une grande inspiration en silence, baissant le regard. « Très bien ! » finit par dire Lexy, levant les bras au ciel tandis qu’elle se dirige vers l’escalier. « Fais ce que tu veux. »
« Daniel ? » Il lui sourit. « Regina. » Elle lui sourit. Un sourire vrai. Une larme de décroche de ses cils, tombant sur sa joue et glissant jusqu’à son menton. Ses lèvres tremblent, ses mains trembles, il est là, devant elle, enfin. Il a soudain l’air triste, apeurés, il regarde autour de lui comme un loup pris au piège, comme si le ciel allait s’abattre sur lui. « J’ai peur Regina. C’est les enfers. On ne peut pas en sortir. Tu m’y as mise, Regina. Pourquoi ? Je croyais que l’on s’aimait. » Elle essaye de l’interrompre, les larmes désormais nombreuses sur ses joues. « Pourquoi Regina ? J’ai toujours voulu ton bien. C’est de ta faute. Tout est de ta faute. » « Daniel … » « Pourquoi ? Je t’aimais. Et tu m’as tué. Non, Regina. Ce n’est pas la faute de ta mère. Ce n’est pas la faute de blanche. Tu connaissais les risques, tu aurais dû me protéger. Je ne savais pas. Je ne me doutais de rien. Et ma vie s’est arrêtée plus vite qu’elle a commencé. J’étais jeune. J’avais toute la vie devant moi. Et tu m’as fauché l’herbe sous le pied. Tu m’as tué Regina. Tu m’as tué. Et regarde ce que tu es devenus, détruisant toute vie sur ton passage. J’ai honte Regina. J’ai honte d’avoir un jour aimé une personne telle que toi. » Un sanglot s’échappe d’entre ses lèvres et sa gorge est tellement serrée qu’elle se demande comment elle fait pour respirer. Les sanglots s’enchainent, elle finit par tomber au sol, serrant ses genoux contre sa poitrine tandis que ses pleurs résonnent entre les quatre murs de la cellule. Tout est de sa faut. Tout. Est. De. Sa. Faute.
« Je suis désolé Daniel. Je suis … Tellement désolée. Si tu savais. Ca … Ca me ronge. » Les mots s’entrechoquent avec ses sanglots, ils sortent saccadés, ils sont à peine audible. Daniel regarde Regina sans bouger, mais la brune ne le voit pas. « Je … Tout est de ma faute. Si seulement … Je le savais. J’ai … Je savais les risques. Et j’ai gâché ta vie. Tu avais tant à vivre Daniel. Tellement. Tu étais gentil, tendre, et sincère. J’ai tout gâché. Je détruis tout sur mon passage. Les gens … Tout le monde m’a donné un nombre incalculable de chance de revenir sur mes pas. Blanche, mon père, Tink … Tout est … Ma faute. » Elle prend une grande inspiration pour essayer de se calmer, mais elle n’y arrive pas. Elle a commencé à se balancer d’avant en arrière sans s’en rendre compte, serrant ses genoux si fort de ses mains que ses ongles s’enfoncent dans sa peau. « Je m’excuse Daniel. Si je pouvais tout recommencer … Si je pouvais … Je te sauverai. Je t’épargnerai … Car tu mérites mieux que moi, tu mérites le meilleur mais c’est juste … Tu me manques tellement … Je … Je n’arrive pas à réaliser … Tu es mort Daniel, tu es mort, mort, mort, mort, et jamais je ne te reverrais, jamais ! Et je vais t’oublier, tu vas t’effacer, et un jour je vais me réveiller et je ne penserais pas à toi, et un jour je vais marcher dans la rue et j’aurai oublié ton sourire, et la couleur de tes yeux, et le son de ta voix, et … Je ne veux pas t’oublier Daniel … Je veux me souvenir de toi, à jamais, je ne veux pas t’oublier. Je suis tellement, tellement désolée … »
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mar 8 Mar - 0:38
It's good to be bad
« Even if is the last thing I do. Cora must be kill! »
Les choses n'allaient pas aussi vite que je le souhaitais. Bien évidemment j'avais passé quelques accords plus que rentable avec des gens de cette ville. Même mon don de voyance m'était revenu, j'avais d'ailleurs pris mes précaution concernant la venue d'une certaine personne, si elle venait, j'avais de quoi la faire tuer. Bref comme tous les soir je fermé la boutique, Belle me manquait... Je rentrais chez moi, et je regarde la télé en mangeant sans faim comme toujours. Je n'avais pas besoin de dormir, mais le temps me semblait si long, que ce temps me permettait de ne pas le voir passer. Je me dirigeais donc vers ma chambre, la dague serrée dans ma main, sur mon torse. Je ferme les yeux et m'impose à dormir. Quand je me réveille je ne suis plus dans ma chambre et face à moi... Je me redresse et quitte le lit. Je murmure.
- " Bae, c'est bien toi? "
Je comprends alors une chose, je ne fais que rêver, chose impossible normalement. Bae' n'est plus un enfant depuis longtemps. Mais ses mots, sa voix, son attitude... L’intonation quand il m’appelle "papa". Tout cela me vrille le coeur. Bae' est la seule personne qui compte réellement. La seule personne pour qui je me suis battu, la seule personne pour qui j'ai accepté et orchestré la Malédiction de Regina où je n'avais plus aucun pouvoir et où ma jambe me faisait parfois souffrir le martyr, comme à cet instant... Je regarde la pièce tout en écoutant mon fils, je suis dans une cellule dont je ne peux m'échapper. Je sens bien malgré moi mon masque de froideur flancher aux remarques de mon fils. Et c'est en larme, le poids de mon corps reposant sur ma canne que je dis à mon fils.
- " Je suis tellement désolé, Bae. Tu as raison je ne suis qu'un lâche. J'ai eu peur de perdre mes pouvoirs. J'ai tellement de regret de t'avoir ainsi abandonné. J'ai tout fait par la suite pour pouvoir te retrouver, je te le jure... Ne pas t'avoir suivi est mon seul et unique regret... "
Alors que je me confesse à mon fils, un bruit de serrure qu'on ouvre se fait entendre...
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En réalité, je suis
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mar 8 Mar - 10:52
[Mission] It's Good to Be Bad × ft. Snow & les autres
La malédiction est totalement fini pourtant, il reste des non-dits, des choses que je ne sais pas encore comment en parler. Surtout avec la principale concernée qui est ma fille. Est-ce qu'elle me déteste ? Est-ce qu'elle me pardonne ? Je n'en ai rien et ça me prends au coeur. Je regarde David près de moi et sourit, lui a parlé à notre fille, il lui a expliqué … je l'envie sur ce point. Après une dernière gorgée d'eau, je me force à m'allonger et à m'endormir. Je dois absolument me reposer, je ne pourrais pas tenir le rythme bien longtemps sinon. Alors lentement, mes paupières se ferment.
Je tombe, je dégringole, je ne sais plus ou je suis ce que je fais, tout est noir. Soudain, j'ouvre les yeux et prends une profonde respiration, une de ses respirations sifflantes qui indique qu'on est sûrement resté trop longtemps en apnée. Prise de peur, je me lève et me stoppe devant une grille. Où suis-je ? Je me retourne vers le lit et non, ce n'est pas le mien, rien est à moi ! Pas même cette chemise de nuit, une ancienne que j'avais du temps ou j'étais Reine dans le château du 'père' à David. Mon souffle s'accélère, mon coeur manque de partir et un rire me fige. Je le reconnais, je me retourne prête à affronter cette femme qui a fait de ma vie un enfer et qui continue.
–Et bien qu'avons-nous là ? Une petite fouineuse, une femme incapable de garder un simple secret. –Regina ! Qu'est-ce que tu veux? Je me suis déjà excusée, je t'ai expliqué comme ça c'est passé mais jamais tu ne m'as écouté !
Ma voix est un cri, une demande de sauvetage, une demande de pardon. Je n'ai jamais souhaité ce qui est arrivé et si j'avais l'opportunité de le changer, je le ferais. Mais c'est impossible.
–C'est ta faute si tout ça c'est passé, c'est toi qui a fait en sorte que mon Daniel meurt, que ma mère découvre tout et qu'elle le tue. Tout est toujours de ta faute ! tu as fait tué Furtif ce nain pathétique, tu as fait torturer tous ces gens qui pensaient que tu les sauverais. –Non ! Non ce n'est pas de ma faute, j'ai voulu les sauver, je voulus tous les sauver et vous aussi, mais qu'est-ce qu'une petite fille peut bien faire contre une femme aussi mauvaise que ta mère ? Qu'est-ce qu'une petite fille peut comprendre des méchancetés d'une sorcière qu'elle ne connaît guère ? –Tu m'as fait créer la malédiction ! –Elle a raison, tu as brisé nos vies !
Je me retourne et me retrouve face à Emma, ma fille. Elle est là et me regarde avec tellement de haine que je ne peux empêcher les larmes de couler. Je sais que je l'ai blessé, mais je ne m'attends certainement pas à ce qu'elle me déteste autant !
–Tu m'as abandonné tu as décidé m'envoyer dans un autre monde pour me sauver sois disant.
Elle se met à rire, un rire affreux comme des couteaux qui s'entrechoque. Je ne peux m'empêcher de me boucher des oreilles.
–Tu m'as abandonné sans scrupule, tu m'as laissé vivre seule, toute seule , sans amour ! Tu as détruit ma vie ! –Tu as détruit notre vie ! Ce n'est pas moi la mauvais Snow, c'est toi ! C'est toi qui détruit tout ce que tu touches !
Je tombe a genoux, les larmes dévalant mes joues, tour à tour elles me crient des choses. Je les comprends et j'aimerais tellement ne pas les entendre, je crie, je leur crie de se taire. Mais elles continuent comme pour me torturer, comme pour me montrer que je suis à leur merci. Je vis un cauchemar.
Puis un éclair de compréhension me traverse l'esprit c'est mon cauchemar, alors pourquoi est-ce que j'ai peur comme ça ? C'est à moi de faire face et non de me terrer comme une petite fille. Je dois parler leur montrer ce que je ressens et surtout ne pas tomber dans cette spirale sans fin de la haine et de la violence. Je me relève et regarde Regina.
–Je suis désolée, je n'ai jamais voulu ce qui est arrivé, ma mère venait presque de mourir et j'étais persuadée que la tienne était aussi bienveillante que la mienne. Qu'elle souhaitait vraiment ton bonheur. Alors quand elle m'a dit que tu ne l'aimais pas qu'elle n'avait pas l'impression que tu voulais d'elle dans ta vie, j'ai parlé. Je n'aurais pas dû le faire, j'aurais dû t'écouter, mais qu'est-ce qu'une petite fille peut faire contre une femme de l'envergure de ta mère ? Une femme aussi maléfique ? Si je pouvais changer quelque chose, je ferais tout pour le faire mais … c'est impossible. Alors je m'excuse, je m'excuse et si me tuer peut t'apporter quelque chose, fait le, mais laisse les autres tranquilles, laisse ma famille, mes amis et cette vie tranquille. , puis je me retourne vers ma fille. Ma petite fille, ma chère petite fille … tu ne peux pas savoir ce que j'ai ressenti quand Charmant t'as emporté si loin de moi. Mais je savais que tu étais notre seul chance, que tu étais, es et seras toujours plus forte que moi. Je savais que tu arriverais à faire ce qu'il faudrait. Je n'ai pas voulu t'abandonner, j'ai vraiment voulu rester avec toi, mais l'armoire magique ne pouvait contenir qu'une personne et je ne voulais pas que tu vives la malédiction de Regina, je voulais que tu es une chance de vivre ta vie, tes choix, nous sauver ou non. Je voulais que l'espoir demeure. Mais n'oublie jamais que je t'ai toujours aimé et que je t'aimerais toujours. Alors pardonne-moi de t'avoir abandonné, mais j'avais l'espoir qu'un jour tu me retrouveras et que tu aurais une belle vie.
J'essuie les larmes qui me coulent sur les joues et à la fin de ma phrase, la porte de cette prison s'ouvre sur ses gonds.
Dernière édition par Mary-Margaret Blanchard le Dim 3 Avr - 14:14, édité 3 fois
Zelena Green
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La Méchante Sorcière de l'Ouest
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☂ Emploi : Sage-femme
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☂ True Love : L'amour c'est comme une cigarette. Ça flambe comme une allumette ça pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée ...
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mar 8 Mar - 17:22
It's Good to be Bad
Mission
Le réveille fut brutal. M'endormant tranquillement dans ce qui était devenue mon nouveau lit, j'avais eu la sensation de tomber. Tomber de plus en plus. L'impression d'avoir eu le vertige et de chuter mais jamais je n'arriverais à tomber sur le sol. Ou alors le fond était encore loin et je savais pertinemment que jamais je ne survivrais à cette chute. J'ouvris les yeux brusquement, me redressant par la même occasion alors que mon cœur battait à vive allure. Mon souffle se faisait cours alors que j'essayais tant bien que de mal de reprendre mes esprits un peu perturbée par ce qui venait de se passer. Cela avait été une sensation étrange et si désagréable, comme un cauchemar. J'avais eu l'impression que cela avait duré plusieurs minutes alors que non. Non. Seulement quelques secondes. Quelques toutes petites secondes qui m'avaient mis dans cet état là. Je me calmais au fur et à mesure, devenant plus sereine. C'est alors que je me rendis compte que je n'étais désormais plus au même endroit que précédemment. Le lit dans lequel se trouvait était dure, le matelas était à moitié déchiré. On pouvait apercevoir les lattes en bois en dessous, je pouvais les sentir tellement le matelas était fin. Je me tournais un peu pour déposer mes pieds sur le sol. J'étais pieds nue. Je pouvais sentir le sol froid, le carrelage humide sous mes pieds, presque mouillé. Je pouvais entendre des gouttes qui tombaient une par une.
Ploc. Ploc. Ploc.
Mes yeux se faisaient petit à petit à la pièce plongée dans le noirs. Pratiquement dans le noir … En effet une petite lueur se trouvait au loin. Une torche. Une torche qui devait être allumée. Je me redressais du lit, marchant sur ce sol humide, marchant de temps en temps dans des flaques d'eau. Qu'est-ce que j'avais horreur de cette sensation, Je me serais sans doute bien énervée sur quelqu'un ou quelque chose si je savais un peu où je pouvais me trouver. Je mettais mes mains autour de mes bras me les frottant un peu pour me réchauffer dans cette atmosphère qui avait d'un seul coup refroidit. Les gouttes d'eau ne sassaient jamais, toujours et encore. D'une main, je frôlais le mur qui se trouvait plus proche de moi que je ne le pensais. Il était lui aussi humide. Mes ongles touchaient les briques, laissant place à un bruit strident, comme lorsque la craie rencontre le tableau noir et qu'on appuie fort. La lumière se faisait de plus en plus proche mais quelque chose me bloquait la route. Des barreaux se trouvaient juste devant moi. Quoi ? Des barreaux ? Non c'était pas possible ! Je devais rêver, il n'y avait pas d'autre solution. Pourtant j'avais la sensation que c'était vraiment réelle. Que soit qu'il se passe, je ressentirais une vraie douleur, que mon corps en prendrais absolument un coup. La situation m'échappait des mains et j'avais horreur de cela. De mes deux mains j'attrapais les barreaux en face de moi. Les serrant comme si j'allais pouvoir les casser avec ma seul force à moi. Mon visage commençait à se crisper sous la colère qui montait de plus en plus en moi. Quelqu'un était clairement entrain de me jouer un mauvais tour, quelqu'un était entrain de se jouer de moi, de se moquer et il allait réellement regretter. On ne m'avait pas aussi facilement sans qu'il n'y ait des conséquences par la suite. Alors je lâchais un petit cris de rage, alors que je regardais la tenue dans laquelle je me trouvais. Une robe de chambre. Une simple robe de chambre. D'un geste de la main, je faisais apparaître un genre de fumée verte alors que je réapparaissais dans une toute nouvelle tenue. Une tenue, qui tenait bien plus chaud et qui m'allait à merveille comme d'habitude. De plus, au moins avec de belle chaussure, je n'avais plus les pieds qui pataugeaient dans les quelques flaques d'eau qui pouvait traîner dans le coin. J'avais toujours mon éternelle chapeau sur le tête alors que des mains je revenais replacer mes cheveux roux correctement avant des mettre mes gant. C'était réellement mieux comme cela.
Il restait cependant un problème. Je ne savais toujours pas où je pouvais bien me trouver. Je n'avais pas que ça à faire, me perdre dans ses idioties. Je me trouvais dans un cachot, qui sentait l'humidité. C'était limite à ce quand je respire une buée s'évapore d'entre mes lèvres. La porte était fermée et j'avais beau essayer de l'ouvrir avec plusieurs sort, rien n'y faire. Celle-ci restait clôturée. Je fis apparaître alors une sorte de lumière pour pouvoir voir un peu plus où je me trouvais. Exactement voir à quoi ressemble cette endroit et comment je pourrais faire pour partir d'ici. C'était réellement pas très beau à voir. Il n'y avait même une simple petite fenêtre pour voir à l’extérieur. Non. Aucun meuble à par ce truc que l'on pourrait qualifier de lit. Les bois de celui-ci étaient entrain de moisir avec l'eau qui s'infiltrait à l’intérieur. La mousse gorgée d'eau venant du matelas se trouvait éparpiller un peu partout sur le sol. Je voyais les gouttes d'eau tomber une à une les unes derrière les autre. Venant créer une grande flaque au sol dans le coin de la pièce. Je devais me sortir de là et le plus vite possible. Mais il n'y avait rien. Rien dans cette pièce qui pouvait venir m'aider ou me donner une simple ... Idée. Je pourrais s'en doute exploser un mur mais j'étais persuadée que le plafond, vu dans l'état dans lequel il était, n'allait pas tenir du tout. Il fallait se montrer délicate pour une fois. Malheureusement la rage montait de plus en plus en moi. Il fallait que je me défoule un peu les nerfs sur quelqu'un ou quelque chose. Mais on revenait au même point. Il n'y avait rien … Mon visage était crisper sous la colère. Mes points étaient serrer à en faire blanchir mes jointures. J'avais autre chose affaire bordel ! J'avais une vengeance à préparé plus qu'autre chose. Je voulais voir les personnes qui m'avaient fait souffrir, souffrir à leur tour. Je voulais les voir pleurer, les voir à genoux tellement il avait mal. Je voulais qu'ils perdent tous, absolument tous. Ils allaient tous perdre et j'allais gagner il le fallait. J'allais réussir à remonter dans le temps. Même le ténébreux n'avait jamais réussis cette exploit. Ni aucun grand sorcier, n'y même ce très chère Merlin, si c'est bien son nom. J'allais réussir ! Coûte que coûte. Il le fallait …
Prise de rage, je venait placer une boule de feu entre mes mains avant de me retourner brusquement de la jeter contre l'un des murs. Une personne se trouvait dans l'ombre et venait d'éviter les flammes. Elle ne bougeait pas. Elle restait ainsi dans l'ombre où je ne pouvais pas devinez qui cela pouvait être. « Qui êtes vous ? Montrez vous ! » Elle ne bougeait toujours pas. Alors je levais ma main pour la prendre par le coup et la faire venir vair moi mais cela ne marchait pas. J'avais beau réessayer plusieurs fois, rien à faire. L'ombre restait planter là s'en rien dire et s'en bougeait. J'allais vraiment devenir folle ! Je me retournais alors, resserrant mes mains, mes muscles crispés au niveau de mes bras et toujours de mon visage. Je rejetais une nouvelle boule de feu sur un autre mur. « Alors comme cela tu voulais m'étrangler ? »
La voix retentit, alors qu'il y a un silence absolue. Mon sang ne fait qu'un tour dans mes veines, alors que je me refroidit d'un seul coup. La pièce refroidit elle aussi, cette fois-ci la buée s’échappait à chaque fois que j'expirais. Ce n'était pas vraie. Je rêvais. Je rêvais. Je rêvais. Je rêvais. Je rêvais. Cela ne pouvait pas être elle. Non. Non. Non et non. C'était pas elle. Je ne me retournais pas ! Je ne voulais pas, il en était hors de question. On entendais seulement le son de ma respiration alors que j'essayais de ne laisser par être aucun sentiment.« Oh Zelena … Ma douce et tendre Zelena. Retourne toi, s'il te plaît que je vois ton visage, que je vois comment tu es devenue depuis toutes ces années. Oh ma chère fille ! Oh s'il te plaît, fait le pour ta mère, ma chérie » Cette voix, ce son qui me hantait pratiquement chaque jour. Je ne pouvais pas résister à ce qu'elle me disait. Doucement, je me retournais. La tête baissée je n'osais aucunement la relever pour voir celle qui se trouvait en moi. Non ce n'était qu'un rêve après. Ce n'était pas la réalité. Elle était morte … Morte ! Et personne ne pourrait rien y faire. Ah moins que j'arrive comme prévu à retourner dans le passé. Mais pour l'instant elle ne pouvait pas être là. Elle était morte ! Je la sentis se rapprocher de moi. Je ne voyais que ces pieds face à moi. « Relève ta tête, montre moi comment tu es devenue belle ! » Une sorte de force inconnue m'obligeais à relever la tête. Je tombais alors sur son visage. Sur ce visage si doux qui m'avait élevé, j'en connaissais chaque détaille, chaque trait, chaque grain de beauté. Ce visage qui était resté gravé dans ma mémoire malgré que j'avais été relativement jeune lorsqu'elle était morte. Tout de suite, mes muscles se relâchaient alors que je la revoyais depuis tant d'année. Elle avait était la seul et unique personne à m'aimer réellement. La seul à m’apprécier comme j'avais été. La seul qui m'avait jamais rendue aussi heureuse même si elle m'avait cacher le plus grand secret de ma vie : que j'avais été simplement trouver sur le bord d'un chemin. Très vite, je repris mes esprit. Elle était morte de n'était pas réellement elle. Juste une illusion. Et pourtant j'avais une question qui venait me hanter l'esprit. « Pourquoi ne pas m'avoir dit dès le début que je n'étais pas réellement ta fille ? »« Comment ça ? » « Tu sais très bien de quoi je veux dire ! Pourquoi ne pas m'avoir dit que vous m'aviez trouvé sur le bord d'un chemin hun ? Pourquoi papa ne m'a jamais aimé ? Que dis-je ce n'ai même pas mon père. » J'essayais de ne pas montrer ma faiblesse. J'avais le visage lourd avec aucun sourire. Je devais rester forte, je le devais ! Et pourtant sa voix retentissait, cette voix qui m'avait manquer. Cette vois qui m'avait apaisé lorsque j'avais fait de cauchemar, cette voix qui me chantait des chansons avant. Cette voix qui me faisait sourire plus que tout. J'avais été heureuse jusqu'à qu'elle nous quitte si brusquement. J'avais été heureuse quand elle avait encore été dans ma vie. J'avais été heureuse pour elle. Parce que je donnais tout pour voir dans son regard qu'elle était fière de moi. Je donnais tous pour pouvoir voir son sourire sur son si jolie visage. Oh maman … « Ce n'est pas ma Zelena ! » « Et pourtant si c'est bien moi ... » « Non ce n'est pas elle ! Ce n'est pas la fille joyeuse que je connaissais, ce n'est pas la fille joyeuse que j'ai quitté ! Te rappelles tu de ce que je t'ai dit avant de mourir Zelena ? La denier chose que j'ai vue de toi ? Je t'ai dit de garder le sourire coûte que coûte parce cela te fera restez forte, parce que cela te rendez encore plus belle que tu ne l'étais déjà ! Et tu m'as promis et tu as souris. Tu as souris avant que je ne ferme mes paupières pour toujours. Je me souviens aussi que tu avais lâcher un petit rire. Un petit rire qui t'allait si bien. » Je l'écoutais parler, parler encore et encore. Portant mes mains à ma tête alors que les images de se jour me revenait en mémoire. Comment j'avais pu oublier ? Juste parce que personne ne m'avait aidé à garder se sourire. Elle n'était plus là et papa avait totalement changer à la suite de sa mort. Devenant plus distant que jamais avec moi. Toutes ces images qui me hantaient, qui tournaient en boucle dans ma mémoire. J'avais l'impression de revivre la scène. Et pour l'instant je ne disais rien, l'écoutant parler encore et encore.« Tu as tellement changé … Où est ce sourire sur ton visage ? Qu'est-ce que tu as fais de ta vie ? Pourquoi es tu devenue cette femme si méchante ? Cela me fait si mal au cœur de te voir ainsi … J'ai mal, j'ai presque honte ! Honte de ce que tu es désormais ! Honte de ce que tu as pu faire ! Tu as du faire souffrir plusieurs personnes d'en ta vie ! Tu me fais souffrir ... Heureusement que je suis morte ! Cela me permet de ne pas voir comment ma soit disant fille à tourner, voir le chemin que tu as pris ! Je ne suis même pas sur de pouvoir encore dire que tu es ma fille … Tu ne l'ai pas. Ce n'est pas ma fille qui en face de moi ! Je n'ai jamais eu de fille comme cela. Je n'ai jamais eu de fille tout cour … ».
Non. Non. Non et non. Elle ne pouvait pas dire cela. Elle était ma mère. Pas forcément celle du sang. Mais elle restait ma mère et elle le resterais toujours. C'était elle qui m'avait élevée, c'était elle qui avait pris la place d'une mère dans mon cœur. C'était en partit pour elle que je faisais cela. Elle ne pouvait pas dire toutes ses paroles. De toute manière, elle n'était pas là ! Ce n'était pas elle ! Je voulais pourtant tellement y croire … Je voulais qu'elle soit la pour de vraie devant moi. Que je la prenne dans les bras encore une fois. Je hochais la tête de gauche à droite. Mes mains toujours au niveau de ma tête, j'essayais de me masser les tympans avec mes deux doigts. « Oh maman … Maman, s'il te plaît ! C'est pas vraie ! Tout ce que tu dis c'est faux ! FAUX ! Tu ne peux pas penser cela. Tu ne peux pas penser comme papa. Pas toi ! S'il te plaît ? Tu ne peux pas penser comme tout les autres ! Pas toi ! Tu entends ? PAS TOI ! Tout le monde sauf toi … » Je ne savais pas quoi dire. Tous étaient entrain de m'embrouiller. Toutes les images qui tournaient, tournaient et tournaient encore dans ma tête. Ces images quand elle mourrait, ces images de ce qui m'avait servis de père venait me dire la vérité, de ces images de Rumple qui avait préféré continuer à à donner des leçons de magie à Regina ! De Glinda, de Dorothy, des deux autres sorcière. Tous ces moments qui étaient douloureux, qui venait de me faire mal encore un peu plus. « Oh maman, je suis tellement désolée ! Je voulais rester cette petite fille qui était tout le temps aussi joyeuse. Je voulais garder ce sourire comme tu me l'avais si gentiment demander. Je voulais, je te le jure, je te le promais. Je l'ai gardé, je l'ai gardé mais il disparaissait petit à petit. J'essayais, je m'étais forcée ! Mais comment continuer si la seul personne qui m'aider à garder ce sourire était morte ? Comment faire alors que TU n'étais plus là ? Dis le moi ? Papa ne m'aimait pas ! A ta mort il m'a plus prise plus comme une servante que sa fille. Tu ne sais pas combien de fois j'essayais de faire en sorte qu'il m'aime. Je faisait tout se qu'il me disait. Je faisais tout comme il fallait, du mieux que je pouvais pour qu'il m'aime. Qu'il m'aime même une petite seconde … Mais il n'était jamais heureux, il ne m'aimait jamais. Tu ne peux pas me contredire ! Il a toujours eu peur de moi ! Peur de ce que je pouvais vous faire avec mes pouvoirs. Il me traitait de sorcière, de méchante sorcière. Oh maman, s'il te plaît pardonne-moi … Pardonne moi maman ! J'ai fait tout ce que je pouvais maman ! Dis moi que je suis encore ta fille s'il te plaît ! Je ne peux pas me dire que tu ne m'aimes plus toi aussi ! Tu sais maman si j'arrive à remonter dans le passer, je pourrais te sauver maman ? Tu le sais. Dis moi que tu le sais maman ? Je suis désolée de ne pas avoir réussi à être la petite fille que tu voulais tant … J'ai fait tout mon possible ! Mais tout se retournait contre moi ! Quand papa m'a dit que j'avais été adopter, j'ai pas pu tenir. Tout mon petit univers c'est effondrer. Je voulais découvrir qui était pas véritable famille. Et quand j'ai vue ce que ma sœur avait eu. Tout ce que j'aurais pu avoir à sa place … » Je me tue quelque instants essayant de rassembler mes esprit. Je sentais la jalousie revenir, je pouvais sentir ma peau redevenir vite. Alors je prenais de grande inspiration, me calmant. Le vert sur ma peau disparaissait peu à peu jusqu'à ne plus être présente et alors là je pouvais reprendre. Je remontais la tête vers celle qui était ma mère, adoptif serte mais mère quand même. Osant la regarder droit dans les yeux alors qu'elle ne disait rien. « Je suis vraiment désolée maman, je n'ai pas réussis ! J'ai lamentablement échoué .. Je n'ai pas réussis ! C'est pour cela que je veux réussir cette fois maman ! Pour que tu sois fière de moi ! Pour que tu ne penses pas que je peux rien réussir dans ma vie maman ! Parce que c'est faux. Je peux réussir et si j'arrive à retourner dans le passé alors tu pourrais toujours être vivante maman … Tu sais … j'ai toujours la petite poupée que tu m'avais offerte. Ta poupée !Celle que tu avais faite toi même. Tu m'as dit d'en prendre soins et que c'était le lien qui nous unissais. Et je l'ai toujours maman, je ne t'oublie pas. Si je retourne dans la passé peut-être que je pourrais me rattraper prendre le chemin que tu aurais tant voulus pour moi maman … » Quelques larmes coulaient le long de ma joue. Je voulais réussir, réussir pour moi mais surtout pour elle. Si jamais je réussissais je pourrais la sauver. Je pourrais prendre le chemin qu'elle voulait tant pour moi.
Un claque, un grassement et une lumière.
Je tournais ma tête vers la porte du cachot qui s'était tout seul ouvert. Je ne quittais plus là porte des yeux. Venant du revers de ma main essuyer mes yeux humides.
Grace Hatter
En réalité, je suis
La Fille du Chapelier
☂ Conte : Alice au pays des merveilles (version Ouat)
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mer 9 Mar - 0:36
Depuis que la malédiction est levée, je pensais que tout allait pour le mieux. Caroline venait de temps à la maison pour ne pas voir son père... Je la comprends. La elle était chez son père adoptive. Après avoir passée une journée en compagnie du fils Lake en toute amitié bien sûr, je décide de rentrer m'allonger, je me sentais vraiment pas bien. Mon père est absent ce soir, il était avec la reine rouge et le loir de Wonderland à se rappeler des bons souvenirs. Je décide de prendre un bon bain moussant avant de me coucher, Cass' qui me téléphone pour savoir comment s'est passé ma journée avec mon frère, elle n'est pas possible celle-ci. Je souris avant d'éteindre mon téléphone. Il est temps de regagner ma chambre. Il y a mot sur l'oreiller, c'est mon père qui me souhaite une bonne nuit, un sourire se dessine sur mes lèvres avant que je me glisse sous ma couette bien au chaud. J'ouvris les yeux dix minutes après à cause d'une froideur innée... Qu'est-ce qui se passe, je ne reconnais pas où je suis. Je me retrouvais sur une planche en bois couverte d'une simple couverture. Il fais froid, je prends la couverture qui j'espère, n'avait pas d'araignée dedans... je me lève, après avoir fais quelques pas, mon pied toque quelque chose, je décide de récupérer tant bien que de mal l'objet. Un chapeau.. un haut de forme. D'un coup, j'entends un rire de fou, je me retourne et là prise d'horreur, je laisse un cri d'effroi. Le visage de la personne était éclairée par la lanterne, il me disait vaguement quelque chose que j'ai peur de savoir qui c'est vraiment. La personne se mi à rire mais pas un rire normal non, c'est plus un rire de fou.
-Et bien, Grâce ma chère petite, tu ne reconnais pas ton propre père.... me demande-t-il avec un sourire sadique.. Il n'a pas l'air dans son état normal... Il avait les cheveux long en bataille, le regard d'un fou, habillée d'un long manteau long, pantalon en tissu et t-shirt
-Papa... Mais non, ce n'est pas toi, tu es avec Clara et absinthe..... Pourquoi es-tu comme ça.. je ne te reconnais pas...
-Mais si c'est bien moi, ma chère petite, et qui sont Clara et Absinthe, je ne connais personne de ces nom là. Je suis coincée par ta faute dans le monde de Wonderland..
Mais qu'est-ce qu'il me raconte, pourquoi me dit-il qu'il est coincée à Wonderland... Papa arrête je t'en pris, je ne comprends rien, tu commences à me faire peur, qu'est-ce que j'ai fais.. Je n'aime pas du tout ça, mon propre père me fait peur, j'ai peur de bouger, peur qu'il me fasse quelque chose. il s'approche de moi, je le regarde sans rien dire, pétrifier par la peur, il pousse des petits rires qui me font froid dans le dos.
-Je vois que ma fille a grandit et qu'elle possède une belle vie, depuis qu'elle a envoyé son propre père se faire... quoi déjà, ah oui couper la tête et à en devenir fou. A ses mots, il explosa de rire, j'ai les larmes qui commencent à monter... pourquoi dit-il ça... pourquoi ça serait de ma faute... je le regarde avant de dire quoi que ce soit, il monte sur la planche de bois comme une scène de théâtre tout en continuant de rire comme un fou.
-Ne dis pas ça.... arrête d'agir comme ça, je t'en pris papa, tu me fais vraiment peur. Je n'ai jamais demandé que tu t'en ailles... Je n'ai jamais été heureuse durant ton absence... Je n'ai pas pu ajouter autre chose qu'il saute de son piédestal pour s'approcher de moi avec un sourire de sadique. Ma pauvre petite, qu'est-ce que tu es sotte quand tu t'y mets, bien sur que c'est de ta faute, que je suis partie. D'accord, la reine est venu me demander service, et bien je suis allée pour la petite princesse qui me serre de fille arrête ses caprices. Par ta faute j'ai été emprisonné dans le monde de Wonderland et que je suis devenu folle, tu m'entends Grâce, TA FAUTE ! Ta mère aurait eu honte de toi, même moi j'ai honte d'avoir une fille telle que toi! Tu sais quoi, j'aurais préférée que ça soit toi qui soit morte!!
Alors là, mes jambes ne me répondent plus, elles se dérobent sous moi, je m'effondre sur le sol en larme... Comment peut-il être aussi dur avec moi.. pourquoi me dit-il des choses si horribles... Mes larmes coulent à flot par ses paroles..
Papa... Comment peux-tu pensée à ça... Je m'excuse de n'avoir pas été la petite fille aussi parfaite que tu voulais... Je ne savais pas que tu avais souffert durant ton séjour... On me disait que tu étais mort... Je ne pouvais pas croire à ça... Tu m'a énormément manquer... Je n'ai jamais cru à ta mort... Pardonne moi je t'en pris.. Je ne suis rien sans toi papa... Je le regarde les yeux brouillés par les larmes que je ne contrôle pas. Il reste immobile contre le mur à jouer avec son chapeau, je sursaute quand j'entendis un bruit, je me lève difficilement et me dirige vers la porte en essayant de sécher les larmes, ses mots me font aussi mal que des couteaux planté dans le coeur.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mer 9 Mar - 23:50
It's Good to be Bad
Elsa & Cie
Je n'aime pas les cauchemars...
Regina, Mr Gold, Mary Margaret et d’autres personnes dont j’ignore le nom n’ont pas tardé à me rejoindre. Mais où est-ce-qu’on étaient ? Je n’en savais rien mais il était certain que je ne resterais pas là une seconde de plus, je n’aimais pas cette sensation de manque, de vide, pour la première fois depuis ma naissance, je sentais la froideur des lieux. Je sens l’atmosphère qui est en train de se créer et je prends mon courage à deux mains avant de poser mes pieds sur la première marche des escaliers. Ils sont froids, sombre, ça ne respire pas l’amour, ça c’est sûr. Je descends les marches, le bleue de ma robe donnant un peu de lumière à cette descente d’escalier si sombre, ma traîne trainant derrière moi, suivie par les autres. Je pose mon regard sur les murs. J’ai l’impression qu’il suffirais de souffler sur les murs pour qu’ils s’effondrent. Je n’aime pas ça, je n’aime pas ça du tout mais je continue à descendre.
Anna était devant moi, tout du moins, je l’a voyais devant moi, descendant les marches rapidement, assez étrange d’ailleurs pour une jeune femme de son genre, surtout complètement gelée. D’ailleurs la regarder me peinait chaque instants un peu plus. Mais alors que je continue à descendre tranquillement, une main sort de nulle part et m’agrippe le bras « Aaah ! » dis-je avant de me débattre et de réussir à me libérer de l’emprise de la main, manquant d’ailleurs de tomber sur Regina qui se trouvait derrière moi « Désolée » dis-je simplement avant de continuer à marcher. Des mains qui sortent des murs, on se croirait dans un remake de film d’horreur mais là, je dois dire qu’on touche le fond niveau suspens. Et dernière marche de l’escalier. Grande respiration. Nouvelle grande respiration. On arrive dans un couloir encore plus glauque que l’escalier, je regarde autour de moi « Serions nous tombés dans un mauvais film d’horreur ? » dis-je simplement avant de lever le regard et de voir Anna au bout du couloir qui m’attends devant une porte ouverte.
Les tableaux lugubres, les toiles d’araignées dans les recoins, c’est que ça me ferais presque regretter mon petit lit douillet. Je pose mon regard sur ma sœur « Attends moi Anna ! » dis-je simplement avant de sentir le sol s’ouvrir sous mes pieds. Ne pouvant pas me rattraper je tombe dedans « A l’aide… » puis-je dire simplement avant que la trappe ne se referme. Par contre, je dois avouer que le coup du toboggan, je mis attendais pas du tout mais au lieu de finir dans une eau claire, je venais littéralement de me retrouver les jambes dans de l’eau marron qui paraît pas très nette et jusqu’aux genoux qui plus est. C’était officiel, le bas de ma robe était foutu, enfin surtout mouillé en fait. « Ok et donc, c’est quoi la suite ? » dis-je en croisant les bras sous ma poitrine avant de sentir un truc me chatouiller les chevilles. Me crispant rapidement, je comprends qu’il y a un soucis. Je tente d’utiliser mes pouvoirs mais mise à part le tout petit air froid que je viens de lancer, y’a pas grand-chose « C’est impossible… » dis-je avant de me rendre compte qu’elle était l’espèce de truc qui m’avait frollé la jambe…une…Une….Une… « Beeeeeeeerk ! » puis-je dire simplement avant de rapprocher mes deux jambes, priant pour qu’elle n’approche plus. Levant les yeux vers le ciel, je compris que j’étais seule, dans une eau dégoutante et que je risquais de me faire manger toute crue par une grosse limace baveuse « Auuuuuuuu seeeeeeeeeeeecours !!! Je suis attaquée par une limace génétiquement modifiée !!! », est-ce-que c’était la fin des haricots ? Non…Non…Non ça pouvait pas, j’espérais que quelqu’un allait me sortir de là, parce que…parce que… « Auuuuuuuuuuuuuuuu seeeeeeeeeeeeeeeeeeeeecoureeeeeeeeeeeeeeeeeeeuhhhhh »
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Ven 11 Mar - 21:35
It's good to be bad
« Even if is the last thing I do. Cora must be die! »
Je quittais alors ma cellulle en m'appuyant sur ma canne suivant Bae. Nous marchions et je rencontrais alors une groupe de femmes. Merveilleux il avait fallu que je tombe sur elles. Je regardais chacune des personnes. Elsa qui me devais un service, Zelena et Regina dans la même pièce je me demandais quand la rousse allait péter une durite, Snow-White évidemment fallait que miss Espoir soit là... Et enfin une ado, la fille du chapelier fou, si je ne me trompais pas... Merveilleux, il ne manquait plus que Pan et Cora et j'étais en Enfer. Je restais appuyé sur ma canne, voyant Bae me faire un signe. J'entame alors difficilement la montée de cet escalier de malheur. A un moment une main agrippe mon bras, je m'en dégage d'un coup sec. Après une longue et difficile ascension pour moi et ma jambe, nous arrivons tous dans un couloir. Au fond de ce couloir lugubre, je vois mon fils devant une porte ouverte. Il m'attend. Mais j'ai toujours était prudent, Elsa passe devant accionnant une trappe, je me disais bien aussi... Je soupire désespéré, attendant que quelqu'un d'autre avance. Je me pose alors à un endroit et quand je dépose ma canne au sol, je vois cette dernière lentement s'enfoncer, un "clic" raisonnant dans le couloir sombre. Je n'ai pas le temps de dire ou faire quoique ce soit, qu'un amoncellement d'oeufs pourris tombent sur la tête de Zelena. J'ai de la chance moi aujourd'hui. Je lui tend un mouchoir en tissus sans bouger. M'excuser, à quoi bon, elle sait bien que c'est pas volontaire de ma parte.
- " Je ne peux rien de plus pour toi, Zel'. Faut qu'on dégage de ce monde, j'ai des choses à faire plus importante que de traîner dans ce monde sans le moindre intérêt. Et vous aussi mesdemoiselles, j'en suis convaincu..."
C'était bien beau toute cette mascarade, mais quand je trouverais la personne qui nous a fait ça, je vous jure qu'elle allait le payer. On ne joue pas avec moi comme avec un vulgaire jouer, il y a TOUJOURS un prix à payer...
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Sam 12 Mar - 17:25
[Mission] It's Good to Be Bad × ft. Snow & les autres
La porte s'ouvre dans un bruit de ferrailles. Je regarde mes deux hallucinations et celles-ci me font signe de sortir. Je me demande pendant un instant si je dois les écouter, puis je me souviens que c'est en leur demandant pardon que la porte s'est ouverte. Finalement ce sont peut-être des gentilles hallucinations ? Je prends une profonde inspiration et pousse un peu plus la porte pour pouvoir sortir, avec surprise, je vois mes deux « fantômes » me suivre puis prendre la tête de cette étrange convoie, comme pour me guider. Je me demande comment va finir ce rêve … ou ce cauchemar. Qu'est-ce qui va encore m'arriver ? Je continue de marcher, les murs sont sales, tout est glauque et l'atmosphère est bizarre. Alors comme mes fantômes, je décide de ne pas m'approcher de trop près des murs, je refuse de me retrouver avec des bestioles ou je ne sais pas quoi. Après tout on est dans un rêve et tout peut arriver dans un rêve. Et puis j'ai beau ne jamais avoir eu peur des animaux, il y en a que j'aime plus que d'autres et les insectes n'en font pas partis.
–Petite sainte nitouche, marmonna Regina
Je lève les yeux au ciel, chassait le naturel et il revient au galop. Elle avance plus rapidement, mais je ne m'aventure pas à courir après-elle. Pas dans cette atmosphère qui nous crie : « Warning ! Attention, chut ! ». Bref, je continue de marcher en faisant attention ou je marche. Franchement quand j'aperçois d'autres personnes au détour d'un couloir, je me demande ce qu'ils font là. C'est mon rêve et jamais je ne mettrais des personnes dedans, non je chercherais à tout prit à sortir de cette endroit. Puis des voix me parvienne et je suis presque sûr qu'elles appartiennent réellement au personne … Suis-je encore réellement dans mon cauchemar ? Ou est-ce qu'il y a quelque chose de magique ?
–Et bien Miss Perfection, je ne pensais pas que tu étais si longue à la détente. –Je n'y peux rien si je ne pratique pas la magie et que dans ce rêve je n'arrive pas à la dissocier. Et puis heureusement que je n'use pas de la magie parce que comme dirait Rumple : « Toutes magies arrivent toujours avec un prix ».
Je continue de marcher vers le groupe, j'espère sincèrement que ce ne sont pas des personnes qui ont envie de me tuer parce que sinon je … je pense que je suis encore dans la semoule. Pour parler poliment. Là, je voix une jeune femme en tenue bleue, je lui souris et me tourne vers les autres … Une jeune fille d'environ 16 ans, Rumple (tiens quand on parle du loup … ) Regina et d'autre … Regina !
–Et bien Maman, te voilà bien entouré, des ennemis … pour l'a plupart. J'espère que ton cauchemar ne va pas virer plus noir parce que sinon …
Ma fille me rassure tellement … je déglutis et tente de parler inaperçu, mais entre les trappes qui s'ouvrent et l'odeur nauséabonde, ce n'est pas facile d'être ferme et de ne pas rire. Je reste près du la tête de la troupe quand je sens quelque chose me monter sur la jambe. Je me tends et fronce les sourcils, être en chemise de nuit dans un endroit pareil, ce n'est pas facile. Mais si en plus il y a des choses qui me grimpent dessus, ça ne va vraiment pas le faire ! Je me mets à sautiller sur moi-même pour faire tomber la chose, mais un sifflement et une morsure me font finalement crier.
–UN SERPENT ! Nom d'un chien mais où on est !
J'attrape courageusement le reptile et le balance loin de moi ! Purée je déteste ces bestioles ! C'est juste pas possible pour moi de m'approcher d'eux et encore moins des araignées … et franchement j'ai comme l'impression que je ne suis pas au bout de mes surprises.
Snow : 95%
Zelena Green
En réalité, je suis
La Méchante Sorcière de l'Ouest
☂ Conte : Oz
☂ Emploi : Sage-femme
☂ Camp : Villains
☂ True Love : L'amour c'est comme une cigarette. Ça flambe comme une allumette ça pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée ...
☂ Avatar : Rebecca Mader
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Lun 14 Mar - 8:09
It's Good to be Bad
Mission
La cellule venait de s'ouvrir. La porte était la juste en face de moi, complètement ouverte. Je pouvais partir, enfin je le pouvais. Mais je n'y arrivais pas. Mon regard faisait des aller retour entre le porte et le visage de ma mère. Il était grave, et elle ne disait toujours rien. Absolument rien. C'était le silence complet. Je la regardais alors plus longuement en attendant qu'elle me dise quelque chose. Elle ne pouvait me laisser comme ça. Elle ne pouvait pas tout simplement rester silencieuse comme maintenant. C'était juste … Non ! Elle ne pouvait pas ! C'était impossible, il y avait bien quelque chose à dire après mon long discours. Discours qui résonnait encore dans ma tête. Discours qui tournait en boucle dans ma tête en même temps que ses images. Ces images qui me faisait mal, ces images qui me faisait plus souffrir qu'autre. Je voulais pas … Je voulais des images joyeuses, des images de quand je jouais encore avec cette femme devant moi lorsque j'étais enfant. Des moments où l'on pouvait passer des heures à rigoler. Ces moments le soires où elle me berçait tranquillement avant que je ne m'endorme. Elle restait là à côté de moi, me tenant la mains jusqu'à que je sois emportée dans les bras de Morphée, me rassurant que rien de terrible ne m'arrivera pendant la nuit car elle était là. Je voudrais tellement qu'elle soit réellement là. Je le voulais, je l'espérais sincèrement. Pourtant je savais que ce n'était qu'une image de mon cerveau, qu'un illusion, mais je voulais pas réellement y croire. Voilà pourquoi je n'osais pas m'approcher d'elle. Je n'osais pas la toucher, la prendre dans mes bras. Je ne voulais pas que ma mains passe au travers de son corps. Je ne voulais pas avoir encore plus mal que maintenant. Je ne voulais pas être déçu. Je ne voulais pas la décevoir encore une nouvelle fois. Je ne voulais pas qu'elle me haïsse encore plus. Parce que je ne supporterais pas ça venant d'elle. Si les autres personnes autour de moi ne m'aimaient pas, cela m'apporter peu. Mais en ce qui concernait Arthur. Pourtant c'était dans un sens, l'une des personnes auquel je pouvais tenir. L'une des personnes avec qui j'étais proche. Plus proche que ce que j'avais l'habitude. Même si le médecin me disait qu'il ne m'aimait pas, cela me faisait ni chaud ni froid. C'était tant mieux pour lui et tant pis pour moi. Je passerais, avec de forte chance, l'éponge assez rapidement. Je savais que je le ferais dans les plus brève délais. Pourtant, avec ma mère … Ma mère adoptive … Je ne pouvais pas l'entendre sortant de sa bouche. C'était quelque chose que je ne pourrais pas supporter.
Elle était tout pour moi. Tout ce que j'avais de plus chère à mes yeux. Elle avait été la seul à m'aimer réellement durant toute mon enfance. La seul à m'aimer pour qui j'avais été réellement. Elle avait été la personne qui comptait le plus pour moi et jamais personne ne pourrait prendre sa place. Pour aucun prétexte ou autre. Même si je revoyais ma vraie mère cette Cora, même si cette femme voulait se rattraper avec moi, jamais elle ne prendre la place de ma mère adoptif. Elle avait été la seul qui me donnait une raison de sourire, une raison de vivre, une raison de prendre toujours le droit chemin. La seul a qui je pouvais parler tranquillement. Elle était ma mère mais avait toujours été aussi ma meilleur amie. C'était la seul qui m'accepter moi avec ma part de magie. Je pouvais faire de la magie devant elle sans craindre que l'on me dise quoi que se soit. Elle avait toujours trouver ma magie comme une bénédiction du ciel, comme un don qu'il fallait protégée. Elle pensait que c'était un art des plus magnifique lorsque l'on en faisait bon usage. Que plus tard grâce à ce don je pourrais faire des miracles. Elle avait été la seul à croire en cela en tout cas … même l'homme qui me servait de père, même l'homme qui avait été son marie n'avait pas la même vision que la femme en face de moi. Il avait toujours penser que j'étais un monstre, une sorcière, une méchante sorcière. Il avait peur de moi. Depuis la mort de sa femme, il m'avait dit de ne jamais utiliser la magie, de ne le montrer à personne que j'avais ces pouvoirs. Je devais toujours me montrer forte, ne jamais fléchir une seul fois. Et au final c'est ce que j'avais fini par faire. Craquer. C'était dure de toujours rester forte et de ne jamais pouvoir de lâcher une seul seconde sinon on vous reprend, on vous gronde. C'était dure et voilà pourquoi j'avais fini par craquer maintenant, dans ce pauvre cachot devant cette femme. Femme qui disparaissait d'un seul coup. Un hoquet de surprise et de peur, me pris alors la gorge. Elle était partit … « Maman ... » Partit sans rien dire de plus. Elle était partit. Partit, juste partit. Tout ce que j'avais dit n'avais absolument servis à rien. Absolument à rien à part ouvrir cette foutu porte. Mais je m'en foutais royalement de cette porte. Je voulais que ma mère me dise quelque chose. Je voulais qu'elle parlait. Je n'en avais maintenant que faire si elle voulait me dire un truc gentil ou méchant. Je voulais juste qu'elle parle …
Je fini par sécher complètement mes larmes, me calmant un peu pour essayer de me reprendre. J'essayais de reprendre un semblant de froideur sur mon visage. Surtout lorsque j'entendis un bruit venant de l'extérieur. Il y avait d'autre personne que moi ici ? Il n'y avais qu'un moyen de le savoir … J'avançais doucement vers la sortie quand un ombre apparu juste devant mes yeux. Ma mère était revenue après seulement quelques minutes. Son visage s'était adoucie, elle me souriait même. Elle me souriait d'un tout petit sourire. La voyant me regarder avec ces yeux doux, me regarder plus tendrement qu'avant, je poussais alors un soupire de soulagement, même si au fond j'avais toujours le stresse de savoir qu'est-ce qu'elle pensait. Le sourire qu'elle faisait été peut-être faut après tout ? Je n'en savais absolument rien pour le coup. Elle me tendait la main, me tendais la main pour que je la suive. Pour que j'avance vers elle et c'est ce que je fis. Mes pas se faisait de plus en plus rapide vers les grilles, vers la lumière au loin. Je me dépêchais de la rejoindre gardant tout de même mon visage plus dure au cas ou il y a quelqu'un. Lorsque j'arrivais en dehors du cachot, ma mère disparaissait à nouveau. Il fallait vraiment que j'arrête. J'étais plus entrain de me torturer qu'autre chose. Regardant autour de moi, je vouais d'autre cachot avec leur porte ouverte avant de voir des personnes comme moi y sortir. Une femme blonde avec une longue robe bleu, une autre femme qui devait sans doute être cette fameuse Blanche-Neige, encore ces deux personnes cela pouvait aller. Si on peux le dire comme ça. Je n'en avais que faire d'elles et tant qu'elles me laissent en paix, alors je ne ferais rien. C'était plutôt les deux autres personnes qui sortaient elles aussi de leur endroit qui m'inquiétais en quelque sorte … « Oh non pas lui … » Comme Rumple. Il était le seul à savoir sur ma véritable nature avec Arthur et bien sur les personnes qui venaient du même monde que moi. Mais je savais que eux n'allaient rien dire. Les Oziers (oui oui j'ai bien chercher, les habitants de Oz c'est les Oziers) avaient bien assez peur de moi pour faire quoi que se soit et puis cela ne leur apporteraient rien. Je ne lui faisait aucune confiance et jamais je lui ferais. Il m'avait bien fait trop de mal, il m'avait utilisé et plus tard je l'utiliserais. La dernière personne, qui sortit me fit pousser un soupire de lacement. Il fallait plus que je tombe sur elle aussi ! La fameuse Regina … Celle qui avait pris une place qui aurait pu me revenir de droit si notre chère et tendre mère avait pu me garder. Je jetais un regard au ténébreux, ne m'attardant pas trop sur le méchante reine puisqu'elle ne savait pas encore qui j'étais. Et je ne voulais en aucun cas que Rumple est le privilège de lui dire à ma place ! C'était à moi et moi seul de lui dire, lui dire lorsque sa vie sera entre mes mains.
Malgré moi je suivis le groupe dans un sorte d'escalier tout aussi lugubre et sombre que la cellule dans laquelle on était juste avant. Venant me surprendre quelque chose m'attraper la bras. « C'est quoi ce truc encore ? » C'était ce truc ? C'était quoi le problème ? Qui s'amusait à nous faire un jeu comme ça franchement ? Je commençais à m'énerver venant tirer pour me défaire le bras mais je ne fus passer assez rapide et la genre de créature vient me planter ses dents ou plutôt ses crocs sur ma peau. J'étouffais un cris de douleur dans un cris de colère avant d'éloigner la bête avec une boule de feu. « Dégage de là saleté ! » J'avais désormais un énorme trace sur l'avant bras droit, trace qui laissait échapper quelque goutte de sang. Il y avait été fort tout de même. Je passais rapidement l'éponge, me concentrant sur ma mère qui se trouvait plus loin. Je ne l'entendais toujours pas parler. Elle continuait simplement à me tendre la main. Elle me demandais simplement devenir vers elle avec plusieurs gestes. Je fini par descendre toutes les marches des escaliers, arrivant dans un immense couloir. Couloir avec de drôle de tableau. Je les regardais d'un air intriguer. Mais bon sans nous étions où ? C'était quoi ce monde ? Je savais que c'était comme un rêve et pourtant tout ce qui nous arrivait été bien réelle. C'était si étrange, les tableaux pourraient faire limite peur … Mais j'ai pas le temps de pensais quoi que se soit d'autre que j'entends un bruit de levier de déclencher. Je me retournais brusquement vers le seul gars du groupe avant que ma vue ne se fasse flou, quelque chose venait de me tomber juste devant les yeux. Je serrais forte la mâchoire alors que l'odeur venait jusqu'à mes narines et oh bruit de coquille qui s'éclatait sur ma tête … Des œufs pourris ? Sérieusement ? Des mes mains je venais enlever sur qui coulaient au niveau de mes yeux pour pourvoir voir un minimum quelque chose … Tombant nez à nez avec un Rumple qui me tendait si gentiment un mouchoir ! Je le pris alors rapidement lui faisant un sourire complètement faux.
J’essayais d'essuyer du mieux que je pouvais un peu les œufs pourris sur ma tête. Je ne fais même pas attention à ce qui se passait à côté de moi. J'en avais que faire que la femme blonde tombe à travers une trappe, elle avait qu'à regarder où elle m'étais ses pieds. Elle pouvait s'en sortir toute seul. En tout cas je ne viendrais pas à son aide ! J'en avais que faire de la femme qui se faisait mordre par un serpent. Ah non enfin de compte … Je n'en avais pas rien faire de celle là. Surtout quand elle renvoie le dit serpent en ma direction ! Je sentis la chose venir se resserrer autour de mon pied avant de me mordre lui aussi mais cette fois ci à la jambes. « Mais c'est ba vraie !! » Je fini pas le brûler complètement comme cela nous n'aurions plus à faire à lui. Ce serpent là du moins … « La prochaine fois faite attention où vous le lancer quand même ! » Me voilà maintenant mordu au bras, à la jambe et me retrouvant avec pleins de jaunes et de blancs d’œuf dans mes cheveux roux ET boucler. On dit que les œufs sont bien pour les racines des cheveux mais je suis pas sur que se soit réellement le cas avec des œufs pourris … En tout j'étais bien énervé contre les personnes qui m'entourait. Je ne viendrais en aide à personne s'il le fallait. C'était eux et moi chacun de son côté … Mais Rumple avec dans un sens raison. On voulait tous les même chose au final. Quittez cette endroit plus qu'autre chose. La seul personne qui avait l'air désolé pour moi était ma mère. Ma mère qui me regardait avec ses yeux doux. Ma mère qui avait de la peine pour moi. C'était la seul … Elle pouvait comprendre maintenant pourquoi j'avais du devenir une méchante. Si tout le monde autour de moi était méchant … Le seul moyen de réellement se défendre c'était de le devenir soit même …
J'avançais alors laissant les autres derrière moi. J'avançais jusqu'au bout de ce couloir essayant d'enlever un peu ce truc sur ma tête. Je laissais les autres se débrouiller, même la jeune blonde qui était tomber dans un trappe et qui criait pour qu'on lui vienne en aide. Elle était tomber toute seul par sa faute qu'elle s'en sorte toute seul aussi ! J'étais pas là pour faire la gentille. ici, c'était clairement pas mon rôle et encore heureusement ! J'avançais jusqu'à tomber dans un grande salle. Il y avait un genre de fauteuil au centre de la pièce, avec une personne sur la chaise. Une femme ... Un femme que j'avais pu entre apercevoir de temps en temps ... Ma mère adoptive était à côté de moi. Elle n'avait absolument rien prononcer depuis tout à l'heure.
Zelena : 90% avec de l’œuf sur la tête
Regina M. Mills
En réalité, je suis
La Méchante Reine
☂ Conte : Blanche Neige
☂ Emploi : Maire de la ville
☂ Camp : I just care about me
☂ True Love : Un certain renard ... Plus ou moins.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mar 15 Mar - 20:59
“And I lost a friend in the end, And I think that I cried for days, But now that seems light years away And I'm never going back To who I was. Cause I don't blame you anymore That's too much pain to store. It left me half dead Inside my head And boy, looking back I see I'm not the girl I used to be - When I lost my mind It saved my life"
Blackout. Comme une panne d’électricité. Les lumières s’éteignent, la télé se coupe, tous les petits bruits du quotidien se stoppent. Le silence. Plus rien ne bouge. Il fait noir. Il fait froid. Une ombre qui s’étend toujours un peu plus, un peu plus loin, un peu plus vite à chaque seconde. On ne voit plus rien, on a peine à respirer. Une angoisse s’étend dans notre poitrine, les battements de cœur accélèrent, les paumes se font moites, les jambes tremble et d’un coup, plus rien. Plus de sol sous nos pied, plus de toit sur notre tête, plus de droite, plus de gauche, plus d’avant, plus d’après. On existe plus. Personne. Daniel n’est pas réel. Regina n’est plus là. Lexy est absente. Seul reste le corps inhabité de l’ancienne reine, assis sur le sol, rigide, froid, un nuage de vapeur s’échappant de ses narines de temps à autre. Les larmes coulent sur ses joues, le long de son cou. Ses yeux ne clignent plus. Personne n’est là.
Lexy le réveille ; le corps reprend vite. Elle n’a pas vu Regina, elle ne sait pas où elle est, peut-être a-t-elle disparu, peut-être s’est-elle cachée. Elle n’en sait rien, elle s’en fiche, elle en a assez de protéger une femme aussi faible. Elle avait eu le pouvoir, la gloire, le succès, elle avait de la prestance, elle était puissante. Et maintenant … Et maintenant elle n’est plus rien. Maire ? Mais plus personne n’a de respect pour elle ! Même pas son propre fils. Lexy pouvait faire tellement mieux. Se servir du passé de son hôte pour se forger son propre avenir. Redevenir celle qui était crainte de tous, en mieux. Diriger la ville. Diriger les âmes, diriger les corps. Regina ne serait plus sa seule hôte. Oh non, au contraire. La ville serait à sa merci. Ses habitants aussi.
Elle se lève et, d’un mouvement du bras, son pyjama laisse place à une robe rouge surplombée d’une veste noir. Ses cheveux sont coiffés, son visage maquillé, même ses yeux rouges sont redevenus blanc. Personne, même pas elle si elle se regardait dans une glace, ne pouvait deviner que cinq secondes auparavant, elle était étalée sur le sol en train de pleurer toutes les larmes de son corps. Elle jeta un regard vers Daniel, il avait repris son air hautain, les bras croisés, la regardant comme si elle n’était rien pour lui, ce qui était surement le cas. Non, cet homme n’était pas le vrai Daniel. Daniel était bon, gentil, bienveillant, jamais il ne faisait de mal, jamais il ne se vengeait, jamais il ne rejetait la faute sur les autres. Quel est cet être ? De quoi est-il fait ? Un fantôme, une vision ? Est-elle peut seulement savoir, se douter ? Est-ce que son esprit peut comprendre le pourquoi, le comment de cette situation ? Surement que non. Peut-être que oui. Mais a-t-elle seulement le temps d’essayer de comprendre, ne devait-elle pas avant tout sortir d’ici, se libérer de ce cauchemar, se séparer de cet esprit…
La porte est ouverte. Clic. Elle s’ouvre seule. Des bruits de pas se font entendre dans le couloir. D’autres esprits ? D’autres personnes ? Elle se redresse et sort à l’extérieur, suit les ombres qui avancent devant elle, marchant jusqu’à un escalier sombre dont elle ne peut apercevoir le bout. C’est la seule issue, la seule sortie. Elle regarde autour d’elle. Elsa. Blanche. Gold. Paige. Elle connait tout le monde. Tout le monde, sauf une femme, grande, rousse, qu’elle n’a jamais eu le plaisir, ou la malchance de rencontrer. Mais tout cela n’est pas important, ces gens ne sont surement pas réel, ces gens sont surement des esprits, il regarde autour d’eux, dans le vide, comme s’il voyait quelqu’un qui n’était pas là. Certains marmonne, d’autre ont fraichement arrêté de pleurer. Lexy jette un regard vers Daniel. Il n’est plus derrière lui, il est devant, devant tout le monde, il descend les marches une par une, doucement, l’air sur de lui, comme s’il vivait ici et que cet escalier était illuminé de mille chandelles, réchauffant l’air de leurs lumières. Tout le monde avance et descend l’escalier. Lexy suit sans un mot.
Elle n’est pas concentrée. Du moins, elle ne se concentre pas sur ceux qui l’entourent. Elle se concentre sur Daniel, sur la pénombre, elle essaye de comprendre. D’un coup, sans qu’elle ne s’y attende, une main lui agrippe le bras et des dents s’enfonce dans le tissu de sa veste, dans sa chair. Elle tire d’un coup sec et les dents glissent sur sa peau. La marque de la morsure est sur sa peau, sur son habit. Le noir devient de plus en plus sombre au fur et à mesure qu’elle saigne. Elle continue de descendre. Sent en corps froid s’enrouler autour de sa jambe. Elle baisse la tête et aperçoit un serpent, rouge, taches blanche, elle se baisse pour l’attraper et il lui mord la main. D’un mouvement de la main, le reptile n’est plus, laissant place à un nuage d’écaille désordonné, plus de chair, juste des paillettes. Puis un trappe au plafond s'ouvre, et des œufs s'écrase sur sa chevelure désormais poisseuse. La rage monte quand Paige se moque ouvertement d'elle et l'envie de la décapiter sur place, comme son père avant elle, est tentante. Mais elle ne fait rien de cela. Au contraire, elle lui sourit, passe sa main au dessus de ses cheveux bruns. L’œuf disparait au fur et à mesure que sa paume se ballade et laisse place à une douce odeur de pomme.
Enfin ils sont en bas, devant eux, une porte. On l’ouvre. La pièce est grande, spacieuse, vide, une seule chaise se trouve en son centre, une femme est assise dessus. Lexy fait un pas en avant.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Jeu 17 Mar - 1:20
Voir mon père devant moi dans un état de folie me fout vraiment les chetons.. C'est horrible, les choses qu'il vient de me dire.. Je n'y crois pas.. Je n'ai jamais demander qu'il parte... Après que je lui ai donné mes excuses, la lourde porte s'ouvre. Tout en regardant celui qui est mon père, je me dirige vers celle-ci. Je l'ouvre doucement, pour en sortir. Mon père était à mes côtés sentant qu'il avait poser sa main sur mon épaule. -Tiens il fallait qu'il y ai cette sorcière ici.... Sans rien dire je le vois regarder en face de nous. Il y a cinq personnes... Je les connais presque tous sauf une femme aux cheveux blond et une autre brune .. Les trois autres sont Edouard R. Gold, Mary Margaret -enfin si je me souviens bien- et la fameuse Régina Mills.. celle que mon père tue du regard. Je le comprends vu ce qu'elle nous avait fait avant la malédiction. Je leur fis un signe de la tête et nous commençâmes à descendre un long escalier. Mon père est devant moi, ça lui faisait ni chaud ni froid cet endroit. J'ai l'impression que cette situation l'amuse.. Cette descente se fit s'en encombre mais pas pour tout le monde comme pour la fameuse Kelly green. D'un coup je vois la jeune femme blonde se faire happer dans le sol. Je me dirige rapidement mais trop tard il n'y avait aucune trace de trappe ou autre, les autres continuèrent leur chemin. Mon père s'approche de moi et me dit -Et en voilà une de moins, tu devrais faire attention ma petite. Je n'ai pas envie que ma fille chérie se blesse... Je ne sais pas s'il est sincère en disant ça, je reste méfiante. On se dirige vers une porte au fond d'un couloir quand mon pied appuie par mégarde sur une pierre piéger qui libére des oeufs pourris. Je vois mon père rire comme un fou, au début je ne comprends pas pourquoi mais quand j'aperçus Regina couvert d'oeuf pourris, un sourire de fierté et de vengeance se dessina sur mes lèvres. -vous vous êtes acheter un nouveau parfum Regina, ça vous va parfaitement et je m'excuse quand même je suis respectueuse au moins. Lui dis je sèchement en passant devant elle. Oui je lui en veux toujours de ce qu'elle a fait durant ma malédiction.... Je franchis après les autres la porte ou il y avait une femme assise sur une chaise au centre de la pièce.. Jefferson resta au près de moi. Une peur grandit au fond de moi mais j'espère quand même de rien de faire paraitre.... Grey WIND.
Spoiler:
je mets les couleurs d'écriture demain matin
Dernière édition par Paige G. Hatter le Lun 28 Mar - 17:38, édité 1 fois
Cora Mills
En réalité, je suis
Un simple inconnu
☂ Conte : La fille du meunier / Alice au pays des merveilles
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Ven 18 Mar - 23:06
It's Good To Be Bad
Enfin elle était là. Elle était dans ce monde étrange nommé Storybrooke. Il n'était pas question de chômer. Elle avait du pain sur la planche. Elle allait affaiblir tout le monde pour avoir le pouvoir. Le pouvoir primait sur tout. Le pouvoir était la seule chose qui n'était pas éphémère. Il guidait ses pas. A peine dans ce monde, à peine qu'elle ait respirer cet air étrange. Elle allait les affaiblir, leur montrer leurs pires regrets, leurs pires souvenirs. Et surtout les pousser à bout. Cora les observait, faisant tomber Elsa dans un piège étrange. Un sourire imperceptible vint naître sur ses belles lèvres avant de disparaître subitement. Elle regardait cette boule de cristal murmurant des mots. Elle était maître du monde qu'elle avait crée, qu'elle avait emprisonné . Les personnes qui pourraient mettre des batons dans ses roues ou tout simplement des personnes, qu'elle devait affaiblir pour créer la zizanie, et des discordes dans Storybrooke. Cora les observait tour à tour et décidait de commencer son travail. Elle voulait le pouvoir plus qu'autre chose. C'était la seule raison de sa venue. Son cher Rumple pouvait se faire du mauvais sang, et sa fille aussi. Regina allait prendre. Elle avait voulu la tuer. Elle, sa propre mère qui l'a tant aidé quitte à se faire haïr. Cora observait sa fille cadette depuis quelques minutes. Elle décidait d'opérer cela. Par le biais de la magie, elle rentrait dans le monde , son monde, qu'elle avait créé de toute pièce. Elle en avait le total contrôle de ce monde. Elle allait s'attaquer à sa fille, à son impertinente fille qui n'avait cessé depuis le jour de sa naissance à la désobéir et la décevoir encore et toujours. Par son contrôle, elle fit apparaître Henry devant sa fille cadette. Un Henry métamorphosé, ainsi qu'un Robin et un Daniel. Les hommes qu'elle aimait. Les hommes qui allaient la mener à sa perte face à sa mère. La faiblesse de sa fille était évidente. Sa faiblesse était un poison mortel que les Hommes aimaient s'enivrer. L'amour. Sa fille cadette était tombée dans le piège encore, la décevant encore plus.
L'alter-égo de Robin s'avançait vers une Regina qui se débattait avec les oeufs et son sang, un sourire méconnaissable aux lèvres. Un sourire montrant de la cruauté et du dédain. Cora eut un sourire mauvais en voyant cela. Les paroles s'entendirent de la boule de cristal.
- Oh Regina, dit-il d'une voix sombre, un sourire sardonique sur les lèvres. Regardes toi, décevant les personnes une à une autour de toi. Regardes toi dans le miroir, faible, lâche. Comment pourrais-je aimer une femme telle que toi. Une femme, enfin, une pourriture. A se demander pourquoi le destin t'a donné le mérite de naître. Tu es un monstre, Regina, un monstre. Tu mérites de mourir, déclara-t-il en caressant la joue de sa fille.
La main calleuse du banquier caressait la joue douce de sa fille avant de saisir férocement le menton et lui cracher en pleine figure. Il se relevait. Cora regardait sa fille figer, incapable de se servir de sa magie, incapable de bouger. La reine de coeur voulait la laisser au supplice. Regina viendrait la voir tôt ou tard. Le voleur semblait satisfait de sa tirade mais il décidait cependant de continuer. La lueur sincère dans son regard bleuté n'était plus, ne laissant qu'une lueur mauvaise.
-J'en ai plus marre que de réconforter, plus que marre de tes pleurnicheries incessantes. Peut-être devrais-je te trancher la gorge ou même, attends, prendre ton coeur et l'écraser, le mettre en poussière comme tu as fais. Tu me dégoûtes, le simple fait de te toucher me donne envie de te tuer de mes propres mains, déclara-t-il.
Il avançait les mains pour l'étrangler mais se ravisait laissant place à Henry qui regardait sa mère d'un air sombre et mauvais. Si loin du petit garçon.
-Il a raison, Regina, tu ne fais que décevoir tout le monde, tu as même déçu ta propre mère, ton propre père et même moi. Surtout moi. Comment peux-tu te réveiller tous les matins, te lever et te regarder dans le miroir en sachant ce que tu as fais. Il a raison, Gina, tu mérites de mourir, au moins, je me serais débarrassé de toi ! Déclara-t-il d'une voix sombre, n'exprimant qu'un désir jouissif d'être méchant avec sa mère.
Cora fut heureuse de la tournure des choses. Elle devait s'occuper des autres, de qui ? Blanche-Neige ? Peut-être bien. Pour la jeune fille au teint aussi pur que la neige, elle fit apparaître son père, le roi Léopold qui la fixait d'un air furieux, un air grave. Toute trace de bonté avait disparu.
-Tu m'as déçu Blanche-Neige. Comment as-tu pu faire ça ? A moi ? A ta mère ? Tu nous as déçu. Tu as abandonné là, où tu n'aurais jamais dû. A cause de toi, à cause de tes caprices, je suis mort. Ta mère est morte par ta faute aussi, ainsi que Daniel. Tu ne vois pas Blanche, ma chère fille ? Tu gâches le bonheur des autres, la vie des autres en prétendant une gentillesse mais tu es mauvaise Blanche, tu n'éprouves aucun remord de ce que tu as fait, tu te contentes de dire " désolée" mais cela ne rachète pas ce que tu as fais , tu es mauvaise ! Déclara Léopold d'une voix dure.
Le vieil homme posa son regard dans celui de sa fille. Il était dur, toute trace d'amour et d'admiration avait laissé place à l'amertume et le dégoût.
Cora observait la scène, elle s'occuperait des autres personnes plus tard. Elle était presque amusée, si elle aurait pu l'être. Voir ces personnes souffrir, lui procurait un faux semblant de sentiment. En cette soirée, elle allait les détruire pour reconquérir le pouvoir.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Jeu 24 Mar - 0:02
It's good to be bad
« Even if is the last thing I do. Cora must be die! »
Je regardais toutça blasé. J'allais dire quelque chose quand deux gardes m'empoignèrent. Ils me firent passer une porte et me jettèrent comme un vulgaire soulard qui cherche des noises dans une taverne. Oh le responsable de tout ça allait en payer le prix, croyez moi. J'étais trempais jusqu(à la moelle et pour cause j'étais en pleine mer. Précision en haute mer même, je ne distingué aucune terre à l'horizon. Enfin l'horizon, parlons en avec cette océan agité, j'avais du mal à voir... C'était quoi ce monde franchement? Je trouverai la réponse en temps voulu. Pour le moment fallait que je nage, vite, je voyais un aileron prendre ma direction, et vu les mouvement, je ne misais pas vraiment sur un dauphin... Je vis alors un peu plus loin une frégate apparaître, j'avais une cinquantaine de mètre à nager enfin à vue de nez... J'allais le plus vite possible avec cette mer agitée. Poussé sans doute par l'énergie de pas vouloir me faire bouffer par un requin. Je le sentais, ici la magie n'avait pas d'effet, ma jambe me faisait toujours autant souffrir... J'attaignais le navire avant que le requin ne m'attaigne. Je me hissais avec difficulté à bord. Je savais une chose, ne jamais monter à bord sans s'annoncer ni avoir l'accord du Capitaine, mais bon on allait pas faire ça dans l'ordre cette fois. Etrangement, le pont du navire était désert. Je disais assez fort quand même.
- " Excusez moi? "
Pas de réponse... Je m'adossais alors sur le navire, ma jambe me portant difficilement et je devais reprendre mon souffle... Vivement que je retrouve mes pouvoirs... Cette faiblesse ne me sied guère...
Code by Wiise sur Never-Utopia
Mission : 100% Vie Rumple : 100%
Elsa Snow
En réalité, je suis
Elsa d'Arendelle
☂ Conte : Frozen / OUAT
☂ Emploi : Sculptrice de statues de glace qui ne fondent pas.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Jeu 24 Mar - 1:18
It's Good to be Bad
Elsa & Cie
Je n'aime pas les cauchemars...
Bon, la trappe était fermée. Donc, j’allais devoir me débrouiller toute seule. Hurlant, je sentis la limace me tourner autour des chevilles, furieuse, je regroupe mes deux mains et lui balance de la glace en pleine tête (si si ça a marché, à basse influence) et la limace m’a finalement laissé tranquille. Soupir. Soupir 2. Soupir 3. « Super ? Et maintenant ? Je sors par où ? », je lève la tête. La trappe. Je peux pas remonter. Bon, dernière solution, tenter le fond. Après tout, dans les films c’est comme ça souvent. Je prends une respiration et plonge dans l’eau avant de finalement trouvé une sortie dans la roche. Je m’y glisse avec difficulté et après quelques mètres de nage, je réussis à sortir la tête de l’eau en prenant une bonne respiration.
Bon, j’étais trempée, ça c’était certain. Je me hissa donc sur la berge avant de me rendre compte que j’étais dans une grotte. Des lianes, des accroches au mur pour grimper. Je baisse les yeux et les pose sur une boussole géante avant de lever le regard et de découvrir quatre portes. Une au sud, une au Nord, une à l’Est et une à l’Ouest « Le froid est pour moi le prix de la liberté. Je vais au Nord. », je promène mon regard le long de la grotte pour voir comment grimper et m’approche finalement du mur avant de commencer à grimper ayant relever ma trène pour pas me la prendre dans les pieds. Une fois arrivée en hauteur, je pose mon regard sur la porte au Nord et comprends que je vais devoir me balancer avec la liane.
« Bon…Allez Elsa. Tu peux y arriver. », je respire longuement avant d’attraper la liane et de me lancer. Après tout, la porte n’était pas très loin. Je m’élance et pose mes deux pieds de l’autre côté manquant de tomber mais réussissant à me rattraper, je fini le voyage sans encombre. Je pose la main sur la poignée et l’actionne avant de me retrouver dans une pièce très chaude. Là pour le cou, j’étais sur le cul. De la lave. Un pont très petit, une porte avec de la lumière au bout. « Bon je peux plus faire marche arrière de toute manière. », je m’élance donc, ne me sentant pas très bien dû à la chaleur, en même temps, j’ai jamais été très à l’aise quand la température dépasse 15 degrès. Alors que j’avance sur le pont, tout tourne autour de moi et je finis par tourner de l’œil, tombant dans la lave mais au lieu de finir en poulet roti, un robot me sauve la vie en me portant dans ses bras.
Volant jusqu’à la porte, il me dépose, je me retourne et le remercie avant d’actionner la poignée et de m’avancer. Levant les yeux, je me rends rapidement compte que je suis sur… « un navire ? », est-ce-que je suis en train de rêver ? Je n’en sais strictement rien mais apparemment, ça à l’air. Enfin bon, j’avance donc, regardant autour de moi, le pont de la frégate, totalement désert « Eh oh, il y a quelqu’un ? », je lève les yeux et les posent sur Anna et mes parents, ils sont là eux aussi, près de la barre. Je m’approche et me rends rapidement compte qu’ils ont le visage tuméfié, ce qui me fait faire un pas en arrière « Père ? Mère ? Anna ? Mais…Que vous est-il arrivé ? », mes yeux sont grand ouverts, je les regarde, c’est un cauchemar, ce n’est pas possible…
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Jeu 24 Mar - 20:42
[Mission] It's Good to Be Bad × ft. Snow & les autres
Tout le monde est là et c'est vraiment perturbant de se rendre compte que quelque chose cloche. Pourquoi nous réunir dans le même rêve enfin cauchemar ? Et qui pourrait bien vouloir nous faire mal à tous ? Je décide de garder la tête froide, mais quand Regina et Zelena se prenne des oeufs pourris sur la tête, un rire s'échappe de mes lèvres. Rire que je réprime aussitôt. Mon fantôme de Regina, elle émet un reniflement dédaigneux, comme si elle n'en revient pas que son homologue soit si … empoté ? On arrive dans une salle alors étrange, vraiment je me pose de plus en plus de question sur la finalité de tout ceci, pourquoi nous faire souffrir de cette manière ? Mais je regrette tout de suite ma pensé quand mon père se présente devant moi sous la forme d'une sorte de fantôme. Je le regarde, je souris, mais ce que je vois dans ses yeux me font tout de suite comprendre que je ne vais pas aimer la suite. Pourtant je ne m'attends pas à ça. J'ai toujours voulu respecter la mémoire de mes parents et suivre leur conseil, être courage, bienveillante et ne pas faire le mal alors pourquoi tous ses reproches. Sans pouvoir les empêcher -et sans réellement le vouloir- je sens des larmes couler le long de ma joue.
–Père … père vous ne pouvez pas dire ça ! Je n'ai pas tué Mère, elle … elle était malade et je n'ai pas le pouvoir de la rendre malade ! Et Daniel, c'était un accident. Comment j'aurais pu savoir que ça se passerait comme ça ? Comment j'aurais pu savoir que Cora était qu'une horrible garce ?
Les larmes continuent de couler sur mes joues, j'essaie de montrer que tout n'est pas de ma faute, mais je m'empêtre dans mes explications et finalement une petite flamme me murmure à l'oreille, comme pour que personne n'entende. « Finalement ton père a peut-être raison, tu es un monstre et c'est à cause de toi que tous sont morts. » Je ne veux pas la croire, mais pourtant une petite pointe de glace s'enfonce dans ma chaire avec cette idée et je me mets à haleter. Je regarde la salle complètement affolé, les pieux, les murs végétales verdâtres, les gardes morts-vivants. Je ne fais attention à rien, tout s'emmêle dans mon esprit et finalement, je me mets à courir. Mon père a disparu, mes fantômes aussi et je me sens seule, aussi seule qu'il est possible d'être dans un cauchemar de cette envergure. Les gardes tentent de m'arrêter mais une poussée d'adrénaline me prends et je me mets à pousser des trucs et donner des coups pour passer à travers leur masse. Je me souviens pas réellement de comment j'arrive à atteindre la porte, mais je sais que je dois l'atteindre. Je dois sortir de cet enfer et cette lumière est mieux que l'obscurité. Malheureusement une petite voix me susurre au creux de l'oreille. « Tout ce qui est obscur n'est pas forcément le mal et tout ce qui est lumière forcément le bien. » Mais je l'ignore, je sais que je vais sortir de cette enfer par cette porte !
Je la passe et me retrouve soudainement devant le vide, malheureusement je n'ai pas le temps de freiner et moi voici emportée dans mon élan. Je tente de me raccrocher à quelque chose, mais je n'y arrive pas et tombe. Le choc en entrant dans l'eau et tellement puissant que je reste un instant engourdit. Je regarde autour de moi, l'eau est profonde, je n'en vois pas le fond, mais surtout tout est clair, d'un bleu que je n'ai vu nul par ailleurs. Puis je me souviens que si je ne veux pas mourir noyer, j'ai plutôt intérêt à remonter à la surface. De quelques mouvements de jambes, je me remets à respirer de l'air et mes poumons remercie l'oxygène en rentrant dans eux. Je regarde autour de moi et me mets à nager vers le navire que je vois un peu plus loin. Tout à l'air calme, mais ces dernières minutes, on réussit à me prouver que tout n'était pas forcément ce que l'on croit. Je continue de nager et quand j'arrive dans face du bateau, je remarque une corde. C'est donc par la qu'il faut que je passe ? Je soupire et remue mes membres douloureux.
Plusieurs minutes après, je me retrouve sur le pont, ma chemise de nuit trempée et surement quelque peu transparente, l'esprit embrouillé et les bras douloureux. C'est sur ce même bateau que réapparaisse mes apparitions, je frissonne en me mettant à côté d'eux et regarde autour de moi. Je ne crie pas, je me contente de regarde et de chercher le capitaine ou quelques choses comme ça, mais rien, seulement le silence et le vent.
–Vous pensez qu'il y a quelqu'un dans ce rafiot ? Non parce que je n'ai pas vraiment les surprises qu'on nous donne depuis tout à l'heure. –Nous sommes tes apparitions Snow, tes hallucinations, tes fantômes appellent nous comme tu veux. Mais nous ne sommes pas là pour te dire ce que tu dois faire, seulement pour être à tes côtés.
Mais ce qu'elle me dit me rassure guère, parce que la personne qui a fait apparaître mes fantômes pourraient tout aussi bien les transformer en je ne sais quoi qui nous tue. Je continue de marcher sur le bon et avance vers le proue du navire, ou la poupe. Autant dire que je ne sais pas trop. C'est à ce moment là que je voix Rumple et la femme en bleu de tout à l'heure.
–Vous savez ce qu'on fait ici ?
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Sam 26 Mar - 20:23
It's Good to be Bad
Mission
Cette femme … Je restais plutôt dans le coin de la salle. Essayant d'enlever les œufs que j'avais encore dans le cheveux. Mon visage se durcissait de plus en plus. La c'était le pompon ! Déjà que je devais supporter le ténébreux et Regina – même si cette dernière n'avait pas l'aire d'être la même – je devais aussi me coltiner cette femme qui était sois disant ma mère biologique ? Je la regardais avec une regard noir malgré qu'elle ne me voyait pas. Trop occupée sur son fauteuil à sans doute s'en prendre à sa chère fille et à la sois disant blanche neige. D'ailleurs en parlant de Regina … Elle n'avait pas l'aire d'être la même. Je ne sais pas qu'est-ce qu'il lui arrivait mais elle avait l'air beaucoup plus froide que d'habitude. Aucunes émotions de pouvaient être aperçu à la surface de son visage. Elle était différente. C'était comme si son corps était la mais que son esprit complètement ailleurs. Était-elle même réelle ? Est-ce que tout cela était réelle ou simplement un simple rêve ? Ou même cauchemar plutôt … Je penchais pour la deuxième solution. J'allais sans doute me réveiller un moment ou un autre. Tout cela serait simplement de la pure imagination par mon cerveau qui veut me faire souffrir. C'était un simplement cauchemar. Je me trouvais endormie dans mon lit. Si je n'étais pas en plein cauchemar comment expliquer le fait qu'une genre d'hallucination de ma mère adoptive venait me hanter. Comment expliquer le fait que les autres parlait tout seul comme un une personne imaginaire. Une personne que je ne pouvais pas voir. Allez Zelena, ce n'était qu'un cauchemar c'est tout. Pourtant j'arrivais à ressentir énormément d'émotion, tout ceci avait l'air si réelle. Tellement vraie … Un cauchemar si réaliste.
Je ne faisais pas attention à ce qui se passait. J'hésitais à utilisé ma magie pour m'enlever ce truc visqueux sur ma tête. Je sentais que la magie n'était pas vraiment la même ici. J'avais pas forcément fait attention lorsque je m'étais changée. Et encore ce n'était pas grand chose de se changer. Je n'avais pas envie que cela dérape. Pas forcément pour les autres ! Si j'utilisais mes pouvoirs et que cela finissait pas blesser une personne, c'était même tant mieux je veux dire. Non c'était pour ma propre pomme que je ne voulais que cela dérape. Je ne sais pas qu'est-ce que cela pouvait faire exactement et je voulais tout de même rester en vie. C'était moi d'abord et ensuite les autres. Non que dis-je ! C'était moi et rien que moi. J'en avais rien à faire des autres, ils pouvaient bien tous mourir les uns derrière les autres que cela me ferait ni chaud ni froid. Ce qui était dommage était que le ténébreux ne pouvait pas mourir … Lui ! Et pourtant j'avais tellement en vie que se soit lui qui meurt en premier. Cela serait tellement jouissif ! Tellement plaisant ! Mais c'est déjà raté d'avance … A moins que quelqu'un arrive mystérieusement et je ne sais comment à avoir sa dague dans les mains. Je me souvenais de quand il avait voulu choisir Regina pour lancer son sort noir. Comment il avait regretter lorsque je lui avais dit avoir ce qu'il voulait. Un moyen de quitter le monde des contes pour venir dans le monde sans magie. Comment il avait regretté quand je lui avait montré la soulier d'argent. Trois coup de talon, une pensée vers l'endroit où on veut aller et POUF on disparaît. C'était si facile à utilisée et cette une sorte de magie quelque blanche. Il n'y avait pas de retour de balle avec ses chaussures. Malheureusement cela avait trop tard pour lui. Il avait essayé de me prendre mon cœur, mais j'avais si facilement évité. Il n'aurait pas du m'apprendre tous ces petits tours de magie. Il n'aurait pas du me rendre plus puissante. D'accord, il était la ténébreux, mais ce qu'il avait véritablement plus que moi était l'immortalité et sans doute un peu plus de connaissance. Connaissance dont il avait partagé la plus grosses parties avec moi.
En tout cas, j'arrêtais vite de m'enlever le truc sur mes cheveux roux, lorsque des pieux commençaient à apparaître tout autour de nous. Les portes se mirent à claquer, se refermant derrière nous. Elles étaient d'un seul coup recouverte d'un mousse étranges à l’apparence visqueuses. Des genres de gardes étranges survînt alors nous entourant eux aussi. Ils étaient comme des morts vivants. Ce monde était de plus en plus étrange. Je n'aimais quand la situation n'était pas sous mon contrôle. J'avais horreur de cela. Une lumière blanche apparut alors au loin. Mais je ne pouvais pas bouger, les gardes allaient m'en empêcher, j'en étais persuader. J'allais essayer tout de même de faire un pas lorsque la dalle qui se trouvait sous mes pieds se dissipa, laissant apparaître un vide. J'avais l'impression que le temps s'était arrêter. Avant de reprendre brusquement et de me faire chuter. J’atterrissais brusquement sur quelque chose en pente qui me fit glisser. Chouette ! Un tour de toboggan ! Je vous jure que j'allais tuer quelque dans ma très longtemps. Je glissais toujours avant me recevoir de nouveau quelque chose sur la tête. Quoi ? Des déchets ? Je me retrouvais avec des peau de banane sur la tête, des cartons, des restes de nourritures. Déjà qu'avec les œufs pourries je ne sentais clairement pas très bon ! Mais alors là c'était le summum. Mon visage se crispa sous la colère, sous la haine. Je lâchais un crie de rage face à la situation, venant de mes mains enlever tous les morceaux que j'avais sur la tête alors que je continuais de glisser encore et encore.
Je ne sais pas j'avais glissé pendant combien de temps mais je vis rapidement un lumière au bout de ce toboggan. De l'eau se dessina en face de moi. Et bien c'était l'heure de la douche. Avec le vitesse que j'avais pris, je me fis expulser du truc. Je n'ai pas le temps de me redresser que je tombais dans l'eau dans un magnifique plat ventre. Je suis sur d'avoir toucher un mouette aussi ! Tenez regardez elle est entrain de s'envoler en poussant des gémissements. C'est pas toi qui viens de vair un plat saleté ! Et tu avais cas partir avant que j’atterrisse sur toi aussi … Je restais un peu sous l'eau essayant d'en profiter pour enlever le plus déchets possibles. Toutes traces d’œufs pourris étaient partie. Une fois un peu plus propre je venais remonter à la surface prenant un grosses respiration. Je sentais brusquement quelque chose venir me piquer au niveau de mon avant bras. La plaît dans lequel la chose avait mordu était ouverte. Le sang s'y échappait et l'eau salée venait me piquer. Je vis un bateau plus loin. Le coin était infesté de requin. Ils étaient sans doute attiré par mon sang. Je pouvais voir les ailerons hors de l'eau. Mon regard allait du bateau à ses bêtes et de ses bêtes au bateau. Mon cerveau fusait. D'un seul coup, je commençais à nager le plus vite possible. Je devais sortir de la avant de me faire dévorer. Pourquoi l'odeur puant que je traînais ne pouvait pas les éloignés de moi ? Hein ? Pourquoi ? Je faisais le plus rapidement possible. Complètement essoufflé, j'arrivais au niveau du navire avant de grimper le plus vite possible. Je finissais ma course en passant par dessus la rambarde, venant tomber allonger, lourdement, sur le sol. Je reprenais doucement ma respiration, ralentissant les battements de mon cœur par la même occasion. Je me relevais quelques minutes plus tard. Mes vêtements étaient complètement trempés et j'avais depuis longtemps maintenant perdu mon chapeau maintenant. Les gouttes tombaient les unes après les autres. Comme lorsque j'étais dans ma cellule. D'ailleurs, cela faisait longtemps que je n'avais pas revue ma mère. Ou plutôt l'esprit de ma mère. Elle était morte ! Elle était morte, elle ne pouvait pas se trouver ici en face de moi. Je savais que se n'était pas exactement elle. Je venais essorer mes vêtements au maximum alors qu'un flaque venait se former tout autour de moi. Je fini par enlever mes chaussures, me retrouvant un nouvelle pieds nus. Cela était si désagréable de marcher avec des chaussures totalement trempées qui grincent à chaque pas fais.
Je regardais les environs, comment le bateau était fait avant de voir que tout le groupe se trouvait eux aussi ici. Je lâchais un soupire. J'allais réellement me les coltiner jusqu'à la fin ? Merci mais je préférerais même essayer de faire amis amis avec les requins … D'ailleurs la femme avec la robe bleu s'en était sortie tient. Un sourire apparue sur mon visage lorsque je voyais l'état dans lequel se trouvait Rumple. Tien il n'arrivait mystérieusement plus à tenir sur sa jambe ? Il était adossé à l'un des mats. Je croisais mes bras sur ma poitrine avant de lui dire. « Alors on arrive plus à tenir debout ? Cela fatigue trop ? » En ce moment il était faible. Je voyais bien qu'il n'était pas vraiment ravie et pourtant moi j'étais si heureuse de le voir dans cet état !
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Lun 28 Mar - 17:48
Nous sommes tous arrivé dans une salle où il y avait une porte au fond mais gardé par des personnes si j'ai bien vu, j'observe quand même les alentours pour voir s'il n'y avait pas une autre sorti ou autre. Je vois mon « guide » enfin mon père qui me fait signe d'aller par la porte qu'il y a derrière les garde, je décide d'y aller par un espace, mais sans savoir pourquoi je me retrouve au sol plaqué au sol, respiration coupé... « Mais lâchez moi bande de brutes !! Je ne pouvais même pas me débattre, ma tête avait touché le sol assez violemment, je suis comme assommé à cause du choc « Ma tête » ils me font mal en plus.. D'un coup ils me traînent, je ne sais où pour ensuite me surélever et me balance dans le vide . « Au secours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! » L'odeur est insoutenable c'est pas vrai, ils m'ont balancé dans le vide ordure, je les hais !! Si je les croise je me vengerai.. ; Durant ma longue glissade, j'aperçois au loin une immense toile d'araignée, ma phobie la plus extrème … Je ne peux même pas l'éviter, je la franchis, je ne peux même pas m'empêcher de pousser un cris quand je remarque que l'habitante de celle-ci est sur mon ventre, elle est HIDEUSE !! j'essaye comme je peux de la jarter de la, les larmes aux yeux , je réussi avant de tomber dans de l'eau.. Okay où est-ce que je suis maintenant... De loin, il y a des ailerons de requin..Pourquoi nous étions là !!!.. La peur me prit direct, je nage directement vers un navire qu'il y a au loin.Au bout de cinq minutes, j'arrive à monter avec du mal sur le bateau où les autres se trouvaient également. Essoufflée, Jefferson m'attendait, lui au moins n'a pas parcouru un conduit d'ordures ! Il me fait signe de la main, la mer, je peux voir des bulles sur le flanc babord du navire. « Sérieux, mais qu'est-ce qu'il nous attend encore... »
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mer 30 Mar - 18:45
“And I lost a friend in the end, And I think that I cried for days, But now that seems light years away And I'm never going back To who I was. Cause I don't blame you anymore That's too much pain to store. It left me half dead Inside my head And boy, looking back I see I'm not the girl I used to be - When I lost my mind It saved my life"
Cora. C’est elle qui se trouve assise, au milieu de la pièce. Elle semblait fausse, comme une image projetée sur un écran de fumée. Lexy relève la tête et sa lèvre tremble de colère. Cette femme. L’origine de tous. Le ténébreux n’est qu’un petit chiot face à l’esprit machiavélique de la reine de cœur. Cette femme veut faire souffrir les autres. Elle veut le pouvoir. Rumpelstiltskin, lui, semble au moins doué de sentiments. Cora n’a jamais rien ressentit. Après tout, si c’était le cas, n’aurait-elle pas au moins aimé sa fille ? Sa propre fille qui a toujours tous fait pour que sa mère soit fière d’elle. Mais non, ce n’était jamais assez. Il y avait toujours mieux, il y avait toujours plus ! Regina aurait pu sauver la vie de Cora que cette dernière aurait tout de même trouvé quelque chose à lui reprocher.
Trois personnes apparaissent. Robin. Henry. Leopold. Lexy les toisent du haut de ses talons. Elle sait qu’ils ne sont pas vrais. Elle le voit dans leurs regards. Elle est heureuse que Regina ai disparut. Il ne manquerait plus qu’elle ne craque. Qu’elle pleure. Qu’elle s’effondre. Robin s’approche. Il faut la tuer ? Quelle pensée amusante. Si c’est le cas, alors pourquoi ne pas le faire ? Tant de paroles qui disparaissent dans les airs. Aucun de ses ennemies n’a jamais eu le culot de lui enfoncer une flèche dans le cœur. Oui, ils ont essayé. Elle les a toutes esquivées. Mais si ces flèches l’avaient touché, auraient-ils seulement été heureux ? Auraient-ils été heureux de la voire morte ? Peut-être. Mais ils étaient si faible que la pensée d’avoir tué quelqu’un, même si c’était la méchante reine, les hanterais toute leur vie.
Robin lui crache au visage avant de s’éloigner. Sans un mot, Lexy s’essuie avec la manche de sa veste. Il veut jouer … Jouons.
Elle laisse Henry sur le côté, l’ignore. Après tout, il n’est rien. Rien que l’image d’un petit garçon qui ne mérite pas l’amour que l’on peut lui porter. Non, elle se concentre sur Robin. Il la regarde comme s’il était invincible. Avance sa main comme pour l’étrangler, mais fini pas reculer, sans même que la brune n’est à bouger. Faible. N’a-t-il donc aucun bon vouloir ? Il veut la tuer, qu’il agisse. Qu’il agisse ! Qu’il cesse de rester là à se plaindre, et qu’il se mette en action. Henry parle, mais Lexy l’ignore. Elle a d’autres chats à fouetter, des chats plus importants. Elle sourit. Le sourire dont elle a le secret et qui n’apparaitrait jamais sur son visage si c’était Regina aux contrôles. Elle ferme les yeux et se met à rire, d’abord silencieusement, ses épaules secouées par de légers éclats de rire. Puis elle finit par entrouvrir les lèvres, riant doucement. Une larme apparait dans le coin de son œil, elle l’enlève du bout des doigts. « Ah, Robin. Tu es tellement drôle. »
Elle s’approche de lui et pose sa main sur son épaule. « Tu veux que je meurs ? Pauvre de toi … » Elle tourne autour de lui doucement, s’arrête quand elle se trouve dans son dos. Elle approche ses lèvres de son oreille pour lui chuchoter quelque mot. « Tu es tellement drôle. » Elle le repousse pour se rapproche d’Henry. Elle lui attrape les cheveux et lui relève la tête. « Quant à toi, tu devrais peut-être agir, au lieu de parler. Tu veux être un héros ? Alors soit celui qui tuera la méchante reine. » Elle le relâche et le pousse à son tour, l’observant avec satisfaction alors qu’il tombe sur le sol.
Derrière elle, Daniel se met à applaudir. Il riait aux éclats, observant la scène. Il lève son pouce vers Regina quand elle se tourne vers lui, avant de se concentrer sur Blanche qui pleurait au sol. Pauvre idiote …
Les murs changent, des pointes en sortent, une mousse verte pousse. Des gardes apparaissent, la porte se referme dans un grand bruit. Il fait sombre. Les zombies se rapprochent de chacun d’eux, certains fuient, d’autres disparaissent dans le sol. Une trappe s’ouvre, Lexy l’évite, mais on la pousse et elle tombe dedans. Elle chute, ou plutôt elle glisse, et alors qu’elle essaye de s’agripper à une branche elle entraine avec elle un serpent, un anaconda, un gros reptile d’au moins cinq mètres et qui doit peser plus de cent kilos. N’en étant pas une à avoir peur des serpents, elle se contente de le lâcher, chutant désormais avec son compagnon d’infortune. Le serpent s’enroule autour d’elle, l’air heureux d’avoir de la compagnie, et essaye de se glisser entre sa veste et sa robe. Lexy n’a même pas le temps de réagir que les deux compères tombent dans l’eau.
Il lui faut plusieurs secondes pour reprendre ses esprits. Les yeux grands ouverts, entièrement dans l’eau, elle aperçoit le serpent qui nage vers la surface. Sans arrière-pensée, elle s’accroche à lui et le laisse la remonter. Elle sort la tête et remplis ses poumons d’air, regardant autour d’elle, essayant de se rappeler ce que disait les professeurs d’Henry quand il était à la piscine. Elle se maintient à la surface tant bien que mal, respirant rapidement, et voit au loin un bateau, un navire, flottant sur l’eau, sans bouger, l’air complètement vide. Elle essaye tant bien que mal de nager vers le navire, le serpent nageant autour d’elle tel une anguille, et lorsqu’il disparait de sa vue, elle le sent s’enrouler autour de sa jambe. Le poids la fait couler : surprise, elle boit la tasse, tousse dans l’eau, s’étouffe. Elle se secoue mais le serpent ne lâche pas, il continue de s’enrouler autour de sa jambe, le long de son mollet puis de sa cuisse. Elle finit par lui donner un grand coup de pied, ce qui a le mérite de le faire lâché prise immédiatement. Lexy remonte alors à la surface pour respirer, continuant de tousser.
Elle peut voir le serpent qui remonte à la surface, la regardant de ses yeux bruns. « Nan mais tu veux ma mort ? » finit-elle par crier, ayant eu peur pour sa vie pendant ces quelques minutes passées sous l’eau. Le serpent se replie sur lui-même, comme s’il avait compris. La brune se contente de lever les yeux aux ciels, reprenant sa nage vers le bateau. Le reptile la suit, d’abord à côté d’elle, puis devant, enroulant bout de sa queue autour d’un des poignets de la jeune femme afin de l’aider dans sa nage. Lexy ne dit pas non à un peu d’aide, et bien vite, elle finit par atteindre le bord du navire. Une échelle se trouve à un mètre au-dessus de l’eau, comme posée là afin qu’elle et qu’elle seule monte.
La reine attrape le premier barreau et se hisse sur l’échelle. Elle voit le serpent qui se met à tourner dans l’eau, paniqué. Elle retourne dans l’eau. « C’est bien parce que tu m’as aidé espèce de bon à rien. » Elle sait qu’il doit peser lourd, mais qui ne tente rien n’a rien, alors elle l’aide à s’enrouler autour de son cou, sur ses épaules. C’est là qu’elle remarque à quel points il est maigre, on voit sa colonne vertébrale, ses côtes, et sa tête est plus large que tout son corps. Finalement, il ne dépasse pas les cinquante kilos. Le serpent sur les épaules, elle attrape le premier barreau des deux mains et se hisse à la force de ses bras. Elle réussit à attraper le deuxième barreau. Heureusement que ses veines sont envahies d’adrénaline, sinon elle n’aurait pas réussis à monter. Dès qu’elle pose sont pieds sur l’échelle, il est tout de suite plus facile pour elle de monter. Arrivée presque en haut, elle enlève le serpent d’autour de son cou et le jette sur le navire, montant après lui.
Ils sont tous là, ils l’attendent, ça se moque, ça s’observe. Lexy laisse échapper un soupir las. Heureusement que ce serpent aux écailles aussi rêche que la peau d'un kiwi est là, sinon elle s’ennuierait. D’ailleurs, il se gratte contre sa jambe, lui permettant de voir qu’elle a perdu ses chaussures dans l’eau. Tant pis. De toute manière, elles auraient été fichues. Sans un mot, la brune essore ses cheveux et sa veste. Heureusement qu’il n’y a pas de vent car sinon, mouillée comme elle l’était, elle tremblerait comme une feuille. « Bon aller Kiwi, lâche moi un peu ! » dit-elle à serpent qui lui chatouille les oreilles, le poussant plus loin du pied. Il revient à la charge et pose sa tête sur son pied, sortant sa langue fourchue de temps en temps.
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Dim 3 Avr - 17:10
[Mission] It's Good to Be Bad × ft. Snow & les autres
Après moi, arrive Zelena et je me dis que pour une fois tout le monde, gentil et méchant son logé à la même enseigne. Nous sommes tous en train de souffrir, tous en train de tenter de survivre. La jeune femme brune monte et je reconnais Paige, la fille de ce cher Chapelier. Je regarde alors Regina arriver … avec un anaconda. Je ne sais pas qui est la personne qui nous a réuni, mais elle adore les serpents et sincèrement je suis presque sûre de ne pas l'aimer. Je ferme yeux un instant, ressentant une grande fatigue. Je m'approche du côté pour m'adosser, juste le temps de me reprendre un peu. Soudainement, il y a un gros choc contre la paroi du navire et des bulles apparaissent dans l'eau et je ne sais pas pourquoi, mais je suis presque sûre que ça n'augure rien de bon.
–Si vous voulez mon avis, il y a quelque chose de gros qui va apparaître et je ne sa pas pourquoi, mais je sens qu'on va avoir des gros problèmes.
Je n'ai pas le temps de finir ce que je veux dire que des tentacules s'enroule autour de moi et me font sortir du navire pour plonger sous l'eau. Surprise, je n'ai pas le temps de prendre une inspiration, du coup l'air dans mes poumons s'appauvrit et peu à peu je sens la vie me quitter. Mais la sensation de maintient disparaît et je remonte aussi vite que possible vers le eau. Je prends deux grandes goulées d'air avant de mettre la tête sous l'eau pour voir ou se trouve la chose qui m'a attrapé. Je vois la pieuvre qui s'enfuit et en regardant vers le bateau je comprends pourquoi, une baleine immense se trouve près du bateau. Je remonte à la surface et juste avant de retrouver mon élément naturelle, je vois un oeil qui se focalise sur moi.
–Et merde !
J'avais dis que c'était pas bon. J'attends le choque, mais la seule chose qui me frappe, c'est la force de l'eau quand la baleine saute à côté de moi. Je me sens être prise dans un tourbillon et rejeté vers la falaise dont j'ai dégringolé. Là, je regarde le navire et quand je vois l'ombre de la baleine se rapproche du bateau je suis bien heureuse de ne pas être à l'intérieur. Et puis dans un sens, grâce à moi ils sont au courant maintenant.
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Dernière édition par Mary-Margaret Blanchard le Mar 17 Mai - 19:15, édité 1 fois
Elsa Snow
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Lun 4 Avr - 0:18
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Elsa & Cie
Je n'aime pas les cauchemars...
Ils étaient tous là, je n’y comprenais plus rien mais je ne pouvais m’empêcher d’avoir le regard sur Anna et mes parents, l’image qu’ils reflétaient me faisait mal au cœur mais je n’eu pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Je vis Regina monter dans le bateau avec un serpent sur les épaules « Je déteste les serpents… » dis-je simplement avant de voir des bulles tout autour du navire et entendis Blanche Neige dire que ça sentait pas bon du tout « Oui, je confirme, je sens qu’on file droit à la catastrophe. », bon niveau navigation, j’étais une grosse nulle donc fallait pas compter sur moi pour naviguer. Enfin bref, je m’approcha de la rambarde et remarqua la queue de baleine replongeait dans les profondeurs de l’eau trouble « C’est pas bon ça… », des tentacules entourèrent Mary avant de la plonger dans l’eau avec elle, ce qui me fis me reculer de la rambarde.
Le bateau ne cessait de bouger, ça allait finir par me donner le mal de mer. Mais alors que je me pensais hors de danger, le serpent de tout à l’heure tournoya autour de ma cheville avant de tenter d’emmener avec lui par-dessus bord, me faisant chuter lourdement sur le sol « Au secours ! Je déteste les seeeeeeeeeeeerpents ! », je regardais autour de moi et tenta de m’accrocher à quelque chose et finalement, je remarqua qu’un crabe venait de pincer le serpent et de me libérer mais alors que je me releva, je sentis la pince du crabe se refermait sur ma cheville « Aieuhhh ! » dis-je avant de lui balancer de la glace en pleine tronche, le faisant reculer de plusieurs kilomètres. Le bateau continuait de tanguer dangereusement et vu l’ombre de la baleine qui s’approchait, ça sentait pas bon « FAUDRAIT MIEUX BIEN S’ACCROCHER ! » dis-je avant de m’accrocher à l’une des cordes du bateau.
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Elsa: 70%
Grace Hatter
En réalité, je suis
La Fille du Chapelier
☂ Conte : Alice au pays des merveilles (version Ouat)
Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Mar 5 Avr - 15:17
It's Good To Be Bad
Sa robe écarlate comme un coeur effleurait le sol dans un léger bruissement hypnotique. Dans sa boule de cristal, elle apercevait sa fille ricaner face au comportement malsain de ce maudit voleur. Elle arquait un sourcil, intriguée par cela. Etait-ce une duperie de la part du capitaine Crochet ? Etait-ce sa fille qui avait décidé d'être forte dans ce monde ? Elle eut un demi-sourire qui s'effaçait doucement. Sa fille allait payer ce qu'elle avait fait, elle prendrait pour son grade comme Rumplestilskin. Tout le monde allait prendre pour son grade, Cora allait les affaiblir afin de mieux se faufiler dans leurs corps et les manipuler. La reine de Coeur fut étonnée de voir Regina faire un sourire et ignorer son fils. Ces faiblesses ne semblaient pas atteindre son coeur comme si elle en était dépossédée complètement. Enfin, elle semblait plus forte. Une alliance avec sa fille ne serait pas de refus. Son attention se détournait pour laisser entrevoir une Blanche-Neige en pleur. Avait-elle compris ce que cela faisait. Comme un fantôme, comme si Cora connaissait chaque recoins de ce bateau, elle marchait de ce pas de souveraine qui lui était propre. Elle était en terrain conquis, c'était son monde. Elle n'était pas vulnérable à tout cela. Le bruissement de sa robe donnait un petit effet qui lui était propre. Bientôt, ils seront tous à ses pieds. Cela ne serait plus à elle, d'être à genoux. Le Robin malsain fixait sa fille, de ce regard malsain. Il semblait stoïque face aux rires d'un Daniel étrange. Elle devrait changer cela. Cependant Cora laissait cela car sa fille avait fini par disparaître dans une trappe. Au fil du temps, Cora avait appris que les apparences étaient trompeuses. Elle savait qu'au fond, Regina était touchée des mots de Robin et de Henry. Pour l'heure, elle avait d'autres chats à fouetter, elle laissait Regina avec ses démons ainsi que Blanche-Neige pour faire apparaître Baelfire et le père de Rumplestilstkin en face de lui. Bientôt cela serait à la Méchante sorcière de l'Ouest qui allait déguster.
Baelfire était si jeune, mais son air innocent avait disparu pour ne laisser que du dégoût. Cependant son grand-père arborait une mine vicieuse avec un sourire en coin, comme un serpent qui allait avoir sa proie. Il tenait dans ses mains, une poupée étrange. Baelfire finit par avancer près de son père et de le toiser de toute sa hauteur. Il bombait le torse fièrement. Ses yeux marron étaient foncés d'une teinte malsaine, ses lèvres étaient pincées dans une moue haineuse.
-Oh Regardes-toi. Le lâche, tu n'es pas mon père, tu n'es plus mon père. Et tu sais pourquoi ? Tu m'as abandonné comme le lâche que tu es. Tu es un monstre. Tu as préféré choisir le pouvoir plutôt que moi. Moi,qui était ta chair et ton sang. Moi, qui te regardait en héros, en modèle d'exemple, je fus déçu. J'ai passé 3 siècles, abandonné comme tu l'as été. Je les ai passé en me remémorant ce que tu m'as fais. Tu penses que me retrouver suffirait à oublier cela ? La vérité, c'est que je ne te pardonnerais jamais. Jamais, tu m'entends et jamais , j'oublierais ce que tu m'as fait. Tu vas le payer à tout jamais. Je te hais mon père, tu mérites même pas la morte tellement qu'elle sera trop douce pour toi, souffla Baelfire dans l'oreille de son père, dans un murmure doucereux et qui sonnait très sincère.
Le tour du père de Rumplestilskin qui s'avançait, lui lançant la maudite poupée avec un air narquois.
- Tu sais, Rumple, le jour où je fus le plus heureux, c'est quand je t'ai abandonné, tu n'es qu'un fardeau, même pour ta Belle, tu es un fardeau. Tu ne cesses de nous décevoir encore et encore. T'abandonner fut la meilleure chose que j'ai jamais eu. Même toi, lorsque tu as abandonné ton fils, tu te sentais comme moi, euphorique. On partage les mêmes gênes et pour toujours, je te hanterais et ce sentiment d'abandon te rongerait. Il ne te reste que cette poupée. Ne te fais pas plus de mal , tout le monde te haït même ton fils, tu l'as entendu. Même Belle finirait par t'abandonner, tu n'es qu'un maudit rejeton et tu mourras, tu n'aurais plus que tes larmes pour te pleurer. A jamais, Rumple, tu seras seul, s'enquit le père de Rumple d'une voix narquoise et fière de ce qu'il venait de dire.
Comme Robin et Henry, ils finissent par disparaître , comme de la poussière qui tombe pour finir par réapparaître en d'autres personnes comme le père de cette charmante méchante sorcière de l'Ouest et de Glinda. Les deux la toisaient du haut de leur taille. Son père avait fini par s'approcher le premier.
- Tu sais, j'ai toujours dis à ta mère, qu'on avait fait la plus grosse bêtise de notre vie en te prenant chez nous. Elle ne sut qu'après sa mort à quel point, j'avais raison. Comment as-tu pu croire qu'on pouvait t'aimer ? Toi, tu as été abandonné par ta mère dès la naissance, elle ne voulait pas te garder, erreur de la nature. Tu n'es qu'une vaurien, bientôt tu t'effacera et on t'oubliera, cela serait comme si tu n'avais jamais existé. En même temps, une pourriture comme toi, n'est pas importante. Tu n'as rien eu , et tu ne seras rien de toute ta vie. J'avais misé juste sur toi, tu n'es qu'une bonne à rien, déclara son père en venant lui susurrer cela à ses oreilles de la méchante sorcière de l'Ouest.
Sa voix était haineuse et remplie d'une sincérité. La belle blonde s'approchait, faisant un bruissement avec sa robe blanche. Son regard si bienveillant était d'un bleu foncé frôlant un noir mauvais.
- Ton père a raison, croire en toi, est une peine perdue. Ta mère est morte par ta faute. Ce n'est pas la maladie qui l'a rongé, c'est toi, tu es une pourriture qui ronge encore et encore, chaque personnes qui croient en toi finissent par mourir. Tu ne seras pas dans l'histoire, ta soeur est bien plus importante que toi. Ta véritable mère l'a vu, elle avait raison de t'abandonner. Regardes toi, malgré toutes tes efforts, tu ne seras jamais ta soeur, tu ne seras qu'une infâme pourriture, une oubliée de l'histoire tandis que ta soeur brillera sous les feux des projecteurs , comme toujours, tu ne seras rien, s'enquit Glinda avec un petite gloussement d'une joie non feinte.
Cora regardait le chaos qui régnait sur le navire , Blanche-Neige se fit happer par une baleine et la reine de Coeur décidait de s'en prendre à la petite Paige. La fille du chapelier fou lui semblait-il. Un sourire mauvais apparut sur ses lèvres. Tandis que Glinda et le père de la méchante sorcière de l'ouest disparurent pour faire apparaître la mère de Paige. Paige lui ressemblait à un détail. Sa mère semblait être plus mauvaise, plus féroce envers sa fille. Elle la regardait comme si c'était une abomination.
-Oh Paige, je suis bien contente de ne pas t'avoir beaucoup connue. A cause de toi, je suis morte, à cause de toi, ton père est devenu fou. Il t'aimait trop à en perdre la tête. Il t'aimait trop qu'il a passé un marché avec le diable parce que mademoiselle voulait un maudit nounours. Tu fais l'innocente mais tu es ma meurtrière, tu es celle qui a détruit notre famille à tout jamais. Ta naissance fut la pire chose que j'ai vécu, j'ai fais naître un monstre, encore pire que la Méchante Reine. Qu'ais-je fait au bon Dieu pour mériter un tel sort, un enfant aussi monstrueux, déclara-t-elle en se lamentant sur sa vie et sa mort.
Elle aussi, disparut dans des grains de poussières pour apparaître en une Anna et les parents de la reine des neiges. Ils la toisaient encore et encore.
- Tout est de ta faute, ont-ils déclara d'une même voix. Tu nous as détruit, notre famille si belle et puissante n'est plus rien à cause de toi. Des gens sont morts par ta faute, tu n'es qu'un monstre Elsa. Tu ne mérites pas de vivres. Notre regret, c'est de t'avoir connu. Un montre dont on a honte, qu'on a du mal à regarder en face, ajoutèrent-ils d'une voix synchronisée.
Cora eut un sourire, elle avait fait le tour du navire. Il fallait qu'elle atteignes sa fille. Il fallait l'affaiblir au plus pour la conquérir et enfin, avoir ce qu'elle désire depuis si longtemps. Le pouvoir.
☂ True Love : L'amour c'est comme une cigarette. Ça flambe comme une allumette ça pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée ...
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Sujet: Re: [Mission] It's Good to Be Bad Jeu 7 Avr - 11:37
It's Good to be Bad
Mission
Quelle plaisir de voir Rumple dans cet état là. Si faible, si fragile. On pouvait simplement le pousser qu'il pourrait tomber lourdement sur le sol. Ce n'était d'ailleurs pas l'envie qui me manquait. Juste venir appuyer fortement sur son épaule. Juste le faire un peu basculer pour le sentir en position de faiblesse. Juste le voir tomber au sol. Rien qu'une fois, rien qu'une petit seconde. Le sourire s'empara de mon visage alors que je m'imaginais déjà la scène dans ma tête. Cela serait tellement jouissif de le voir enfin à la merci des autres. Je voyais très bien que même lui n'utiliser pas la magie dans ce monde si. S'il n'avait pas de magie alors il était plus faible que moi, beaucoup moins fort. Je pouvais facilement lui faire du mal, plus qu'il ne pouvait m'en faire. J'avais cette folle envie de m'en prendre à lui, de le faire souffrir là maintenant. Tous de suite, de le faire souffrir de plus en plus, encore et toujours plus. De le voir s'accroupir, de le voir se torde de douleur, de la voir avoir mal, de se plaindre, de supplier d'arrêter, de lui faire du mal. Je voulais le voir à genoux devant moi, je voulais le blesser comme il m'avait blessé dans le passer. Il m'avait fait souffrir en choisissant ma sœur, en continuant de lui donner des cour alors qu'il avait moi. J'étais beaucoup plus forte que cette stupide sœur. Mes pouvoirs à moi étaient de naissance, j'étais beaucoup plus puissante qu'elle. Il fallait juste qu'il m'apprenne un peu plus de pratique et j'aurai sans doute pu devenir l'une des sorcières les plus puissantes dans le monde. Même la sorcière la plus puissante dans le monde. J'aurais pu devenir pratiquement aussi forte que lui. Alors là plus rien aurait pus nous arrêter. Nous aurions pu tout avoir, nous aurions pu réussir à lancer son sort noir pour pouvoir retrouver son fils. S'il m'avait choisit, j'aurais même pu lui donner mes souliers d'argent. Il aurait pu retrouver son fils en trois pauvres petits claquements de talon … Il aurait pu retrouver son fils si vite, si rapidement. Si seulement il m'avait choisit. Il n'aurait pas eu besoins de toute se stratagème avec ma chère sœur pour lancer le sort noir. Cela ne lui aurait pas coûter autant d'années de sa longue vie éternelle. Mais non, il avait choisit Regina ! Il avait choisit cette garce parce qu'il ne m'en pensait pas capable. Parce qu'il fallait le cœur de l'être que l'on aime le plus au monde pour le sort noir et que c'était lui que j'aimais le plus sur le moment. Il ne saurait pas mort pourtant s'il m'avait choisit, non puisque il n'y aurait pas eu besoins du sort noir pour lui …
En tout cas maintenant c'était trop tard pour revenir en arrière. Et il l'avait bien compris. Il avait rapidement regretter lorsque je lui avais appris la nouvelle pour les chaussures. Il l'avait regretté de m'avoir appris toutes ses choses, regretter de me voir si facilement échapper à ses mains qui voulait attraper mon cœur. Il avait fait une grave erreur sur jour là. Il allait regretter pour le restant de ses jours. Il pouvait e être persuader. Mon plan pour tous les anéantir, pour retourner dans le passé se finalisait de jour en jour. Il n'allait pas faire la même erreur deux fois. Il allait me choisir cette fois-ci. J'allais devenir l'une des plus puissante sorcière que le monde ai connu. Ma Ma mère ne m'abandonnera pas, Regina n'existera pas et j'aurais tout à sa place. J'aurais tout ce qu'elle a eu, je deviendrais une princesse puis une fabuleuse reine. D'autres personnes arrivait sur le bateau. Je n'en avais que faire quoique je fus étonné lo rsque je vis que Regina était accompagner d'un magnifique python. Étrange, il aurait du essayer de la mordre et alors là je l'aimerais bien cet animal. Mais non il avait plus l'air à la protéger. Les choses commençaient à se gâter. Un choc se fit ressentir contre la coque du bateau et je perdis l'équilibre. Je me rattrapais en accrochant mes mains au grand mat. Je restais là pendant quelques instant en attendant que les choses se calme un peu. Qu'est-ce que cela pouvait bien être franchement ? Blanche-Neige et la reine des neiges n'arrêtaient pas de se plaindre, de dire qu'on allait droit à la catastrophe. Non, sans blague ? Je croyais que la baleine venait simplement pour passer un coup et pour qu'on lui caresse gentiment le ventre ! De tout manière toute cette histoire était trop louche, trop étrange. Rien de ce qui pourrait nous arriver ne serait contre nous. Rien n'était bon. Nous allions sans doute en baver plus qu'autre chose, c'était évident. D'ailleurs pendant ce temps Mary-Margaret se fit engloutir par d'énorme tentacules de pieuvre. Bon, c'était une personne ne moins sur le navire, si nous décidions de naviguer jusqu'au rivage. Je n'étais pas sur qu'elle manquerait à qui que se soit après. Je n'allais pas l'aider en tout cas. Si une personne étaient en danger et que je devais l'aider ce serait absolument moi et rien que moi. Je n'en avais que faire du sort des autres tant que je faisais tout moi même pour pouvoir rester envie de cette univers. Je me dirigeais vers la barre pour essayer de reprendre les commandes un peu, d'essayer de voir si j'arriverais à naviguer cette engin de malheur. Moi je vous dis, les ballet volant c'était tout même beaucoup plus pratique et beaucoup plus sur pour un voyage. Et au moins sur un ballet volant on fait des voyages seules. Il n'y a personne d'autre pour venir vous emmerder.
Pendant mon chemin, je m'arrêtais nette lorsque je vis apparaître devant moi un homme. Un homme que je détestais plus que tout au monde mais que j'aimais au final. Un homme qui m'avait fait souffrir. Mon père … Enfin désormais mon père adoptif.
« Tu sais, j'ai toujours dis à ta mère, qu'on avait fait la plus grosse bêtise de notre vie en te prenant chez nous. Elle ne sut qu'après sa mort à quel point, j'avais raison. Comment as-tu pu croire qu'on pouvait t'aimer ? Toi, tu as été abandonné par ta mère dès la naissance, elle ne voulait pas te garder, erreur de la nature. Tu n'es qu'une vaurien, bientôt tu t'effacera et on t'oubliera, cela serait comme si tu n'avais jamais existé. En même temps, une pourriture comme toi, n'est pas importante. Tu n'as rien eu , et tu ne seras rien de toute ta vie. J'avais misé juste sur toi, tu n'es qu'une bonne à rien »
Ces paroles sonnaient faux dans mon esprit. Du moins j'essayais de mon en persuader. Il était faux, il n'était pas réelle lui non plus. Si je le voyais comme maman cela voulait-il qu'il était mort lui aussi. Qu'il ne faisait plus partie de se monde non plus ? Un petit pique au cœur survint alors à cette pensée que je chassais très vite de monde idée. Ces paroles étaient fausse, il mentait. Maman m'aimait je le savais. Elle m'avait toujours aimé, même moi l'enfant abandonner par sa vraie mère dès la naissance. Elle m'avait du coup aimé pour ce que j'étais réellement, elle avait aimé la petite fille qu'elle avait si bien élevée. Cette fameuse petit fille qui avait disparut lorsque la méchante sorcière de l'Ouest avait pis la place. Je n'étais pas une pourriture, il avait tord, les personne m'aduleront, les personnes se trouveront à mes pieds, ils m 'aimeront tous pour avoir gouverner si bien leur royaume. Vous verrez plus tard ... Je serais quelqu'un, les personnes ne m'oublieront pas si facilement. Il avait tord. Il avait faux. Ce n'était pas vraies, cela ne pouvait pas être vraie. Il avait faux, faux, faux, faux. Je tournais la tête pour apercevoir plus loin ma mère qui était là. Elle avait un petit sourire sur le visage alors qu'elle hochait doucement la tête comme si elle était d'accord avec ses paroles. Non … Non elle n'avait pas le droit. Elle ne pouvait pas être d'accord avec cet idiot de personne. Car oui il n'était qu'un idiot d'homme. Je n'arrivais pas à croire que j'avais pu l’appeler ''Papa'' un jour dans ma vie. Il y avait pourtant une époque ou il m'avait aimé. Une époque où il s'était pris comme mon père, qu'il m'avait serrer dans ses bras lorsque je me faisais mal en tombant par terre ou la nuit quand je faisais d'horrible cauchemar. Qu'il me racontait des blagues à longueur de journée. Qu'il disait m'aimait. C'était bien loin cette époque, je ne savais pas a partir de quand il avait commencé à changer de comportement envers moi. Je l'avais réellement remarqué depuis que maman était affreusement malade. « Il y avait une époque où tu disais m'aimer ! Depuis quand cela à-t-il changer ? Depuis quand as-tu cessé de me dire ''Je t'aime'' ? Hein ? Je ne serrais jamais une pourriture comme toi. Entre nous deux c'est toi la pourriture, à te servie de moi comme une esclave. Je ne pense pas que maman aurait très ravie de voir comment tu m'as traité depuis sa mort. Qu'est-ce que ta femme aurait pensé un ? Qu'est-ce qu'elle aurait pensé ... » Cela me faisait tout de même un peu mal de lui parler comme cela. Mais je devais me montrer forte face au autre sur le navire, forte face à lui. Je ne devais pas flancher. C'était dure mais je devais le faire. Il n’eus pas temps de me répondre que Glinda s'avança vers moi pour me parler elle aussi. C'était le moment des retrouvailles ? C'était quoi le délire là ? C'était le jour où tout le monde venait me reprocher tout ce qui avait sur le cœur ?
« Ton père a raison, croire en toi, est une peine perdue. Ta mère est morte par ta faute. Ce n'est pas la maladie qui l'a rongé, c'est toi, tu es une pourriture qui ronge encore et encore, chaque personnes qui croient en toi finissent par mourir. Tu ne seras pas dans l'histoire, ta sœur est bien plus importante que toi. Ta véritable mère l'a vu, elle avait raison de t'abandonner. Regardes toi, malgré toutes tes efforts, tu ne seras jamais ta sœur, tu ne seras qu'une infâme pourriture, une oubliée de l'histoire tandis que ta sœur brillera sous les feux des projecteurs, comme toujours, tu ne seras rien »
Ses mots étaient dures, plus dures et avaient plus d’impact sur moi que ceux de mon père. Glinda avait été importante dans ma vie, C'était elle qui avait réellement cru en mes pouvoirs la première, celle qui m'avait fait comprendre que j'avais une place importante. Que je pouvais arrêter d'être jalouse, que je pouvais être une autre personne, ma propre personnalité, arrêter d'être ronger pas les mots du passer. Celle qui m'avait fait croire que j'avais une place, que je pouvais être la quatrième gentille sorcière, que je pouvais avoir ma place sur la table dans la partie Ouest. Elle m'avait fait croire en un rêve qui ne pouvait se réaliser. Tout cela à cause de Dorothy. Depuis le début cela avait été elle la gentille sorcière de l'Ouest. Celle qui devait vaincre la méchante et verte sorcière de l'Ouest en la faisant fondre avec de l'eau. Elle m'avait croire, qu'elle m’appréciait, qu'elle me croyait gentille. Mais tout cela n'avait été une nouvelle fois que mensonge. Elle m'avait elle aussi mentit. Toute ma vie n'a été battis que sur des mensonges les uns au dessus des autres, de plus en plus de mensonge. Je pouvais sentir, quelques larmes me montaient aux yeux alors que ma mâchoire se crispa. J'essayais de me retenir de me montrer forte. Je n'étais pas faible, loin de là ! « Si croire en moi était peine perdue alors pourquoi l'avoir fait ? Pourquoi avoir crue en moi, en mes capacité de devenir une gentille ? Je ne souhaite en aucun cas devenir comme ma sœur. Tu as faut ! Tout le monde me connaîtra, tout le monde saura qui je suis. Je vais devenir l'une des plus forte sorcière jamais exister, tu peux en être persuader ! Je deviendrais forte et tout le monde finir par m’idolâtrer. Ce n'est plus qu'une question de temps ... » Je ne devais pas montrer que cela me touchait. Je devais rester forte, ne montrer aucun sentiments. Être froide. Je ne devais pas montrer mes faiblesses, surtout devant les autres. Les deux personnes qui me fixaient, avaient été importante à mes yeux avant qu'ils viennent à me trahir. Tout le monde venait à me trahir, je ne devais avoir confiance en personne. Je devais avoir confiance seulement en moi même et en mes capacités. Je savais que je pouvais le faire. Je serais la première personne à remonter le temps. Je ne devais plus avoir confiances au autres, car lorsque je m'attache, je fini par tout perdre encore une fois. Mais cela veut-il dire que je ne devais pas avoir confiance en Arthur ? Lui aussi il finira pas m'abandonner. Je devais me méfier de lui, je ne devais pas me laisser faire aussi facilement par son sourire. Je devais me méfier, je ne devais pas lui faire confiance. Rien lui révéler de plus sur mes intentions. Je ne devais plus mes plans. Il finirait sans doute par les utiliser dans mon dos, me faire du mal lui aussi. Je ne pouvais pas avoir la perte de quelqu'un. Je ne voulais que l'on m'abandonne une énième fois et le seul moyen pour cela était de m'attacher à personne. De rester seul, toujours seul. Je ne savais plus ce que je devais faire désormais.
La chut du grand mat, me fit revenir à la réalité. Sursautant quelque peu, je me retournais brusquement vers les fantômes de Glinda et mon père pour voir qu'ils avaient disparu. Ils n'étaient plus. Mes yeux fient le tour de navire avant de se déposer sur la personne de a mère. Elle avait las visage assez froid, et un sourire espiègle sur le visage. Cela ne me prédisait rien de bon, c'était sur. Je la vis disparaître encore une fois. Mais cette fois ci, je voulais lui parler. Je me mis à la chercher dans tout le navire, allant jusqu'à dans la cale. Mais avant que je ne puisse le faire, je passais à côté de Regina sans trop faire attention et le serpent m'attaqua. Venant me griffer de ses dents, ma peau en dessous de mon collant. Il essayait de m'attaquer une seconde fois, mais j'évitais le serpent rapidement. Je devais voir ou était ma mère, je devais savoir qu'est-ce qu'elle pensait. Je voulais lui parler. Mais personne n'était là. Je m'énervais de plus en plus, mes mains se serraient, ma mâchoire se crispait. Je sentais que j'allais craquer dans peu de temps. En plus il y a cette baleine qui vient nous déranger plus qu'autre chose. Si je pouvais sentir la magie être plus stable je l'aurais sans doute déjà renvoyer plus loin.