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 The fantastic world of Oz [Mission]

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Zelena Green

Zelena Green
En réalité, je suis
La Méchante Sorcière de l'Ouest
☂ Conte : Oz

☂ Emploi : Sage-femme
☂ Camp : Villains
☂ True Love : L'amour c'est comme une cigarette. Ça flambe comme une allumette ça pique les yeux, ça fait pleurer et ça s'envole en fumée ...

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MessageSujet: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptySam 15 Juil - 22:47

The Fantastic World of OZZelena et la bande de bras cassés.
There's so much good here, it sickens me ! ••• C'était partie tout le mécanisme avait déjà été mis en route. Zelena commençait sérieusement à en avoir marre de patienter jusqu'à qu'une occasion se présente et avait bien l'attention de prendre les choses en main. Sa petite Adrianna avait désormais bien grandie et était bien plus forte que ce que Zelena pouvait bien croire. Chaque jour elle pouvait la voir grandir la voir évoluer et c'était un plaisir pour la jeune mère. Quand elle voyait le regard de sa fille dans le sien elle venait à se demander tout simplement comment on pouvait abandonner de si jeune enfant, comment elle avait pu être abandonné. Elle n'avait malheureusement toujours pas eu de réponse à sa question et elle commençait sérieusement à s'impatienter à laisser les choses se dérouler, ayant mis en suspend son plan il y a de cela bien une année ou deux alors qu'elle croyait avoir rencontrer ce que l'on pourrait appeler l'amour mais plus que tout parce qu'elle était tombée enceinte et qu'elle s'était concentrée uniquement et seulement là dessus. Elle avait été abandonnée une nouvelle fois comme elle avait toujours été abandonnée par les personnes qui l'entourer et cet enfant était comme son propre salut, son moyen d'avoir une personne qui l'aimerait pour ce qu'elle est, une personne qui ne viendrait pas l'abandonner et que jamais elle ne pourrait abandonner en retour également. Pourquoi ? Parce qu'elle n'avait pas supporter d'avoir été mise à l'abandon, parce qu'elle n'avait pas supporter se retrouver seule plus d'une fois – et dieux qu'est-ce que cela avait pu lui arriver ! Elle avait toujours été seule en réalité et ce depuis la mort de celle qu'elle avait considéré comme sa mère, celle qui l'avait recueillit, nourrit, et plus que tout aimer. Ce type qui s'était marié avait qu'elle, Zelena n'avait aucune considération pour lui, elle avait cherché son amour et son respect pendant des années en vain, elle l'avait réellement aimé pendant une période mais l'avait rapidement balayer de son esprit après toutes les horreurs qu'il avait pu lui dire. Désormais elle ne voulait que sa mort et rien d'autre, ou même elle s'enfichait pas mal de ce qu'il pouvait bien lui arriver au pire, elle avait autre chose à penser, autre chose à faire que de penser à ce type. Jamais elle ne pourrait traiter sa fille comme les personnes avaient pu la traiter elle même alors qu'elle portait un amour inconditionnée à sa fille, tout l'amour que pouvait avoir une mère pour son enfant et jamais elle ne viendrait à lui faire du mal par un quelconque moyen. Adrianna était bien plus importante que sa vie et tout ce qu'elle comptait faire à présent n'était que pour elle et elle seule et c'était tout ce qui pouvait bien compter : le fait qu'elle se sente bien, qu'elle soit en bonne santé et plus que tout protégée.

Elle avait longtemps réfléchit avant de se décider enfin qu'il serait temps de retourner dans son monde, de retourner dans cet endroit qu'elle connaissait mieux que quiconque et dont elle savait où pouvait pratiquement se trouver chaque truc : Oz. Ce monde où elle avait pu régner en maître pendant des années, où tout le monde la connaissait et avait peur d'elle sans savoir comment la détrôner. Oz avait été son moment de gloire, ce moment où elle avait réussit à obtenir pratiquement tout ce qu'elle voulait, à être la reine, celle qui régnait au palais d’émeraude. Qu'est-ce que cet endroit pouvait lui manqué parfois alors qu'elle était tout en haut de son apogée. Elle voulait emmener sa fille voir ce monde qui pouvait être très merveilleux, lui montrer d'où elle venait tout simplement tandis qu'elle viendrait à récupérer deux trois trucs qui pourraient plus que tout lui servir plus tard pour se protéger elle et sa fille et allez au bon de ses plans. Elle avait mis du temps à trouver cette baguette qui pourrait l'aider à ouvrir un portail pour se rendre au pays d'Oz mais elle l'avait fait. Cela avait mis un peu de temps mais elle l'avait désormais entre les mains et c'était tout ce qui pouvait compter en ce moment. Tout était près, elle avait sa fille dans les bras, le collier qu'elle avait eu avec elle par Glinda dans l'une de ses mains, celui qui venait d'Oz, et la baguette dans la même tandis qu'elle tenait à landau dans son autre main. C'était le seul moyen d'ouvrir un portail, avoir quelquz chose qui venait de l'endroit où l'on voulait se rendre et ça Zelena le savait plus que tout. Elle était douée pour la magie. Elle commençait à s'avancer en plein milieu de la prairie qui entourait sa maison, s'éloignant le plus de celle-ci afin d'éviter de l'abîmer pour quand elle sera de retour. Elle fini par poser le landau au sol posant sa fille dedans alors que celle-ci était paisiblement entrain de dormir l'attachant fermement espérant qu'elle puisse dormir ainsi même avec ce qui risque d'arriver. La rouquine prit le collier dans ses mains et la baguette dans l'autre venant tourner celle-ci en dessous du collier laissant tout simplement sa magie opérer. En moins de temps qu'il fallut pour le dire une tornade verte apparut petit à petit au loin alors qu'elle s’amplifia s'approchant dangereusement. Zelena n'avait pas peur loin de la même elle était habituée à ce genre de transport un peu hors du commun alors qu'elle était elle même arrivée ainsi à Oz. C'était son moyen de s'y rendre.

« Allez c'est partie ma chérie ... »

Elle fini par prendre le landau dans ses bras le serrant contre elle alors qu'elle regardait sa fille qui avait l'air de dormir encore malgré le bruit que la tornade pouvait faire sur son passage. Il y avait des arbres qui s'arrachaient du sol se faisant de plus en plus aspirer par le vent qui s'était levée. C'était partie elle allait pouvoir renter dans ce que l'on pourrait nommé son chez elle …
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Wicked Always Wins
What they call "green with envy" I just call "looking good" ⊹ Once I was filled with rage now I enjoy the ride. It's so electrifying Watching all her dreams denied !


Dernière édition par Zelena Green le Mar 25 Juil - 18:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyLun 17 Juil - 0:39



► Let's go in adventure time !|
The fantastic world of Oz
La Dame Blanche à Oz


Le temps était clair et clément en ce jour, et c'est ce qui l'avait attiré dehors. Le soleil brillait, mais pas assez pour la gêner, habillée de sa grande robe blanche - comment changer les habitudes ? - pour parader dans la galerie de Storybrook. Bien sûr, elle n'était pas tant orgueilleuse que cela, mais elle se avait un bon talent pour le dessin, assez pour en vivre confortablement dans ses souvenirs factices de la ville, et elle en gardait une certaine aisance. Elle ne s'affichait pas vraiment, elle aimait à présent rester discrète dans les ombres des salles, elle aimait simplement exposer ce qu'elle faisait. Le grand carton remplit de peintures et de croquis sous le bras, elle s'avançait donc dans le centre-ville, la galerie en objectif de la journée. Du moins était-ce le sien, et non celui d'une quelconque divinités supérieur, puisque dans le ciel apparut soudainement une.... tornade ? Vraiment ? Si quelqu'un ne voulait pas qu'elle expose, il suffisait de faire fermer pour la journée les lieux, rien de bien compliqué. Avec un soupire, la femme posa son carton de dessins contre un mur. C'est qu'elle voulait pouvoir retrouver ses affaires en rentrant, et il était certains que la tornade ne les épargnerait pas en les portants. Haussant les épaules, Katharina observa le phénomène-pas-très-naturelle-quand-même approcher d'elle. Elle ne réussirait jamais à courir se mettre à l'abri, elle en étant incapable physiquement sans risquer un brusque déséquilibre de sa maladie, et il semblait que le destin veuille d'elle dans cette tornade puisqu'elle se fit rapidement emporter. Elle ne se sentait pas particulièrement atteinte par cela, ni par grand-chose à ce moment précis. L'apathie de son caractère resurgissait, et elle se laissa porter dans le vent, les cheveux désordonnées et presque dressés sur son crâne. Si elle était seule au départ, de ce qu'elle pouvait voir, elle fut rapidement rejointe par une poignée de personne dans le centre du cyclone, cœur autour duquel elle pouvait voir des objets gravité sans jamais les toucher. Elle les salua d'un signe de tête - à quoi bon parler dans tout ce fracas - avant d'être brusquement séparé d'eux.

La chute s'amorça tout aussi brusquement, la sensation de pesanteur reprenant ses droits sur son corps, et le paysage défilé rapidement devant ses yeux fermé, autant dire qu'elle ne profita pas vraiment de la vue absolument magnifique qui s'était offerte à elle. La fantôme sentit quelques branches d'arbres glisser brusquement sur ses joues, sans les griffer, et elle ouvrit les yeux juste avant l'impact, réussissant à se réceptionner sur ses deux jambes d'une manière assez remarquable. Peut-être était-ce son ancien état de morte qui avait allégé le poids de son corps, peut-être était-ce simplement la chance, mais elle n'avait rien de cassé ni de foulé. Mais c'était sans importance en réalité, au vu de ce qu'elle découvrait à l'instant. Le paysage était .... Une forêt. Elle était dans une forêt, du moins le pensait-elle. Katharina n'avait jamais rien de vu de pareil, et pour cause. Elle venait d'un monde gris, sans couleur, ou tout était dans une demie teinte, une dégradation de lumière et d'obscurité. Elle ne s'était jamais aventuré dans l'extérieur de Storybrook, aussi les seuls forêts qu'elle connaissait vraiment était les lieux pleins d'ombres et de rayons blancs de son monde, terne et inquiétant. Et ici.. Tout était si lumineux ! Eclatant, au point de lui vriller les prunelles. Elle plissait ses paupières, comme un malade se réveillant sous les néons de l'hôpital, aveuglé. Et aveuglée, elle l'était vraiment de trop. Une main devant ses yeux, elle trébucha contre une racine. Eblouit, elle ne parvenait pas à comprendre ce qu'i lui arrivait. Illuminée, plus que toute personne au monde elle voyait dans ses lieux une beauté sans égale, colorée et iridescente, incomparable à n'importe quel monde de par l'univers. Oubliant tout de la mystérieuse tornade, elle se plongea, émerveillée, dans une contemplation de la forêt luxuriante, sans accorder d'importance au reste.

Katharina : 100%
Mission : 50%


CODE BY ÐVÆLING // groover par une licorne


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Garrett Colt

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Wild Cat
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMer 19 Juil - 0:07

The Fantastic World of Oz
mission juillet 2017

Minute papillon. Récapitulons depuis le début. Alarme. Tornade. Vache. Forêt. Oulah, je crois que j’ai besoin d’un cachet d’aspirine. La journée avait pourtant si bien commencé… ou pas.
Je m’étais réveillé dans une chambre de l’hôpital de Storybrooke, tiré des bras de Morphée par des cris provenant du couloir. Oh je n'étais ni blessé ni malade, je connaissais juste deux ou trois infirmières bien sympathiques qui me laissaient squatter les lits disponibles à l’occasion. Cette nuit-là, j’avais touché le gros lot : une grande pièce entière avec une douche, rien que pour moi. Une douche ! J'y avais passé une heure et demi, en extase sous l’eau chaude. Ce n'était pas moi qui payait la facture, je pouvais bien en profiter.
Enfilant mes vêtements en quatrième vitesse, je me passai un coup d’eau froide sur le visage pour retrouver des idées claires. J’ouvris la porte, mes cheveux ébouriffés par une longue et trop rare nuit de sommeil profond. Patients et soignants couraient dans tous les sens. Les visages allaient du plus paniqué au plus paumé. Une alarme lancinante retentit. C'était du sérieux. Le secteur des fous furieux de l’asile avait une faille de sécurité ? Les psychopathes s’étaient libérés ? De ce que je saisissais des conversations par-ci par-là, la cause de cette soudaine agitation était plus… naturelle. Enfin “naturelle”, c'était vite dit. Mais nous y reviendrons. La foule se pressait, se bousculait vers le hall d’entrée. Je me faufilai dans la marée humaine et me laissai porter par le courant. Un fauteuil roulant mal placé me força à me plaquer contre la vitre. J’en profitai pour jeter un coup d’oeil à l’extérieur. Nom d’un chacal galeux... Une tornade comme on n’en voyait qu’au Texas engloutissait le centre-ville. Je passai une main dans ma tignasse, impressionné. La meilleure chose à faire dans ces cas-là était : petit un ne pas paniquer, petit deux aller se planquer au sous-sol et attendre que ça passe. Et c’est sûrement ce que j’aurais fait si seulement je n’avais pas aperçu, voltigeant dans les airs, une tête blonde familière. Jackie. Ou la Glue, comme j’aimais l’appeler. Un pot de colle d’un mètre soixante-cinq, tout droit débarqué du monde des Bisounours. Mais qu’est-ce qu’elle fichait dans cette foutue tornade ? Elle avait l’air de s'éclater comme une folle en plus. Je rejetai ma tête en arrière dans un long soupir de résignation. Ok. J’avais compris le message. Pas de repos pour Wild Cat.

La tempête se rapprochait dangereusement. Elle ravageait tout sur son passage, rien ne lui résistait. Les toits s’arrachaient, les voitures s’envolaient. Tout ça se rejoignait dans une valse mortelle et tourbillonnante. Un aspirateur géant. Tandis que je me faisais la réflexion que, justement, je ne savais pas me servir d’un aspirateur, la tornade arriva à cent mètres de moi. J'étais sorti de l'hôpital et marchais droit vers l’ouragan. Lorsque je ne fus plus qu’à une dizaine de mètres de ma destinée, le vent était assez fort pour me porter. Aussi bondis-je dans la gueule du loup. Inconscient ? Ouais, on me le disait souvent. Mais jusqu'à présent, ça m’avait plutôt bien réussi.
Secoué dans tous les sens, j’eus d'abord du mal à repérer le haut du bas et la droite de la gauche. Oh tiens, une vache. Le ruminant passa près de moi en meuglant. C’est fou ce qu’on pouvait trouver dans une tornade. Il y avait peut-être moyen de dénicher quelques bijoux égarés. Eh quoi, j’avais un ventre à nourrir et il n’allait pas se remplir tout seul !
Cependant, ce qui était encore plus étrange que de croiser un bovin, c'était le fait que rien ne me touchait. Aucun débris ne venait se cogner à moi. Pourtant, des débris, ce n'était pas ce qui manquait. D’autres personnes se trouvaient dans la même situation, y compris Jackie. Salut. Belle journée, hein ? Vous avez dit bizarre ? Je répondrais magique. Allez savoir quel coup tordu ces tarés de sorciers avaient encore foiré. Sérieusement, ils ne pouvaient pas rester tranquilles cinq minutes sans que leurs doigts ne les démangent. Ils étaient incapables de résister à l’appel d’un vieux bouquin poussiéreux rempli de choses illisibles. Il y avait des endroits pour enfermer les obsédés de la baguette, non ? Bref. Puisqu’apparemment je ne risquais pas grand chose, pourquoi ne pas finir ma nuit ? Le réveil avait été un peu trop brutal à mon goût. Je m’allongeai dans les airs, bras croisés sous ma tête, flottant paisiblement dans l’œil du cyclone. Ce n'était pas si désagréable. Certains tiraient plus vite que leur ombre, moi je m’endormais plus vite. Chacun sa spécialité.

Les rafales se calmaient. J’ouvris un œil. Puis deux. Le sol se rapprochait drôlement vite quand même. Trop vite. En un salto, j'atterris avec souplesse sur la terre ferme. Un puma retombe toujours sur ses pattes. Je m’étirai, bien content de ne plus être ballotté comme un sac d’or entre des mains de voyous. C’est que j’en aurais presque le mal de mer.
Alors que je me remettais de ma virée aérienne, le paysage se dévoila soudain devant mes yeux ébahis. Je n’avais jamais vu autant de couleurs vives d’un coup. C'était comme si quelqu’un s'était amusé à triturer les réglages de la télévision et avait tourné le bouton de la saturation au maximum. Ça piquait un peu la rétine. Ce détail passé, le décor était fantasmagorique. On se serait cru dans une forêt du Crétacé. Tout était surdimensionné, les fleurs étaient aussi grandes que moi. Un seul mot me venait à l'esprit : wow. Tout semblait si irréel que j'avais du mal à croire mes pupilles ou mes narines. Les odeurs qui s'engouffraient dans mon nez étaient si différentes de ce que je connaissais. J’entendis un bruit sourd derrière moi. Faisant volte-face, je découvris une Jackie étalée de tout son long par terre. Elle venait littéralement de se manger le sol. Ça ne devait pas faire du bien. Je m’avançai jusqu’à elle et la soulevai par les aisselles, comme je l’aurais fait avec un gamin venant de se vautrer… ce qu'elle était, quelque part. Pour une raison qui m'était encore inconnue, Jackie s’acharnait à s’occuper de moi, insistant même pour me donner des paniers repas lorsque je partais en vadrouille ou dans un de mes plans foireux. Pour la crédibilité du grand loubard, on repassera. Elle était si attentionnée que je me sentais obligé de faire en sorte qu’elle aille bien. Je n’aimais pas ça, mais je n’avais pas le cœur à la laisser se débrouiller toute seule. Je ne comptais plus le nombre de fois où je lui avais sauvé les miches. De justesse. J’essuyai la terre que la blondinette avait sur le museau avant de lui demander sur le ton de la plaisanterie : Bah alors, tu sais plus marcher ?

Emi Burton


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OZ ✘ You are talking to a man who has laughed in the face of death, sneered at doom and chuckled at catastrophe.
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyJeu 20 Juil - 7:09




Surfant sur son fameux skateboard tout en chantant autant qu'il le pouvait, ayant ses écouteurs visés sur les oreilles, Taran était convaincu que cette journée avait tout pour être des plus radieuses car après tout le soleil brillait haut dans le ciel et rien ne laissant envisager la catastrophe naturelle – mais pas tant que ça au final – qui allait s'abattre sur la petite bourgade de Storybrooke. Il laissait son instinct le porter sans vraiment avoir une destination bien précise en tête alors que les airs de basse battaient comme jamais, lui faisant regretter de ne pas avoir pris dans son dos sa guitare électrique histoire de laisser une bonne partie de son trop-plein d'énergie s'évacuer de lui-même, alors qu'en peu de temps il avait pu atteindre le centre de la ville qu'il finissait par connaître comme sa poche à force de la sillonner. D'autant plus qu'il avait le temps de flâner aujourd'hui vu qu'il n'avait aucun rendez-vous dans le cadre de son travail, il était aussi important que pour aider les autres il puisse souffler juste une journée comme il faut sinon il allait juste brasser de l'air pour rien, et surtout il avait besoin de se demander ne serait-ce que pour une fois si ce qu'il faisait été bien ou non. Étonnant pour une personne comme lui qui allait jusqu'au bout d'une idée pourtant, quitte à se jeter les yeux fermés vers un possible piège qu'on pourrait lui tendre et qu'il ne verrait même pas lui arriver dans la figure de toute façon, mais depuis qu'il avait dit des choses horribles à Bianca en raison du sort de la vue brisée disons que son besoin de ne jamais blesser qui que ce soit se faisait encore plus ressentir que d'ordinaire. S'il avait été dans son état normal jamais il n'aurait proféré de telles phrases blessantes, et il se serait encore moins battu avec elle parce que malgré sa nature primaire il ne faisait que se défendre avant toute chose lorsqu'on regardait de plus près, et Taran faisait tout pour chercher à se faire pardonner même si l'accident commençait à prendre des mois. Il était juste ainsi, la personne sur qui on peut compter si on lui demande son aide mais qui a tendance à trop empiéter sur l'espace vital d'une personne en l'assommant d'une affection trop débordante, trouvant inconcevable le fait qu'on puisse détester une autre personne. Lui-même n'avait pas souvenu d'avoir eu une haine envers qui que ce soit, sauf durant cet accident mais après tout c'était l'effet d'une magie et ceci était un argument suffisant pour ne pas compter, adorant la moindre personne et même "papa" Jo – comme il le surnommait malheureusement pour l'homme – étant pour lui comme un bonbon dur à l'extérieur qui devait cacher de la tendresse. La naïveté pure.

Néanmoins tout ce qui venait préoccuper Taran à ce moment précis c'était de manger, de préférence un bon fast food qui offrait en bonus un cadeau qu'il ne pouvait voir que comme étant incroyable en bon gamin qu'il était, parce que inutile de dire qu'il n'avait pas dédaigné toucher à son assiette de truc trop sophistiqué qui avait pris des heures à être cuisiné et dont il ne voyait pas l'intérêt pour le coup de passer autant de temps pour un truc à l'aspect visuel qui lui donnait déjà envie de vomir. Ainsi prenait-il un soin particulier à slalomer entre les personnes de plus en plus nombreuses sans remarquer qu'à l'évidence qu'elles allaient toutes dans le même sens, mais surtout d'un pas si rapide qui était en réalité de la course, n'entendant pas les possibles cris d'affolement ou les phrases d'avertissement qu'on aurait pu lui lancer à cause de la musique qui tambourinait autant dans ses écouteurs. S'il avait écouté les recommandations qu'on pût lui  faire à savoir qu'il ne faut jamais écouter à un volume trop fort, même si dans un sens peu de personnes ne se souciaient réellement de cette prévention, alors peut-être que ce qui allait suivre ne se serait pas produit et qu'il aurait fait demi-tour en tentant d'aider quiconque comme son altruisme le faisait toujours agir même si ceci le rendait aveugle quant au fait qu'on pouvait chercher à le mener par le bout du nez.  Cependant l'histoire allait ainsi se dessiner à savoir le fait qu'au lieu de s'éloigner du danger il était en train de s'approcher de lui de manière inévitable, le tout en chantant du AC/DC à plein poumons à savoir la fameuse chanson Thunderstruck – rien d'étonnant vu sa manipulation de l'électricité, rideant selon lui comme un professionnel qui pourtant n'arrivait toujours pas à récupérer sa planche sans se la prendre au moins une fois en pleine figure. Même lorsque Taran put voir le ciel s'assombrit de manière assez brutale il n'en fit pas vraiment de cas, au contraire son amour pour les orages n'était plus à refaire et c'était toujours un très bon moyen selon lui de pouvoir se recharger, peut-être même qu'il accélérait à cet instant. Ce n'est que lorsqu'il vient à tourner sur sa gauche qu'il put voir enfin l'énorme tornade, à se demander par ailleurs comment il avait fait pour la louper jusqu'ici mais peut-être que tenter de faire de l'air guitar sur sa planche de skateboard avait aidé dans sa non-voyance pour le coup, même si le terme le plus exact devait être : se la prendre en pleine tronche sans prévenir, mince.

En moins de temps qu'il le faut pour le dire il se trouvait donc à voler en plein dans une tempête, se trouvant ainsi sur le coup retourner dans tous les sens comme s'il était dans une machine à laver avant de finalement trouver un sens qui lui semblait le plus approprié, voyant quelques débris passer par la même occasion bien qu'aussi étrange que ceci puisse paraître rien n'avait l'air d'approcher comme il le faisait du centre d'inertie. Lorsque Taran comprit qu'il était dans l’œil du cyclone, ou une expression dans le genre, la première chose qu'il vient à faire c'est sourire et surtout crier de joie comme jamais. Voler était ce qui lui manquait le plus de sa vie d'avant la malédiction, il lui en fallait peu pour qu'il vienne à parcourir le ciel et tout particulièrement dans les sombres nuages orageux, et retrouver cette sensation lui procurait un vent de nostalgie tel qu'il ne voyait que le positif de la situation. Encore quelque chose qui lui était bien propre, à savoir le fait qu'il n'était pas très réaliste et qu'il voyait toujours le bon mais jamais le côté négatif d'une situation aussi catastrophique puisse-t-elle être, ne voyant à aucun moment le côté mortel que pouvait impliquer le fait même de se trouver dans une situation comme la sienne. Il pouvait très bien se faire percuter par un débris quelconque qui lui perforait éventuellement les organes, tomber lourdement au sol à l'instant même où il quitterait les vents violents qui le soutenaient et qui ne seraient clairement pas définitifs, manquer d'air à un moment à l'autre en fait parce que les conditions atmosphériques ou même la hauteur à laquelle il se trouvait lui écraseraient les poumons pour l'empêcher de respirer, perdre connaissance une fois encore à cause de l'altitude. Bref. Toute une liste assez longue de comment mourir dans d'atroces souffrances quelque part, il y avait encore tant à dire, mais pourtant la seule chose que Taran retenait c'était juste qu'il volait – même si le terme était à débattre. Ainsi tendait-il au maximum les bras pour profiter au possible de la sensation, euphorique comme jamais face à cette expérience de vol sans avoir besoin d'une machine ou autres, remarquant alors qu'il n'avait pas été le seul à se faire ainsi avoir par la tornade infernale kidnappeuse de personnes. Son sourire se faisait encore plus grand en voyant qu'il y avait des témoins de cette expérience ô combien précieuse pour lui, venant se mouvoir pour prendre la pose digne d'un super-héros tellement tout ça l'amusait bien et sans remarquer que ce n'était peut-être pas le cas de tout le monde, avant de crier autant qu'il le pouvait pour être sûr de se faire entendre comme il faut en raison du bruit d'aspirateur collé à l'oreille que pouvait faire cette bourrasque de vent magique lancée dans Storybrooke.

« JE VOLEEEEEEEEEEEE ! REGARDEZ JE VOLEEEEE ! SUPERMAAAAAN ! »

Le tout suivit d'un hurlement digne d'un type qui aurait gagné des milliards d'argent, ou même une fangirl devant son groupe favoris, n'en finissant pas d'être une pile électrique jusqu'à apercevoir dans le lot la douce Dorothy adorée qui était tellement adorable que si elle était une pâtisserie elle serait forcément un chou à la crème. Rien que ça oui. Elle était un peu comme une petite protégée que Taran voulait sortir de sa coquille de la timidité, la défendant comme il le pouvait dès qu'une personne maléfique venait à se moquer d'elle d'une façon trop incompréhensible pour lui, et ceci depuis la malédiction en tout cas. Il faisait son possible pour l'aider à lui trouver des amis, mais des vrais qui seraient du genre gentil avec elle et non pas des idiots qui la trouvait idiote à parler à son chien – alors que clairement ce n'était pas le cas, et il espérait que la jeune fille savait qu'elle pourrait toujours compter sur lui mais aussi le fait que pour lui elle était une amie aussi précieuse qu'un petit diamant. Ainsi se trouvait-il rapidement à agiter les mains pour la saluer et prêt à crier son nom pour qu'elle puisse le remarquer, voulant aussi la rassurer pour lui montrer qu'elle n'était pas seule dans cette galère et qu'il serait là pour la protéger en cas de besoin même si être violent ce n'était pas trop son genre, se faisant arrêter par une chose plus naturelle que la tempête qui s'était déchaînée à savoir la gravité. Une notion qu'il lui était assez étranger dans sa vie d'avant, un oiseau ne connaissait pas après tous les lois de la gravité vu que généralement il venait à les défier en s'élevant dans le ciel, et ce fut alors pour Taran un moment étrange qui tentait désespérément de reprendre de l'altitude par il ne sait quelle mécanique. Bizarrement, ou plutôt normalement, battre des bras ne menait à rien à battre le déséquilibrer un bon coup et le faire de nouveau tourner sur lui-même dans une acrobatie qui aurait de quoi grandement l'amuser dans une autre circonstance. En fait, il tournait tellement qu'il en devenait assez confus par la situation et n'arrivait pas à se focaliser sur un point fixe, c'était comme se trouver dans un manège qui n'arrêtait pas de tourner et qu'il était incapable par conséquent d'arrêter la folle machine. Et le fait qu'il soit incapable de canaliser son énergie mais qu'au contraire plus il tournait plus il cherchait à bouger pour se dégager de cette spirale infernale, sans voir qu'il entrait ainsi dans un cercle vicieux difficile à s'extraire s'il ne se calmait pas, le rendait de plus en plus incapable d'avoir une vue très nette de ce qui l'entourait sur le coup et surtout du sol qui se rapprochait de façon dangereuse.

Évidemment l'atterrissage vient se faire dans une douleur indescriptible, même si avant ceci il dut y avoir les branches des arbres qui lui avaient des coups au point de lui offrir par la suite très certainement quelques bleus qui feraient dans les semaines à venir toutes les dégradations de couleurs possibles, finissant ainsi par tomber sur le dos sur la surface terrestre si dure et douloureuse. Ce nouveau baptême de l'air n'était pourtant pas aussi catastrophique à son sens, positive attitude après tout on a dit, il avait eu l'occasion de pouvoir se complaire dans les airs et il n'en fallait pas plus pour le rendre réellement heureux comme jamais. Restant par terre un instant, ayant tout de même besoin d'un moment pour reprendre ses esprits après cette chute monumentale et qui pourtant n'avait pas l'air de l'avoir tué, sa vision se trouvait vite plongée dans le noir lorsque sa planche de skateboard avait semblait voulut prendre le même chemin que lui et lui tombait ainsi en plein sur sa face. Une autre personne aurait pu se montrer en colère mais pas Taran, dur après tout d'entamer sa bonne humeur sans limite, content en fait de voir qu'il n'avait pas perdu sa planche dans cette affaire. La retirant d'une main il put néanmoins vite se rendre compte que le lieu où il se trouvait était tout de même peu éclairé, voyant pourtant très bien le ciel et ce qui avait l'air du magnifique vert des arbres dans les alentours sans pour autant pouvoir les toucher, s'asseyant pour regarder autour de lui et ainsi voir où il se trouvait à savoir ce qui avait l'air d'être un trou. Ouah. Il était tellement doué qu'il avait réussi à tomber dans un endroit improbable, le sol ou les branches c'était facile dans le fond alors que lui avait fait l'exploit de se trouver dans un lieu insolite, se sentant aussi impressionnant que les types qui arrivaient à faire tenir une bouteille debout une fois que celle-ci avait pu être lancée en l'air. Ce n'était pas tout de s'émerveiller mais il devait aussi rejoindre les autres, s'assurer que tout le monde allait bien et tout particulièrement Dorothy qu'il avait eu le temps de repérer, se relevant lentement pour une fois en sentant les endroits où son corps avait pu taper assez durement avec une surface. Tendant les bras Taran du cependant se rendre compte qu'il était bien trop petit pour sortir de là, prenant tout de même de l'élan pour tenter d'attraper le rebord mais rien n'y faisait, constatant alors qu'il se trouvait piéger dans ce mini-gouffre duquel il ne pouvait pas se libérer seul. Une seule solution se présentait à lui, il aurait tout de même voulu ne pas y arriver mais il n'avait pas d'autre choix, fixant vers le haut pour voir l'ombre de ne serait-ce une personne.

« J'suis prisonniiiiiier dans un trouuuu ! Wohoooo vous m'entendez ? J'sais que vous êtes genre carrément dans l'coin ! »

Crier à l'aide était la seule chose qu'il pouvait faire, il n'y avait pas que lui dans cette tornade et son instinct lui disait que tout le monde allait bien donc il le croyait, et vu comme il avait de la voix ce ne serait pas très difficile de l'entendre.







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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyJeu 20 Juil - 21:23






The Fantastic World of Oz


I ask you one time please confide can I choose my fate and learn to burn again can we wash our hands with dear actions I'm in the dark whole I need to burn again I got to burn again is it for real this how I feel dream me away to another world

Cela faisait quelques temps déjà que Jackie-Rose se sentait comme dans un état de léthargie. Elle qui était pourtant de nature si énergique et sociable, elle avait cette impression étrange de patauger dans de la boue, ce qui faisait qu’il lui arrivait parfois de s’ébrouer brusquement pour revenir à la réalité, faisant sursauter et changer de trottoir les passants qui avaient la malchance de croiser sa route. Il lui arrivait aussi de garder les yeux exagérément ouverts ou de sourire d’une telle manière que le Cheshire aurait pu être jaloux, ce qui avait fini de l’isoler bien malgré elle, en dehors du temps qu’elle pouvait bien passer avec Zelena et sa si mignonne fille Adrianna, ou des aventures dans lesquels elle embarquait le pauvre Garrett qui se retrouvait toujours à devoir lui sauver la mise à la fin comme une damoiselle en détresse. En réalité, dernièrement Jackie-Rose s’était adonnée à une nouvelle activité qui, même dans une ville comme Storybrooke, pouvait paraître extrêmement étrange. Jackie-Rose étant du genre influençable -et dit comme cela c’était bien plus qu’un euphémisme tant elle était un aimant à manipulateurs même les plus amateurs-, il n’était pas rare pour elle de s’essayer à de nouveaux mouvements plus ou moins politisés, au point qu’il était facile de se demander comment elle ne s’était pas encore retrouvée enrôlée dans une secte. Mais ce qui devait justement sauver Jackie-Rose était probablement son côté à la fois très généreux et sa volonté d’aimer tout le monde sans exception aucune -sauf les écureuils- et son côté inconstant, qui était presque aussi terrible que son côté influençable et lui valait de « dérôler » de ces mouvements presque aussi vite qu’elle en faisait parti. Ainsi, sa dernière lubie avait été de rejoindre un petit groupe d’habitants de la ville exclusivement composés d’anciens animaux ; carnivores, omnivores ou herbivores, tout le monde était la bienvenue tant que l’on était autrefois un animal. Le but de ce petit attroupement hebdomadaire de personnes était de ne faire qu’un avec l’animal qui était en soi, mais ça n’était pas la version « raisonnable » c’est-à-dire accepter et tirer profit de son ancien soi, mais bel et bien de redevenir son ancien soi, totalement et exclusivement, indépendament du fait qu’ils étaient des humains, dans des corps humains, dans une société humaine. Ainsi une ancienne chèvre passait-elle son temps à bêler dans les prés et se nourrissait exclusivement d’herbe ; un ancien loup s’isolait-il et chassait avec uniquement ses dents et ses « griffes », et considérait le groupe comme sa « meute » ; et Jackie-Rose, en bon ancien chien qu’elle était, ne se retenait plus d’aboyer quand elle en avait envie ou de se frotter contre les gens qui lui semblaient gentils -ce qui était relativement tout le monde- en réclamant câlins et caresses. Fort heureusement pour elle, cela ne faisait pas très longtemps qu’elle avait rejoint ce mouvement, et elle n’en était pas encore arrivé au stade initiatique où l’on brûle ses vêtements pour ne plus jamais en porter -car les animaux ne portent pas de vêtements, évidemment…

C’était dans la perspective de revoir ce petit groupe d’individus peu ordinaires que Jackie-Rose s’était levée plus tôt que d’habitude. En temps normal plus encline à la grasse matinée, surtout dernièrement, elle avait sauté de son « lit » improvisé de la nuit aux aurores, s’étirant et jappant comme un canidé en laissant pendouiller sa langue -quelque chose qu’elle essayait de faire régulièrement bien qu’elle se rendait tristement vite compte que ça n’était pas très agréable pour respirer quand on était pas un chien. Se contentant de deux couettes sur les côtés qui rappelaient des oreilles de labrador, d’un débardeur estivale et d’un sarouel confortable et coloré, elle décida de ne pas enfiler ses chaussures ce matin-là, sortant pied nu pour respirer l’air matinal, qui sentait déjà la lourdeur des orages de l’été en devenir. La première chose qu’elle avait fait était d’aller se désaltérer à la fontaine de la ville, essayant de boire en se servant uniquement de sa langue, bien qu’elle finit par tricher un peu en faisant une coupelle avec ses mains ; puis, elle avait tenté de jouer avec des enfants qui l’observaient d’un air étrange, mais cela n’avait résulté qu’en la fuite effrayée de ses derniers au grand désespoir de Jackie-Rose. Décidément, ça n’était vraiment pas facile d’être un chien à Storybrooke… Elle qui avait tant de joie et d’amour à donner ! Le reste de la matinée, ou du moins une partie, fut consacrée à une petite sieste dans un carré d’herbe ; car l’avenir appartient à ceux qui se lève tôt, et la journée à ceux qui savent faire de bonnes siestes au bon moment. Elle qui avait prévu de dormir comme ça au moins jusqu’à midi fut brusquement interrompue dans cette occupation de la plus haute importance par un… grondement. Elle avait ouvert les yeux, regardant autour d’elle en se demandant ce qu’il se passait ; et si ça n’avait pas été pour l’arbre derrière elle, elle se serait probablement faîte piétiner par une foule en délire. Se levant d’un bond, elle avait tapé dans ses mains, croyant à un jeu, jusqu’à ce qu’elle réalise que tous ces gens ne souriaient pas, et c’était même radicalement l’inverse, ils avaient plutôt l’air terrifiés. Elle se demanda s’il n’y avait pas un écureuil dans le coin qui causait une telle panique -car ces sales bêtes en étaient capable-, et décida de mener l’enquête, reniflant le sol jusqu’à ce qu’elle ressente comme un souffle d’air qui vint hérisser le peu de poils qu’elle avait sur les bras -pauvres humains et leurs fourrures étranges… Levant enfin les yeux une bonne fois pour toute, elle eut l’honneur de se constater aux premières loges d’une énorme tornade qui emportait tout sur son passage, voitures, bancs, parapluies -en plein soleil?- et autres babioles colorées. Elle ouvrit grand les yeux, la bouche formant un « oh » de surprise et, comme une personne normalement constituée, fila dans l’autre s…

Ah, ah non. Le sourire de Jackie-Rose s’étendit d’une oreille à une autre, alors qu’elle se remémorait tous les dessins animés qu’elle avait vu avec des tornades. Les héros se retrouvaient toujours emportés là-dedans, ils se faisaient balloter en tous sens et finissaient par atterrir de manière grotesque mais sans jamais le moindre mal ; et cette image qu’elle pouvait bien avoir de ce phénomène naturel la poussa à se précipiter en avant -quand on disait qu’elle était très, très -très- influençable… Un instant plus tard, elle bondissait en avant, se jetant tête la première dans la tornade, et quand elle anticipa de retomber quelque part, elle ne rencontra aucun obstacle, se faisant simplement emporter de plus en plus haut et de plus en plus vite. Au début, elle avait eut un tournis monstrueux, ne sachant pas maîtriser ce qu’il se passait -ce qui était normal vu que les chiens ne volaient pas d’ordinaire. Mais après quelques tours sympathiques, elle parvint à recouvrer ses esprits, et son sourire revint sur ses lèvres tandis qu’elle trouva une position plus confortable, ou tout du moins pas de type balançoire-faiseuse-de-migraines. Elle tournait, et tournait, et plus elle tournait, plus elle riait, et plus elle riait, plus elle faisait de signe en direction de n’importe où, absolument ravie de sa situation. Elle parvint même à apercevoir Garrett, qui semblait plongé dans une sieste alors qu’il tourbillonnait avec elle, et sa joie de le voir fut interrompue par ce qui ressemblait à un plat dans une piscine, version sol en béton. Une seconde plus tôt, elle tournait, riait et faisait des signes, et l’instant d’après, elle ne bougeait plus. Son sourire n’avait pas bougé cela dit, mais surtout parce que l’entièreté de son corps se voyait incapable de faire le moindre mouvement à cause du choc. Ce ne fut que quand elle sentit quelque chose la soulever doucement qu’elle recommença à respirer pour de bon, réalisant soudainement qu’elle était toujours bien vivante. Se retournant, elle aperçut Garrett, qui lui frottait affectueusement le nez, et elle ferma un peu les yeux, se rendant compte qu’elle avait mal absolument partout, sans exceptions.

« Garreeeeett ! Je me disais bien que je t’avais vu dans la tornade ! Oh boy oh boy, ça me fait trop plaisir que tu sois là ! Dis, on y retourne ? Allez on y retourne ! » Elle lui appuya légèrement sur le nez du bout de son doigt comme dans un geste complice. « Tu sais bien que les chiens ils ne retombent pas sur leurs pieds ! »

Cela pouvait ressembler à une blague, mais pour Jackie-Rose c’était une phrase qu’elle prononçait très sérieusement, dans sa manière parfois simplette de réagir. Elle sauta au cou de Garrett pour lui faire le câlin du siècle, mais fut forcée de reculer presque aussitôt car ledit câlin avait légèrement appuyé là où ça faisait mal, au sens très littéral de la phrase. Elle se dit qu’elle allait devoir freiner sur les câlins le temps que sa face s’en remette, même s’il elle avait une envie folle de câliner absolument toutes les personnes présentes. D’ailleurs, elle leur fit des grands signes, et surtout à Dorothy qu’elle salua avec un enthousiasme seulement diminué par le contrecoup du choc qu’elle avait subit.

« Dorothy, tu es là aussi ! »

Jackie se mit à quatre pattes, essayant de s’amuser quelques secondes avec Toto, quand l’écho de la voix inconnue de Taran la fit enfin réaliser qu’elle avait totalement changé d’endroit. Son visage exprima comme une surprise, et des larmes d’émotions lui montèrent aux yeux, alors qu’elle voyait ce paysage de verdure dense et à la saturation si élevée que ses yeux piquaient. Elle était de retour ! Elle était rentrée dans la forêt tropicale ! Oh boy, oh boy !

« Yahouuu ! Je suis rentrée ! Je me demande si la maison de Carl Friedricksen est toujours en haut de la chute d’eau… Oh boy, oh boy ! »

Elle ne semblait pas avoir décelé les grosses différences qu’il y avait entre la forêt de feuillus d’Oz, et la forêt tropical du Venezuela, mais cela lui importait peu, car elle se dirigea d’un seul coup vers le son de la voix qu’elle avait entendu un peu plus tôt, jusqu’à parvenir près d’un espèce de… cratère ? Trou ? Un truc dans le sol où le type s’était retrouvé vautré. Elle lui sourit de toutes ses dents, lui faisant de grands signes, avant de se coucher précautionneusement par terre, ne voulant pas trop appuyer là où elle s’était fait mal. Puis, tendant le bras, elle voulut l’aider quand elle sentit la terre céder sous son poids -elle qui était pourtant un poids-plume...- et cette fois, ce fut sur le dos qu’elle se retrouva couchée, à moitié agencée dans un trou qui n’était pas si étendu qu’il en avait l’air, les yeux fixés sur l’inconnu et la bouche en « oh ». Puis, elle fit la seule chose que Jackie-Rose ferait dans cette situation : elle éclata de rire, un rire clair, sincère, et rempli de la bonne humeur qu’elle pouvait ressentir à tout instant… Même si pour l’heure, elle était aussi prisonnière que Taran dans ce trou sauvage.

HANSKA.


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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptySam 22 Juil - 12:20



❝The fantastic world of Oz❞

Mission Le Magicien d'Oz
Toto trottinant à ses côtés, Dorothy se dirigeait vers le centre de Storybrooke pour faire quelques emplettes. Elle avait besoin d'une nouvelle robe. Enfin besoin était un bien grand mot, envie était plus juste. Alors qu'elle avançait tranquillement, elle remarqua que les gens s'étaient mis à crier et courir devant elle. Quand elle se retourna, elle comprit leur peur.

Une tornade dans le Maine? Ce n'était pas habituel. Depuis qu'elle était à Storybrooke, elle n'avait plus jamais vu une seule tornade. En plus celle-ci était verte. Cela ne lui disait rien qui vaille. Retrouvant de vieux réflexes, Dorothy attrapa Toto et se mit à courir comme tout le monde. Mais où aller? Il n'y avait d'abri anti-tornade dans le coin, personne dans le Maine n'en construisait. Il fallait trouver au moins une cave, mais en pleine rue, elle se voyait mal toquer chez quelqu'un et se précipitait dans son sous-sol, d'autant plus que la tornade se rapprochait. Elle n'avait plus le temps et fut happée dans le tourbillon vert.

Gardant Toto bien serré contre elle, l'adolescente se sentit baladée dans tous les sens. Pour éviter d'avoir la nausée elle ferma les yeux et se laissa porter par le vent. Elle avait tellement peur. Être emportée par une tornade avait été une de ses plus grandes phobies autrefois. Cela était un peu moins le cas depuis son voyage à Oz, mais cette fois-là, elle était dans sa maison au moins. Elle était protégée. Là, elle était à la merci de toutes les choses qui avaient été emportées : arbres, tuiles, et autres.

Le vent se mit à ralentir. En ouvrant les yeux, Dorothy vit que le sol se rapprochait lentement. Elle se prépara et quand elle jugea la hauteur bonne, elle sauta à pied joint au milieu des fleurs multicolores. Elle regarda autour d'elle, elle n'en croyait pas ses yeux. C'était impossible. Cette végétation, cette forêt, elle connaissait cet endroit.

- On est à Oz, Toto!


A peine posé à terre, le petit chien gambadait en aboyant sa joie. Dorothy le regardait faire tout sourire. Il semblait tellement heureux de retrouver ce monde. Tous deux en gardaient tant de souvenir, bons pour la plupart. Mais il n'était pas les seuls à avoir été amenés ici par la tornade et Toto reconnut vite une amie. Jackie-Rose était là elle aussi et on ne pouvait pas la rater. Elle semblait toute excitée à l'idée de se retrouver à ici (mais savait-elle seulement où elle était) et exprimait son engouement à voix bien haute. Cela fit vraiment plaisir à l'adolescente de la voir, Oz n'en était que plus merveilleux.

Mais la voix de Taran coupa toute effusion. Il était coincé dans un trou, il fallait le sortir de là. A bord du trou, Toto le regardait, il aurait presque sauté si Dorothy ne l'avait pas retenu. Maintenant qu'elle avait sa petite boule de poil dans les bras, ses gestes étaient plus que limités. Heureusement Jackie-Rose se couchait sur le sol pour aider son ami. Mais plus vite qu'il ne faut pour le dire, le sol s'affaissa sous la blonde et elle tomba tête la première dans le trou. Catastrophe ! Déjà que Dorothy n'avait aucune idée de comment sortir Taran de là, si en plus il y avait Jackie-Rose...

Elle n'entrevit qu'une solution, appeler à l'aide. Dorothy avait aperçu en sautant de la tornade des silhouettes de femmes, elles ne devaient donc pas être très loin. En criant assez fort, peut-être qu'elles viendraient donner un coup de main.

- Nos amis sont coincés dans un trou, venez nous aider s'il vous plait !

Au vu de comment le jeune homme avait taquiné Jackie-Rose, la petite fermière se doutait qu'il mettrait sans problème la main à la pâte pour les sortir de ce pétrin. Il n'y avait plus qu'à espérer que d'autres personnes viendraient également apporter leur soutien.



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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyDim 23 Juil - 23:49

The fucking'tastic world of Oz.C'était une journée tout au plus banale. Réveillée le matin par le soleil, Regina s'était levée la première du lit pour aller chercher Apple avant qu'elle ne se mette à pleurer puis était sortie de la chambre. La petite dormait encore, et la maire ne la réveilla pas lorsqu'elle la mis dans l'écharpe. Elle put alors préparer le petit déjeuner tranquillement. Pancakes aux bananes et au sirop d'érable accompagnés de pommes aux chocolats, bref, tout ce qu'elle ne préparait jamais avant. Mais il fallait bien qu'elle fasse plaisir aux hommes de sa vie de temps en temps, et même elle n'allait pas se plaindre d'en manger de temps en temps. Les bonnes choses restaient des bonnes choses, surtout quand on ne pouvait pas en profiter trop souvent. C'est d'ailleurs l'odeur de la nourriture qui réveilla Robin et Roland, ce dernier venant descendant les escaliers quatre à quatre derrière son père et manquant de tomber alors qu'il manquait la dernière marche. Robin le rattrapa par réflexe et ni une ni deux, l'enfant se remis debout avant de courir jusqu'à son siège dans la cuisine. Le repas se finit deux heures plus tard, et oui rien que ça. Apple s'était réveillée pour le biberon puis s'était aussitôt rendormis. Cette petite dormait tout le temps, vraiment. Elle faisait des nuits de plus de quatorze heure et faisait aussi la sieste. Par contre, les quelques heures où elle était réveillée, il fallait passer son temps à l'occuper, sans quoi elle passait son temps à pleurer. C'était un bien pour un mal. Heureusement pour le couple, poser la petite devant le chien suffisait largement à l'occuper. Lola passer son temps à renifler Apple, laquelle éclatait de rire et ne s'arrêtait que lorsque Lola repartait, et pour cela il fallait presque l'éloigner de force.


Une fois la vaisselle lavée et rangée, Regina décida d'aller se balader avec Apple et Lola pendant que Robin rendait visites aux merry men avec Roland. Ils étaient une partie de sa famille et même si Regina avait du mal avec leur odeur de foret et leur manière rustre, elle se devait de faire un effort. Elle allait souvent les voir avec Robin, mais aujourd'hui elle n'en avait pas vraiment envie et préférait profiter du calme d'une matinée à Storybrook. Elle avait pris Lola avec elle, la husky ne nécessitant pas d'être attachée vu qu'elle était sage et obéissante. Apple était toujours dans son écharpe et l'ancienne reine pouvait la sentir qui commençait à se réveiller. Elle décida donc d'aller au parc, où elle pourrait jouer avec sa fille et où la chienne pourrait peut-être voir des copains. Mauvaise idée. Elles étaient presque arrivée quand Lola se mit soudainement à aboyer. Regina regarda autour d'elle, mais il n'y avait rien qui pouvait justifier un tel comportement. Pourtant la chienne continuait à aboyer, à grogner, et ne s'arrêtait pas. Au moment où Regina se mit en tête de la calmer, Apple se mit à pleurer. Un vrai chaos. Et l'horizon, comme la cerise sur le gâteau, une tornade apparu. Mais bien sûr. Une verte en plus, on ne peut moins naturel. Quelqu'un avait encore fait n'importe avec la magie. La maire regarda autour d'elle, mais elle ne pouvait se cacher nul part, il n'y avait pas de cave à l'horizon. Il n'y avait qu'une seule solution. Regina se mit à genou, attrapa le collier de Lola d'une main, entoura son bras libre autour d'Apple, et se concentra de toute ses forces pour créer une bulle protectrice autour d'elles. Très vite, elle se sentit emportée par la tornade.


La bulle fonctionna à merveille. Aucun débris de les toucha pendant les quelques minutes durant lesquelles la tornade les transportait. Une fois l'heure de l’atterrissage arrivé, Regina se posa en douceur par terre. Elle vit autour d'elle plusieurs personnes, elle avait donc bien vu d'autres êtres vivants dans la tornade. Lola, elle, vit en premier un petit chien noir, et se mit frémir d'excitation sur place, attendant l'ordre de pouvoir aller dire bonjour. Regina ne la lâcha pas tout de suite, préférant observer quelques secondes. Personnes ne semblait hostile, au contraire, plusieurs semblaient même se connaitre. Il y avait aussi visiblement quelqu'un se coincer dans un trou. Quelle était cette bande de bras cassé ? Et où étaient-ils tous ? Ce monde lui faisait penser à Wonderland, mais ça n'avait pas l'air d'être le même. C'était un monde inconnu pour elle.


Regina lâcha Lola qui partit voir le chien doucement en trottinant. La brune se concentra alors sur sa fille qui, dans l'écharpe, chouinait encore un peu mais s'était calmée. Quel bordel. Elle se retrouvait dans un monde, peut-être hostile, avec sa fille et son chien, et aucun moyen de rentrer.


Regina se rapprocha de la dame qui demandait de l'aide. Il n'y avait désormais plus une, mais deux personne coincé au fond du gouffre. Regina soupira et leva les yeux aux ciel avant, d'un geste de la main, de les sortir de là. Ou plutôt elle essaya, puisque seul l'homme se retrouva téléportée en dehors du trou. "Sérieusement ?" Elle serra les dents et réitéra son geste, faisait sortir la seconde personne du trou. Voilà qui était déjà mieux. Elle recula de quelque pas pour ne pas tomber à son tour et se tourna vers les quatre personnes en face d'elle. "Ou est-ce qu'on est ?" Elle n'avait pas encore remarqué la dernière dame, une rousse, avec son landau et sa fille, elle aussi.
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMar 25 Juil - 20:40

The Fantastic World of OZZelena et la bande de bras cassés.
There's so much good here, it sickens me ! •••Zelena se trouvait en peu plus ravis que de voir cette tornade voir le jour. C'était comme qui pourrait dire son moment de gloire, ce moment ou elle allait pouvoir montrer au monde entier de quoi elle pouvait bien être capable et montrer plus que tout aux personnes qui la sous-estimaient qu'ils se trompaient sur tout le long et qu'ils allaient regretter plus que tout d'avoir pu la faire souffrir un jour ou l'autre. Elle en avait marre de rester en arrière et allait désormais se trouver en avant même tout devant tant la jeune femme était persuadée que son plan était sans faille, qu'elle allait tout simplement réussir et que personne ne pourrait l'en empêcher. La rouquine allait enfin avoir sa revanche sur tous les gens qui l'avaient fait souffrir et c'était juste le pure bonheur de savoir qu'enfin ils allaient payer. Elle avait tant de fois été mise de coté, abandonner par ce que l'on disait qu'il y avait meilleur qu'elle, qu'elle ne servait à rien. Zelena allaient leur prouver qu'ils avaient tord en même temps qu'elle allait les faire souffrir comme ils avaient pu le faire avec elle. Oz la craignait après tout il y avait un certain moment, elle avait été au plus haut de sa gloire quand elle régnait et personne n'avait osé la défier à par cette Dorothy et sa bande de bras cassés. Et pourtant on pouvait dire qu'elle avait réussis à les magner du bout du nez alors qu'elle leur avait fait croire qu'ils avaient gagné, en leur faisant croire qu'ils avaient réussis à la tuer, elle, celle que l'on pouvait nommer ''La Méchante Sorcière de l'Ouest''. La sorcière n'avait pas eu ce nom pour rien et elle le portait fièrement, assumant complètement ce qu'elle pouvait être devant les autres. A quoi cela sert de faire la gentille ? A rien. Le mal était tout ce que pouvait connaître Zelena depuis toujours et d'une certaine manière elle avait réussis à tirer de tout le mal qu'on lui avait causé une force tout bonnement, ces expériences qu'elle avait vécu l'ont endurcie dans le temps et sans eux elle ne serait pas celle qu'elle était devenue maintenant. Il y avait comme un bien pour un mal dans l'histoire finalement et c'était fou de voir qu'elle détestait les personnes qui l'avaient fait souffrir de tout son âme autant qu'elle pouvait les aimer. Mais après tout n'est-ce pas pour cela qu'elle était tout simplement devenu méchante ? Oui et non. Cela avait comme été inscrite dans ses veines après tout, son père adoptif ne l'aidant pas à ne pas se sentir comme une méchante sorcière et les expériences qu'elle avait vécu de l'avait que poussée encore plus vers ce chemin de méchanceté dont il n'y avait que très peu de retour en arrière. La jalousie était ce qui animait sa méchanceté, ce qui faisait qu'elle continuait chaque jour pour trouver un moyen de faire souffrir les gens comme on l'avait fait souffrir peu importe le prix à payer.

Du moins c'est ce qu'elle avait pu penser avant d'avoir sa fille entre ses bras la toute première fois. Ce moment avait été si magique et c'était drôle de voir qu'un petit être avait réussis en même pas une minute à attendrir le cœur de la jeune femme qui était pourtant connu pour ne pas en avoir ou alors que très peu. Elle avait refermer son cœur aux personnes qui pouvaient bien l'entourer, préférant rester seule dans sa vie au mieux d'aimer et de finir par souffrir à la fin. Toutes les personnes qu'elle avait aimé dans le passé avaient fini par l'abandonné, comme une sorte de malédiction qu'on lui avait jeté sans comprendre pourquoi. Pourquoi elle est pas quelqu'un d'autre ? Pourquoi tout au long de sa vie on ne l'avait pas choisit ? Pourquoi sa mère ne l'avait pas garder ? Pourquoi le Dark One n'avait pas arrêté ses cours avec Regina ? Après tout Zelena était beaucoup plus forte que sa sœur, elle possédait de la magie depuis sa naissance alors pourquoi ? Pourquoi Glinda l'avait mise de côté pour cette Dorothy alors qu'elle était plus puissante et plus expérimentée que la jeune fermière ? Tous pleins de questions qu'elle n'avait pas arrêter de ce poser depuis des années et des années et dont qu'elle se posait encore aujourd'hui parfois. Mais tout ceci était fini, loin derrière elle. Désormais Zelena avait une nouvelle vie, une nouvelle chance de faire ce dont elle avait mis des mois et des mois à mettre en place et elle allait saisir sa chance à plein mains et ne pas la lâcher une seule seconde. Elle était prête, et c'était grâce à sa fille que tout ceci avait pu se réaliser en réalité. C'était sa fille qui lui avait fait comprendre sans le vouloir qu'il fallait qu'elle se mette en action, qu'il fallait qu'elle réalise ses plans jusqu'aux derniers. Zelena voulait plus que tout le bonheur d'Adrianna et la rouquine savait plus que tout que son enfant ne pourrait pas vivre heureux dans un monde comme Storybrooke où les personnes qui avaient fait l'avait fait souffrir pouvaient revenir au grand galop pour la faire souffrir de nouveaux et faire souffrir sa fille au passage. Alors il fallait les éliminer, tous un par un sans qu'il n'y ai de soupçons, elle devait faire en sorte que le monde s'améliore quelque peu, qu'il n'y ai plus aucun danger pour son enfant, que personne ne vienne s'en prendre à elle. Adrianna était devenue la personne que Zelena aimait le plus au monde et si un mal lui était fait elle se donnera corps et âme, elle donnera sa vie entière pour se venger.

Elle était entrain de regarder sa fille qui dormais paisiblement dans landau ne venant même pas se réveiller une seule seconde alors que la tornade approchait à grand pas. Adrianna devait être comme sa mère. Après tout Zelena avait été plus jeune que sa fille lorsqu'elle avait pris sa première tornade, c'était même elle qui l'avait emmenée à Oz, une belle tornade verte, et pas une seule fois elle avait pu pleurer pendant le voyage. La sorcière venait à avancer vers cette dite tornade sans avoir peur, elle savait que aucun mal lui serrait fait après tout c'était sa magie qui l'animait et ses pouvoirs ne se retourne jamais contre elle. Elle avait mis la baguette dans la poche intérieur de son manteau pour éviter de la perdre, elle ne savait pas exactement ce qu'elle allait pouvoir trouver à Oz et il fallait trouver un moyen de retourner à Storybrooke si elle ne trouvait pas les souliers d'argent ou tout simplement les haricots magiques qu'elle avait pu avoir dans le passé. Elle releva son regard vers la tornade, le vent fouettait ses cheveux bouclés qui étaient en cascade le long de ses épaules tandis que le chapeau qu'elle portait sur la tête ne bougeait pas d'un millimètre. Et c'était comme si d'un coup elle venait à se faire happer par le vent rentrant d'un seul coup au cœur de la tornade, dans l’œil du cyclone, tout autour tournait, les bous de bois, des arbres entiers et bien vite elle pu apercevoir des tuiles, des bouts de bétons tourner autour d'elle sans que jamais qu'un seul débris ne vienne à la toucher. Elle pouvait être si heureuse qu'un certain rire s'échappa de ces lèvres. Elle avait réussis la première étape dans sa quête, dans sa mission et absolument rien désormais ne pourrait venir à l'arrêter. Elle surveilla sa fille pendant quelque instant avant d'entendre un certain bruit malgré tout le vent qui était présent et c'était comme si en quelques minutes même pas plusieurs personnes vinrent à se retrouver dans la tornade eux aussi. Quoi ? Oh non … Elle ne voulait pas être dérangée, elle ne voulait pas avoir de compagnie avec elle parce que tout simplement elle détestait avoir de la compagnie et préférait largement se retrouver seule. Les gens étaient tout simplement égoïste ou bien alors ne se doutait même pas de ce qu'était la réel nature de ce que l'on nommait l'humanité : une cause perdue. Elle ne connaissait pas la première femme qui apparut mais fini bien vite pas retrouver des têtes qui lui était familière : Jackie-Rose mais plus particulièrement Dorothy et sa sœur adorée … Pourquoi avait-il fallut que ses deux là se fasse prendre pas cette tornade ? Le sort s'acharnait encore sur Zelena apparemment alors que ses deux femmes étaient un plus gros problème pour la sorcière. Les deux garçons encore elle n'en avait que faire, après tout elle ne les connaissait pas et puis Jackie-Rose était tellement naïf qu'elle savait qu'il suffirait qu'elle demande un truc pour qu'elle obéisse. La blonde l'aimait trop et adorait Adrianna également.

Elle aurait voulu faire quelque chose malheureusement elle ne pouvait plus rien faire. Ils se trouvaient tous déjà dans la tornade et ne pouvaient plus en sortir avant qu'elle s'arrête d'elle même, c'est à dire à Oz. Elle regardait plus attentivement sa sœur qui avait l'air d'avoir également emmener sa fille – chouette – et ce qui avait l'air de ressembler à un chien tout comme Dorothy qui avait amené son vilain cabot Toto. Ils étaient toujours ensembles tous les deux venant presque à dégoûter Zelena. Qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir faire d'eux ? Les abandonner ? Après tout c'était une bonne idée n'est-ce pas ? Elle pourrait les laisser se débrouiller tout seul à Oz et laisser leur cerveau se creuser pour trouver un moyen de renter à Sotrybrooke, et puis dans tous les cas ils avaient Dorothy qui connaissait plutôt bien Oz alors ils sauront s'en sortir ! Et si ce n'est pas le cas tant pis pour eux, Zelena ne viendrait très certainement pas pleurer sur leur tombe bien au contraire elle viendrait même à rire s'ils viennent à se faire attaquer par des fées dans un lac ou tout simplement par des singes volants qu'elle aurait pu transformer à droite et à gauche et que la malédiction aurait pu oublier. Tout ce qui pouvait compter étaitson plan et sa fille qui dormait toujours paisiblement. Elle regardait les autres dans la tornade avec un air désespéré sur le visage alors qu'ils n'étaient rien d'autre que des enfants, venant presque à rigoler lorsqu'il faudrait descendre tout simplement. La rouquine les admira chuter les uns après les autres rigolant presque en voyant l'un des jeunes hommes tomber directement dans un trou et Jackie-Rose se vautrer complètement la tête la première sur le sol. Les autres avaient l'air de s'en être plutôt bien sortit, de la chance très certainement. La tornade vint petit à petit à réduire. déposant Zelena sur le sol en douceur posant un pied puis l'autre sur le sol gracieusement. Elle restait en arrière venant sourire à sa fille qui commençait doucement à se réveiller et qui se mit à pleurer en entendant tout le bruit qui se faisait à côté. Pourquoi criaient-ils ? Zelena leur jetait un regard noir avant de prendre sa fille dans les bras pour la calmer. Elle n'allait très certainement pas venir les aider alors qu'ils s'étaient mis tout seul dans ce pétrin, ils pouvaient très bien s'en sortir seul, ayant bien autre chose à faire que d'aider - qui était en soit une notion qu'elle ne connaissait pas vraiment. C'est Regina qui vint sortir les deux personnes du trou, voyant avec un sourire satisfait sur le coin des lèvres qu'elle avait quelque peu du mal avec la magie. Zelena avait régné pendant des années dans ce monde, elle avait tout fait pour être la plus puissante niveau magique et puis Oz n'était pas le même monde que la Forêt Enchantée et donc pas les mêmes règles.

« Chute, maman est là calme toi ! On est à aux Pays d'Oz et Jackie se n'est très certainement pas ton monde, je me rappellerais de t'avoir déjà croisée par ici sinon … »

Elle s'adressa à tout le monde pratiquement et plus à Jackie-Rose tandis que c'était la première fois qu'elle prenait la parole mais plus que tout la première fois que tout le monde pouvait la remarquer. Jusqu'ici elle s'était mise dans l'ombre même dans la tornade alors qu'elle berçait doucement sa fille dans ses bras pour venir la calmer. Qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir faire de tout ce monde ici … Zelena venait d'abord à observer où il pouvait bien se trouver après tout la tornade t’emmenait au pays mais un peu n'importe où, reconnaissant bien vite la partie de la forêt. La sorcière connaissait cet endroit comme sa poche, le connaissait par cœur, après tout elle devait connaître son pays pour bien régner à sa façon, se remémorant toute la carte dans sa tête pour savoir qu'elle chemin elle pourrait prendre. Elle retourna le regard vers Dorothy avant d'aborder un faux sourire dont elle avait le secret.

« Dorothy ! Ma chère amie comment vas-tu ? Tu ne t'attendais pas à me voir ici n'est-ce pas ? Enfin à me voir tout cours même … Mais la tornade verte aurait pu te mettre la puce à l'oreille très chère. Afin bref, vous deux les deux garçons je vous connais pas et enfaîte je veux pas vous connaître. Bonjours madame la maire j'espère vous avez fait bon voyage veuillez m'excuser pour les dégâts que j'ai pu commettre à votre ville, vous savez la magie parfois ça fait des siennes et très pratique l'écharpe. Ah Jackie-Rose tu es là toi aussi, je suis contente de te voir tu sais, tu veux bien prendre Adrianna pour moi quelque instant ? »

Elle ne lui laissa même pas le temps réellement de répondre avant de mettre sa fille dans les bras de l'ancien chien. Zelena n'avait aps peur de confier sa fille à Jackie-Rose étant bien la seule personne au monde à qui elle pourrait laisser sa fille tout bonnement parce qu'elle savait que la blonde prendrait soin de son enfant parce qu'elle en était gaga et qu'elle la protégera contre sa vie. Elle recula quelque peu venant à faire disparaître d'un seul coup de la main le landau avant de se les frotter l'une contre l'autre.

« Bon, se sera plus simple sans. J'vous explique vite fait la situation … Je me présente Zelena ou plutôt La Méchante Sorcière de l'Ouest vous m'appelez comme vous voulez. Pourquoi de l'Ouest ? Je sais pas après tout vous ici on est à Oz et c'est moi qui règne mais bon. Vous êtes pas censé vous trouvez ici donc vous faites ce que vous voulez, vous trouvez un moyen de renter ou autres, moi je vais faire ce que j'ai à faire d'accord ? … Si certains me suivent j'espère juste que vous ne serez pas un poids. »

C'était peut-être elle qui les avait amené ici mais elle n'avait aucun regrets de pouvoir les laisser ici. Elle ne voulait juste pas qu'ils soient un poids pour elle, ne sachant pas vraiment ce qui pourrait les attendre plus loin. Cela faisait bien trente ans qu'elle n'y était pas retourné et des choses pouvaient se passer pendant tout ce temps ...
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyJeu 27 Juil - 17:43




Taran avait déjà connu beaucoup mieux comme situation, il y avait pas à dire se retrouver ainsi piégé au fond d'un trou ce n'était pas la situation la plus idéale au monde, cependant dans toute sa manière de relativisé il savait aussi que c'était loin d'être la pire de toutes ce qui voulait dire qu'il n'y avait pas de quoi paniquer ou s'énerver. Il y avait eu cette fois dans les grottes dans laquelle il s'était perdu pendant toute une semaine, devant sérieusement taper dans sa réserve de chips au paprika tout en se faisant attaquer par des Nosferatis en puissance qui essayaient de venir l'attaquer à la moindre occasion, alors inutile de dire que cette soi-disant situation de crise dans laquelle il était actuellement ne l'était pas tant que ça et au final avoir cette perspective positive lui permettait d'afficher un grand sourire confiant sur ce qui pouvait bien se passer. Et puis, de toute façon Taran avait bien vu qu'il y avait d'autres personnes avec lui – enfin pas dans le trou mais plus loin, il avait pu voir après tout sa super amie à savoir la douce Dorothy qui rivalisait avec la douceur de la chantilly. Le tout était de se montrer désormais patient tout simplement, juste attendre qu'une personne puisse bien vouloir montrer le bout de son nez et surtout le fasse ainsi sortir d'ici, mais le problème étant qu'il n'avait pas la moindre patience et que lorsqu'il avait une idée en tête c'était immédiatement en s'emportant comme une pile électrique. Ainsi commençait-il déjà à faire les cent pas en se demandant ce qui pouvait bien mettre du temps à venir ainsi le secourir franchement, bougeant ainsi dans tous les sens en s'agitant comme s'il était un animal en cage – pas très faux dans un sens lorsqu'on regardait qui il était vraiment, s'ennuyant alors qu'une simple petite poignée de secondes venait tout juste de s'écouler depuis l'instant où il avait terminé de crier à l'aide pour sortir du trou dans lequel il se trouvait encore piégé. Taran avait ce besoin presque permanent et naturel de se retrouver sans cesse en mouvement, même lorsqu'il regardait un film il n'arrêtait pas de bouger dans tous les sens et de pousser des cris selon ce qui se déroulait devant les yeux, tandis qu'il retentait en vain de s'accrocher de nouveau sur le bord sans le moindre succès vu la hauteur à laquelle la sortie se trouvait. À part se recouvrir les mains de terre, perdre un peu plus patience sûrement, c'était tout ce qu'il faisait dans le fond sans même perdre de sa presque inépuisable énergie.

Jusqu'à ce qu'au final il puisse voir enfin des têtes au-dessus de son trou, sautant de joie tout en poussant quelques cris, avant de tenter d'attraper ainsi la main que lui tendait une dame blonde. Pour cela il tentait dans un premier temps de se coller le plus possible contre la paroie et de tendre lui-même la main, n'arrivant qu'à frôler le bout des doigts de son homonyme sans parvenir à se saisir le moins du monde, prouvant que l'exercice allait être plus compliqué que prévu au final. Taran reculait pour prendre son élan, il allait s'appuyer le pied contre le mur et prendre suffisamment de hauteur pour pouvoir sortir d'ici une bonne fois pour toutes, mais avant de pouvoir se lancer une partie du sol où se trouvait l'inconnue fort sympathique se dérobait pour la rendre elle-même prisonnière. Approchant de la blonde pour voir comment elle allait, même si en y regardant de plus près le trou dans lequel ils se trouvaient été si dérisoire qu'il ne lui faille que cinq pas pour arriver à sa hauteur, l'observant un peu en voyant le sourire qu'elle abordait qui se faisait alors comme une sorte de délic chez Taran. Elle et lui allaient très bien s'entendre, c'était comme si elle portait la même aura lumineuse qu'il pouvait avoir, et c'est sans doute pour cela que de manière si enfantine ils se mettaient à rire dans une situation qui en aurait pourtant fait paniquer plus d'un. L'aidant à se relever le jeune homme pouvait très vite entendre la voix de Dorothy, levant les yeux pour voir ce qui se passait au-dessus tout en lui faisant signe que tout allait bien, il ne voulait pas l'inquiéter inutilement surtout qu'elle était si gentille après tout. La petite fermière était beaucoup plus brave qu'on pourrait le croire à première vue en la regardant mais Taran savait parfaitement qu'elle pouvait se montrer si forte, elle n'avait jamais bronché ou cherché à faire du mal à ceux qui pouvaient se moquer de lui alors qu'elle ne méritait clairement pas une telle chose et il fallait être un véritable idiot pour lui vouloir du mal, mais il ne voulait pas non plus qu'elle puisse s'inquiéter inutilement pour lui et ainsi lui présentait-il un de ces sourires des plus éclatants tout en levant à son adresse le pouce en l'air comme en gage de sa bonne foi. Il s'en voudrait tellement si par sa faute elle venait à pleurer ou même paniquer parce que ce n'était pas du tout ce qu'il voulait, il préférait de loin la voir sourire comme tout le monde en fait mais peut-être plus spécifiquement Dorothy parce qu'elle était une amie précieuse, et il se devait ainsi de tout faire pour que tout aille bien pour elle.

« T'en fais pas Drodro tout va bien ! J'fais genre totalement connaissance avec ma nouvelle amie ! Tu la connais aussi ?! Et coucou Totooooo ! »


Taran s'agitait encore une fois, faisant des grands gestes dans tous les sens comme pour être sûr qu'on puisse bien le voir même si c'était hautement improbable avec sa veste jaune – parce que le jaune c'est genre la vie surtout pour le leader de la Team Instinct, curieux de savoir à qui Dorothy pouvait bien s'adresser alors qu'il lui donnait toute une multitude de surnoms. Comme à n'importe qui en fait, c'était plus fort que lui et peut-être dans cette optique de prouver une certaine complicité, mais il fallait toujours qu'il vienne surnommer quelqu'un d'une manière ou d'une autre à un moment donné qui n'était pas toujours celui le plus approprié. Par exemple la femme qui était tombée avec lui le premier mot qui lui venait c'était 'boulet', mais attention rien de péjoratif parce que Taran ne pensait jamais à mal et ce n'était pas son genre de se moquer des autres, non pas pour la qualifier mais parce qu'elle avait été comme un boulet de canon et c'était tellement trop la classe quelque part parce que Pirates des Caraïbes était un bon film. Mais il était sûr qu'il pouvait faire mieux en surnom alors qu'il fixait la paroie en se demandant comment faire, c'était dans un moment comme celui-ci qu'il aurait aimé que Blanche trouve un plan ou que Candela utilise sa force pour faire un truc sauf que pour le coup il ne pouvait que compter que sur son instinct qui lui disait juste d'attendre – une vraie torture, lorsque tout d'un coup il se mettait à quitter le sol de lui-même en volant quelque peu en provoquant chez lui une nouvelle euphorie qui n'en finissait plus une fois encore. Décidément en peu de temps Taran avait plus passé de temps à voler, même si là il faudrait plus parler de planer – et non rien d'illicite pour le coup, et deux fois comme ceci en une même journée c'était provoquer chez lui beaucoup d'agitation tout en lui redonnant une surdose d'énergie qu'il ne savait même pas lui-même gérer alors qu'il poussait des petits cris digne d'une fangirl devant son idol tant l'expérience le mettait aux anges. C'était tellement dommage que de ressentir le sol de nouveau sous ses pieds, il aurait voulu tellement en profiter beaucoup plus que ce qu'on venait de lui donner mais il en était tout de même très heureux et il savait qu'il ne devait pas abuser des choses, se tenant un peu la tête pour reprendre ses esprits tout en voyant ainsi Jackie-Rose qui subissait après lui le même sort. Se retournant vers la mairesse qui avait l'air en cause, après tout on lui avait raconté que c'était une grande sorcière, Taran s'approchait d'elle tout en secouant les mains avec le plus grand sourire de gamin du monde plaqué sur le visage.

« Vous pouvez l'refaire ?! S'il vous plaîîîîîîîît ! »

Apparemment ce n'était pas le moment idéal pour demander ça vu le regard qui se prenait, très certainement que madame le maire avait des heures de sommeil à rattraper et si c'était le cas Taran voulait bien lui prêter sa game boy pour l'aider à s'endormir le soir après une trépignante aventure dans les hautes herbes de Johto, un peu déçu mais vu sa capacité à vite passer à autre chose il ne s'attardait pas trop sur la chose alors qu'il s'approchait de Dorothy pour la prendre dans ses bras et frotte sa joue contre la sienne. Toujours très démonstratif dans ses manières de faire, encore plus quand il connaissait et appréciait la personne – alors que dans le fond il détestait personne donc autant dire que tout le monde se trouvait dans la bonne catégorie, sans voir un seul instant qu'il pouvait empiéter sur l'espace privé et qu'il ne connaissait de toute évidence aucunement cette notion. Taran se calmait quelque peu, même si pour lui la notion de se calmer était tout de même assez relative, en entendant une autre femme leur parler alors qu'elle donnait ce qui semblait être un bébé dans les bras de la gentille blonde qui était tombée avec lui dans le trou. Et en parlant de trou justement, non pas celui bande de personnes à l'esprit mal placé, ce fut le vide dans le cerveau du jeune homme alors que l'inconnue qui se présentait comme une méchante sorcière se mettait à parler. Mais vraiment beaucoup trop et en fait elle parlait tellement que Taran décrochait très rapidement, chantant sans sa tête le générique de pokémon au lieu d'écouter ce qu'elle avait à dire et ignorant ainsi les mauvaises paroles qu'elle pouvait dire, voyant juste ses lèvres bouger sans rien écouter à ce qu'elle disait comme si elle avait été une de ces anciennes institutrices scolaires. Il était dans son petit monde jusqu'à la voir bouger, soit elle ovulait partir soit elle avait une envie pressante à assouvir dans les bois alors dans le doute il se mettait à courir dans la même direction qu'elle mais en s'éloignant de plusieurs mètres – histoire de lui laisser faire sa petite affaire tranquille, complètement intenable et inconscient de ce qui pouvait bien se passer jusqu'à ce que le sol de terre devienne bien plus dur et le fasse bugé un instant avant de le faire crier de nouveau. Il se trouvait tellement halluciné face à ce qui se présentait sous ses pieds, se mettant même par terre pour la toucher et la frotter, n'en revenant juste pas avant de venir hurler aux autres.

« Une route jaune ! JAUNE ! Vous avez vu ça ?! Wooooh elle est tellement trop belle ! »

Parce que le jaune c'était la couleur de son étendart, la couleur majoritaire de qui il pouvait bien être juste avant, voir du jaune pour Taran c'était toujours une très bonne expérience alors forcément que toute une route c'était l'apogée de tout dans le fond. Se relevant comme il faut, même si quelque part c'était plus en dansant, il avait son instinct qui lui disait de toujours la suivre et de ne jamais quitter les fameuses briques jusqu'à ce que tout d'un coup ceci lui lui fasse tilt dans sa tête. Il y en avait pas aussi dans le monde d'Oz ? C'était pour dire à quel point il n'avait vraiment pas écouté ce que Zelena avait pu dire plus tôt, comme s'il avait eu un filtre pour tout ce qu'une personne méchante pouvait bien dire mais de manière globale, hochant de la tête pour lui seul alors que son radar naturel lui indiquait du mouvement vers la droite du chemin qui s'étendait des deux côtés à perte de vue dans la forêt. Taran avait cette faculté étrange parfois, et surtout lorsqu'il se concentrait même si pour le coup il n'avait rien fait comme si tout était un peu en train d'échapper à son contrôle, de pouvoir ressentir sur une faible distance la présence de quelques âmes qui vivent comme pour lui indiquer la position. Et d'ailleurs en tendant bien l'oreille on pouvait entendre un bruit sourd sur la droite, même s'il n'était pas forcément très net pour le coup et n'était rien de très précis, qui indiquait ainsi la présence plausible de quelque chose ou quelqu'un. Et si la logique aurait voulu qu'il aille voir ce qui se passe par-là ce n'était pas ce que son instinct lui disait, et vu que Taran le suivait toujours il était clair qu'il n'irait pas par-là, encore plus en regardant vers la gauche et en voyant une sorte de lourde fumée épaisse et sombre qui avait l'air de venir de plus loin. La priorité pour lui était de s'occuper du feu qui pouvait tout ravager en quelques minutes, peut-être qu'une personne était en danger et il se devait d'aller l'aider c'était tout, pointant alors aux autres pour attirer leur attention vers là-bas le nuage noir qui avait l'air ainsi d'un départ de feu dans nul doute selon la forme qu'il avait à savoir en entonnoir.

« Regardez là-bas de la fumée ! On doit y aller ça pourrait être un incendie ! »

Se mettant à courir sans plus attendre Taran tenait aisément le rythme, courir il en avait l'habitude et mine de rien il n'avait pas mal d'entrainement chaque jour, sans regarder derrière lui si on lui suivait ou non parce que de toute façon la priorité se trouvait de voir ce qui se passait et surtout que personne ne puisse se trouver en danger. Il ne lui fallait qu'une dizaine de minutes pour arriver vers ce qui était une petite maison, mais pas dans le genre juste avec peu de pièces mais d'une taille vraiment plus petite que la moyenne au point qu'on aurait pu croire que c'était un des sept nains de Blanche-Neige qui habitait là-dedans, où le toit se trouvait en proie aux flammes. Pas de doute pour lui il fallait agir très vite et même s'il avait pu avoir une petite hésitation durant une fraction de seconde, en raison d'une silhouette qui s'échappait dans les bois et réfrénant son envie de la suivre pour voir de quoi il était question – ou plutôt de qui, l'instinct de Taran le poussait à se rendre en priorité à la maison pour s'assurer que personne n'était ainsi piégé à l'intérieur et risquait ainsi un Game Over dont il ne pourrait pas se relever malheureusement. Cette fois-ci il cherchait à user de manière consciente son pouvoir de perception, c'était un peu comme un cercle sur une certaine distance assez courte dans le fond qui lui indiquait qui pouvait bien se trouver dans les environs, histoire de s'assurer que personne ne se trouvait dans la maison sauf que son don avait l'air de ne pas très bien marcher sur le coup pour une raison qu'il ne l'expliquait pas. Il lui indiquait qu'il n'y avait rien mais pourtant le doute était permis sans qu'il ne sache pourquoi, sans doute à cause du fait que le rendu était tout brouillé en fait, lui laissant ainsi une sensation mitigée qu'il n'appréciait pas et il ne fallait ainsi pas longtemps pour que Taran vienne sans plus attendre enfoncer la porte qui tombait sans trop de mal avec lui par terre pour lui donner accès à l'intérieur de la maison en miniature. Et c'était amusant, enfin du moins si le toit n'était pas en train de tout cramer, de voir que même à l'intérieur tout était en tout petit en matière de proportion à savoir aussi bien le plafond que les meubles au point d'avoir l'impression d'être dans une maison de poupée ou un truc du genre au point de lui offrir la seule réaction logique qu'il pouvait avoir dans un tel moment.

« Comment c'est trop chouuuuuuuuuu dedans ! »

Bon un peu de sérieux après ça parce que Taran n'était pas là pour s'amuser, appelant une quelconque personne il se rendait bien vite compte que personne ne lui répondait et qu'il n'y avait pas l'air d'avoir la moindre âme qui vive dans cette maison, rendant encore plus mystérieuse la situation surtout avec cette silhouette qui avait pu fuir dans la forêt. En dehors d'un landau, d'une peluche et d'une bague il n'y avait rien l'air de spécial et il prit les deux derniers objets avant de sortir de la maison qui s'enfumait de plus en plus avant de s'écrouler à cause des fondations fragilisées par le feu. Taran avait eu l'instinct de récupérer l'ours et la bague en fait au cas où quelqu'un arriverait chez lui, d'ailleurs il l'imaginait sans mal être sur les fesses en voyant qu'il ne resterait qu'un tas de cendres vu que les flemmes étaient en train de tout dévorer ce qui restait de cette jolie petite maison encore plus petite de près, et que peut-être ceci lui ferait plaisir d'avoir un ou deux souvenirs assez précieux parce qu'un bijou et une peluche c'était tout de même hyper important dans une existence. Lui par exemple il serait tellement triste que son Pikachu puisse partir en fumée, ça serait même un drame national pour Taran qui n'en finirait pas de chouiner toutes les larmes de son corps pour le coup, et il ne pouvait qu'imaginer avec un fort altruisme toute la douleur que ceci représenterait pour le propriétaire de l'ours en peluche qui était ainsi sauvé. C'était toujours mieux que rien de toute façon, ne stoppant à aucun moment son optimisme débordant qui n'en finissait de toute façon jamais de couler dans ses veines, décidant ainsi d'être le nouveau gardien de cette peluche jusqu'à ce qu'ils retrouvent son propriétaire alors qu'il le montrait fièrement aux autres comme si c'était là le plus grand des trophées qui puissent ainsi exister.

« J'ai trouvé personne à l'intérieur sauf Mr Teddy et une bague ! 'Jour j'suis Mr Teddy l'ours graouh ! Héhéhéhé ! »


Un vrai gamin après tout, mettant la bague dans sa poche pour l'instant, agitant la patte de l'ours et faisant mine qu'il parlait dans un piètre spectacle de ventriloque.







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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptySam 29 Juil - 22:35



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The fantastic world of Oz
La Dame Blanche à Oz


Elle était tant absorbée par la magnificence des lieux, ses lumières et ses couleurs éclatantes, qu'elle n'avait tout d'abord pas remarqué que les autres personnes qui l'avait suivit dans la tornade eh bien… avait atterrit juste à coté d'elle. Ils n'étaient pourtant pas discret, ils criaient presque, offensant le calme aristocratique de la femme, certains même étaient tombés dans un trou, ils se connaissaient et s'embrassaient. Madame la Maire était la seule figure connue, d'assez lointainement tout de même, dans cet attroupement. C'est elle d'ailleurs qui sortit les malheureux de leur impasse, troublant Katharina par la magie employé. Elle n'y était après tout pas vraiment habitué, pas sous cette forme assez pure. En tout cas, personne ne la remarqua, et elle  ne fit pas grand chose, pour ne pas dire rien, pour changer les choses. Elle se fichait quelque peu que les autres la voient, apathique quand à ce qu'ils pourraient penser d'elle. La défunte ne connaissait pas les lieux où ils se trouvaient, et même si cette forêt respirait la joie, ce n'était peut-être pas une réalité. Elle resta donc dans l'ombre, là où personne ne faisait attention à elle. Après tout, qui verrait la tache blanche de sa chevelure au milieu de tant de couleurs vives ? Sauf qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'une autre personne se dissimule dans les ombre, une grand femme portant un couffin, et elle eut tout de suite une pensée pour le pauvre enfant qui avait subit la tornade de plein fouet.

Dans son recul, elle écouta cette femme se présenter aux autres, enfin pour ceux qui ne la connaissaient pas, comme la Grande Méchante Sorcière de l'Ouest, l'incarnation donc de l'antagoniste d'un conte qu'elle avait surement du lire à Victor enfant, sans qu'elle n'en garde vraiment souvenir. Elle ne semblait pourtant pas vraiment méchante aux yeux de Madame Klein, simplement peu ouverte aux autres. Elle donna tout de même son enfant, sa petite fille, à la jeune blonde qui avait l'air plutôt … maladroite. Pas qu'elle jugeait les autres, mais la mère connaissait la fragilité des bébés et elle prit soudainement peur que l'insouciance de cette Jackie provoque un dramatique accident. Elle se rapprocha discrètement donc d'elle, dans la pensée de vouloir intervenir au moindre signe. Le bien-être des bébés était une chose très importante à ses yeux, et presque rien ne pouvait compter autant que cela. En tout cas, elle ne mit guère longtemps à décider de suivre cette femme, elle qui semblait bien connaître les lieux et donc qui était la plus susceptible de savoir comment rentrer saine et sauve dans sa maison, à Storybrook. L'un des jeunes hommes se révéla vite être … totalement excentrique au mieux, puisqu'il se mit à caresser les briques jaunes de la route lorsqu'il les vit. Il y avait surement une histoire derrière, mais à voir c'était sincèrement perturbant. En tout cas, malgré qu'ils avançaient en terrain découvert, eh bien personne n'avait remarqué l'ombre qui les suivait. Car elle était bien une ombre, les reste d'un fantôme, et peut-être était-ce l'un des effets secondaires, sortie de Storybrook, qui agissait sur elle. Suivre le mouvement, en tout cas, était ce qui semblait être le mieux en ce cas présent. Le jeune homme, Taran, suivait la direction, mais commençait à s'éloigner légèrement de la sorcière, rien de bien méchant mais tout de même significatif. La femme resta prêt de la sorcière, jusque devant une petite maison, tout à fait charmante.

Le problème étant qu'elle prit brusquement feux, sur son toit. Mais ce n'était pas tout, alors qu'elle aurait voulu rester figé de stupeur, elle ne put toute fois s'empêcher de remarquer du coin de l'oeil une personne s'enfuir à leur approche, une torche à la main. Elle jeta un oeil alors à Zelena, car si elle se présenta comme une méchante sorcière, ne fallait-il pas de méfier ? Mais cette dernière ne fit que froncer les sourcils, réfléchissant, et elle sut qu'elle n'y était pour rien. Tout semblait se précipiter, car Taran arriva à ce moment là pour se précipiter à l'intérieur. S'il y avait quelqu'un à sauver, il le ferait manifestement, et restait le problème de la personne fuyant. Personne d'autres qu'elle ne semblait l'avoir vu, aussi prit-elle la décision de tenter de poursuivre l'assaillant. Oh, bien sûr elle était bien consciente qu'elle ne pourrait jamais rattraper un homme bien portant, mais du moins espérait-elle l'identifier.

Essoufflée, fatiguée, elle revint doucement vers la sorcière, elle n'était pas allez bien loin pourtant, qui semblait enfin la remarquer tandis qu'elle s'adressait à elle. "C'était un homme, dans la moyenne, aux cheveux brun. Avec sa torche à la main, je n'ai rien pu voir de plus. Quel horreur que de mettre le feu à une maison… " Pourtant les autres ne semblaient pas vraiment l'apercevoir, ou du moins pas tous, observant la sortie triomphante de Taran. Son interlocutrice se compta d'un "hmm" et son regard montrait l'étrangeté de ce qu'il se passait ici. Pas très aimable, et quel déplorable éducation qui lui avait été donné là ! Zelena en tout cas ne semblait pas rassuré, et elle récupéra sa fille dans ses bras, annonçant qu'il ne fallait pas qu'ils restent ici. Méchante, vraiment ? Elle semblait en tout cas faire un minimum attention à ses compagnons de route en les incluant. Katharina suivit le mouvement, fatigué de sa brève course. Pas que l'âge soit en cause, mais plutôt sa maladie qui la laissait régulièrement affaiblit. Dans quel histoire s'était-elle embarqué ! Enfin. Il fallait faire avec, ce n'était pas grand chose. Alors qu'ils continuaient leur chemin, la route soleil se mit à descendre, et l'on aperçut au loin un village. Sauf que celui-ci était totalement ravagé. Brisé, détruit, tout semblait cassé en milles morceaux, les arbres jonchaient le sol, déracinés ou brulé, et une fumée épaisse et noire s'échappait des lieux. Un brusque frisson traversa tout son corps, alors que le souvenir vivace de son rêve de monde détruit et désolé lui traversait la mémoire. Ce n'était pas le même village, mais la même désolation.

Ils descendaient vers les lieux, suivant les briques jaunes, et elle s'aperçut bien rapidement que le village était fait de porcelaine ! "Quel tristesse ! Les lieux devaient être  magnifique, avant tant de destruction ! ". Et la sorcière, que la morte ne faisait décidément que suivre, répliqua "C'était pas mal effectivement". Eh bien, c'était mieux que rien. Katharina parcourut le village des yeux, cherchant un quelconque signe de vie, jusqu'à entendre de lointain cris, comme si … comme si un enfant pleurait ! En entendant cela, Zelena se contenta de resserrer ses bras sur la petite Adrianna, et semblant vouloir partir, la femme l'interrompu. "Attendez, il y a un enfant ici, nous devons l'aider !" Sa voix était ferme comme on ne l'aurait pas deviner pour une elle au premier abord, et on entendait dans son ton la remarque évidente, que cela pouvait être sa propre fille, et effectivement l'autre attendit en disant "non mais c'est pas vrai … ". La Dame Blanche partit donc à la recherche des bruits lui parvenaient, un enfant qui criait " à l'aide ! Il y a quelqu'un ? " entre deux sanglots. S'approchant, elle annonça à la ronde " Je suis là, je vais vous aider ! Où êtes-vous? - Là, aidez moi s'il vous plait !" La femme en blanc s'approcha des sons, et vit une petite maison de porcelaine, brisée elle-aussi, des gravats et des charpente de bois jonchant le sol, et en se penchant une petite fille en porcelaine aux larmes glissant sur ses pâles joues. "Comment tu t'appelle ? - Je… Je m'appelle China ! Je ne peux plus marcher s'il vous plait aidez-moi !" Et effectivement, ses petites jambes de porcelaine étaient brisées, arrachant une douleur vive au cœur froid de la dame, qui tenta d'attraper la petite sans y parvenir. Interpellant tout d'abord la sorcière, cette dernière déclina bien rapidement. Elle attendait déjà, pas besoin de plus ! Elle regarda en arrière, cherchant du regard un autre, amical. " Ne 'inquiète pas ma petite, je vais te sortir de là. Vous autres, aidez-nous je vous en prie, une vie est coincée là-dessous et je ne puis l'atteindre ! " Elle espérait vivement que quelqu'un souleverait, ou enleverait les débrits, qu'elle prenne China dans ses bras.


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Garrett Colt

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyLun 31 Juil - 0:43

The Fantastic World of Oz
mission juillet 2017

Après avoir failli mourir étouffé sous le raz-de-marée d’affection de Jackie (cette fille avait un vrai problème avec l’espace vital), je reportai mon attention sur nos autres camarades d’infortune. Hm. Une belle brochette de bras cassés. Je n’aurais pas parié un sou sur eux (encore aurait-il fallu que j’aie ce sou). Mais j’avais appris qu’il valait mieux se méfier des apparences. Qui sait, peut-être que ce gamin un peu boulet sur les bords (au milieu aussi) cachait un grand potentiel. Le séjour promettait d’être folklorique. Bah, tant qu’on me laissait faire ma sieste... Oh tiens, un sac à puces… deux sacs à puces ? Génial. Manquait plus que ça : des clebs. Je restai à une distance raisonnable des canidés, pas trop enthousiaste à l’idée de partager mon oxygène avec eux. Parmi les nouveaux arrivants, je reconnus la mairesse. Je l’avais déjà vue en photo dans le journal. Journal que je n’avais pas payé d’ailleurs, mais ce n’est pas le sujet. Miss Mills sortit les deux amateurs de terriers improvisés de leur trou. Pas mal. La magie m’avait toujours laissé dans un sentiment mitigé. Ça pouvait s’avérer très utile, certes, mais c’était bien trop instable à mon goût. Je préférais à la limite faire du rodéo avec une ceinture de nitroglycérine plutôt que d’être le cobaye de ces tordus et leur baguette. Ça finissait toujours par leur exploser à la tronche. Comme la nitro. Sauf que la nitro, ça ne fait boom qu’une fois. Puis plus rien.
Je m’adossai à un arbre, bras croisés. Une rouquine à l’air aussi aimable qu'une porte de prison nous rejoignit, un bébé aux bras. C'était la journée des balades ? Elles n’avaient trouvé qu’une tornade pour faire prendre l’air à leurs mioches ? Je n’y connaissais pas grand chose, voire rien du tout, mais ça ne me semblait pas très étudié pour. Et pas très responsable. Après, elles pouvaient bien faire ce qu’elles voulaient, ça ne me concernait pas. Je faisais un simple constat mental. Constat pas très glorieux, qui n'alla pas en s'arrangeant lorsque la rousse confia sa fille à Jackie. Cette dernière protégerait la petite créature au péril de sa vie, c'était certain, mais d’un autre côté elle la mettrait plus en péril que si on la laissait au bord de la route. Bref. Chacun sa vision des choses, j’avais d’autres chats à fouetter que de me préoccuper de la négligence d’une mère. Au moins cette enfant en avait une…
Tirant une cigarette du paquet avec mes dents, je l’allumai dans un grande inspiration. Eh ouais, sans briquet. C'était une technique qu’un vieux trappeur m’avait apprise. Comme je paumais tout le temps mes briquets, ça m'était très pratique. Madame Sourire indiqua avec un dédain non dissimulé qu’elle ne voulait pas nous connaître, le gars brun et moi. Ça tombe bien, moi non plus. Son ton hautain m’avait mis de mauvais poil. Je n'aimais pas les gens qui se croyaient mieux que les autres. Souvent, ils étaient pire.

Le pays d’Oz. Alors c'était là que nous avions atterri. Je n'avais retenu que cet élément du discours soporifique de la dénommée Zelena. Une autre sorcière, allez quand y en a plus y en a encore ! Le seul point positif chez cette femme, c’est qu’elle venait de l’Ouest. C'était mon côté nostalgique qui parlait.
Sacrée contrée que celle d’Oz. Ma cigarette au bec, mains dans les poches, j’admirais le paysage. Mon air dégagé et ma démarche désinvolte auraient pu faire croire à une promenade de santé. Pour l’instant cette région ne m’avait pas l’air hostile. Elle était juste déconcertante. Autant que le type qui frottait la route de briques jaunes. On n'était pas sorti de l’auberge.
J’avais pensé un peu trop vite. Je m'étais contenté de suivre Jackie (je devais bien garder un oeil sur elle d’une façon ou d’une autre, sinon allez savoir où est-ce que j’allais la récupérer), quand un bruit me parvint des fourrés. Avec toutes ces nouvelles odeurs, impossible de déterminer l'identité de la source. Nous n'étions pas seuls. Cependant, un détail plus urgent me fit passer cette découverte au second plan : une maisonnette sur le bord de la route venait de prendre feu. Heureusement, elle était vide. Mon regard vert se perdit un instant dans la danse des flammes. Ça me rappelait cette journée étrange, hors du temps, où j'étais retourné à Ellwood. Les mêmes flammes avaient léché les bâtisses de mon enfance. Mais l'heure n'était pas aux idées sombres. Le soleil se rapprochait de la ligne d’horizon.
Les bonnes surprises s’enchaînèrent. Nous arrivâmes dans un village de porcelaine réduit à l'état de débris fumants. Un troupeau de bisons avait foncé dedans ? En tout cas, ceux qui avaient tout saccagé n’y étaient pas allés de main morte. Un boulot de bulldozer. Un cri me fit tourner la tête. La dame aux cheveux blancs aussi pâle qu’un cachet d’aspirine courut vers des ruines. Elle avait bien dit un enfant ? Bizarre, je ne sentais personne d’autre que nous. Plus par curiosité que par altruisme, je m’approchai à grands pas. Effectivement il y avait une petite fille. Enfin plus exactement une poupée. Une poupée qui parlait… j'avais déjà vu plus louche. Tout comme les débris qui l'ensevelissaient à moitié, elle était faite de porcelaine. Je m’accroupis près de la femme en blanc afin d'inspecter les dégâts. Si on voulait avoir une chance de sortir la gamine de là, il allait falloir trouver un autre passage. Impossible de la tirer de là sans la démanteler. À moins que… Désolé Miss, ça va secouer. Je déplaçai alors un gros morceau de porcelaine qui bloquait tout un pan de mur. Évidemment, des débris tombèrent encore plus. La poupée sanglota de plus belle. Je l’avais prévenue hein. Eh m’dame le maire, vous pouvez pas refaire votre truc magique pour soulever les débris ? Enlever la totalité des ruines risquait d'être trop compliqué, mais ceux juste au-dessus de la gosse seraient suffisant pour la dégager. En attendant, je me faufilai dans le passage que je venais de créer pour rejoindre la pauvrette. Il fallait bien que quelqu'un récupère ses jambes brisées, non ? Come on ma grande, lançai-je à la poupée comme si tout ceci n'était qu’une formalité aussi banale que boire un café en terrasse, ton problème est bientôt réglé. Puis au moins, si on reste coincé, on sera coincé à deux. Je finis ma phrase dans un sourire effronté. En effet, je ne pouvais plus reculer. j’avais ramasser les jambes de la demoiselle, mais impossible de faire marche arrière. Je devais attendre que la mairesse de Storybrooke nous fasse son numéro de lévitation. La poupée s’accrocha à moi Et essuya ses larmes en m'offrant un joli sourire. Bon point. Elle ne nous briserait plus les tympans à chialer. Enfin Regina réussit à dégager assez de porcelaine pour que je puisse sortir, prenant la petite fille sous mon bras, ses jambes dans mon autre main. Je déposai le paquet dans les bras de Miss Je Connais Pas Le Soleil (nan mais sérieux c'était possible d'être aussi blanche ?) avant d'épousseter mes vêtements recouverts de poussière. J'hochai la tête en direction de la Mills pour la remercier de ne pas m'avoir laissé croupir sous les décombres. Sauvetage terminé, on pouvait partir en quête du bistrot le plus proche pour casser la croûte. C’est que ça ouvre l'appétit de sauver des vies.

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMar 1 Aoû - 22:29



❝The fantastic world of Oz❞

Mission Le Magicien d'Oz
Penchée au-dessus du trou, Dorothy écouta Taran la rassurait. Il ne semblait pas inquiet outre mesure. Il était toujours comme ça, plein d'entrain et de joie de vivre même quand la situation n'était pas au top. La petite fermière l'adorait pour ça. Il avait toujours le chic pour redonner le sourire. Un peu comme Jackie-Rose mais différemment.

- Calme-toi Toto!, ordonna-t-elle au petit chien toujours dans ses bras qui s'agitait sous les salutations de Taran. Je... Je vais trouver comment vous sortir de là. Ne vous inquiétez pas.

Alors que Dorothy ne savait pas comment faire pour sortir ses amis de leur trou, cherchant à droite et à gauche un moyen, la solution arriva sous les traits de Madame le Maire qui utilisa sa magie pour les sauver. Elle portait en écharpe un bébé tout mignon, et était accompagnée d'un chien qui s'intéressait à Toto. A sa vue, le petit cairn aboya sa joie d'avoir un compagnon canidé pour cette aventure.

Une fois sortie de sn trou, Taran se jeta sur Dorothy pour la prendre dans ses bras. Elle relâcha Toto pour qu'il ne finisse pas écraser par l'étreinte. Elle avait l'habitude de ses accolades, il était toujours très démonstratif et tactile et elle l'adorait tel qu'il était. Mais alors qu'enfin il la relâchait et se calmait quelque peu, une femme rousse s'approcha du groupe, une femme que Dorothy ne pensait jamais revoir. C'était impossible, et pourtant elle était bien là, avec un bébé, elle aussi, qu'elle confia à Jackie-Rose.

- Zelena... Vous êtes en vie? Mais je vous avais vu fondre... Vous ne pouvez pas imaginer à quel point cela me soulage de savoir que je ne vous ai pas tué.


Depuis ce jour où elle avait jeté son saut d'eau sur Zelena pour éviter qu'elle ne brule son ami l'Epouvantail, Dorothy vivait avec ce poids sur l'âme. De la voir là devant elle, confirmant qu'elle ne l'avait jamais tué, la rendait légère. Maintenant qu'elle en faisait mention, il était vrai qu'une tornade verte aurait dû être un signe qui aurait dû l'alerter. Mais, au moment où elle était apparue à Storybrooke, la petite fermière était à mille lieux d'imaginer que Zelena en était l'instigatrice. De son côté, Toto commençait à grogner et montrer les dents à la sorcière. Le petit chien n'avait jamais aimé Zelena, il avait toujours été agressif envers elle.  Dorothy, qui refusait le mal où que ce soit hésité entre son instinct qui lui disait de faire confiance à la sorcière et celui de son fidèle ami qui la détestait.

- Chut Toto, calme!

Le cairn la regarda sans comprendre. Certes, elle hésitait, mais Zelena n'était pas une menace pour le moment et le soulagement de la savoir en vie rendait Dorothy peut-être un peu trop confiante envers cette vieille ennemie. Seul le temps lui dirait si elle faisait une erreur. Elle fit donc le choix de la suivre, comme les autres.

En arrivant sur la route de briques jaunes, la fameuse, Dorothy éclata de rire à la réaction inattendue de Taran. Il était vrai qu'il adorait, adulait, et encore le mot était faible, cette couleur.

- La route de briques jaunes, elle sillonne tout le Pays d'Oz, elle mène vers toutes les villes et tous les villages de ce monde, dont la Cité Emeraude où vit le magicien.

Tout en expliquant, elle suivit la route sans se poser de questions. Cela était tellement familier, comme si elle l'avait arpenté hier. Quel dommage qu'Anthony ne puisse partager ce moment. Il n'avait pas été emporté par la tornade. Mais Taran la sortit de sa joie en parlant d'un incendie. En effet, en regardant dans la direction indiquée, la petite fermière remarqua cette fumée dense et noire caractéristique. Pourvu qu'il n'y ait aucun blessé.

Le groupe partit en direction de la fumée sans se poser plus de question. Ils arrivèrent près de la petite maison, toute petite, typique des habitants d'Oz. Tellement concentrée sur l'habitation, Dorothy ne remarqua pas l'homme qui s'enfuyait. Elle s'inquiétait de savoir si quelqu'un était en danger dans cette maisonnette en flamme. Heureusement, Taran eut le courage de pénétrer à  l'intérieur. Il en ressortit vite, disant qu'il n'y avait personne. Ils continuèrent leur route en suivant les briques jaunes et arrivèrent au village de Porcelaine. Dorothy se souvenait avoir traversé ce lieu magique où toute était en cette matière, habitations comme habitants. Sauf que le village enchanteur était en ruines. Qu'avait-il bien pu se passer? Certes il était très fragile, mais tout le monde le savait et faisait attention à ce village exceptionnel autrefois. Le voir ainsi détruit bouleversa Dorothy. Quelle horreur cette désolation ! C'était affreux !

Toto attirait par on ne savait quelle odeur, commença à vouloir s'aventurer dans les décombres. La petite fermière le rattrapa en vitesse et le porta. Il se débattit, voulant absolument suivre une piste, mais Dorothy avait trop peur qu'il ne se perde ou se blesse.

- Reste avec moi, mon Toto, c'est dangereux.

Elle s'approcha alors de l'homme et de la femme qui venait de sortir des décombres une petite poupée qui lui semblait plutôt familière. Aussitôt que son regard se posa plus précisément sur elle, Dorothy reconnut China, qui l'avait aidé par le passé à retrouver son chemin avec l'Epouvantail.

- Oh mon Dieu, China, que t'est-il arrivé? Tes jambes sont brisées! Il faut vite te les réparer. Mon Dieu, c'est affreux! Que s'est-il passé ici China? Pourquoi tout est en ruines?

- Dorothy ! Dorothy que ça fait longtemps que nous ne t'avions pas vu ici ... Je ne sais pas ce qui s’est passé ! Tout a basculé d'un seul coup et tout as pris feu, des créatures sont venu tout détruire ... Oh Dorothy tu es revenu nous sauver n'est-ce pas ?

La petite fermière aurait aimé la rassurer mais malheureusement, elle ne pouvait lui mentir. D'un simple regard, elle essaya de lui faire comprendre que seul le hasard l'avait à nouveau conduite ici. Mais, à la mention des monstres, elle pensa aussitôt aux singes volants de Zelena. Etait-elle derrière tout ça?
Impossible de le savoir, elle y réfléchirait plus tard. Pour l'instant elle avait autre chose en tête. La petite fermière se tourna vite vers les deux sauveurs de la petite poupée, pendant que Toto lui faisait une fête phénoménale et lui léchait le visage pour enlever les larmes.

- Merci infiniment de l'avoir tiré de là. Comment vous appelez-vous? Je suis Dorothy. China a été une amie précieuse autrefois, un guide sans qui j'aurais pu me perdre ici. Merci beaucoup à vous deux. Merci!




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Jackie-Rose M. Skye

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMer 2 Aoû - 22:55


The Fantastic World of Oz


I ask you one time please confide can I choose my fate and learn to burn again can we wash our hands with dear actions I'm in the dark whole I need to burn again I got to burn again is it for real this how I feel dream me away to another world

Quand le regard de Jackie-Rose croisa celui de Taran, c’était comme si un déclic avait retentit, comme si un coup de foudre instantané avait eu lieu, non pas dans une optique romantique mais plutôt dans l’idée que elle et lui avait un potentiel de fou en ce qui concernait l’entente parfaite. Elle accepta sa main avec un enthousiasme apparent, se relevant d’un bond sans qu’un mot ne soit prononcé, un peu comme s’ils savaient déjà qu’ils n’allaient pas avoir besoin de se parler pour se comprendre, mais que leur aura respective d’enthousiasme et d’optimisme pur se mélangeaient et que seul le rire leur suffisait pour communiquer.

« Ooooh toi aussi tu connais Doro-choue ! »

Ce ne fut que lorsqu’elle sortit de son trou que Jackie-Rose remarqua la présence de Zelena, bien qu’elle ne s’étonna guère de son apparition soudaine étant donné que ses rencontres avec l’incomprise sorcière de l’ouest étaient pour la plupart dues à un hasard total, comme par exemple la fois où Jackie-Rose s’était retrouvée près de la maison dans la prairie alors qu’elle n’avait absolument pas remarqué de bâtisse quelques secondes avant cela. Elle tapa dans ses mains, mais fut réfrénée dans son envie de la prendre dans ses bras quand elle vit qu’elle tenait Adrianna, ne voulant pas écraser la petite dans une étreinte comme elle en avait le secret, et quelque part le fait que Zelena lui lâche comme une bombe que non, elle n’était pas rentrée chez elle avait quelque peu refroidi son geste d’affection. Elle se contenta d’agiter la main avec son grand sourire habituel, plus qu’heureuse de revoir sa grande amie rousse.

« Zelena tu es là aussi ! Alors c’est chez toi ici ?! Oh boy, oh boy ! Je vais pouvoir découvrir ton mond-euh ! Trop génial ! Bonjour Adrianna ! Oh petite princesse toute mignonne... »

Elle s’extasia quelques secondes devant la petite avant de percuter la présence du second canidé mais surtout de sa maîtresse, un visage familier, tout simplement parce que c’était la fameuse reine qui avait donné naissance à la malédiction. Jackie-Rose n’avait jamais vraiment compris cette histoire, elle considérait surtout Regina comme une espèce de célébrité locale et s’en retrouva ainsi plutôt intimidée, baissant la tête en la regardant d’une tête de chiot adorable, pendant que la question « je peux avoir un autographe » vint mourir sur ses lèvres tant l’attitude de Regina respirait la confiance et le maintien. Alors elle préféra reporter son attention sur l’adorable enfant que Regina avait elle aussi, avant d’essayer d’attirer l’attention du deuxième chien dans un aboiement un peu trop humain, au point que l’animal se contenta de pencher la tête de côté et d’aller renifler ailleurs en snobant la jeune femme en beauté. Elle s’apprêtait à lui courir après quand elle se retrouva soudainement avec un bébé souriant dans ses bras, n’ayant pas remarqué que Zelena lui adressait directement la parole. D’abord surprise, son sourire revint hanter son visage tandis qu’elle se mit à gazouiller avec Adrianna en la faisant rire aux éclats, perdant soudain conscience de tout ce qui pouvait bien l’entourer. Elle ne remarqua même pas qu’elle s’était mise à marcher, suivant bien sûr les pas de Zelena puisqu’elle était au moins consciente qu’on ne séparait pas un enfant d’un si bas-âge de sa mère, et que de toute façon la petite semblait posséder un radar car son sourire s’effritait dès qu’elle était quelques pas trop loin de la sorcière. Ce ne fut que quand elle sentit comme une silhouette lui passer d’un coup à côté en courant, lui provoquant un frisson qu’elle réalisa enfin la présence d’une femme aux cheveux blancs, et qu’elle se rendit compte que ladite femme avait été dans son sillage à peu près depuis le moment où Adrianna lui avait été confiée. Elle grinça des dents, mais la peur initiale et l’impression d’avoir vu un fantôme passa très vite quand la femme revint de sa course près du bâtiment, parlant d’un homme qu’elle semblait avoir aperçu, et Jackie-Rose lui adressa un grand signe de la main et un sourire d’excuse de ne pas l’avoir vu plus tôt, ou plutôt de ne pas pouvoir lui sauter dessus pour un câlin car bébé à bord. Jackie-Rose nota enfin le changement de paysage, regardant autour d’elle dans un « oh » de surprise en voyant qu’ils étaient près d’un bâtiment en flammes, et par réflexe de protection, elle cala Adrianna un peu plus fermement contre elle tout en resserrant la distance qui la séparait de Zelena, au point que cette dernière pouvait presque sentir sa respiration dans son cou. La sorcière se retourna d’ailleurs, visiblement peu contente d’avoir Jackie-Rose si proche, mais elle ne la réprimanda pas, préférant reprendre son bébé entre ses bras ce que l’ancien chien comprenait totalement -vu le décor enflammé, Jackie-Rose aussi aurait tendance à vouloir garder son enfant au plus près d’elle-même. Les bras désormais libres, elle en profita pour gazouiller un peu à gauche à droite comme si elle ne se rendait pas compte de la gravité de la situation -et non, elle ne s’en rendait pas compte-, se glissant dans son monde parfait où tout était beau et tout le monde était gentil, essayant tour à tour de jouer avec Luna, puis avec Toto. Elle n’avait pas oublié ses propres résolutions de redevenir le chien qu’elle avait été, alors par moments elle s’amusait à leur courir après à quatre pattes, même si son corps d’humain l’épuisait trop vite dans cette position au point qu’elle finit par se coucher au sol, les quatre fers en l’air et la langue pendante, reprenant sa respiration. Le paysage à l’envers était trompeur, et avec les débris de porcelaine elle avait l’impression de voir des sculptures, et elle s’amusa à essayer de voir des formes connues, bien qu’elle se disait que ça ressemblait plus a de l’art contemporain, le genre abstrait qui ne faisait sens qu’à son propriétaire. Elle ne se releva que lorsque la femme aux cheveux blancs poussa un cri et fonça dans les décombres, tout comme Garrett et Regina, bien que cette dernière ne « fonça » pas à proprement parler mais s’y dirigea d’un pas noble -dieu des chiens qu’elle avait la classe quand même- tout comme Garrett s’y dirigeait simplement de son pas rapide et confiant. Elle suivait l’homme des yeux avec ce regard à la fois fier et inquiet que les mères pouvaient bien avoir pour leurs enfants, tant elle avait développé pour lui ce genre d’affection, car elle avait déjà passé beaucoup de temps à s’occuper de lui de toutes les manières possibles en lui faisant à manger ou en nettoyant son lieu de vie quel qu’il soit. Si ça n’avait pas été Garrett qui la sortait de ses galères et lui avait déjà sauvé la vie au moins une dizaine de fois, on aurait presque pu croire que Jackie-Rose tenait le rôle de mère de substitution, mais l’on se rendait vite compte que c’était surtout lui qui opérait sur elle une attention particulière. En somme, on pouvait aisément les voir un peu comme un frère et une sœur, deux orphelins qui ne pouvaient compter que sur l’un et l’autre pour s’en sortir sur le long terme, même si le plus grand était plutôt le genre individualiste sans complexe et l’autre désespérément amoureuse de l’humanité toute entière. Ils ressortirent quelques instants plus tard de leur escapade avec une espèce de petite poupée de porcelaine, mais le genre capable de se mouvoir et de parler, ce qui ravit Jackie-Rose au possible, surtout en apprenant qu’il s’agissait d’une amie de Dorothy.

« Taran regarde, on va se faire une nouvelle amie ! »

Elle avait attrapé le jeune homme par le bras, l’entraînant sans ménagement dans le sillage de la petite fille, se rendant compte au dernier moment que celle-ci n’avait plus ses jambes attachés à son corps, ce qui changea l’expression de Jackie-Rose en un regard triste et compatissant.

« Haaaawn ! J’ai bien envie de te faire un gros câlin ! » Et elle ne se fit pas prier, d’ailleurs, faisant le câlin du siècle à China qui émit un « oh » de surprise avant de lui rendre son câlin, bien qu’elle semblait surtout préoccupée de savoir qui elle était. « Je t’aime déjà tu sais ! Je suis une amie de Dorothy et de Toto et tu peux me faire confiance ! J’aime les fleurs et Garrett c’est lui et c’est mon ami pour la vie ! »

Elle se détacha enfin de la demoiselle, lui laissant la possibilité de faire connaissance avec Taran. L’attention de Jackie étant plutôt limitée, elle se mit à renifler l’air à la recherche de quelque chose, s’éloignant de quelques pas, entendant à peine la voix de China qui demanda à l’assistance :

« Pardon, mais elle est en train de faire quoi ? »

Jackie-Rose se tourna vers elle, tout sourire, répondant d’une voix pleine d’enthousiasme :

« Je renifle pour voir s’il y a des écureuils. Tu sais que j’étais un chien avant ? Comme Toto ! Mais en plus grand. Et en blond ! »

Elle émit un petit rire complice, avant de retourner à son affaire, essayant de pister si le moindre mangeur de noisettes se trouvait dans les environs. Pour Jackie-Rose, les écureuils étaient les plus grands dangers possibles, et elle était persuadée que ça devait être eux qui avaient brûlés la maison, et créé tout cet art contemporain dans le village. Et c’était peut-être même eux qui avait cassé les jambes de China… ouh les vilaines bestioles !

« Oh un chien ? J’aime beaucoup les chiens, et j’aime beaucoup Toto aussi… Mais bon je suis pas très rassurée non plus parce qu’ils sont toujours plus grands que moi ! Tu t’appelles comment ? Moi c’est China ! »

Jackie-Rose ne s’inquiéta pas outre mesure de ce que China disait, un peu comme si elle filtrait le fait que qui que ce soit pouvait avoir peur des chiens.

« Je m’appelle Jackie-Rose, mais tu peux m’appeler Doug aussi, c’était mon nom de chien ! Eh, c’est qui qui a fait tout ça ? Des écureuils ? Si c’est des écureuils il faut me le dire tout de suite ! »

China sembla prendre un air vaguement attristé.

« Je ne sais pas c’est qui ! Tout s’est passé brusquement mais je n’ai pas vu ces créatures... »

Jackie-Rose leva la main pour l’interrompre, et redressa la tête, faisant rebondir ses couettes comme des oreilles de chien.

« Chut, ne dis plus rien, c’est les écureuils ! Je vais les retrouver… Je les retrouverai et je leur dirai qu’ils sont méchants et qu’ils doivent s’excuser vers toi ! »

Sans laisser la possibilité à China de répondre, Jackie-Rose se précipita dans les décombres du village, explorant chaque recoin en cherchant avec ses yeux, son nez et ses oreilles la moindre trace de ces écureuils qui avaient ravagés le pays d’Oz ; son pire ennemi était là, quelque part, et peut-être pourrait-elle enfin affronter le Roi des Écureuils...

HANSKA.


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Come and fly away with me

⋆ don't you be afraid everything will change


We’re rising we’re falling we’ll make it through we’re climbing we’re soaring a thousand views something's gonna bring a change journeys we are meant to take something at the edge of space calling us to fly away
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Regina M. Mills

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyVen 4 Aoû - 22:18

The fucking'tastic world of Oz.Une fois sortit de son trou, le jeune homme se dépêcha de venir vers elle en lui demandant de "le refaire". Tenant à son espace vital, elle se dépêcha de faire un pas en arrière et sentant son malaise, sa chienne ne tarda pas à se mettre à ses côtés, les babines tressaillantes, son regard figé sur l'inconnu. Lola arrêta ses menaces lorsqu'elle entendit quelqu'un lui .. Aboyer dessus ? Les gens de ce groupe n'allaient vraiment pas bien, se dit Regina, et Lolita semblait de son avis puisqu'elle n'alla pas voir la blonde à l'origine de l'aboiement alors que la Husky était toujours partante pour une séance de jeux ou de câlin, même avec des inconnus.

Regina se retourna en entendant un enfant se mettre à pleurer derrière elle. Par réflexe, elle serra Apple contre elle ; la petite s'était calmée et regardait autour d'elle avec de grands yeux innocents. L'enfant qui pleurait se trouvait dans les bras d'une dame que Regina avait déjà vu, sans savoir où, ni quand. Tous les visages des habitants de la ville lui était familier, ou presque. Et il faut dire qu'elle n'accordait pas beaucoup d'importance aux inconnus qu'elle pouvait côtoyer tous les jours. Elle avait peut-être même déjà parlé à cette dame, même si vu son ton condescendant, elle s'en serait surement souvenu.

Ils étaient donc à Oz. Regina ne connaissait de ce pays que ce qu'elle pouvait lire dans les contes de ce monde. Ce qu'elle savait aussi, c'est que les livres de ce monde avait bien souvent tout faux, et il suffisait pour cela de voir comment son histoire à elle était raconté. En d'autre mot, elle ne connaissait rien d'Oz. Elle ne s'y était jamais rendu, à vrai dire elle n'en avait même jamais entendu parler. Des singes volants pouvait bien être la norme ici, pour ce qu'elle en savait. Dans tous les cas, la rousse la connaissait, même si tout le monde dans la ville la connaissait au moins de vue, et s'excusa des dégâts causé à la ville par la tornade. Donc, elle était la responsable de ce chaos. Charmant. Elle était donc Zelena, la sorcière de l'Ouest, bref, elle invita tout le monde à rentrer chez lui, comme s'ils se baladaient tous avec un haricot magique dans leur poche. Elle leur dit ensuite qu'ils pouvaient aussi tout simplement la suivre, ce qui semblait être, pour Regina, la meilleur chose à faire. Après tout, elle connaissait ce monde, elle. Et elle semblait être la seule avec Dorothy, cette dernière semblant néanmoins, au premier abord, bien moins débrouillarde que la rouquine.

Regina suivit le mouvement quand la rousse commença à marcher. Elle était encore étonnée de voir que la mère avait passée son enfant à la blonde - Jackie, si Regina avait bien compris - sans sourciller alors que, quelque seconde auparavant, cette même blonde était tombée dans un trou qu'elle avait vu. Finalement, elle ne savait peut-être pas ce qu'elle faisait, mais la maire n'avait pas vraiment d'autre choix.

Le jeune homme qui était avant dans le trou, en voyant la route de brique jaune qui se dessinait devant eux, perdis complètement la tête. Il se mis à caresser les pierres avec amour, tel un enfant de trois ans devant son jeux vidéo préféré. Il leur fit ensuite remarqué qu'il y avait de la fumée au loin, leur disant qu'il fallait y aller pour vérifier que ce n'était pas un incendie. Mais bien sûr ... Pendant quelques secondes, Regina regretta sa résolution d'être une meilleur personne. Elle aurait pu lever les yeux aux ciels et faire demi tour ... Mais désormais, sa conscience lui disait d'aller vérifier, parce qu'on ne savait jamais, quelqu'un pouvait avoir besoin de son aide. Heureusement pour tout le monde, personne ne se trouvait dans la maison en flamme, Taran s'en était assuré. A moins qu'il n'ai tout simplement pas vu la personne vu comme il était occupé avec l'ourson en peluche qu'il ne tarda pas à leur présenter comme s'appelant Mr Teddy. La dame au cheveux blanc qui n'avait toujours pas dit un seul mot revint, visiblement essoufflé. Apparemment, elle avait aperçu un homme, et sa description de cet individu était on ne peut plus vague. Autrement dit, elle ne servait à rien. La description, pas la femme. Quoi que. Pendant ce temps, Jackie courait à quatre pattes dans l'herbe, jouant tantôt avec Lola, tantôt avec le Cairn Terrier de Dorothy.

Ils reprirent la route et arrivèrent devant un village entièrement fait de porcelaine mais surtout entièrement détruit. En attendant, il fallait vraiment être stupide pour créer un village de porcelaine. Bien sûr qu'il allait casser. Regina resta à l'écart, laissant les autres explorer. Elle sortit Apple de son écharpe, la tenant désormais dans ses bras, une main sur le ventre et l'autre sous les fesses, le dos de sa fille collé contre sa poitrine. Ainsi, la petite pouvait voir tout autour d'elle facilement, ce qui avait l'air de lui plaire. Elle faisait en effet de grand gestes avec ses bras et ses jambes, gazouillant de bon cœur comme si elle racontait à sa mère tout ce qu'elle pouvait bien voir. Bien sûr, quelqu'un vint les déranger, demandant à la maire un petit coup de magie pour apparemment sortit quelqu'un des décombres. Regina libéra l'un de ses bras en s'approchant, voyant alors qu'une poupée vivante était coincée sous les débris de ce qui devait avant être sa maison. L'ancienne Reine se concentra et commença à soulever les débris un par un, faisant bien attention à ce que ce qui tenait encore debout ne s'effondre pas à son tour. Après quelques secondes, l'homme pus sortir la poupée des décombres.

Cette poupée connaissait Dorothy, ce qui était logique. Cette dernière vint d'ailleurs vers Regina et Garett pour les remercier, et Regina ne manqua pas de s'éloigner en vitesse, préférant rester tranquille. Que toute la gloire du sauvetage lui revienne, pour ce qu'elle en avait à faire.

Il semblait, suivant les dires de China, que des monstres avaient détruit le village en vitesse. Selon Jackie, il s'agissait des écureuils - vraiment, des écureuils ? - mais Regina savait bien qu'il s'agissait d'autre chose. Elle espérait seulement qu'ils ne tomberait pas sur les créatures qui avait la capacité de provoquer un tel désastre.
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Zelena Green

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyDim 6 Aoû - 22:00

The Fantastic World of OZZelena et la bande de bras cassés.
There's so much good here, it sickens me ! •••Zelena commençait sérieusement à se demander qu'est-ce qui pouvait bien se passer en ce moment pour qu'il y ai un désordre aussi monstrueux que celui qu'elle avait sous les yeux. Elle se savait assez tyrannique en soit, n'étant pas du tout une bonne souveraine loin de là même alors qu'elle pensait constamment que à sa petite personne et à sa vengeance s'amusant parfois à jouer la vraie tyran au près de ce qu'elle aimait nommé ses sujets. Ces personnes qui d'après elle doivent lui obéir au doigt et à l’œil dès qu'elle pouvait dire quelque chose, venant les faire quelque peu souffrir si ce n'était pas le cas, après tout elle n'avait aucune honte à faire du mal aux autres, c'était même quelque chose d'assez jouissif pour la sorcière. Elle passait sa colère et sa rage sur eux, un moyen d'évacuer toute tension ce qui n'était pas bon pour le corps. La jeune femme savait parfaitement qu'elle n'était pas aimé, qu'elle ne régnait pas comme il faut – et en soit elle s'en moquait, mais encore jamais Oz n'avait pu être dans un tels désastres, elle n'avait pourtant pas été douce mais elle laissait les villages tranquilles, elle laissait la plupart des villageois de ce monde tranquille. Il se passait quelque chose. Elle était formelle mais ne savait pas encore quoi, alors qu'elle pouvait regarder de hauts cette endroit autres fois plutôt pas mal complètement détruits, il ne devait y avoir aucun survivant la dedans, le monde de porcelaine était tellement fragile en même temps qu'ils se méfiaient tous d'une rafale de vent. Zelena se souvenait étant plus jeune lorsqu'elle venait les aider avec joie, pour réparer les maisons qui étaient cassés, enlever les arbres qui gênaient après une tornade et tout cela grâce à sa magie que tout le monde voyait comme un don du ciel quelque chose de bien. Mais c'était désormais que du passé, après tout ne disions pas qu'elle était vilaine, que sa magie était sombre ? Il y avait bien longtemps que tout le monde ne la voyait plus comme la petite fille gentille et innocente qu'elle était à l'époque, elle était désormais méchante, elle avait évolué avec le temps et les épreuves qu'elle avait affronté. Elle observait tout autour d'elle venant à resserrer un peu la prise qu'elle avait sur sa fille qui regardait ce qui pouvait bien l'entourer. Rien n'était réellement rassurant pour la jeune femme qui se posait des centaines de questions en même temps, à savoir qu'est-ce qui avait pu faire une tel chose ? Est-ce que c'était un groupe de singe qu'elle avait pu laisser par mégarde ? Mais dans ce cas qui avait repris la tête ? Il avait qui mais peut-être quoi aussi alors qu'elle était loin d'être rassurée sans venir le montrer aux autres personnes qui avaient apparemment décidé de la suivre.

Elle essayait de rester la jeune femme tout aussi froide en présence d'autre êtres vivants comme elle avait l'habitude de le faire depuis pas mal de temps désormais et ce n'était très certainement qu'elle allait changer, loin de la même alors qu'elle se demandait toujours pourquoi ils avaient été emporté par la tornade et pourquoi celle-ci avait été aussi loin dans la ville. Elle n'avait peut-être pas réussis à bien contrôler le pouvoir de la baguette, plus forte qu'elle ne l'aurais voulu alors qu'elle venait vérifier d'une main qu'elle se trouvait toujours dans la poche intérieur de son manteau. Oui. Au moins ils avaient un moyens de retour si les choses se passaient plus mal qu'elle ne le pensait, voyant que rien ne se passait comme elle le voulait pour l'instant. Elle s'était attendue à retrouve un monde tel qu'elle l'avait laissé à l'époque ce qui n'était pas le cas, venant à s'inquiéter un peu plus pour sa fille que pour les autres. La sorcière n'avait pas prévu un tel désastre et cela pouvait être dangereux pour sa fille, mais personne n'avait intérêt à lui faire du mal s'il ne voulait pas recevoir les foudres de Zelena. Elle s’avançait vers la ville ce demandant si c'était également l’œuvre de l'homme que la femme blanche avait pu apercevoir tout à l'heure alors que la description qu'elle en avait fait lui rappelait une certaine personne. Mais ça ne pouvait pas être lui, loin de là même alors qu'il ne pouvait même pas faire de mal à une mouche, bien trop maladroit pour faire un tel désastre sur son passage. Elle regardait tout autour d'elle, se demandant bien si elle trouverait dans cette endroit cet objet qu'elle convoitait et ce pourquoi elle était en soit venu à Oz mais avec peu d'espoir. Au vu du désastre il y avait peu de chance voir aucune qu'il soit encore dans cette endroit alors qu'un bruit se faisait appeler au loin, comme un appelle à l'aide et bien évidemment ces soit disant héros ne pouvaient s'empêcher d'aller voir qu'est-ce qui se passait. Un appelle à l'aide n'était pas forcément bon signe parfois, il fallait savoir se méfier des apparences et Zelena le savait mieux que quiconque. Tout le monde n'était pas ce qu'ils pouvaient prétendre être, une chose dont elle avait complètement horreur. Et pourtant elle les laissait faire les attendant qu'elle peut alors qu'elle s'approchait un peu du lieu de l'appelle pour savoir qu'est-ce qui pouvait se passer exactement. Elle aurait pu continuer sa route comme elle avait prévu de le faire dès le départ et pourtant elle restait avec eux se demandant comment une personne aurait pu être épargner par un tel désastre, restant constamment sur sa garde au cas où il s'agissait l'un d'un piège de la personne qui était derrière tout ceci.

Et se fut avec étonnement qu'elle venait presque à reconnaître cette petite poupée de porcelaine qu'elle avait connu dans le passé. China. Elle se rappelait mais la poupée ne la connaissait pas, du moins pas en temps que la jeune fille Zelena mais plutôt comme la méchante sorcière, alors qu'elle laissait les autres lui venir en l'aide s'en broncher mais sans non plus aider. Elle leva juste les yeux en l'air lorsque Regina venait à les aider également par exaspération, comme si elle était devenue tout d'un coup gentille et que la méchante reine était devenue du passer pour elle. Zelena restait en arrière pendant toute l'agitation qu'il y avait autour de la jeune poupée. C'était étrange de ce dire qu'il y avait longtemps elle avait pu être comme des amis par le passer. Après tout pratiquement personne ne venait à vieillir à Oz, sauf ce qui ne venait pas de Oz comme Zelena. Tous les habitants étaient comme figé à un certain âge à partir d'un moment et il n'y avait aucun mort non plus. Une règle en soit étrange sans que se soit problématique pour la jeune femme. Elle fini par interrompre tout ce qui se passait devant elle, écartant tout le monde sur son passage pour se retrouver en face de China.

« Pourquoi ? Cette ville ne devait pas de détruire ainsi et tu le sais aussi bien que moi … Où elle est ? Et qui à bien pu l'apprendre ? »

China fut quelque peu surprise de revoir de nouveau Zelena devant elle alors qu'elle ne pensait pas la revoir de si tôt pas du tout même tandis que Zelena continuait de la fixer attendant avec impatience sa réponse. La poupée tremblota quelque peu baissant les yeux face à La Méchante Sorcière de L'Ouest alors que tout le monde pouvait la craindre, tandis que Zelena était quelque peu fière d'elle qu'on la craignait toujours autant alors qu'elle était pourtant partit pendant aux moins trente ans.

« Je … Je ne sais pas ! Je vous avoues qu'au départ j'ai bien pensé que c'était vous à l'origine de tout ceci mais si vous êtes à sa recherche alors ce n'est pas vous du tout, mais alors qui ? »

« Bonne question … On doit allez quelque part et vite, je dois vérifier quelque chose. »


Et d'un geste de la main s'en prévenir les autres elle téléporta tout le monde devant une autre maisonnette qu'elle pouvait reconnaître entres miles alors que celle-ci avait l'air en bonne état. Tout avait l'air normal, venant quelque peu sécuriser les lieux en espérant que personne ne serait là. Dommage que Tony n'était pas là pour voir ça belle petite maison. Pourquoi dieu lui avait pu échappé également à la tornade ? Elle était plutôt contente en soit alors qu'elle n'aurait pas pu être en présence de Dorothy et de l'épouvantail en même temps s'en faire une seule attaque. Elle ne les supportait pas aucun des deux avec leurs bandes de bras cassés. Zelena venait à ouvrir la porte se trouvant devant elle avant de regarder si quelqu'un se trouvait à l'intérieur. Sans donner d'explication elle commença à fouiller à l'intérieur de la maison espérant trouver quelque chose de bien précis. Il devrait être, il doit être ici.

« Bonjours, bonjours ! Qui vient me rendre visite ? Ça fait longtemps que je n'ai vu personne ... »
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMar 8 Aoû - 20:00




Tout ceci ressemblait plus à une promenade de santé qu'autre chose lorsqu'on pouvait regarder Taran, pas spécialement plus perturbé que de raison de se retrouver dans un autre monde et sans penser un instant pour l'instant sur comment il pourrait bien rentrer à Storybrooke, s'amusant assez bien même s'il était clair que de toute évidence il rayonnait tellement de bonne humeur qu'il était difficile de passer à côté. Il était là à agiter la peluche dans l'optique de peut-être amuser les deux enfants présents en fait, plus précisément des bébés dont il était soulagé de voir qu'aucun des deux n'avait pu être blessé dans le transport mouvementé – un véritable épisode machine à laver même cet aspect secousse verte, néanmoins cette histoire de maison qui brûle pouvait se montrer quelque peu préoccupante et s'il avait été dans le sillage de Johto il aurait juré que ceci aurait été un mauvais coup de la Team Rocket. Ce groupe de terroristes ne reculaient devant rien après tout pour accomplir leur sombre mission, ne comprenant nullement comment on pouvait être aussi cruels qu'ils pouvaient l'être parfois comme lorsqu'ils s'étaient mis en tête de couper la queue de pauvres petits Ramolosses qui n'avaient rien demandé à personne – parce qu'il n'y avait pas plus paresseux qu'eux après tout, et il voyait dans cet acte de démolition de maison une preuve d'un acte tout aussi odieux qui n'aurait pas du exister. Cependant, personne n'avait été blessé et c'était bien tout ce qui comptait, tandis qu'il pouvait voir la femme aux cheveux blancs de leur groupe revenir après avoir tenté du mieux qu'elle pouvait de poursuivre le méchant de cette histoire. La vision de Taran au sujet du bien et du mal était très enfantine, bercé par l'idéologie des supers héros et tout le tintouin que la télévision pouvait bien servir par la même occasion, mais sa concentration allait surtout pour le coup sur cette couleur particulière parce qu'il était évident que lorsqu'il regardait Katharina elle n'était pas vieille. Enfin pas trop. C'était loin d'être une grand-mère en tout cas, elle était clairement une adulte en revanche ça se voyait, mais il ne voulait pas prendre le risque de la vexer et il voulait surtout la féliciter pour avoir au moins essayé de faire de son mieux. Elle n'avait pas abandonné et c'était le plus important, elle n'avait certes pas arrêté le méchant mais elle avait essayé et c'était tout ce qu'il retenait, lui servant un grand sourire de ce fait.

« Mais au moins tu as fait son possible et c'est tout ce qui compte ! On finira bien par l'arrêter au bout d'moment ! »

L'étrange troupe qu'ils étaient reprenait la route, avançant sur les briques jaunes sur lesquelles Taran n'arrêtait pas d'avancer tout en dansant comme s'il était possédé dans un sens, s'émerveillant devant ce si beau pays et surtout monde qui se dessinait devant eux dans des paysages qui paraissaient tellement idylliques et tout droit sortis d'un rêve. Il y avait une telle prolifération de couleurs ainsi que de formes tout aussi superbes à découvrir, ne serait-ce que les fleurs en elles-mêmes apportaient ainsi leur lot de curiosité pour le coup, ne pouvant se retenir de venir ainsi s'extasier sur tout et rien à la fois face à cette véritable émanation qui se faisait devant eux. Ils avançaient jusqu'à ce que le soleil commence à se coucher, pas vraiment fatigué bien au contraire il en était même intenable de bouger autant et fatiguait certainement les autres de par son attitude bien trop énergique qu'il pouvait offrir, il pourrait encore carburer ainsi pendant longtemps sans dormir malheureusement pour ses compagnons d'infortune. Jusqu'à ce qu'ils puissent apercevoir ce qui était les ombres d'un village au loin, devenant plus net à mesure qu'ils avançaient dans sa direction, Taran se demandant à quoi pouvaient bien ressembler les habitants vu qu'une fois encore l'habitation n'avait pas l'air d'être très grande. Il imaginait peut-être des fées, ou en tout cas un peuple assez petit pour entrer dedans comme ce fut le cas pour la maison dont il avait pu visiter – si on pouvait dire ça comme ceci en raison des flammes qui dévoraient l'endroit, mais très vite ce fut un paysage de désolation qui se dessinait devant eux. Les maisons étaient détruites et on aurait dit qu'une guerre avait tout ravagé dans les environs, mettant bien vite le jeune homme mal à l'aise en raison de son côté pacifiste sur les bords qui se sentait mis à mal, se demandant réellement comment on pouvait vouloir faire du mal à autrui alors que rapidement le peu de murs encore en état semblaient être faits d'un matériel assez pâle mais qu'il n'identifiait pas sur l'instant. Taran avait même arrêté de bouger dans tous les sens, comme s'il comprenait bien trop la gravité d'un tel décor qui lui faisait si mal au cœur, ressentant la peine et la douleur de ceux qui avaient pu vivre ici au point de se sentir terrible mal. Il avait beaucoup trop d'empathie, perdant même son sourire naturellement dans une expression de peine qui se faisait et qui était bien sincère, regardant en silence ces restes de ce qui avait sûrement été une ville si joyeuse et magnifique par le passé mais qui aujourd'hui n'était plus qu'un cimetière.

La soi-disant méchante sorcière, ce qui l'étonnait au passage vu qu'elle n'avait pas de nez crochu et qu'elle était même plutôt assez jolie – pour dire à quel point Taran avait encore plus une vision bien gamine des choses, avouait elle-même que l'endroit était somptueux vu qu'on se trouvait après tout dans son monde d'origine et ceci ne faisait que grimper sa peine de son côté. La situation s'accéléra sans prévenir à l'instant même où Katharina disait avoir vu un enfant, le mettant pour sa part aussitôt prêt en alerte et prêt à vouloir aider qui que ce soit, cherchant partout des yeux autour de lui ainsi la présence dont il était question sans pour autant la voir. Suivant les autres il put alors entendre cette voix pleine de sanglots, assez enfantine à son goût sans pouvoir l'affirmer non plus entièrement, choquant quelque peu le coach de vie car c'était quelque part la preuve qu'il y avait bien eu des personnes qui avaient pu vivre ici. Et pire que tout qui étaient sûrement mortes ici. Entre voir une ville détruite et constater qu'il y avait eu ainsi des morts c'était quelque part un grand écart pour Taran, même si pourtant les deux étaient bien étroitement liés, sans doute parce qu'il estimait que la vie était si précieuse et en raison de son côté qu'on pourrait juger comme étant fleur bleue. En approchant ils purent voir que c'était une poupée qui était en train de parler, c'était ça où la petite fille la plus pâle qu'il n'avait jamais vu de toute son existence, oubliant une fraction de secondes la situation pour regarder cette demoiselle qui était terriblement à croquer et qui avait des traits tellement sublimes. Après plusieurs efforts ils réussirent à sortir cet pauvre être fait de porcelaine de sa prison, même si les jambes n'avaient pas survécus au transport mais ceci lui paraissait secondaire car le plus important c'était bien qu'elle soit encore en vie – il ne savait pas comment ça fonctionnait exactement par ailleurs, souriant à la petite poupée pour essayer de la rassurer alors qu'elle était de toute évidence une amie de Dorothy et ce qui voulait dire par extension qu'elle était forcément une bonne personne. Approchant d'elle Taran avait retrouvé son grand sourire, souhaitant la calmer et surtout lui montrer qu'il n'y avait plus rien à craindre maintenant qu'elle était avec eux, prenant sans le savoir le risque de lui faire peur justement et d'un peu trop la brusquer avec sa manière de faire de toujours vouloir chercher à faire ami-ami avec n'importe qui après tout.

« Ne t'en fais pas ! Nous on est là et on te laissera pas tomber, je peux être ton ami si tu veux !  J'suis Taran ! »

« Merci. J'espère juste que mes amis et les autres habitants du village vont bien... »

En entendant ceci Taran se sentait mal de nouveau mais il se forçait à garder le sourire, il ne savait pas ce que les gens de la petite China étaient devenus et quelque part il n'avait pas le courage d'aller voir par lui-même, de même qu'il n'avait aucune envie de se montrer cruel en lui disait qu'ils étaient tous probablement morts sous les tas de gravas que la destruction des petites maisons avait pu provoquer. Non il voulait espoir, aussi bien pour elle que pour lui, se refusant de regarder la vérité en face alors que dans la même ligne d'idée il restait persuadé qu'elle pourrait encore marcher par un moyen ou l'autre même si ses petites jambes de porcelaine avaient bien pu éclater. D'autant plus que désormais ils étaient tous là pour elle, comme une sorte de nouvelle famille qu'ils étaient – même si certains dans le groupe ne seraient probablement pas d'accord avec cette vision ce n'était pas grave et les rageux n'avaient qu'à se taire, et Taran savait déjà qu'il ferait son possible pour que tout se passe bien pour elle à l'avenir.

« Non tu iras bien et on va te protéger ! »

« Merci, vous êtes vraiment gentil... »

S'ensuivait par la suite une discussion étrange entre les deux natives d'Oz, ayant l'impression que Zelena voulait intimider la plus petite ou qu'elle n'était pas des plus sympathiques avec elle mais son filtre l'empêchait de voir ainsi, regardant ainsi les deux avec un sourire idiot collé au visage malgré lui. Sans prévenir ils venaient à se téléporter dans une espèce de nuage vert, étant ainsi le résultat de l'action de la sorcière de l'Ouest qui venait d'user de sa magie, trouvant ce tour de passe-passe assez impressionnant il fallait le dire. Alors certes, les Abras étaient capables de faire la même chose, ça restait incroyable tout de même alors qu'il regardait tout autour de lui sans savoir où il était. Enfin, c'était une maison mais il ne serait dire à qui elle pouvait bien appartenir, la trouvant assez chaleureuse à son goût – même si honnêtement il dirait ceci de n'importe quel endroit pour ne jamais vexer personne. Mais celle-ci avait l'air tout particulièrement coquette, se voyant y vivre sans grand mal en fait, avant que Zelena ne rentre à l'intérieur et que Taran vienne la suivre. Il en déduisait, dans la plus grande logique qui pour une fois était bien légitime pour le coup, que cet endroit devait être sa maison vu qu'après tout elle n'avait même pas pris le temps de chercher à sonner ou frapper pour qu'on vienne lui ouvrir. C'était donc ça l'antre d'une sorcière ? C'était assez mignon quand même, il s'attendait juste à un chaudron et un chat noir mais peut-être qu'ils se trouvaient après tout dans la cuisine, tandis que la femme se mettait à chercher dans tous les sens et presque de manière compulsive. Elle avait du perdre quelque chose, une boucle d'oreille ou autre chose vu la manière méticuleuse qu'elle avait de tout bouger, venant se planter à côté d'elle avec un air interrogatif.

« On cherche quoiiii ? Dites on cherche quoiii ? J'peux vous aider ! »

« Quelque chose hm. »

Zelena n'avait pas très envie que Taran vienne l'aider, agacée par son comportement même si le concerné lui-même ne s'en rendait pas compte bien entendu, se mettant ainsi à fouiller avec elle sans savoir ce qu'elle voulait trouver. Ainsi lui présentait-il tout ce qui lui passait sous la main, aussi bien une lampe qu'une chaussette et il en passait, lui amenant sous les yeux le moindre objet qu'il pouvait tomber dans ses mains tout en demandant à chaque fois à la sorcière de l'Ouest si ceci était le fameux saint Graal qu'elle pouvait bien convoiter. Malheureusement, malgré toute la bonne volonté qu'il pouvait bien y mettre et l'énergie de la bienveillance par la même occasion, rien n'avait l'air de convenir cependant il en fallait beaucoup plus pour le décourager. Et il était prêt à continuer comme ceci très longtemps, à savoir jusqu'à ce que le fameux objet en question soit retrouvé en fait, si ce qui avait l'air d'un nouvel individu n'avait pas dédaigné faire son apparition. Sur l'instant il était trop dans la pénombre pour voir quoi que ce soit alors que la porte se fermait, d'ailleurs il n'aurait pas su dire si quelqu'un l'avait poussé ou si c'était l’œuvre de la magie une fois de plus ou même d'un pouvoir surnaturel, se précipitant par elle dans un réflexe idiot que lui-même ne comprenait pas le moins du monde tant la situation lui en rappelait une identique qu'il avait pu voir dans un dessin-animé il n'y a pas si longtemps que ça.

« Attendez j'ai vu ça dans un film ! Est-ce que t'veux faire un bonhomme de neigeeees ! »


« Euh pardon mais tu joues à quoi ? »


« Hiii Leguman ! »

Derrière lui l'ombre qui s'était dessinée sur la porte se révélait être celle d'un humanoïde à tête de citrouille, qui avait l'air d'autant plus creusé comme on pourrait le faire pour le 31 octobre, révélant ce qui était une sorte d'épouvantail probablement pour le reste du corps mais le lieu était quelque peu mal éclairé qu'il avait un peu de mal à distinguer les choses et surtout parce que son attention se trouvait principalement absorbée par ce qui était donc une tête. Et s'il y avait bien une chose que Taran n'aimait pas, même en étant le plus bisounours du monde, c'était bien les légumes verts et surtout les légumes de manière générale. Un peu l'incarnation des pires films d'horreur, ou plutôt d'un merveilleux navet – haha, de son point de vue. Ce truc était tellement grand qu'il avait l'impression que c'était lui cette fois qui allait finir à la casserole, alors qu'il faisait tout justement pour ne pas en manger des produits dans son genre, dans une véritable injustice parce que celle qui venait massacrer des légumes sans défense c'était Bianca et non lui. De quoi lui offrir des cauchemars pendant un temps même s'il finissait par se reprendre, relax tout allait bien se passer, et en fait il avait même une tête assez drôle lorsqu'il regardait à deux fois.

« Toi... »

« Enchanté Jack Pumpkinhead ! Et pas Legutruc... Je me sens vexé ! »

Croisant les bras apparemment ce Jack n'était pas content qu'on l'offense de cette manière – une caractéristique typique des Jack n'est-ce pas, alors que Taran se retenait de rire tant l'image était amusante et assez rigolote franchement, approchant sa main pour toquer contre la tête pour voir à quel point la citrouille pouvait bien être creuse. Il avait en fait du mal à réaliser que ceci pouvait être un être vivant en fait, voyant le tout comme un déguisement qu'on aurait pu construire et que la personne cachait ainsi son identité derrière un masque plus vrai que nature, mais avant de pouvoir ainsi réussir à bien poser sa main contre la partie végétale de la tête il venait se prendre un léger coup sur la main de la part de celui qui pourrait se transformer en carrosse de Cendrillon s'il y avait une bonne fée dans les coins. Ce qui n'empêchait pas d'amuser Taran que de voir cette créature, il y avait quelque chose de tellement surréaliste que de voir cette citrouille parler qu'il se demandait s'il n'avait pas une hallucination – qui serait la cause de chips ayant dépassé la date limite de consommation, n'insistant pas cependant au passage de toucher la tête mais qui ne détournait pas les yeux pour autant.

« Oula gamin on touche pas la tête ! Tu connais pas la politesse ? »

« Mais on est pas à Halloween, pourquoi t'es déguisé ? »

« Toi je t'aime bien gamin ! Zelena comment vas-tu ? Oh tu as une fille maintenant ? »

« Où est-ce qu'il est ? »


« De quoi ? »

« Tu sais très bien de quoi je parle ! »

« Tu veux parler de ça ? »

La dispute entre Zelena et Jack avait l'air de cloître, regardant le tout assez préoccupé tant il n'aimait pas les disputes, jusqu'à ce que la citrouille ambulante vienne sortir un sac en toile qu'il agitait sous le nez de l'intéressée de manière à clairement l'énerver. Ces deux-là ne devaient pas être très amis il fallait croire et c'était réellement dommage, au sens de Taran si tout le monde y mettait du sien tout pouvait s'arranger mais surtout on pouvait pardonner pour se serrer fraternellement la main, d'autant plus qu'il ne voyait que l'étrange humanoïde comme un drôle d'amusement quand même avec sa tête. Alors s'ils avaient un contentieux ils devaient le régler, de toute façon vu comment ils se parlaient ils étaient évident qu'ils se connaissaient déjà, néanmoins en réfléchissant au problème Taran se rendait compte que peut-être qu'aucun des deux ne savait comment faire vraiment le premier pas vers l'autre pour le pardonner et faire en sorte qu'ils deviennent amis. Il avait tellement une vision candide des choses, s'imaginant qu'il suffisait de dire « je suis désolé » pour l'être, qu'il voulait que la situation entre les deux vienne à s'arranger et même si pour ceci il devait mettre son grain de sel dedans. Mais oui ! Avec leurs forts caractères, Zelena si peu expressive et Jack facilement vexé, les deux ne savaient comment faire le pas et Taran se devait ainsi de les aider. C'est pourquoi il venait à se planter à moitié entre les deux, agitant les mains comme pour donner un peu plus de poids à son argumentation – qui n'en était même pas une, le tout avec toujours la bonne humeur comme à son habitude.

« Faut pas se battre sinon ! Vous devriez être amis c'est mieux ! »

« Oh tu entends Zelena ? Pourquoi on ne serait pas amis voyons ? »

« Avec toi ? Mais laisses moi rire... »

« Eh bien tant pis c'est pas grave, lui sera de mon avis ! Comment tu t'appelles ? »


« Taran ! Et si faut être amis ! »

Il aurait presque commencé à faire une crise digne d'un enfant de 5 ans, s'énervant pour un rien même si c'était plus de la frustration qu'autre chose, agitant toujours les mains tandis que les deux protagonistes n'avaient pas l'air de mettre du leur tout de même.

« D'accord... Alors comme tu es mon ami désormais tu vas m'aider. Tu veux bien ? »

« Ouiiii ! »

« Super ! Elle c'est la méchante. Faut la tuer. »

« … Quoi ? »

Taran ne comprenait pas du tout, il n'avait jamais tué personne de son existence et même s'il était de base un animal taillé pour le combat ce n'était pas pour autant qu'il avait pu se montrer brutal avec les autres ou qu'il avait cherché à les blesser, regardant ce que l'être végétal était en train de lui dire tandis qu'il pointait Zelena avant de fixer ses mains mais tout particulièrement ses ongles. C'était un acte horrible qu'il venait de lui demander, aussi méchante soit-elle la sorcière ne méritait pas un tel sort et de son côté il était tellement du genre à pardonner facilement qu'il se demandait si Jack était sérieux mais vu la tête qu'il tirait c'était certain, et il était hors de question d'agir de la sorte mais plus que tout Taran était même prêt à défendre Zelena en disant qu'elle n'était pas aussi mauvaise que tout le monde pouvait bien le dire même s'il ne la connaissait que depuis peu d'heures. Néanmoins il était tout d'un coup sûr que quelque chose n'allait pas, son précieux instinct qui ne le laissait jamais tomber et qu'il suivait toujours lui indiquait qu'il devait se méfier, tout son être se mettait en état d'alerte et il n'était pas du genre à ne pas écouter ce que cette petite voix intérieure pouvait bien lui dire. Il devait se tenir prêt à réagir, même s'il n'avait aucune idée de l'ampleur, regardant encore hébété Leguman avec qui il était pourtant sûr d'avoir fait ami-ami plus tôt.

« Non ? Tu es donc de son côté ? Dommage je t'aimais bien mais je vais devoir t'éliminer également. »

Et sans attendre plus longtemps le fameux Jack, qui était en train de regarder ses ongles qui semblaient tout d'un coup bien aiguisées en y regardant de plus près, venait à chercher à lui planter dans l'épaule ou même le cœur ce qui apparaissait désormais comme de véritables griffes qui pourraient trancher facilement la chair. L'instinct de Taran qui l'avait mis en alerte lui permettait de venir ainsi esquiver l'attaque contre lui, reculant suffisamment même s'il restait assez proche, retrouvant ainsi un début de combat auquel il avait pu être habitué dans son ancienne vie. Et ce ne fut que par plus réflexe défensif qu'il vient à son tour dégager un flux d'électricité à son encontre, la lumière jaillissant de sa main pour partir tel l'éclair, s’abattant avec violence sur la citrouille qui venait ainsi de se prendre une bonne décharge électrique de sa part...







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Regina M. Mills

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMer 9 Aoû - 22:45

The fucking'tastic world of Oz.Zelena aussi semblait connaître la petite poupée. Elle était reine, et elle connaissait tout le monde ? Et les gens la pensait mauvaise ? A l'époque, Regina ne connaissait pas trois noms de villages. A part Blanche Neige et ceux qui léchait les bottes de l'ancienne princesse, elle ne connaissait les noms de personnes, pas même de ses gardes. Enfin... Elle laissa tout ce beau monde parler et explora les alentours du regard. Il fallait qu'elle trouve un moyen de rentrer, et vite. Zelena les avait emmener ici, pourquoi est-ce qu'elle ne pouvait pas tout simplement les renvoyer chez eux et faire ensuite ce qu'elle avait à faire ici ? Vu sa tête en voyant tout le monde, elle voulait être seule, et Regina voulait rentrer ! Les autres aussi voulaient sûrement rentrer chez eux, non ? A part Dorothy bien sûr, qui était ici chez elle. Et peut-être Taran et Jackie … De toute manière, qu'ils veulent rentrer ou non, Regina elle rentrerait chez elle à la première occasion. Et tant pis pour sa résolution de faire du mieux qu'elle pouvait, si elle devait les laisser dans la merde, elle partirait quand même.

Sans qu'elle ne comprenne ce qu'il se passait, elle fut enveloppé par une fumée verte et téléportée dans une petite maison, simple mais accueillante. Zelena se mit à chercher partout un objet inconnu de tous, sauf d'elle, Taran se hâta de lui proposer son aide, et vu où ils en étaient, Regina s'attendait désormais à ce que quelqu'un lance un chasse au trésor. Heureusement pour elle, personne n'en eu le temps. La porte derrière eux, ouverte pour une raison qui lui était inconnus puisqu'ils étaient tous venu ici par téléportation et on en marchant, se ferma brusquement dans un bruit qui la fit sursauter elle, sa fille, et même son chien. Taran commença à chanter, et si un homme avec une tête de citrouille n'était pas sortit de l'ombre à ce moment là, Regina était sur qu'elle l'aurait baffer.

« Mais bordel c'est quoi ce monde ... »
Elle se dirigea vers la porte et tenta de l'ouvrir, sans succès, pendant que le brun parlait avec son meilleur nouveau pote. « Plus naïf qu'eux tu meurs ! » chuchota-t-elle en tirant une dernière fois sur la porte, se retenant de mettre un coup de pied dedans.

Il s'avéra finalement que la citrouille voulait tuer Zelena, et si la rousse n'était pas leur porte de sortie vers Storybrooke, Regina l'aurait bien laisser faire. Malheureusement, et ce jusqu'à ce qu'ils soit tous rentrer, Zelena serait sous sa protection … Elle n'avait pas l'air d'en avoir besoin, mais tout de même. Regina regarda Taran réfléchir, comme s'il envisageait sérieusement de tuer Zelena pour satisfaire les envies sadique de son nouveau meilleur ami. Le cucurbitacée finit par reprendre la parole, en expliquant que si le brun était du côté de la rousse, alors il devrait le tuer également. « Oh oui s'il vous plaît faite le taire ! » laissa échapper Regina, ravie de remarquer qu'au moins, Taran ne disait plus un mot.

Le légume s'attaqua au brun, tentant d'arracher son cœur – ou c'est ce qu'il lui semblait d'où elle l'était – tandis que Taran esquivait l'attaque avant de répliquer en envoyant une décharge électrique qui toucha sa cible.

Regina se demanda ce qu'elle allait bien pouvoir faire, tenter de défoncer la porte, détruire la citrouille, aider son groupe ? Elle finit par prendre la décision de discuter, ou du moins d'essayer.

« Bon, écoutez, monsieur …. Qu'est-ce que vous voulez ? A part tuer Zelena bien sûr » ajouta-t-elle sur un ton qui laisser paraître que tout le monde, elle y compris, voulait tuer la sorcière.

Il réfléchit quelques secondes, avant de lui répondre. « Eh bien, a part ceci, je ne sais pas trop … Mais vous êtes qui vous ? »

Elle le regarda quelques secondes en silence. « Je ne suis pas vos affaires. Si vous ne savez même pas ce que vous voulez, vous devriez nous laisser tranquille et y réfléchir. »

« Malheureusement, non, je ne peux pas. Vous savez, j'ai des ordres, tout ça tout ça ... »
« Des ordres ? »
enchaîna Zelena. Il se tourna vers elle.
« Bah oui très chère,tu penses que je serais venu ici pour le plai- »

« Bon le cucurbitacée, vos ordres, vous pouvez vous les mettre ou je pense et nous foutre la paix. » dit-elle en lui envoyant une boule de feu … Qu'il évita. La boule de feu s'écrasa sur l’armoire au fond de la pièce, qui prit instantanément feu. La maire serra les dents.

Désormais, l’épouvantail semblait bien énervé et ses yeux se tintèrent de rouge. Il lui sourit, dents pointus et brillantes,  avant de se jeter sur elle, Par réflexe, elle se retourna, devenant le bouclier de sa fille, tandis que les griffes acérés de l’épouvantail se plantait dans sa peau et lui lacérait le dos.

« Alors là... »

Elle se retourna, ses traits défigurés par la rage, et eu peur pendant une seconde que Lexy ai repris le contrôle de son corps.

Sa husky, enragée, se jeta sur la citrouille et lui attrapa la jambe. Regina s'approcha et siffla sa chienne, qui lâcha sa prise mais continuait de grogner comme jamais. Désormais en auto pilot, elle éteint le feu en face d'elle d'une main tandis que de l'autre elle envoya une boule de feu qui partit droit vers la bête à moitié sonnée par l'attaque du canidé. Il se la prit en pleine tête, hurlant tandis qu'il éteignait le feu. Quand il se retourna vers la maire, la moitié de son visage brûlé semblait avoir comme fondue... hurlant tandis qu'il éteignait le feu. Quand il se retourna vers la maire, la moitié de son visage brûlé semblait avoir comme fondue...
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Jackie-Rose M. Skye

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyJeu 10 Aoû - 22:37


The Fantastic World of Oz


I ask you one time please confide can I choose my fate and learn to burn again can we wash our hands with dear actions I'm in the dark whole I need to burn again I got to burn again is it for real this how I feel dream me away to another world

À l’affût comme jamais auparavant, Jackie-Rose avait cessé de prêter attention aux autres, reniflant l’air comme un chien de chasse alors qu’en réalité elle ne savait même pas où chercher. Ce ne fut que quand elle perçut comme une odeur qu’elle ne connaissait pas, pas une odeur d’écureuil donc, que le nuage de fumée verte l’enveloppa, et elle se retrouva téléportée dans une petite maisonnette mignonne, se prenant le mur car au moment de la téléportation elle allait s’élancer en avant. Elle tomba sur les fesses dans un « ouille » silencieux, regardant autour d’elle pour voir à quoi ressemblait ce nouveau décor. Tout le monde était là, les bébés et les chiens compris, et pendant un instant elle se demanda pourquoi diable les chiens et les bébés auraient été laissé dehors. Les chiens peut-être, Jackie-Rose avait souvenir de s’être faite chassée de la maison de Muntz et de Friedricksen comme punition mais alors elle ne savait pas pourquoi Toto et Lola auraient été punis… Elle secoua la tête, réalisant que toute cette réflexion n’avait absolument pas lieu d’être, surtout vu que la petite maisonnette était si petite et mignonne. Elle examina les lieux, tout sourire, se disant que c’était tout à fait le genre d’endroit où Anthony aurait vécu, et pendant une fraction de secondes, ce fut comme si son coeur se faisait électrocuter par un élan de tristesse qui fut rapidement balayé par la nouvelle présence dans la pièce. Jackie-Rose ouvrit de grands yeux ; caché dans l’obscurité, elle ne voyait pas sa grosse tête ronde et crut d’abord qu’il s’agissait d’un épouvantail… et peut-être même de SON épouvantail. Elle écarta les bras, prête à lui sauter dessus en hurlant son prénom quand l’inconnu se présenta. Jack Pumpkin. Ça lui disait quelque chose… Jack Pumpkin… Oooooh c’était donc l’ami cher de son Anthony adoré ?

« Jaaaack ! Tu es ici aussi ! Et tu t’es même déguisé pour l’occasion ! Oh boy oh boy ! Anthony est avec toi ?! »

Elle s’apprêtait à s’élancer quand Zelena et Jack se mirent à fustiger l’un contre l’autre, créant la discorde dans le cerveau de Jackie-Rose. Elle resta immobile, indécise, ne sachant pas d’où pouvait naître une telle animosité entre sa grande amie et le grand ami de son ami, et n’aimant pas avoir à choisir un camp, quelque part. Elle les laissait parler en se sentant un peu mal quand même, regardant le sol en écoutant d’une oreille distraite. Ce fut Taran dans toute son énergie qui intervint, et Jackie-Rose releva la tête en souriant, persuadée qu’il n’y avait pas meilleur candidat que lui pour calmer les esprits… Jusqu’à ce que Jack Pumpkin parle de tuer Zelena. Jackie-Rose ouvrit de gros yeux, mais ne pouvait réagir tant elle avait l’impression que c’était une sorte de… blague. Haha. Jack Pumpkin était le roi d’Halloween après tout, non ? Du moins c’était comme ça qu’Anthony lui avait parlé du squelette -enfin, épouvantail/citrouille à l’heure actuelle-, et que donc faire peur aux gens avec des blagues un peu bizarres c’était son truc. Elle s’avança, mais pendant qu’elle était perdue dans ses pensées, l’épouvantail-citrouille avait attaqué Taran se prenant une foudroyante décharge électrique au passage…

Jackie-Rose hurla, surprise, ne s’y attendant pas, et quand ce fut la boule de feu de Regina qui fendit l’air pour mettre feu à l’armoire et brûler la moitié du visage de l’épouvantail-citrouille, elle se plaqua les mains sur les oreilles avant de se recroqueviller contre le mur. Elle n’aimait pas ça… ça n’était pas qu’elle n’était pas courageuse, ou peut-être qui si au fond. Tout ce qu’elle savait c’était à quel point la violence la répugnait, à quel point elle pouvait se plonger dans un déni absolu dès que les gestes dépassaient la tendresse pour s’éprendre d’animosité. Elle voulait que tout le monde se calme, elle voulait que tout le monde se pardonne, elle voulait que tout le monde s’aime. Ce ne fut qu’en voyant l’aspect terrible de la tête de citrouille qu’elle se rendit compte que personne ici ne ferait le premier pas… À moins qu’elle n’agisse.

Elle se releva, prenant son courage à deux mains, se répétant qu’elle pouvait le faire, qu’elle pouvait calmer tout le monde, que tout irait bien si elle se mêlait de tout cela. Elle se mit à courir alors et, alors que Jack Pumpkinhead s’apprêtait à repasser à l’attaque, elle lui sauta sur le dos, l’enserrant dans ses bras aussi fort que possible.

« Jack s’il te plaît calme toi ! Anthony est pas là mais il serait triste si il te voyait dans cet état, son ami si cher à son coeur… Et les autres ne lui faîtes pas de mal s’il vous plaît, il a juste dû mal digérer son petit déjeuner ! »

Elle croyait que ses supplications faisaient effet, mais en vérité les autres avaient probablement cessé toute attaque car elle était clairement dans le passage et risquait de se prendre une attaque à tout les coups. À la place, Jack Pumpkinhead lui attrapa le bras et la fit passer par-dessus son épaule façon prise de catch, et Jackie-Rose se retrouva brutalement au sol, le souffle coupé, pendant qu’un épouvantail-citrouille fulminait au-dessus d’elle, la regardant comme si elle était complètement folle.

« Je suis pas l’ami d’Anthony ! Je ne sais même pas qui c’est d’ailleurs, je suis plutôt solitaire, tu vois le genre ? »

Il disait cela comme s’il devait en être fier, mais en cet instant Jackie-Rose comprit que Jack Pumpkin -l’original et non celui-ci, même si elle croyait que celui-ci était l’original- devait juste se sentir très seul, et qu’il croyait qu’il devait jouer les gros bras alors qu’à l’intérieur il était juste triste de ne jamais avoir de câlin et d’affection.

« Bah si, tu es Jack Pumpkin… C’est genre le meilleur poto d’Anthony… Même qu’il a toujours un balai quand je suis là je sais pas pourquoi... »

« Jack Pumpkin ?? Qui ose me recopier de la sorte ? Moi je suis Jack Pumpkinhead, le seul et l’unique ! Je suis pas ce nabot auquel tu penses... »

Jackie cette fois garda le silence, la bouche fermée, le regardant comme s’il avait fumé trois kilos de cannabis pendant qu’elle-même affichait l’air de quelqu’un qui n’avait pas les yeux en face des trous. Elle réfléchit quelques secondes, avant que son visage ne s’éclaire dans la meilleure conclusion qu’elle puisse trouver.

« Aaaah PumpkinHEAD ! Tu es son cousin c’est ça ! »

Elle tapa dans ses mains, toute fière de sa trouvaille, mais l’épouvantail-citrouille semblait surtout déstabilisé, regardant les autres d’un air désespéré l’air de dire « de quoi elle me cause ? ». Il imita un geste qui ressemblait à celui de quelqu’un qui se frotte les tempes par frustration même si avec ses griffes et sa tête semi-brûlée ça n’était pas évident, avant de demander à l’assistance tel un one-man show :

« Elle est stupide ? »

Il n’attendait pas de réponse bien évidemment, reportant son attention sur la blonde qui continuait de sourire d’un air gaga, couché sur le sol comme si c’était parfaitement normal de rester coucher de la sorte dans une situation de vie ou de mort. Au moins, les esprits s’étaient calmés dans la salle, plus à cause de l’intensité de l’absurdité de la demoiselle qu’à cause de ses efforts de paix et d’amour mais passons…

« Non j’ai pas de famille. Pourquoi ? Parce que personne peut me ressembler. Ton autre Jack j’en fais qu’une bouchée. »

Jackie-Rose se releva d’un bond, faisant passer un air méfiant sur le visage de l’épouvantail-citrouille, et elle lui fit le plus grand sourire dont elle était capable. Elle tendit les bras vers lui, impatiente de faire plus amplement sa connaissance.

« Oh bah alors c’est une coincidence ! J’adore les coincidences. C’est comme le fait que je sois ici, pour devenir ton ami, et que tout le monde fasse la paix. C’est une coincidence ! Mais tu sais, il est aussi adorable que toi, Jack Pumpkin. Câlin de la paix ? »

Il ne répondit pas un seul instant à l’impulsion affectueuse de l’ancien chien, et se contenta de la fixer sans vraiment comprendre si elle était folle ou sérieuse, ou les deux à la fois.

« Pardon ? Je veux pas être ami avec vous, vous devriez même plus exister à l’heure qu’il est… Par contre j’aimerais bien rencontrer ton ami ! Pour lui montrer que je suis meilleur et que personne ne peut m’égaler ! »

Il sembla avoir une autre idée car il changea totalement d’expression. Il prit son élan, et Jackie-Rose, bien évidemment, crut qu’il allait enfin céder au câlin qu’elle voulait tant lui donner… Ce qu’il fit ! Oh oui, il lui fit un câlin tellement rempli d’énergie qu’il la tacla au passage, l’envoyant au sol en la griffant quelque peu au passage. Elle gémit, sa respiration à nouveau coupée temporairement, se redressant un peu avant d’être arrêtée par Jack Pumpkinhead qui était assis sur elle, victorieux.

« Wow, doucement avec le câlin ! T’as pas l’habitude d’en donner, hein ? Je peux te montrer si tu veux ! »

Enfin, c’était plus elle qui voulait, et elle fit la même chose que lui, en partant du sol cependant ; elle se jeta sur lui, le déséquilibrant en lui faisant le câlin du siècle, un vrai cette fois, l’étouffant dans une embrassade qui sembla le surprendre et elle se retrouva sur lui cette fois, riant aux éclats, persuadée qu’il s’amusait autant qu’elle.

« Tu vois c’est comme ça qu’on fait un câlin ! Fougueux mais pas doulou... »

Elle ne put terminer sa phrase quand elle sentit les griffes de Jack Pumpkinhead lui lacérer le dos, la faisant hurler et se relever d’un coup sec par réflexe, sous le coup de la douleur. Et quelque chose d’autre se passa sous le coup de la douleur. Un mélange d’instinct, de perte totale de conscience, et le temps sembla ralentir tout autour de la jeune femme pendant que sa blessure fraîche lançait des éclairs d’adrénaline à l’intention de son corps. Alors que Jack Pumpkinhead retirait sa main griffue, elle tourna sa tête et se pencha dans cette direction à la vitesse de l’éclair pour le reste de la pièce, mais à la vitesse d’un escargot pour elle et son for intérieur. Sa machoire pourtant humaine rencontra le plat de la main de Jack, et, dans un claquement sec et mortel, elle la referma, mordant dedans à pleines dents dans un pur geste défensif, un réflexe instinctif dont elle ne se sentait pourtant pas capable en temps normal… Jack poussa un cri intense, fou de douleur, essayant de tirer pour qu’elle lâche mais elle tint bon plusieurs secondes, traversant presque entièrement la main de l’épouvantail avant de lâcher d’un seul coup, complètement choquée par ce qu’elle venait de faire. Elle fit quelques pas en arrières, se cachant la bouche de ses mains et les yeux grands ouverts, horrifiée… elle voulait s’excuser, mais aucun mot ne passait sa gorge tant elle avait envie de vomir, tant elle était dégoûtée par elle-même, tant elle ne comprenait pas comment elle avait pu faire cela.

HANSKA.


Vie : 85%
Vie de l'épouvantail-citrouille : 60%


Come and fly away with me

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptySam 12 Aoû - 8:38



❝The fantastic world of Oz❞

Mission Le Magicien d'Oz
Maintenant que China était sauvé et qu'elle s'était fait des amis de ses sauveurs, les choses s'accélérèrent. Zelena n'était apparemment pas derrière toute cette pagaille, mais la sorcière semblait soupçonner quelqu'un d'autre. Mais qui? Le mystère restait entier.

De sa magie, Zelena transporta tout le groupe en un nouveau lieu. Alors qu'elle regardait dans cette maison, semblant à la recherche de quelque chose, Dorothy en profita pour poser la question qui la travaillait depuis ce retour à Oz et la découverte de la survie de la sorcière.

- Zelena... Comment se fait-il que vous soyez vivante? J'étais tellement sûre de vous avoir tuée. Je vous ai vu fondre sous mes yeux. Même Glinda en semblait convaincue. Je ne comprends pas.

La sorcière, comme à son habitude, la regarda d'un air mauvais avant de lever les yeux au ciel.

- Tu es vraiment trop naïve. Tu penses vraiment qu'une sorcière aussi puissante que moi va se faire avoir par un simple saut d'eau ?

- Eh bien oui, en même temps je n'avais jamais rencontré de sorcière avant d'arriver à Oz, donc je ne pouvais pas savoir.


Encore une fois Zelena levait les yeux au ciel et reprit sa recherche. Enfin elle ouvrit une porte et un nouvel arrivant fit son entrée. Jack Pumpkinhead. Dorothy n'avait pas la moindre de qui il était mais il semblait être un natif d'Oz. Il connaissait bien Zelena mais il voulait la tuer. Ce n'était pas le premier à vouloir la voir morte. La petite fermière ne comprenait pas pourquoi autant de monde en avait après elle. Certes, elle avait été froide, cruelle même, mais pour l'instant, elle n'avait fait de mal à personne, donc peut-être l'avait-elle mal jugée à leur première rencontre. Ce sont des choses qui arrivent. Cependant, Jack semblait très motivé à en finit avec la sorcière si bien qu'il l'attaqua et s'en prit à tous ceux qui était de son côté, dont Taran. Jackie-Rose lui sauta dessus, le prenant clairement pour quelqu'un d'autre. Sauf que sa pauvre amie reçut une attaque virulente du monstre à son tour. Heureusement, elle savait se défendre. Toto ne supportant pas, comme Dorothy qu'on touche à ses amis se mit à aboyer en direction de Jack qui posa pour la première fois les yeux sur la petite fermière.

- Oh tiens Dorothy ... Qu'est-ce qu'elle va être contente, on va pouvoir faire d'une pierre deux coups si j'arrive à te tuer toi et Zelena en même ! Comment est-ce que tu vas ?

Dorothy interloquée regarda à deux fois cette chose à tête de citrouille. Elle ne le connaissait pas du tout ce Jack Pumpkinhead. Comment lui avait-il eu connaissance de son nom?

- Vous me connaissez? Bon peut-être... Mais pourquoi vouloir me tuer?

- Tu ne le sais pas miss ?

Il semblait prendre un plaisir sadique à jouer ce petit jeu de mystère. Dorothy fit non de la tête de la manière la plus sincère qui soit. Non elle ne le savait pas, elle ne comprenait, qui, à part Zelena, aurait souhaité sa mort. Oh mais un élément lui revenait. Une autre personne avait voulu la mort de Zelena par le passé. Une seule autre personne, peut-être que la même était derrière tout ça.

- J'ai souvenir que le magicien m'avait demandé de tuer Zelena, vous travaillez donc pour lui?

Elle lança un petit regard désolée vers la sorcière. Certes, le magicien d'Oz lui avait fait cette demande, mais elle avait tout fait pour éviter et trouver une autre solution, et la suite de l'histoire tout le monde la connait.

-Pourquoi je travaillerais avec lui ? Ce n'est qu'un charlatan mais ça tu ne le sais pas hein ? Il nous a tous menti ! Il n'est pas vraiment magicien, c'est un imposteur.

La petite fermière à ces paroles s'insurgea :

- Non, c'est le grand, le puissant magicien d'Oz de la Cité d'Emeraude, pourquoi serait-il un imposteur?

Mais Jack ne donna pas de réponse, il avait sorti à nouveau ses griffes et fonçait sur elle. Heureusement, elle avait toujours eu de bon réflexe. Elle l'évita sans aucun soucis et le regarda partir plus loin, emporté par la force de son attaque. Cependant, le petit Toto n'avait rien manqué de tout ça. En voyant sa maitresse ainsi attaqué, elle ne put se retenir et fonça sur Jack. Il enfonça ses petits crocs dans sa cheville ce qui ne lui plus guère et il envoya promener le chien d'un coup de main. Dorothy se précipita aussitôt pour prendre dans ses bras son Toto adoré.

- Ca va mon grand?

Il ne semblait pas avoir grand-chose, Dieu merci, mais les larmes montaient aux yeux de la petite fermière. Il lui léchait la main pour la rassurer. Son Toto, c’était tout sa vie, le seul souvenir de son passé dans le Kansas et elle avait tellement peut de le perdre. Comment pouvait-on faire du mal à une aussi petite bête?





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Vie Dorothy: 100%
Vie Toto : 95%
Vie Jack Pumpkinhead : 55%
Mission 100%
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Garrett Colt

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyLun 14 Aoû - 1:42

The Fantastic World of Oz
mission juillet 2017

China. Je trouvais que les parents de la poupée de porcelaine avaient un humour assez douteux pour appeler leur fille ainsi. Made in China… porcelaine de Chine… douteux je vous dis. Cependant, je gardai mes réflexions pour moi. La dénommée Dorothy nous remercia d’avoir sauvé son amie au teint laiteux. Je passai une main sur ma nuque, presque gêné. Je n'étais pas habitué à recevoir la gratitude des gens. Généralement, je me tapais plus des phrases du style “qu’est-ce que t’as encore fabriqué ?”, avec projection d’objets divers dans la tronche en bonus. Autre ambiance. Bah c’est rien, vraiment... Je n’eus pas le temps de dire mon nom que Jackie déboula en trombe et s’occupa des présentations. À la mention de “ami pour la vie”, je levai les yeux au ciel dans un sourire gentiment blasé. La blondinette avait encore du mal avec les nuances affectives et relationnelles. Avec elle, c'était soit je t’aime, soit je t’aime. Ça pouvait s’avérer assez embêtant, surtout quand son nouveau “meilleur pote” n'était autre qu’un charlatan qui essayait de lui soutirer tout son argent avec des contrats frauduleux. Tandis que Jackie partait à la chasse aux écureuils (les seuls êtres vivants qu’elle ne pouvait pas blairer, un exploit), je la couvais d’un regard bienveillant et protecteur. Elle insistait toujours pour s’occuper de moi, comme si j’en avais besoin. En réalité, j'avais plutôt l’impression de jouer le grand frère d’une gosse hyperactive. Mais ça lui faisait tellement plaisir de jouer les nounous… Heureusement qu’elle était gentille.
Je laissai les autres à leurs discussions ennuyeuses pour jeter un coup d’œil au décor. Tout le village était ravagé. China avait eu de la chance de s’en tirer. Elle devait bien être la seule. Je pointai le nez en l’air, humant les parfums du coin. Pas de doute, ça sentait les problèmes. Mes doutes ne firent que s’amplifier en percevant l'anxiété de la grande rousse. La sorcière de l’Ouest si mes souvenirs étaient bons. Elle n'était pas sereine. Dans quelle galère avais-je encore plongé ?

Wow prévenez la prochaine fois ! On nous avait téléportés devant une nouvelle maisonnette. Aucun feu, aucune ruine. Il y avait de l’amélioration. Sans frapper à la porte, la rouquine pénétra dans la demeure et se mit à la retourner de fond en comble. Bah alors ? On en oublie les bonnes manières ? Si elle veut un cours de cambriolage, y a qu’à demander. Évidemment, en bon voleur qui se respecte, je ne me fis pas prier pour me joindre aux festivités. Il n’y avait pas grand chose d’intéressant dans cette baraque. Les seules choses notables étaient ces quelques bijoux (que je m’empressai de faire disparaître dans mes poches, ni vu ni connu) et cette odeur de… citrouille ?
Ça alors, quel drôle de zouave. Halloween était déjà passé, non ? Qu’est-ce que ce type fichait avec ce truc sur la tête ? Mais c’est qu’il était agressif le bougre ! Il sortait les griffes. Sacrées griffes d’ailleurs. Si vous voulez mon avis, elles n’étaient pas aux normes. L’homme-citrouille donnait une bonne dérouillée à notre équipe d’empotés. Eh beh on est pas sorti de l’auberge. Lassé de faire le pied de grue sur le plancher, je tirai une chaise et m’y assis, posant nonchalamment mes pieds sur la table. J'avais déjà accompli ma bonne action du jour, fallait pas pousser. Je n’étais pas là pour faire l’animation non plus. J’entendis Miss Mills grommeler en essayant d’ouvrir la porte. Un monde de dingues, voilà où on est tombé. Je ne pus m’empêcher de sourire quand elle nota la formidable naïveté de nos camarades. Ah ça… Je piquai des petits biscuits dans une assiette, observant d’un œil distrait le spectacle d’un épouvantail sérieusement perturbé en train de se déchaîner. Il ne blaguait pas. Il avait l’intention de descendre Zelena et Taran, et Dorothy et… enfin à peu près tout le monde quoi. Eh faut le calmer ton pote, lançai-je à la sorcière de l’Ouest non loin. Il a un sérieux pet au casque. On l'arrête comment ? Y a une manip’ particulière, un bouton off ? Ça ne coûtait rien de demander. Tu penses sincèrement que je le sais ? J’ai un gosse dans les bras j’ai autre chose à penser, comme prendre son sac tu vois ? Ah ces jeunes mères surmenées… Je n’en avais rien à battre de son sac moi, puis si elle neutralisait l’énergumène, elle pouvait bien récupérer ce qu’elle voulait. Toutefois, j'avais appris que ça ne servait à rien de parlementer avec certains individus. Une perte de salive. Je sais pas frappe-le et on verra ce que ça donne. Wah merci du tuyau j’aurais jamais trouvé ça tout seul. Rappelle-moi de jamais te demander conseil. Hm, répondis-je vaguement dans un haussement d'épaules.

Elle va pas faire ça ? Elle va quand même pas… Et si. Jackie-Rose venait de se jeter sur l’autre rescapé d’Halloween, l’enlaçant de toutes ses forces. Je me frottai les yeux, sachant déjà que j’allais avoir du pain sur la planche. Ma petite protégée détestait la violence. Voir des gens se bombarder de haine la mettait dans un état de panique absolue. Son cœur immense ne le supportait pas. Alors vous imaginez bien qu’elle vivait assez mal ce qui était en train de se dérouler. Je serrai les dents. Jackie était trop adorable pour ce monde. Nous ne la méritons pas. Aussi, lorsque Face de Courge l’envoya valdinguer, ma mâchoire se crispa de plus belle. Elle est stupide ? Je n’aimais pas que l’on traite la blondinette d’idiote. Certes, elle n'avait pas la lumière à tous les étages et elle n'avait pas inventé l’eau tiède, cependant ce n'était pas une raison. Simplette, oui, stupide non. Ou du moins, ce n'était pas à ce dégénéré de le dire.

Le cri de Jackie résonna comme la sonnette d’alarme. Ce genre d’alarme qui gueule “bouge-toi les miches en urgence”. La vue de mon petit boulet se faire lacérer avait le don de me faire vriller. Je n’aurais jamais soupçonné Jackie d’avoir cette once d'agressivité en elle. Il fallait croire que l'instinct était plus fort que tout. Ok. On passait aux choses sérieuses. Je me relevai tranquillement, sans me presser, comme si tout allait bien, comme si aucun gars à moitié citrouille ne nous menaçait de mort. Keep cool. Dans un mutisme parfait, je vins poser une main sur l’épaule d’une Jackie encore sous le choc de sa propre action. La partie post-traumatique s'annonçait être un régal à gérer. Je me saisis d’une lampe à huile qui traînait à ma portée et, toujours avec la même indolence, je passai derrière Tronche de Potiron. Ce dernier était tellement obnubilé par Dorothy qu’il ne sentit pas l’huile couler sur ses vêtements. Cigarette au bec, j’inspirai un peu plus fort afin de faire revenir la lueur rougeoyante au bout du tabac. Après avoir reposé la lampe, je me reculai de quelques pas.
Un bref sifflement sec me suffit pour attirer l’attention de l’homme-citrouille. Sale tête. Tu feras gaffe, le feu, ça brûle. D’un geste fluide, ma cigarette opéra un vol plané jusqu’à atterrir sur la veste du cinglé. Ce dernier fronça les yeux, un peu paumé. Soudain, ses vêtements s’embrasèrent, suivis de près par sa grosse caboche orange. Paraît que la citrouille, ça flambe bien. Le mutant se mit à courir comme un beau diable, gigotant dans tous les sens et hurlant à la mort. Bah ouais. Il est bien sympa le Garrett, mais faut pas le chercher. Pas un seul moment durant l’opération je n’avais hésité. Insensible à l’agonie de ma victime, je le regardais gigoter, le toisant de mes prunelles froides. Les bêtes sauvages ne connaissent pas la pitié pour leurs adversaires. Encore moins les grands prédateurs. C'était la mode des incendies, alors autant continuer sur la lancée. La torche humaine se cognait aux meubles, propageant les flammes. Sur le coup, je n'avais pas pensé à ce léger détail. Avant que ça ne deviennent risqué, je vis Zelena brandir sa main et stopper le brasier. Efficace. Jack était totalement défiguré. Sa citrouille dégoulinait sur ses habits. Ce n’était pas beau à voir. La rouquine s’approcha du grand brûlé. Tu as fini ? Dis-moi maintenant tu dis avoir des ordres de qui ? Le gars ricana, regarda la sorcière droit dans les yeux (enfin on devinait qu’il l'a regardait) et ria de plus en plus fort, d’un rire digne des fous à lier. Glauque. Zelena ne se démonta pas et l’étrangla en wifi par la magie. QUI ?! Jack ne lâcha pas un mot. Et la rousse continuait à serrer sa gorge. Serrer serrer serrer… jusqu’à ce que l’homme-citrouille tombe au sol sans bouger. Je crois qu’il répondra plus là. Tuer les ennemis n’était certainement pas la meilleure solution pour leur soutirer des informations, mais je me retins de donner mon avis à haute voix. Zelena faisait clairement flipper.

Maintenant que la menace était écartée, je retournai voir si Jackie s’était remise de ses émotions. Peut-être n’avait-elle rien suivi à la scène, peut-être n’avait-elle pas trouvé une raison et une version assez acceptables quant à ce que je venais de faire. J’avais foutu le feu à un type. Certes, le type en question était un grand malade qui devait tous nous dézinguer, mais quand même. Jackie n’avait pas l’habitude de me voir en Wild Cat pur et dur. En revanche, ce que les autres en pensaient, je m’en battais les reins. Afin de ne pas brusquer la blondinette outre mesure, je me contentai d’une phrase, avec un ton que je voulais apaisant : Il est temps qu’on s’arrache d’ici avant qu’un autre psychopathe débarque. Quand je vous dis que j’ai un talent naturel pour rassurer les gens.

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Garrett : 100%
Vie Jack Pumpkinhead : 25% (-30%) puis 0% à la fin ?


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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMer 16 Aoû - 0:44

The fucking'tastic world of Oz.La citrouille défigurée la regardait, ses griffes de plus en plus grandes, et s'apprêtaient à repasser à l'attaque. Regina l'attendait de pied ferme, la main levée prête à se battre à nouveau, quand Jackie-Rose sauta sur le dos de leur ami le légume. Vraiment ? La reine restait en alerte, prête à renvoyer une boule de feu dès que l'occasion se présenterait, mais abandonna bien vite ; elle risquait de blesser la jeune femme, et là n'était pas le but. D'ailleurs, la citrouille semblait s'être calmée, il y avait au moins ça. Regina regarda autour d'elle, les autres regardaient la scène qui se passait devant eux comme des idiots, croyants sûrement que les paroles de la blonde allait comme par hasard faire de ce Jack leur meilleur ami. Celui ci était complètement surpris en entendant tant de naïveté sortir de la bouche d'une seule personne, finissant même par se retourner pour leur demander si elle n'était pas stupide. Regina s'empêcha de répondre à l'affirmatif, se tournant à nouveau vers la porte, exaspéré. Elle regarda ensuite autour s'il n'y avait pas une fenêtre par laquelle elle pouvait espérer passer, mais elles étaient toute bien trop petites.

Regina se retourna en entendant un hurlement, voyant avec effrois mais sans surprise que Jackie s'était à son tour fait griffer – le mot juste étant même lacérer – le dos par les griffes de l'épouvantail. Mais Jackie n'était pas en reste, puisqu'elle mordit la main de son agresseur. Là, Regina était surprise. Elle vit ensuite, derrière elle, Garrett qui bougeait enfin, attrapant une lampe à huile qui traînait par là. Regina se sentit idiote de ne pas y avoir penser plus tôt. Elle se reposait décidément beaucoup trop sur sa magie. Comprenant le plan du blond, elle s'apprêtait à faire diversion, mais le potiron était déjà occupé par Dorothy, alors la maire se contenta de regarder avec satisfaction les vêtements de Jack se faire asperger d'huile.

Dorothy n'eut rien, mais son chien se pris un grand coup de pied dans le flanc, et Regina ne put s'empêcher de grimacer en imaginant Lola à sa place Heureusement, sa chienne était à ses côtés, en mode protection, les poils hérissés et les babines toujours retroussées.

Garrett finit par siffler pour attirer l'attention de la citrouille avant d'envoyer sa cigarette directement sur ses vêtements qui ne tardèrent pas à prendre feux. Mais finalement tout cela ne servit pas à grand chose, car Zelena attrapa Jack dès qu'il eut éteint le feu et l'étrangla à mort. Pourquoi elle ne l'avait pas tout simplement fait plus tôt, Regina n'en avait aucune idée. La rousse avait sûrement décidé de les faire chier ce jour là. En attendant, ils avaient tous intérêt à partir d'ici. Regina attrapa la petite poche en tissu qui traînait par terre, à quelques mètres de l'épouvantail sans vie, et la jeta à Zelena.

« Garret a raison, on devrait partir. » ordonna-t-elle presque. Elle voulait rentrer chez elle, coucher sa fille, et prendre soin de son dos qui lui faisait un mal de chien. Son costume était déchiré et tâché de sang, bref, foutu, sans parler des cicatrices qu'elle aurait sûrement dans son dos après quelques mois si elle ne pouvait pas s'en occuper bientôt.
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyVen 18 Aoû - 0:35

The Fantastic World of OZZelena et la bande de bras cassés.
There's so much good here, it sickens me ! ••• Elle commençait sérieusement à en avoir marre de voir ce Jack Pumpkinhead faire le malin ainsi, se croyant tout de suite plus fort que tout le monde ici présent. Zelena avait pu le rencontrer quelque fois au par avant mais il n'avait jamais été réellement un très gros problème pour la jeune femme puisqu'elle était la plus forte au pays d'Oz et personne n'avait vraiment essayer de lui faire face à par une seule fois : Dorothy et sa bande de bras cassés. Ils avaient été les seuls depuis qu'elle avait pris le pouvoir à Oz et même ce cucurbitacée n'avait jamais osé complètement l'affronter comme en ce jour. Il avait toujours le même humour, donc un humour pas très fameux, il était toujours quelque peu sarcastique dans ses paroles mais jusqu'ici il n'avait jamais fait le main devant Zelena. Il y avait quelque chose qui clochait vraiment de plus en plus, et la jeune femme se demandait bien pour qui ou pourquoi il pouvait bien travailler, pensant tout simplement qu'il était comme soit disant protéger ou je ne sais quoi. S'il pensait sérieusement sortir sans être blessé, il pouvait toujours courir car d'une manière ou d'une autre la rouquine prendrait ce qu'il pouvait bien tenir fièrement dans les mains. Comment avait-il su que cela se trouvait ici même ? Il n'y avait que peu de monde qui le savait à vraie dire et Zelena commençait sérieusement à avoir des doutes, sur l'identité de la personne qui pouvait bien se cacher derrière toutes cette histoire. La maison qui prend feu juste devant leur yeux, la cité de porcelaine qui était complètement détruit et maintenant Jack qui pouvait bien se trouver ici dans la maison de l'épouvantail. C'était trop pour la jeune femme pour que se soit de simplement coïncidence, et même China disait que quelqu'un était derrière tout cela. Zelena connaissait bien le Pays d'Oz sans doute mieux que quiconque dans ce pays, elle avait pu le parcourir des dizaines et des dizaines de fois étant petit, puisque après tout il n'était pas forcément si grand que l'on pouvait le croire, elle avait pu connaître toutes les populations qui pouvaient exister allant des Winkies aux Munckins allant du sud au nord lors de ses nombreuses fugues pour éviter son père le plus possible. Elle en avait rencontrer plusieurs des habitants et qui aurait pu deviner un jour qu'elle deviendrait alors la grand méchante sorcière de l'Ouest ? Personne. Personne n'aurait pu le prédire tout simplement parce que à l'époque elle pouvait être douce et gentille avec toutes les personnes qui l'entouraient, elle aidait son prochain mais malheureusement tout avait basculé le jour on son père lui avait dit toutes ses horreurs, le jour ou son père, ou du moins celui qu'elle voulait considérer comme tel l'avait repousser lui avouant toute la vérité.

Elle regardait ce que l'on pouvait appeler comme un spectacle laissant faire les autres pour arriver à la fin de cet épouvantail à tête de citrouille qui commençait sérieusement à l'agacer. Mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ? Et bien pleins de choses en vérité mais son côté quelque peu sadique ressortait et même si elle pouvait arriver en quelques minutes à détruire l'ennemie qu'elle avait juste devant les yeux, c'était plus amusant que de voir comment les personnes qui s'étaient invité dans sa tornade pouvait s'en sortir de même, regardant avec un petit coin aux lèvres toutes les attaques qu'ils pouvaient faire. Zelena levait parfois les yeux en l'air, complètement désespéré par leur comportement et surtout face à celui de Jackie-Rose. Qu'est-ce qu'elle faisait sérieusement ? Est-ce qu'elle était réellement stupide ? Non, ce n'était même pas une question à laquelle il fallait répondre, la réponse était bien trop simplement pour le coup. Elle commençait sérieusement à en avoir vraiment marre de ce Léguman comme pouvait l'appeler Taran, alors qu'il continuait de se jouer d'eux et apparemment il prenait un bien mal plaisir à le faire encore et encore même s'il en prenait pas mal dans la tête. Elle faisait quelque peu les cents pas regardant toujours la scène avec attention alors qu'elle continuait de garder tranquillement sa fille dans les bras. Elle était entrain de réfléchir. Bien que Jack soit très sarcastique sur les bords et qu'il est un égo sur dimensionné, la jeune femme savait également qu'il pouvait faire des dégâts pour le coup, après tout il n'y avait qu'à regarder l'état  du dos de Regina et du labradors qui s'était planté dans un coins pour le voir et Zelena voulait avant tout la sûreté de sa fille. Oh elle avait sa magie, elle pouvait très bien s'en servir à distance sans que sa fille soit touchée, mais elle voulait également récupérer le sac et pour le coup elle connaissait peut être un peu trop bien Jack et si elle tentait quoique se soit maintenant il lui était impossible de la récupérer ainsi. Le cucurbitacée était bien trop sur ses gardes pour cela, même s'il recevait en échange bien des dégâts également. La jeune mère devait attendre le moment opportun, le moment où il se concentrerait à cent pour cent sur autres choses pour tenter quoique se soit. Et l'occasion était arrivé lorsque Garrett eu la bonne idée de l'enflammer complètement en un seul coup, voyant Jack jeter le sac par terre pour essayer d'éteindre le feu sur lui. Après tout qu'est-ce qu'un épouvantail peu bien craindre le plus alors qu'il n'était fait que de pailles ? Malheureusement elle ne s'attendait pas une seul seconde à ce qu'il enflamme avec lui toute la maison, tandis qu'elle s'était rapprocher du sac pour le prendre dans les mains, mais le feu se propageant devant elle l'en avait empêcher.

« Alors là c'est bon ! »

Et d'un mouvement de main elle avait arrêter tout le feu qui se trouvait autour d'elle, laissant une maison à moitié brûlée derrière eux alors qu'elle avait également arrêter le feu sur Jack le regardant avec une regard plus que noir. Elle commençait à perdre sa patience et elle en avait pas beaucoup,  regarder les autres s'en prendre une avait été un spectacle très distrayant mais elle avait autres choses à faire désormais et elle devait avancé. Elle n'était pas venu à Oz juste pour regarder les autres se prendre une bonne raclée pour le coup alors que d'une main elle venait à étrangler l'épouvantail qui se trouvait dans un sale état avec sa magie. La rouquine voulait désormais comprendre, savoir pour qu'il travaillait alors qu'il disait lui même avec ''des ordres'' venant d'un personne. Rien qui ne prédisait quelque chose de bon dans tous les cas, mais plus elle continuait de l'étrangler et moins Jack avait de chance de parler malheureusement elle le connaissait bien et rien ne le ferait parler venant à perdre patience elle fini par serrer complètement sa gorge avec ses pouvoirs avant de le lâcher jusqu'à qu'il ne tombe pas terre, complètement affalé alors qu'il ne bougeait plus un seul doigt. Zelena se frotta la main sur ses vêtements comme pour bien les remettre en place avant de venir regarder les autres autours d'elle et de regarder sa fille qui semblait totalement paisible face à la situation qui se déroulait autour d'eux. Elle avait achevé le travail et heureusement qu'elle avait bien voulu quelque peu se salir les mains sinon ils seraient restés ici encore pendant longtemps ou plutôt ils auraient tous fini brûler à cause du feu. La jeune femme attrapa au vol d'une main le sac que sa très chère sœur venait de lui envoyer avant de vérifier ce qu'il y avait dedans et ce fut avec un soulagement qu'elle constata que c'était bien ce qu'elle était venu chercher ici avant d'ouvrir la porte d'un mouvement de la main. Elle était d'accord avec les autres pour le coup, il ne vaudrait mieux pas qu'ils restent dans le coins alors qu'ils ne savaient pas qui pouvaient bien accompagner l'épouvantail finissant par sortir de là s'en tarder. Une fois dehors elle regarda le chemin de briques jaunes qui se trouvaient sous ses pieds réfléchissant quelques minutes à ce qu'elle comptait faire à présent. D'un côté elle pouvait aller chercher ce qu'elle voulait et d'un autre côté avoir enfin les réponses à ses questions, avant de se dire qu'elle pouvait avoir les deux en uns. Elle fini par se retourner vers Dorothy lui adressant un sourire, du moins essayant puisqu'on pouvait directement voir qu'il était totalement faux.

« Dorothy ! Enfin tu vas pouvoir mettre utile, très chère. Tu connais le chemin pour aller pour aller à la table des bonnes sorcières n'est-ce pas ? Après tout tu as déjà été assisse dans l'une des chaises … J'aurais besoins de toi ! Une façon de te faire pardonner de m'avoir jeter le seau d'eau à la figure tout ça tout ça tu vois ? Tu vas aller la bas et me récupérer le tableau qui se trouve tout près de la table, celui où il y a une prairie de peints dessus. »


Elle essayait toujours de garder ce sourire sur le visage, alors que pour une fois elle admettait en quelque sorte qu'elle avait besoins d'une autre personne pour arriver à faire ce qu'elle souhaitait, à arriver à la fin de son plan sans plus de complication qu'ils avaient pu en avoir jusqu'ici. Dorothy était la seule ici à connaître quelque peu les lieux et puis au pire des cas elle connaissait le principe : ne pas s'écarter de la route de brique jaune si on ne voulait pas se perdre et il n'y avait qu'à suivre les panneaux qui se trouvaient un peu partout dans les pays indiquant chaque coin. Zelena avait une bien d'autres idées en tête pour arriver plus vite à la fin de son plan et pouvoir partir de cet endroit. Elle n'avait vraiment pas penser à retrouver le Pays d'Oz dans un tel état, se demandant qui avait bien repris les commendes même si elle avait une petite idée, en tout cas sa liste c'était totalement réduite depuis le début de l'aventure. Elle détourna le regard sur China réfléchissant quelque peu avant de finir par prendre sa décision.

« Toi tu viens avec moi, tu pourras mettre utile mais avec tes jambes c'est mieux. Je sais que vous m'aimez très certainement pas et c'est réciproque mais pour le coup je suis votre seule sortie d'ici donc faut que vous aidiez Dorothy si vous voulez rentrer chez vous. Une fois fini rejoigniez moi au Palais d'Emeraude. Faut allez par là. »


Elle avait remis les jambes de China en place, elle avait regarder tout le monde montrant le chemin qu'ils devaient emprunter d'un coup de tête avant de lever une main disparaissant dans une fumée verte comme elle en avait l'habitude, emportant la petite poupée de porcelaine avec elle. A eux de se débrouiller tout seul maintenant.
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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyVen 18 Aoû - 22:06


The Fantastic World of Oz


I ask you one time please confide can I choose my fate and learn to burn again can we wash our hands with dear actions I'm in the dark whole I need to burn again I got to burn again is it for real this how I feel dream me away to another world

Jackie-Rose restait profondément choquée par son propre geste. Elle regardait tour à tour Jack, puis sa main, puis Garrett avec cet air perdu qu’elle pouvait arborer quand les événements lui échappaient, même si en général c’était surtout quand on essayait de lui expliquer qu’elle était en train de se faire rouler dans la farine, alors qu’à cet instant c’était elle la méchante de l’histoire. Elle ne revint à la réalité que lorsque Garrett sortit de sa neutralité apparent pour venir poser une main sur son épaule. Elle sursauta d’abord, un peu comme si un zeste d’anxiété mélangé à l’agressivité flottait dans son coeur pourtant si gros, mais le geste eut tôt fait de l’apaiser, du moins assez pour que les larmes cessent de lui monter aux yeux. Elle avait une folle envie de sangloter, de se laisser tomber au sol et rester en position foetale pour le restant de ses jours tant sa morsure la choquait, mais la main de Garrett était comme un fil solide qui la retenait debout. Il avait cet effet sur elle quelque part, elle qui s’imaginait prendre soin de lui à chaque rencontre elle voyait son geste encourageant comme celui d’un enfant qui a eu peur de sa propre mère, et ses yeux remplis de larmes se scotchèrent dans ceux de Garrett. Il n’affichait pas vraiment d’émotion, simplement une tranquillité pure et simple qui ne manqua pas de faire chuter l’adrénaline qui battait dans les veines de Jackie-Rose. Elle avait toujours autant envie de pleurer mais le fait que Garrett soit là lui intimait que ça n’était pas le moment, qu’elle devait être forte et si ça n’était pas pour elle-même, c’était pour lui. La violence n’avait jamais été dans les cordes de la jeune femme, elle était la première à essayer de câliner le moindre bandit de grand chemin pointant son flingue sur elle, et c’était un miracle qu’il ne lui ait jamais arrivé d’événements si grave qu’il en est traumatique, au point que le fait que ce soit elle qui ait eut un accès de violence constituait exactement ce genre d’événement traumatique. C’était un réflexe, un pauvre réflexe de canidé sur la défensive, et peut-être était-ce justement parce que dernièrement elle cherchait à ne faire plus qu’un avec son ancien chien que ce réflexe avait eu lieu. Finalement, peut-être qu’être un chien n’était pas si merveilleux, peut-être que les chiens n’étaient pas les descendants des loups pour rien, malgré le fait qu’elle ait pu être le golden retriever le plus inoffensif que le monde des contes ait connu.

Quoiqu’il en soit, elle resta debout malgré ses envies de tomber, les yeux fixés sur Garrett qui constituait son ancre pour ne pas sombrer désormais. Avec la même tranquillité que lorsqu’il avait posé la main sur son épaule, alors que Jack semblait obnubilé par Dorothy, il s’activa à l’arroser d’huile devant l’incompréhension de Jackie-Rose. Il n’allait tout de même pas ?.. Mais si. À peine sa tâche terminée, il poussa Jack à se tourner vers lui avant de lui mettre le feu en lui lâchant sa cigarette allumée sur la veste. Jackie-Rose fronça les sourcils ; il n’avait toujours pas arrêté de fumer depuis le temps qu’elle lui répétait que ça n’était pas bon pour lui ? Avant qu’elle ne puisse ouvrir la bouche, l’homme-citrouille partit en fumée, ou plutôt se mit à dégouliner de toute part dans une pure atrocité. Les contes et les dessins animés ne cessaient de dépicter la mort de manière soit noble soit sans effusions de sang, ou même de manière comique dépendant de l’oeuvre d’origine, mais dans la réalité, la mort n’avait rien de beau, de léger ou de drôle. C’était purement atroce. Alors que Jackie-Rose voulait simplement calmer les esprits et faire réaliser à tout le monde que Jack ne pouvait pas être si méchant que cela en réalité, qu’ils n’étaient pas si différents et qu’il devait bien avoir un coeur aussi gros que celui de l’ancien chien derrière ses manières narcissiques, il dégoulinait désormais et ne ressemblait plus qu’à un monstre sanguinolant à la saveur citrouille. Jackie-Rose éclata en sanglots quand elle vit son amie Zelena, elle si douce et si maternelle, venir étrangler Jack en lui hurlant en visage, et Jackie-Rose se cacha les yeux en masquant les paroles de Zelena derrière ses sanglots bruyants. Elle avait envie de rentrer, de se réveiller et de se dire que toute cette violence ça n’était qu’un mauvais rêve, que les gens n’étaient pas comme ça, à tuer tout ce qu’ils voyaient sans autre raison que « nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde ». ça n’était pas son monde, pas son idéal. Garrett s’approcha d’elle de nouveau, sans faire un geste, et elle s’essuya les yeux tandis qu’il la rassurait à sa manière.

« Je ferais jamais ça… Je veux plus jamais faire ça... »

Et étrangement quelque part, elle était encore bien plus choquée par son propre geste que celui de Garrett ou même de Zelena. Parce que ces gens, elle les connaissait, elle savait au fond d’elle-même que pas tout le monde avait les mêmes méthodes pour gérer une situation de conflits, elle pouvait aisément pardonner les gestes qu’elle n’approuvait pas, et c’était elle-même qui devenait une inconnue à ses propres yeux. Elle se calma cependant, passant ses bras autour des épaules de Garrett dans un câlin pour une fois doux comparé à la brutalité qu’elle pouvait aborder dans ses effusions d’affection. Elle posa sa joue contre son torse -parce qu’il était quand même passablement plus grand- et se contenta d’écouter les battements de son coeur pour reprendre totalement ses esprits. Alors seulement elle s’essuya le visage avec ses vêtements, y enlevant toute trace de la détresse qu’elle avait ressentit jusque là en dehors de ses yeux rouges et gonflés, tandis qu’elle fonça vers Dorothy, redevant la bonne vieille Jackie-Rose qui se préoccupait bien plus des autres que d’elle même. Elle s’approcha de Toto sans le toucher cependant de peur d’appuyer là où il pourrait avoir mal tandis qu’il reposait dans les bras de son amie.

« Toto ! Est-ce qu’il va bien ? Ooh le pauvre il s’est pris un sacré coup ! »

Elle se tourna ensuite vers les autres, un à un, leur demandant d’une voix encore tremblante s’ils allaient tous bien, et quelque part elle avait un peu peur qu’ils puissent avoir peur d’elle autant que de Jack à cause de la blessure qu’elle lui avait infligé. La seule personne qu’elle ne regardait pas, ou plutôt le seul corps était ce qui restait de Jack Pumpkinhead gisant sur le sol, encore trop secouée intérieurement pour affronter le meurtre qu’ils avaient commis. Le groupe sortit de la maison à demi-brûlée, rejoignant le chemin de briques jaunes tandis que Jackie-Rose était retournée aux bras de Garrett, tandis qu’elle se pendait à son cou comme on s’accroche à une bouée de sauvetage. Zelena leur tint un discours peu amical, même si pour le coup Jackie-Rose comme à son habitude le filtrait et savait au final que c’était pour Zelena une manière de demander l’aide de Dorothy même si elle se montrait maladroite en le faisant. Retrouvant quelque peu sa joie de vivre, elle approuva de la tête quand Zelena leur affirma qu’ils allaient devoir aider Dorothy et même si Jackie-Rose aurait pu rentrer tout de suite elle l’aurait fait quand même.

« Mais si je t’aime Zelena tu le sais très bien ! »

Elle joignit ses mains près de son visage quand Zelena remit les jambes de China en place, persuadée que c’était par bon coeur qu’elle le faisait et comme si cela prouvait une bonne fois pour toute toute la bonne volonté de l’Incomprise Sorcière de l’Ouest. Elle voulut se jeter sur elle dans un fougueux câlin en mode « je vous l’avais bien dit » mais Zelena disparut à ce moment-là dans un nuage de fumée verte, et Jackie-Rose ne fit que rencontrer le sol dans un « oh » brutal tandis que ses genoux et ses mains touchèrent terre sans prévenir. Elle se releva en s’ébrouant quelque peu, et s’était étonnant comme on pouvait avoir l’impression que tout son choc passé n’avait jamais existé. Un grand sourire sur les lèvres, elle se tourna vers les autres en faisant de grands signes avant de s’élancer sur la route de briques jaunes en sautillant et en chantonnant, emportant tour à tour Garrett, Dorothy et Taran dans sa danse, sans oser approcher Regina qui tenait son enfant dans ses bras et n’avait pas l’air sensible à sa bonne humeur -et, il fallait le reconnaître l’intimidait toujours comme une fan timide devant une célébrité. Au fil du chemin Jackie-Rose s’amusait avec Toto et Lola qui s’était quelque peu ouverte à la jeune femme, même si les deux chiens restaient dans les abords immédiats de leur maîtresse respective, probablement par instinct de protection avec les événements précédents. Elle batifolait tant et sans réfléchir qu’elle manqua de peu de se prendre un panneau en pleine tête, reculant de quelques pas d’un air étonné. D’un côté comme de l’autre s’étendaient deux chemins, et deux chemins radicalement différent. Si elle avait fait attention aux panneaux elle aurait pu constater qu’ils étaient les mêmes des deux côtés, indiquant probablement donc la même destination même si en-dessous étaient placés deux panneaux plus petit, l’un indiquant « chemin plus long » et l’autre « chemin plus rapide ». Mais Jackie-Rose n’avait pas le moins du monde fait attention aux panneaux, ignorant totalement le « chemin plus rapide » qui avait des allures de forêt hantée et sombre où l’on ne pouvait pas voir grand-chose, alors que du côté du « chemin plus long » le soleil brillait de mille feu, des oiseaux chantaient et volaient par-ci par-là et de belles fleurs sillonnaient la route de briques jaunes qui s’interrompaient au niveau d’une colline -ou plutôt on n’en voyait pas le bout car celui-ci était justement caché par la colline. Sans réfléchir bien sûr, Jackie-Rose s’élança joyeusement à la poursuite des oiseaux sans les chasser cependant puisque les seuls êtres vivants qu’elle chassait restaient les écureuils. Elle sautillait, faisant semblant d’essayer de les attraper en riant, admirant leurs couleurs chatoyantes et presque fuschias tant elles étaient brillantes, sans même faire attention au chemin que prenaient les autres, et s’éloignant d’ailleurs de plus en plus de son groupe. Elle gravit la colline en sautillant sans casser son rythme, à croire que la demoiselle n’était jamais fatiguée mais ce ne fut qu’en haut de celle-ci qu’elle s’arrêta enfin, histoire d’admirer le paysage. Elle se sentait sereine, bien plus sereine que dans la cabane précédente pour le coup et elle s’extasia devant les couleurs criardes dominées par le vert du pays d’Oz. Elle commença par l’horizon, pour descendre toujours plus en inscrivant dans son esprit la beauté du paysage jusqu’à voir… oh non.

En contrebas de la colline, mais suffisamment loin pour qu’ils soient indiscernables, des créatures assiégeaient un village, et semblaient vers la fin de leur besogne car pratiquement tout ledit village était en lambeaux, en pièces, en morceaux. Jackie-Rose porta ses mains à sa bouche en sentant une nouvelle vague de tristesse l’envahir. Ses jambes tremblèrent, et elle se sentit faiblir. Un instant elle hésita à revenir en arrière, les larmes aux yeux, histoire de s’enterrer dans les bras de Garrett et faire comme si elle n’avait rien vu mais… Quelque chose la poussa en avant. Un sentiment qu’elle ne connaissait pas, ou pas vraiment, tandis qu’elle s’essuyait les yeux en fronçant les sourcils. Pourquoi ces créatures faisaient-elles cela ? Peut-être que c’était comme Jack. Peut-être qu’ils avaient de l’amertume, peut-être qu’ils croyaient que les gens de ce village leur avait fait quelque chose de mal et ils n’avaient pas d’autre choix, ou le croyaient tout bêtement. Peut-être que… peut-être que leur demander d’arrêter les ferait arrêter. Peut-être qu’elle pourrait faire ce qu’elle avait toujours fait ou plutôt cherché à faire, qu’elle parviendrait à leur mettre du baume au coeur, à leur apprendre le pardon et la générosité. Alors, sans attendre les autres, elle se mit à courir, tout droit, filant comme une flèche droit sur le village, emplie de cette détermination qu’elle pouvait avoir, ce côté borné presque inconscient qui avait eu autrefois le chic d’agacer son cher propriétaire, son cher Carl Friedricksen. Plus elle se rapprochait du village et plus elle pouvait distinguer ce qu’était ces créatures étranges… Des singes dotés d’ailes ? Curieux mélange mais Jackie-Rose n’était pas là pour remettre en question les décisions de l’évolution. Et en parlant d’évolution, la maladresse de Jackie-Rose semblait payer en faveur de sa survie car alors qu’elle arrivait aux abords du village, au moment même où elle s’apprêtait à leur hurler d’arrêter, elle… s’emcoubla sur une ruine d’un bâtiment, s’envoyant valdinguer solo contre un mur, fort heureusement hors de la vue des singes qui se retournèrent, alertés par le bruit qu’elle faisait. Sonnée, Jackie-Rose se releva en silence, le souffle coupé, sans voir que l’un des singes se dirigeait lentement dans sa direction, attiré par le boucan…

« Wow la vache... »

Elle n’eut ainsi pas le temps de réagir, à part en restant parfaitement immobile lorsque le singe parut enfin dans son champ de vision ; ils se fixèrent quelques secondes dans le plus grand des silences, aussi étonné l’un que l’autre d’être face à face, quand le singe se mit à pousser un cri guttural, toutes ses dents apparentes, le genre de cri si fort et soudain qu’il alourdit soudain les estomacs et fait refroidir le sang d’un coup. Quelques secondes à peine après le début du cri du singe, Jackie-Rose se mit à pousser son propre cri, poussant un hurlement qui venait lui aussi de ses tripes mais bien loin d’être agressif, il reflétait surtout une peur soudaine et intense qui la paralysa… jusqu’à ce que le singe fonce sur elle d’un coup et qu’elle esquive en continuant de crier. Cette fois-ci, elle battait en retraite, courant à perdre haleine jusque vers sa petite troupe et ce ne fut qu’à ce moment-là qu’elle cessa de hurler, parvenant à peine à prononcer quoique ce soit.

« Des… Singes… avec… des ailes ! »

Les autres n’avaient pas vraiment besoin de Jackie-Rose pour savoir ce qui les attendait ; en effet, les deux singes restés en arrière se dirigeaient droit sur eux dans de grands cris, battant des ailes comme des fous furieux, pendant que le troisième sautillait dans leur direction à la manière d’un singe conventionnel… aucun des trois ne semblait d’humour amicale.

HANSKA.


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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyDim 20 Aoû - 18:16



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La Dame Blanche à Oz


Elle était invisible. Pas dans le sens propre des choses, mais bien au figuré. Elle était si discrète et en retrait qu'elle passait inaperçu auprès de ses camarades d'infortune, et aussi de l'ennemie à la tête de citrouille. Pas que ça la dérange, car elle assumait, intérieurement du moins, sa lâcheté : elle n'était pas faite pour le combat, et elle n'osait pas aider. Elle n'aurait fait qu'encombrer et blesser les autres. Katharina les avait donc laissé se battre contre cet épouvantail, en surveillant quand même pour aider en cas d'extrême besoin. Heureusement, ils avaient sut s'en sortir sans elle, et à présent Zelena s'en était allé aussi. Elle avait suivit le groupe sur la route de brique jaune, souriant avec bienveillance en observant la jeune blonde courir et sautiller joyeusement au vent, évitant même de mentionner qu'il y avait un chemin plus rapide, il n'y avait pas réellement d'urgence absolu et elle semblait trop heureuse de cette route ensoleillée. Le problème intervient, bien sûr, par la suite. Une Jackie-Rose courant à perdre d'haleine vers eux, articulant avec difficultés le danger qui la poursuivait. Mais avaient-ils vraiment besoin d'une description ? Elle les voyait arriver, ces singes aux grandes ailes, et ils n'avaient pas l'air amicaux. L'ancien fantôme voulu prendre Jackie dans ses bras, pour la rassurer, mais elle n'y parvint pas. Pas parce qu'elle ne voulait pas, mais parce que sa main venait de traverser l'épaule de la blonde. Une main plus blanche que jamais, et même quand on y regardait de plus prêt... transparente.

La femme chercha un abri, ou au moins un lieu à couvert : une forêt par exemple entraverait le vol de ces créatures ! Mais rien à l'horizon, pas plus d'abri que le village détruit plus bas, mais entre eux. Personne non plus à part eux qui puissent les aider. Avec un soupire tremblant, elle prit sa décision. "J'ai peut-être une idée ! " Malgré sa discrétion, sa voix calme portait aisément. "Mettez-vous à l'écart, faites-vous discret, et dès qu'une ouverture se montre, allez jusqu'au village ! Le terrain sera plus favorable par là-bas. Et gardez-vous bien de vouloir rester pour moi, partez ! Je vais très bien m'en sortir ! " et elle se mit au centre du chemin de brique, écartant les bras en direction des singes, faisant des signes. "J'ai tout ce que vous voulez ! ". Et sans surprise, ils se mirent à voler plus vite encore vers elle ! "Tout va bien se passer, venez me voir, tout ira bien, vous aurez tout ce dont vous avez besoin, venez avec moi ! ". Mais sa voix apaisante, sereine et maternelle ne semblait pas vraiment les affecter. Celui qui était au sol se précipitait même vers elle. Mais même si elle parlait calmement, rien n'y faisait ! Il fonçait vers elle, elle ferma les yeux, et au moment de l'impact.... Rien. Comme elle avait espérer. Ouvrant les yeux hâtivement, elle essaya de ne pas penser à ce qu'il se passait, à quel point son corps était léger et invisible, transparent et impalpable. Elle se mit tout de suite à courir vers le village, en espérant que les autres aient fait de même quand elle attirait l'attention, pour s'abriter.

Mais malgré son corps de fantôme, elle laissait toujours une trace derrière elle puisque le singe la suivait toujours. Katharina était au village, enfin, et malgré tout se cacha dans les décombres, le souffle court. Peu à peu en courant, son corps était revenue à la normal, et elle craignait qu'il ne la retrouve. Mais loin d'elle l'idée de revivre un film d'horreur, ou elle était plaqué contre un mur le souffle court et fort. Non, caché, elle préférait se mettre dans une position presque de méditation, respirant profondément et calmement, pour ne pas attirer l'attention de la bête. Elle avait besoin d'aide, mais comment attirer l'attention d'une main secourable ?


Katharina : 100%
Mission : 100%


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Regina M. Mills

Regina M. Mills
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☂ Conte : Blanche Neige

☂ Emploi : Maire de la ville
☂ Camp : I just care about me
☂ True Love : Un certain renard ... Plus ou moins.

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MessageSujet: Re: The fantastic world of Oz [Mission]   The fantastic world of Oz [Mission] EmptyMer 23 Aoû - 13:42

The fucking'tastic world of Oz.Zelena les fit sortir de la maison en bois et les guida de nouveau vers la route de brique jaune. Peut de temps après, elle leur expliqua qu'ils n'avaient qu'à aider Dorothy à aller chercher un objet inconnu, et la rousse se téléporta hors de leur vue, emmenant la poupée de porcelaine avec elle. Regina commençait à en avoir assez de son attitude je-m'en-foutiste. Elle les avaient entraînés dans cette situation carambolesque contre leur gré et désormais il fallait qu'il se débrouille seul ? Heureusement pour eux, ou du moins pour la maire, une fois que tout cela sera finis, ils n'auront plus jamais besoin de côtoyer Zelena à nouveau. Elle avait passé ses 30 années à Storybrooke sans jamais la voir, et elle allait continuer ainsi. Ils arrivèrent vite devant deux panneaux, indiquant chacun un chemin différent pour aller jusqu'au palais d'émeraude : un long et un court. Bien entendue, Jackie-Rose se précipité vers le chemin le plus long et sachant pertinemment que ses protestations ne mènerait nul part, Regina se contenta de la suivre.

Bien mal leur en pris car ils se retrouvèrent devant un village détruit au dessus duquel volaient trois singes. Des singes volant, et puis quoi encore. Jackie ayant sonné l'alarme parmi les primates, les trois animaux se dépêchèrent de venir les attaquer. La femme aux allures de fantôme – qui s'avérait en être un, pourquoi pas – en entraîna un avec elle lorsqu'elle prit la fuite, leur sonnant qu'elle se porterait bien. De toute manière, Regina n'irait pas la chercher, s'il lui arrivait quelque chose, tant pis pour elle. Les quatre personnes restante se mirent dos à dos, deux singes au dessus de leur tête, criant, hurlant, toutes dents dehors. Regina les regardait avec attention, prête à réagir, et la situation se présenta bien vite.

Un singe se jeta sur elle mais elle stoppa net sa course : tendant la main en l'air, elle vint l'étrangler, avant de l'envoyer valdinguer plus loin. Le primate, déboussolé, s'écrasa par terre, y laissant quelques plumes au passage. « Quelqu'un est jaloux ? » marmonna-t-elle, prête à réserver le même sort au singes restant, mais celui-ci semblait avoir compris. Il ne s'attaquerait pas à elle pour l'instant … Par contre, il avait toujours l'air de vouloir s'attaquer au autres. Son ami qui avait la tête dans le sol finit par se relever et repartit dans les airs, volant de travers à cause de choc. « Est-qu'on va vraiment vers le village ? Il pourrait y en avoir d'autre. On devrait faire demi tour. » Bon dieu, tout cela lui donnait mal au crâne.
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