" Tiana ! Mon prince viendra et je te jure qu'il n'est pas près d'aller voir ailleurs !" [Terminé]

Charlotte a toujours eu tout ce qu'elle voulait ce qui fait que quand ça prend plus de temps, elle pique une crise. Enfin elle piquait, maintenant qu'elle a une situation, elle se débrouille pour avoir ce qu'elle veut tout de suite. Surtout que son père, même s'il l'aime beaucoup a  décidé de lui couper les vivres. Très superficiel, elle aime se regarder dans les miroirs et surtout elle aime être à la pointe de la mode dehors ... quand elle rentre chez elle, elle s'habille terne, noir, vert foncé ou marron. De dehors, elle se montre très égoïste et peut de personnes savent qu'elle est en fait très généreuse (c'est d'ailleurs pour ça que généralement elle envoie de l'argent aux enfants de l'orphelinat). Très impulsive quand elle veut quelque chose, elle sait qu'elle va l'obtenir. Mais surtout, elle est très franche et n'hésite pas à dire ce qu'elle pense, surtout quand c'est méchant et moins quand c'est gentil. En fait dans un sens elle aime passer pour la personne froide et égoïste qu'elle n'est pas avec ceux qui la connaisse réellement. Le seul moment ou tout le monde peut la voir hystérique c'est quand elle organise une événement en particulier, elle adore son boulot et aime que tout soit prêt. Son masque de froideur et d'indifférence dans les autres moments font qu'elle est vu comme quelqu'un d'égoïste et qui se croit supérieur.

Avant la malédiction

Charlotte est née en Louisiane, à New Orleans. C'était le 21 Juin, le soleil brillait dans le ciel, la musique résonnait dans les rues, tout le monde était heureux. Mais le bonheur allait être de courte durée pour la famille de Charlotte car au moment même ou une vie arrivait, une autre partait. La mère de Charlotte mourut à l'instant même où sa fille vivait. Le père vit les faits simultanément et il ne savait quelle réaction avoir: celui d'un père heureux d'avoir un enfant ou d'un mari malheureux d'avoir perdu sa femme. Lentement, il s'était penché sur le berceau de sa fille et il avait prit des décisions en rencontrant ses grands yeux. Il fera tout pour qu'elle soit heureuse et qu'elle manque de rien. Il l'a prit dans ses bras et soudainement, se mit à pleurer. La vie n'était pas juste, mais il protégerait le sang de son sang. Prêt à tout pour subvenir à ses besoins, il travailla deux fois plus, la laissant a main d'Eudora, la couturière de sa femme qui avait une fille du même âge que sa fille. Les deux petites filles s'adoraient, elles passaient leur temps à jouer et Tiana était plus souvent celle qui se courbait aux exigences de son amie. Elles jouaient souvent à la princesse et écoutaient les contes que leur racontait Eudora, la mère de Tiana, tout en créant des robes pour la blonde. Pourrit gâtée, elle adorait les robes et en particulier celle de sa couturière favorite parce qu'elle se savait unique sous ses mains. La princesse et la grenouille se termina sur le baiser et les deux petites filles se mirent à parler. L'une était pour avoir un prince charmant et croyait dur comme fer au grand amour alors que l'autre avait une autre vision. Devant les yeux d'Eudora se trouvait deux personnes différentes. La richesse et la pauvreté et pourtant, elles se côtoyaient sans heurte. Le dernier commentaire de Charlotte sur le sujet fut un souhait, un espoir qu'elle gardera toujours en elle.

-J'embrasserais cent petites grenouilles pour épouser un prince et devenir une princesse.

Puis le père entra de son travail, il se rendit compte qu'il pourrissait sa fille en se comportant comme ça. Cependant, il avait peur qu'elle disparaisse, qu'elle manque de quelque chose. Il lui ramena encore un animal, un chien et sa meilleure amie en profita pour partir. Comme toutes les femmes de bonne famille, elle apprit à  lire et à compter, elle apprit à dessiner, faire de la musique et un de ses serviteurs lui apprit même le tir à l'arc et la chasse après un de ses caprices. Depuis toujours, elle faisait loi dans sa maison, elle voulait tout et tout de suite. Les serviteurs aimaient Charlotte parce que cette derrière la femme qu'elle montrait aux autres, il y avait une autre personne. Une personne que seule ces proches connaissaient. Sa femme de chambre était persuadée que c'était grâce à sa meilleure amie. Puis un matin, un cri retentit dans la villa, un cri de joie que tout le monde analysa rapidement. Eli La Bouff avait reçu la réponse du prince de Maldonia, il viendrait chez eux pour le bal et le carnaval. La première chose que la jeune femme fit, se fut partir pour le restaurant ou travaillait sa meilleure amie pour lui dire ce qu'il allait se passer dans les jours avenirs. Elle avait besoin d'en parler à quelqu'un et Tiana avait toujours de bon conseil. La jeune femme l'accueillit avec un grand sourire et s'empressa de les servir. Charlotte l'empoigna par le bras et lui parla de ce qu'il se passait dans sa vie. En posant l'assiette devant le père de son amie, elle lui révéla un secret, quelque chose que lui disait sa mère quand elle était plus jeune.

-On atteint les hommes par leur estomac.

La blonde sursauta et prit le porte feuille de son père qu'elle vida sans la main de sa copine, l'invitant à venir faire ses desserts lors de leur bal annuel. Contente de pouvoir avoir son restaurant, la brune accepta toute de suite. Charlotte tira son père du restaurant et s'empressa d'aller chez la couturière pour faire sa robe.  Quand le soir arriva, Charlotte était stressée, elle ne savait pas du tout quand allait arrivé son prince et elle se demandait surtout si elle allait lui plaire. Parce que même si sa préoccupation était d'avoir un prince dans sa vie, elle ne voulait pas un prince qui ne l'apprécie pas. Quand il arriva, elle s'empressa de descendre les marches de son grand escalier de marbre et dansa avec lui. Elle était heureuse et étrangement malheureuse, comme si ce n'était pas totalement ce qu'elle voulait. Mais il arriva quelque chose a sa meilleure amie et entre deux danse, elle décida de lui prêter une robe.

-Tu es magnifique!

Mais tout vira rapidement au cauchemar pour Charlotte qui vit sa fête être complètement gâché. Tous les invités partirent et le prince lui donna rendez-vous. Après une série de rendez-vous et aucune nouvelle de sa meilleure amie, elle se rendit compte qu'elle le trouvait un peu bizarre, mais c'était un prince et son rêve était d'épouser une prince. La jeune femme fut présent à tous les rendez-vous, elle s'amusa et le jour du carnaval, elle s'habilla en robe de mariée. Parce que oui, elle avait accepté la demande du Prince, elle allait devenir la Princesse de Maldonia. Mais encore une fois les choses ne se passèrent pas comme elle le voulait. Le Prince partit reprendre ses esprits après être tombé du char et après avoir perdu le sortilège, Charlotte hurla, comprenant que quelqu'un était en train de la tromper. Elle appela la police et allait rejoindre son père quand une fumée violette les emporta dans un autre monde.

Pendant la malédiction

A Storybrooke, Charlotte n'est plus la même et porte le nom de Océlia Carly Holly Steer. Sa mère est morte quand elle était jeune dans un accident de voiture et son père s'est mit à la gâter, il ne voulait pas qu'elle souffre de quoi que ce soit. Fane des fêtes et de l'organisation, elle se retrouva à faire un cursus sur l'évènementiel et ensuite, elle demanda à son père de financer la location d'un endroit pour faire son entreprise et celui-ci s'empressa de le faire. C'est quand il se rendit compte que les choses n'avançaient pas qu'il prit les devant et mit sa fille a la porte. Il lui coupa les vivres et lui dit qu'il fallait qu'elle apprenne à se débrouiller tout seul. Heureusement, elle avait vu le coup venir et avait fait en sorte d'avoir un compte en banque sur lequel elle avait mit l'argent que lui donner son père. Elle était toujours riche, mais il fallait qu'elle fasse attention. Alors elle fit en sorte de tout bien faire, son affaire marcha du tonnerre.

Mais cet abandon paternelle après celui qu'elle avait déjà connu de sa mère l'acheva et son caractère changea du tout au tout. Elle devint froide et réservé, ne voulant pas trop se mêler à ses comparses pour ne pas souffrir ou ne pas faire souffrir. Elle paraissait hautaine et inaccessible et elle se mit à aimer ça. Océlia comprit que la seule personne qui comptait le plus dans sa vie s'était elle, même si elle faisait des dons à l'orphelinat de la ville, ça ne l'empêchait pas de faire tout ce qu'elle pouvait pour qu'elle soit heureuse elle. Et heureusement, ses clients n'avaient rien à redire de ce qu'elle faisait, parce que sinon elle serait réellement cap de leur dire de prendre sa place et de faire ce qu'elle a fait.

Puis Emma arriva, elle trouva en la jeune femme quelque chose d'étrange, elle ne savait pas quoi, mais elle sentait qu'il y avait un problème ou alors qu'il y aurait un problème. Mais ça ne l'intéressait pas plus que ça, après tout, on ne parlait pas de ce qu'elle faisait alors pourquoi s'intéresser à ce que faisait les autres?