Dose de caféïne entre deux gardes et plus si affinités [PV Kelly]

       
       

Cela m'avait étonné quand Arthur m'avait demandé de prendre un café avec lui. Je ne le connaissais pas vraiment non plus. Je le croisais de temps en temps à l’hôpital quand j'y travaillais de temps en temps. On pouvait dire que c'était le seul avait qui je m'entendais plutôt bien. Ce qui était assez rare pour moi en tout cas. Je n'avais pas vraiment l'habitude d'avoir des amis. En tout cas j'avais perdu l'habitude. J'avais tellement souffre ta cause de ses personnes que maintenant, je préférais tout simplement ne pas en avoirs.

Du coup, je ne savais pas trop si je pouvais dire qu'Arthur était mon ami. En tout cas je m'entendais mieux avec lui que les autres personnes de Storybrooke. Mais enfin, ça m'avait tout de même étonné qu'il veuille prendre un café avec moi. Mais je n'avais pas refuser, un peu de compagnie de temps en temps ne faisait de mal à personne non ? Quand j'arrivais au Granny's, Arthur était déjà présent et avait apparemment déjà commander deux cafés. Je lui fis la bise avant de m'asseoir à côté de lui.

« Alors Kelly, toi aussi t'enchaîne les gardes ? Perso c'est la folie en ce moment aux urgences pour moi »

Je voyais bien son petit jeu, quand il me frôla la main. Mais je ne pouvais pas dire que cela me faisait aucun effet. Par contre je n'aimais pas me laisser faire. Je n'allais pas lui laisser prendre le contrôle. J'étais pas une femme qu'on avait si facilement. Mais je n'allais rien dire pour le moment. Je vais lui laisser un peu de temps, le temps de croire qu'il à le contrôle. C'était plus drôle après de voir leur tête quand c'est moi qui maîtriser le jeu. Pour l'instant, je me contentais simplement de répondre « Mon pauvre ! De mon côté aussi c'était de la folie ! Je ne sais pas pourquoi tous les femmes décident d'être en cloque aux même moment ! » Je pris le café dans mes mains buvant une gorgé. Du café noirs ? Tant mieux, c'était celui que je prenais tout le temps. Un bon café noir, le matin pour partir du bon pieds. Enfin façon de parler. Parce que mes journées était toutes plus ennuyeuse que les autres. Mais bon au moins, le café me donnait un peu de force pour les affronter.

« Qu'est-ce que font les gens encore pour terminer au urgences ? » Demandais-je à Arthur.

       
       

       
       

Je posais la question , mais j'étais pratiquement déjà sur de la réponse. Cela allait encore être pour des trucs totalement débile. Parce que les personnes ont voulue faire les malins, ce lancer des défis, ce faire un petit kiff mais au final cela aura mal tourner. Et effectivement, en écoutant la réponse d'Arthur, mon hypothèse ne fit que plus que confirmer. Je savais que les gens pouvaient être très stupides. Alors voilà pourquoi d'un côté, ce que me dit le médecin, ne me surpris pas plus que cela. Un jour peut-être les gens pourraient apprendre à devenir moins idiot, avoir un peu plus de jugeote. Je ne peux m'empêcher d'échapper un rire sadique face à la situation qu'avait eu le beau brun. « Non effectivement, ce n'est pas la peine de me faire un dessin .. » Les images que créaient ma tête m’écœurait déjà bien assez. Oui c'était drôle mais tout aussi écœurant. Je pense que ce couple a désormais bien compris la leçon. Ils liront la notice d'utilisation avant de commencer à se faire plaisir avec ce genre d'objet.

Franchement je n'aurais pas voulue me retrouver à la place d'Arthur, pour enlever se machin du … Vous voyez très bien ce que je voulais dire ! « Les gens ne sont tout bonnement incapable de rien de nos jours. Même donner un orgasme à leur partenaire seul. Tout le monde a maintenant besoins de la technologie pour faire l'amour ! » Je ne passais pas par quatre chemin quand je voulais dire quelque chose. Sans doute que les gens autour de nous avait entendue ce que je venais de dire. Mais après tout, je n'en avais rien affaire. Ils pouvaient penser ce que je voulais, cela me passait au dessus de la tête maintenant.

Je pris ma tête entre mes mains quand Arthur me demande comment se comporter les nouvelles mères. « Catastrophique ! Je n'arrives toujours pas à y croire ! Mais se sont pire que des nouilles. Elles sont toujours là entrain de demander des conseilles pour nourrir le bébé, j'ai l'impression qu'elles veulent que je leur apprennent leur rôle de mère ! Mais je ne suis pas là pour ça moi ! Mon travaille, c'est de la aider à accoucher, voir si l'enfant se porte bien et après mon job et fini. Si elles veulent savoir comme s’occuper des bébés, ils y avait des cours avant d'accoucher pour les préparer à la venue de leur gosse ! » lui répondis-je. Ses femmes étaient juste infernal. Les cours avant l'accouchement, ne coûtaient vraiment pas chère. Elles pourraient parfois faire des efforts tous de même. Au pire, elles pourraient apprendre à devenir mère toutes seul. Une fois l'enfant dans leur bras, et s'il va bien, mon travail à moi est terminer elle se débrouille seul ! « Mais je suppose que les situations dans lesquelles tu te retrouvent sont sens doute plus amusante que les miennes ! » lui dis-je avec un sourire plein de sous entendue face à ce qu'il venait de me dire quelques minutes plus tôt sur le couple et leur relation sexuelle. Au fond, je pouvais dire que appréciais Arthur. En tout cas plus que les autres personnes que je connaissais. Je pouvais être plus libre avec lui.

       
       

       
       

Depuis plusieurs semaines maintenant, une jeux s'était installer avec Arthur, le beau urgentiste. Je peux le dire, il était vraiment pas mal comme homme. Des beaux cheveux noirs de jais, de beaux muscles. Je pouvais effectivement le dire après les avoirs toucher plus d'une fois. Oui le jeux qui s'était installer était un jeu purement malsain. Un jeu où les sentiments intervenais aucunement. Oui un jeu purement sexuelle on peut le dire en fin de compte. Le seul moment que je n'avais pas compris était quand Arthur avait défoncer la tête d'un collègue parce qu'il m'avait simplement effleurer le bras. D'une je pense que j'étais assez forte et plutôt imposante pour me défendre toute seul face à quelqu'un qui me drague et dont je ne veux pas. Après tant pis maintenant c'était trop tard l'interne était entre la vie et la mort. Tant pis il aurait pu faire un bon coup pour lors d'une soirée que je ne passais pas avec Arthur.

Je le rejoins alors au Granny's comme d'habitude pour prendre un café noir je l'espère. Lorsque j'arrive de lui il dépose un baiser tout en fleurant mes lèvres. Un frisson me pris, il faut dire qu'il ne me laissait pas sans effets. Mais ce n'était que des pulsions purement et simplement sexuelle. Je le regard avec mon regard qui se voulait quelque peu coquin. « Très bien maintenant ... » commençais-je à dire « Et toi ? » Je prend le café dans mes mains alors que nous nous dirigions vers une table. Je sens la bonne odeur de café noir me submerger. « Du café noirs comme je les aimes. Tu commence à bien me connaître … » Je jouait avec lui comme à notre habitude. Je savais que au final tout cela allait sans doute finir dans l'une des chambres de l'auberge. Nous allions sans doute encore une fois arriver en retard après notre pause …

       
       

       
       

JJ ne pouvais le nier, Arthur était sexy. Et le jeu qui s'était installer entre nous, me plaisait énormément. Pouvoir se détendre quelque peu avec une personne sans qu'il n'y ai de sentiments par derrière. Alors je peux vous dire que quand la malédiction a été rompue, le jeu était devenue encore devenue plus malsain. L'un se servait encore plus de l'autre et inversement. Utilisant la magie parfois. Qu'est-ce que cela m'avait du bien de la retrouver. On pouvait dire que c'était clairement ma seul amie. Ma douce et fidèle magie. La chose pouvait réellement compter pour moi. J'avais été si heureuse de voir ce nuage de fumée violet approcher de moi. Ce le voir me traverser. De me sentir encore plus puissante qu'avant. Maintenant ne manquait plus que j'organise correctement ma vengeance envers ma petite sœur adorée. Et j'avais un avantage sur elle : elle n'avait aucune idée de qui je pouvait bien être. Et je pense garder cette avantage pour longtemps encore. J'avais même mes vengeance à préparée. Contre ma très chère belle mère qui m'avait simplement abandonnée mais aussi celle contre Rumplestiltskin. Mon premier amour … Mais pouvons nous réellement appeler cela un ''premier'' amour ? J'étais si naïve et c'était la seul personne qui s'était occuper de moi depuis si longtemps. Normal que je me sois attacher au ténébreux aussi facilement. Et puis qu'elle mauvais chois il avait fait de choisir ma sœur pour lancer se foutue malédiction. Regarder maintenant, celle si avait été si facilement briser.

En tout cas, j'avais toujours continué mon travail à l’hôpital. Personne ou que très peu personne, savait qui j'étais réellement donc, il fallait juste que je fasse semblant. Que je joue le jeu. Et ce jour là, je rejoignait comme à mes habitudes Arthur au Granny's. Une fois arriver devant lui, j’arquai un sourcille quand je le vis me tendre une clef. « Qu'est-ce que tu veux que je fasse de cette clef ? » lui demandais-je alors. Apparemment, il faisait partit de personne qui savait qui j'étais. Et parce que en plus il voulait m'aider dans ma vengeance ? Très bien. Je m'assoies alors devant lui prenant la clef au passage et lui jetant le même regard froid. « Très bien ! Mais pourquoi vouloir m'aider au juste ? » Puis je me souvenais que je ne savais pasqui il était lui.

       
       

       
       

Il voulait réellement m'aider ? Et bien dis donc si j'avais su que un moment ou un autre j'allais avoir un allié.J'aurais moi même rie de cela. J'avais eu dans ma vie que très peu d'alliée, que dis-je, j'en avais jamais eu un seul. Même Glinda m'avait enfin de compte trahi, même elle qui s'était fait passer pour une gentille et m'avait proposer son aide, elle m'avait trahi. Elle m'avait dit que j'avais un grand destin. Est-ce un grand destin de se faire arroser par une gamine et de fondre ? Heureusement, j'avais bien fait semblant de cela. Depuis je n'avais jamais eu d'alliée que des serviteurs transformer en singe. Ils devaient m'obéir coûte que coûte s'ils ne voulaient ma mourir. Et il fallait le dire, ils m'avaient été d'une grande utilité tout de même. J'avais aimé avoir des serviteurs comme cela être au pouvoir, avoir le contrôle de tout et être dans la cité d’Émeraude. Et dire que ce pauvre épouvantail sans cervelle avait cru pouvoir prendre le pouvoir ! Quel ironie …

En tout cas Arthur avait raison … Dans un sens, dans un jeu très malsain nous tenions à l'autre tout de même. Mais il fallait que je fasse gaffe à ne pas trop tenir à lui ne sait-on jamais. Il faut que je reste sur mes gardes. Tout le monde m'avait donner un coup dans le dos. Je n'en laisserais pas un de plus s'amuser aussi avec moi. Je n'étais plus aussi naïf. Il avait aussi raison sur le fait que cela ne sera pas très beau le jour je m'en prendrais à ma chère sœur, je ne lui laisserais pas une seul seconde pour reprendre son souffle. Je regardais la clef quelques secondes la clef, l'écoutant toujours parler. Qu'est-ce que j'en avais à faire que Regina se ramène chez moi ? De toute manière, il fallait pas se cacher les yeux, j'étais bien plus forte qu'elle. Elle avait appris la magie, alors que moi je l'avais de naissance. Je pouvais facilement la mettre à terre, la tuer. Mais ce n'était pas drôle si je ne la voyais pas souffrir. Non je voulais qu'elle perde tout, je voulais la voir pleurer. Mais avant que je ne puisse dire quoi que se soit, Arthur c'était déjà levé pour partir du Granny's. Je mettais alors la clefs dans mon sac avant de le suivre sortant moi aussi du restaurant. « De toute manière, j'en ai que faire si Regina se ramène chez moi. Crois-tu que j'ai peur d'elle ? Je sais parfaitement que j'ai plus de pouvoir qu'elle … » je la mettrais facilement à mes pieds. « Et puis si M. Gold voulait réellement me faire quelque chose, le connaissant, il l'aurait déjà fait ... »