Un visiteur...Venu d'ailleurs (wouahhhh)

Bienvenue Visiteur

Libre

Cela faisait maintenant une semaine que Neal avait reçu le signe envoyé par Auguste lui indiquant que la malédiction avait été levé à Storybrooke. Durant cette semaine, il avait pris le temps de mettre ces affaires en ordre. Quitter son boulot, sous louer son appartement et prévenir les quelques personnes qui avaient un peu d'importance dans sa vie à New-York.

Car il était bien décider à revoir Emma, il savait que s'il arriverait à la retrouver, cela ne lui apporterait pas que du bien. Mais il devait le faire, au moins pour lui expliquer les raisons qui l'ont poussé à la laisser se faire enfermer pour des délits de jeunesse qu'ils avaient commis ensemble. Et surtout pourquoi il ne l'avait pas attendu à sa sortie. Il savait également que lui laisser sa voiture jaune, qui faisait également partie de leurs larcins, ne suffirait pas à ce qu'elle lui pardonne.

Donc, prenant la route hier midi en partant de New-York il avait roulé toute l'après-midi jusqu'à dormir dans un petit motel, très mal dormit ceci-dit. Puis, avait repris la route au petit matin et finit les huit heures de route qui séparait NY du Maine. Il arriva à Storybrooke assez tôt dans la matinée, aux alentours de dix heures. Ne sachant trop où aller, il suivit les habitants et continua jusqu'à une petit rue. Il gara sa magnifique Camaro de 1969 intégrale noir. Petite merveille de l'industrie américaine qu'il a acheté aux enchères dans un état catastrophique et qu'il à retapé en un peu plus de trois ans.

Il se gara devant un petit restaurant du nom de Granny's. Il sortit, s'accouda à sa voiture en regardant le restaurant. Il était sortit pour s'en griller une, après trois heures de route il en avait bien besoin, et puis on ne fume pas dans une voiture de collection. Il chercha un briquet dans sa poche et tenta d'allumer sa cigarette, en vain, le briquet semblait avoir rendu l'âme. Cette journée commençait bien...

Un visiteur...Venu d'ailleurs × ft. Caro & Des gens

Caro n'était pas le genre de personne à dormir toute la matinée surtout avec un père comme le sien. Dès que le sommeil disparut, elle s'empressa de partir se laver. Il fallait qu'elle fuit la maison avant que son père ne se réveille ou ne se rend compte qu'elle était réveillée. Elle ne voulait pas faire encore des larcins, elle en avait marre d'être un petit soldat qui faisait ce que son chef demandait. Préparant son sac en toute hâte, elle prit le sandwich qu'elle avait préparé la veille et s'empressa de quitter l'habitation. Oui, tout ça était bien compliqué pour une jeune fille de son âge. Heureusement que sa meilleure amie était là pour elle. Parce que depuis le départ de Raven, elle n'avait plus personne pour la protéger et elle savait qu'elle devait faire tout pour ne pas se faire chopper par son père ou alors pour qu'il ne la voit pas. « Qu'il oublie mon existence serait une bonne chose, mais on peut toujours rêver », pensa la jeune fille se dirigeant vers le Granny's. Heureuse qu'il y avait des gentils personnes en ville qui l'aidait quand il le pouvait.
Elle y arriva et se mit à un arbre, s'amusant à éteindre et allumer son briquer, les flammes l'avaient toujours aidé à ne pas péter un câble et se retrouver à dégommer des gens. Elle savait que ses souvenirs n'étaient pas vraiment, mais elle ne pouvait s'empêcher de se dire que si elle était aussi instable c'était aussi en partie à cause de sa mère, de la mort de celle-ci par le feu. Les flammes ne l'avaient jamais attiré avant ça. Un homme arriva en voiture et s'installa dehors pour fumer. Pas de gaz, elle s'empêcha de rire, rire ne lui faisait pas du bien, le coup de son père n'était pas encore guérit et elle avait encore mal quand elle rirait ou qu'elle parlait trop longtemps.

–Hey !

Elle lui lança le briquer qu'elle avait dans la main et s'empressa de regarda la maison devant elle. Elle n'aimait pas qu'on la fixe, ou plutôt qu'on fixe les bleus et contusions qu'elle avait souvent sur sa peau. Elle se pencha un instant pour regarder la plaque d'immatriculation et fit un rictus.

–Vous n'êtes pas d'ici n'est-ce pas ? Alors laissez-moi réfléchir, vous êtes à la recherche de quelqu'un ? Personne ne vient ici sans avoir quelque chose à chercher.

« Storybrooke ou la ville qui tout le monde cherche pour taper sur quelqu'un. » Elle secoua la tête et prit un allumette qu'elle mit dans sa bouche côté bois pour le mordiller. Elle était sûre d'avoir vu juste.

HRP: je me permets de poster Pardon

j'espère que ça te dérange pas *-*

Bienvenue Visiteur

Libre

Neal continuait de se battre avec son briquet en resserrant le col de son manteau autour de son cou, comme si l'aider à avoir plus chaud allait lui permettre d'allumer plus facilement sa cigarette. Heureusement dans sa galère, une personne vint à sa rescousse. On l'interpella et il regarda dans la direction d'où venait la voix. Là une jeune fille en solitaire lui jeta un briquet, il le réceptionna en gardant sa clope au bec et s'en servit.

Après avoir tiré un premier coup, il regarda la jeune femme qui semblait fuir son regard. Ayant peur de lui renvoyer son briquet dans le visage, si elle le voit pas venir, il se décida à se rapprocher pour lui tendre. Il s'avança le bras tendu.

En effet, mais on n'en est un peu tous là. On est tous à la recherche de quelqu'un, un ami, un ennemi... un amour.

Ah, quel poète !

Oui, je ne suis pas d'ici. Je vient de New-York, tu connais ?

Question stupide. Il supposait bien évidemment la réponse, elle n'avait surement jamais pu y aller, au vu de la malédiction.

HRP: Pas du tout, tu es le bienvenue. Installe-toi, fait comme chez-toi =)

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Caro était bien sur son arbre, il ne faisait pas chaud, mais elle avait l'habitude ce n'était pas le première ni la dernière fois qu'elle se retrouverait dehors avant le lever du jour ou après. Plus elle était loin de chez elle, mieux elle se trouvait. Elle ne voulait pas finir par devoir faire ce que son père voulait d'elle. Bon il l'engueulerait surement, mais au moins, elle n'aurait personne à braquer, ou a doubler son père pour ne pas taper une personne qui se trouvait là aux mauvais moment.

–Cette ville a le don de ramener des gens qui recherche des choses et le plus souvent, ce n'est pas des amis. Mais je suppose que vous n'êtes pas là pour taper sur quelqu'un. Non c'est certainement pas pour ça sinon vous ne seriez pas devant le Granny's. D'ailleurs je vous conseile ses pancakes , ils sont géniaux.

Elle récupéra son briquet sans pour autant attarder son regard sur l'homme en bas de l'arbre. Elle eut un sourire ironique, elle avait eut l'impression d'avoir été dans une autre ville, jusqu'à ce qu'on lui apprenne que c'était la malédiction et que toute sa putain de vie n'était qu'un cercle sans fin entre les mains d'un taré.

–Dans mes faux souvenirs, je pensais y être aller, mais la malédiction n'a fait que me révéler le merdier dans lequel je suis depuis ma naissance.

Elle haussa les épaules et reporta son attention sur l'homme.

–Vous avez aimé New York ?

» Attention Mesdames, je suis venu pour vous ! [Terminé]
» « Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait. » ► Cléo