Refais-ça encore une fois et je te tue moi-même! | Nicholas

Nicholas & Vixy
Refais-ça encore une fois et je te tue moi-même!

Que la vie est dure, que le travaille est difficile et pénible... Ouais décidément très difficile. Alors que je jouais sur mon ordinateur portable à un poker en ligne.. Bah quoi? C'est pas facile de plumer les gens en ligne sans voir leurs tics indicateurs et tout le tralala vous savez ?! Fort heureusement pour moi, j'étais plutôt maligne, et oui, mes chevilles vont parfaitement bien. Après tout, je ne me vante pas , j'annonce un fait. Une réalité : moi ; Vixy Fox, je suis douée. Tout le monde le savait, à part ces pigeons sur ces sites en ligne. Après une énième victoire, je décidais de changer de jeu, où était le plaisir si c'était aussi simple ?!

Et si je jouais à la belote ? Ça me semblait bien ça ! Concentrée sur ce nouveau jeu, je remarquais cependant qu'un nouveau client était entré dans la boutique. Toujours avoir une oreille attentive à l'environnement, surtout quand on gère une boutique. Déjà qu'une gamine avait faillit voler un bon petit magots la dernière fois. En y repensant, je me demandais ce qu'elle devenait. L'ayant cherchée en vain, j'avais fini par abandonné il y a peu, persuadée de la recroisée un jour ou l'autre. GAGNEE ! Encore, bon sang j'étais tellement forte. Hum, pardon, je m'égare un peu. Bref, après un moment, je décidais tout de même de lever le regard vers le client, bon sang, il en prenait du temps. Je l'observais de loin. Ce genre d'homme ne traînait en général pas bien longtemps dans des magasins de fringues. La curiosité éveillée, j'observais de loin sans être intrusive pour autant. Mais...mais... il avait pas l'air très bien le con. Avant même que je ne puisse dire quoique ce soit, l'homme sortait de la boutique sans demander son reste. Ayant bien vu qu'il n'était pas au top, je le suivais du regard à travers la fenêtre avant de le voir s'effondrer en pleine rue. Rapidement, je contournais mon comptoir et je sortais rapidement afin de m'approcher de l'homme. Voler au secours des damoiseaux en danger n'était pas réellement mon fort. M'abaissant à sa hauteur, je le relevais assez pour qu'il puisse d'asseoir. Bon sang, il pèse une tonne le petit père !

« Hey ! Je peux vous aider ? Vous avez besoin de quoi ? »

Je l'observais, priant pour qu'il ne claque pas entre mes mains, cela aurait été légèrement fâcheux. Je ne savais pas du tout qui était cet homme, ni de quoi il souffrait, j'espérais juste pouvoir l'air rapidement. Quand dans un souffle court il me parla d'une piqûre, j'entreprenais de le fouiller afin de trouver ce dont quoi il parlait. Lâchant des conneries afin de cacher ma nervosité.

« Vous savez, si vous voulez vous faire tripoter par une fille, il y a des moyens plus conventionnel ! »

Une fois la main mise sur la fameuse seringue, je le piquais rapidement, avant de le regarder. Espérant le voir aller mieux en une fraction de seconde. Oui bon, l'espoir fait vivre non ? Prenant son bras, je le passais par dessus mon épaule pour l'aider à se lever.

« Allez, un petit effort ! On va rentrer à l'intérieur, vous y serez plus à votre aise.»
Superno√a.

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Après midi ” Dans cette ville disons que j'attirais facilement le regard, surtout avec ma tenue vestimentaire mais il faut dire que j'aime les vêtements ou je peux porter un maximum d'arme sur moi seulement il y avait des contraintes, je voyais bien que la population regardait ma tenue sous un autre angle, alors disons que c'était pratique lorsque je m'habillais ainsi quand j'étais au boulot, mais en rien ça ne l'était lorsque je devais passer incognito. Dans les rues de Storybrooke je cherchais alors un magasin de vêtement ou je pourrais trouver une tenue assez adéquate, passe partout ... Normale comme dirait les autres habitants, même si j'étais parfaitement à l'aise dans mon pantalon ample à multiple poche et cachette sans oublier mon long manteau ou je pouvais y cacher pas mal de poignard. Oui les armes c'est ma passion, je suis toujours armé le pourquoi du comment je ne serais quoi répondre c'est juste un besoin pour moi. Enfin n'aimant guère m'attarder parmi la foule ou disons plutôt en ville, je finis par faire mon choix et entra dans un magasin de vêtement au hasard. Hors de question que je ne demande à quelqu'un des conseils, je pouvais me débrouiller seul même si je devais admettre que j'étais perdu .... Il y avait des étiquettes sur les vestes, chemises et pantalons mais je ne comprenais pas ce que ça voulait dire, j'ai plutôt l'habitude de m'habiller avec les premiers vêtements que je trouve .... Puis ce n'était pas comme ci je roulais sur l'or! Puis c'est la que j'entendis le cliquetis de ma montre, m*rde, c'était le signal pour que je fasse une piqûre, je devais sortir et trouver une rue, me cacher, ne pas montrer cette faiblesse qui me rendait mal à l'aise mais voila que déjà la vendeuse m'interpellait. Le poison coulant déjà rapidement dans mes veines je sorti du magasin, je devais trouver Gold, je me sentais déjà partir, une douleur des plus horribles envahissant mon corps, tout devint alors très trouble et je basculais à l'avant. N'ayant plus le choix, je tentais de marmonner le mot piqûre avant de claquer, sortant une pochette ou s'y trouvait mes seringues pour la tendre à cette voix et peu de temps après je pouvais déjà commencer à sentir les bienfaits dans l'antidote. Je remarquais que le vendeuse m'avait suivis à l'extérieur et que maintenant elle tentait de me faire rentrer dans son magasin, je n'allais pas dire j'avais assez honte comme ça. Tout en boitant en titubant je marchais jusqu'à l'arrière boutique ou elle me laissa retomber sur un canapé, j'étais encore complètement dans les vapes. Je cherchais alors ma sauveuse du regard.

Nicholas & Vixy
Refais-ça encore une fois et je te tue moi-même!

L’attirant à l’intérieur, je soupirais. Il n’était pas léger ce gros balourd ! Oui bon, c’était peut-être moi qui n’avais aucune force. J’étais aussi épaisse qu’une brindille et je galérais avec mes courses quand j’étais seule, mais tout de même ! Qu’est-ce qui lui prenait de s’enfuir alors qu’il savait qu’il avait des piqûres à faire ? Encore un mec trop fier pour le faire devant des gens. Quel imbécile stupide ! Comme si se soigner était faire preuve d’une faiblesse apparente. Les hommes. Une fois à l’intérieur, je le guidais jusque l’arrière-boutique afin de le laissé tomber sur le canapé. Sans réelle délicatesse. Ce n’était déjà pas dans mes habitudes d’aider les gens, encore moins d’être agréable avec ceux-ci. Quand j’étais certaine qu’il ne se casserait pas la tronche à terre, je m’éloignais afin d’aller rapidement fermer boutique. Hors de question qu’un client arrive dans un magasin où la vendeuse n’était pas à son comptoir. Surtout depuis qu’on avait tenté de la voler sous son nez, alors le dos tourner.

Après avoir retourné la pancarte et avoir fermé boutique, je retournais à l’arrière-boutique le rejoindre, prenant une bouteille d’eau que je lui tendais calmement.

« Tenez, buvez un peu ça vous fera du bien espèce d’inconscient ! »

Je me redressais pour aller contre le mur en face de lui, m’adossant et croisant les bras, je l’évaluais du regard en secouant une nouvelle fois la tête.

« C’était quoi ça, hein ? Vous n’auriez pas pu faire votre piqûre ici ? Vous m’auriez demandé un coin tranquille pour le faire je vous aurez emmené ici. La prochaine fois que ça arrive, je vous jure que votre piqûre, je vous la referais pour mieux vous étranglez moi-même ! »

Je vous avais dit que je n’étais pas très agréable en fait ? Oui ? Ah, autant pour moi. Il ne restait plus qu’une chose à mettre au clair avec cet homme, qui en fait, était pas mal séduisant : ne pas ébruiter l’affaire. Je n’étais pas réputé pour être sympathique en dehors de la boutique et j’espérais bien garder ce mode de vie. Au moins, on ne me faisait pas chier et bon sang quel pied c’était d’avoir la paix!

« Bien, dernière chose: ça reste entre nous tout ça, d'accord? »

Superno√a.

J'entendais à peine ce que la jeune femme me disait, j'étais complètement chaos et il me fallait toujours un certain temps pour récupérer. Par contre je pouvais entendre de la colère dans sa voix, pourtant ce n'était pas comme ci j'avais semé le trouble et la panique dans sa boutique. Maintenant que j'étais dans l'arrière boutique je voulais me redresser mais tout tourné autour de moi, la vendeuse revint avec une bouteille qu'elle me tendit en me parlant avec "acidité" ce qui me fit froncer des sourcils, je pris tout de même la bouteille ayant déjà une migraine et ne pouvant m'empêcher de secouer la tête comme pour chasser celle-ci de ma tête. Peut-être qu'un peu d'eau me ferait du bien ? J'étais encore hagard alors mes gestes étaient lents puis je pris une gorgée d'eau avant de refermer la bouteille et de relever les yeux vers la femme. Elle était adossé contre un mur, les bras croisés comme une mère en colère qui dispute son enfant et réclame des explications, seulement elle était loin d'être ma mère et je n'avais pas vraiment envie de parler. Qu'Est-ce qu'elle pouvait parler fort! Je me pris la tête entre les mains marmonnant.

-Je ne vous dois aucune explication sur mon état et je rajouta et justement si je reste seul c'est parce que j'ai pas besoin qu'on le sache ça m'avait demandé davantage d'effort pour parler cette fois-ci, mais déjà que ce n'est pas agréable de se sentir aussi vulnérable, je n'avais aucune envie d'être traité comme un gamin.

Puis je me pris de nouveau la tête entre les mains avant de mieux observer la jeune femme, elle avait du caractère, si je n'aurais pas une telle migraine j'aurais trouvé ça ... Plus qu'attirant, comme une sorte de défi mais la je n'étais pas en état de jouer au dragueur, puis il me fallait une pinte pour m'aider dans ces cas-là. Puis ce qu'elle finit par me dire me fit arquer un sourcil avant de que je laisse échapper un léger rire.

-Parce que vous croyez que j'allais le crier sur tout les toits ?

Puis je soupirais ayant de nouveau le tournis mais me rendant compte finalement qu'elle m'avait sauvé la vie, je repris alors d'une voix très basse.

-Enfin ... Je vous remercie ....

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Je l'examinais. Dieu qu'il semblait mal en point. Je n'arrivais toujours pas à y croire qu'il est prit un risque pareil. Peu importait sa maladie, c'était un inconscient. Pire que tout, j'avais dut l'aider. Mon mauvais Karma allait en prendre un coup. Un soupir las franchissait mes lèvres en l'entendant parler. Oh la, c'est qu'il mordrait ! Un vrai Ours mal luné celui-là. C'était sexy à mon goût.Hors de question de montrer un quelconque intérêt dans ce moment-là par contre. Je croisais les bras en le toisant du regard, l'écoutant simplement. Avais-je demandé des explications sur son état ? Pas vraiment, juste une explication sur son comportement irresponsable. Je le détaillais, il avait pas vraiment l'air vraiment sociable et encore moins agréable. Brut de décoffrage.

« Je m'en contre fiche de savoir de quoi vous souffrez ! Que vous soyez cancéreux, asthmatique ou même qui vous ayez la maladie des sucettes de Mickey, je m'en balance ! Juste vous auriez pu vous soigner avant de vous évanouir comme une demoiselle en détresse en pleine rue ! »

Je me redressais du mur finalement, après ma demande pour que tout cela reste secret, je fut surprise de l'entendre rire. Même si ce n'était que légèrement. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de drôle dans ce que je venais de dire. Certes, je me doutais qu'il n'irait pas le crier partout, mais juste un « Vixy a été assez gentille avec moi, elle m'a rendu un grand service » pouvait foutre tout en l'air. Soit, je me contentais de hocher la tête calmement. Finalement, il me remercia. Par pitié non.Comment faisait les héros pour ne pas se sentir mal ? C'était insupportable. Heureusement qu'il était mignon hein... Je lui souris tout de même, lançant de façon nonchalante :

«Si vous voulez vraiment me remercier, une boite de chocolat Ferrero rocher suffira. Ainsi qu'une bonne bouteille de vin ou de bière. Là on sera quitte ! »

Je lui faisais un clin d’œil avant de m'approcher de lui et de me mettre à genoux afin de voir son état. Je grimaçais en le regardant avant de sortir de la façon la plus naturel du monde.

« Bah dis donc, vous avez une tête de déterrer là. » Que vous le croyez ou non, je faisais de gros effort pour être, sympathique ? Je lui souris finalement «Vous avez besoin que j’appelle quelqu'un pour vous, où ça ira ? »

Superno√a.

J'avais envie de rouler sur le côté et cacher mes yeux de la luminosité de la pièce, je retins un gémissement de douleur à cause de ma migraine sans oublier la voix de ma "sauveuse" qui ne cessait de me rabrouer. Mais si elle s'en moqué autant de quoi je souffrais pourquoi il avait fallut qu'elle vienne m'aider ? Surtout si c'était pour m'engu*uler autant par la suite, je me sentais plus mort que vivant en ce moment. Puis lorsqu'elle dit le mot "sucette" alors cette fois-ci je roulais sur le côté en gémissant, justement je souffrais d'une maladie (enfin disons plutôt une malédiction) à cause du sucre, alors il ne valait pas mieux me parler de friandise.

-Oh non ne parlez pas de sucette

Depuis cette malédiction j'avais les bonbons en horreur, puis ça avait le don de me donner la nausée alors moi qui venait de faire une crise ce n'était pas le moment de m'en parler, voir de prononcer un mot concernant les friandises. Enfouissant ma tête contre le canapé, je me sentais complètement pathétique face à cette jeune femme qui avait un magnifique timbre acide dans la voix. Elle avait du caractère chose assez rare chez une femme ici, mise à part notre maire mais elle n'était pas aussi sexy .... Bon bref je m'éloigne complètement du sujet mais au moins je ne pensé plus à ma situation. Puis roulant de nouveau sur le dos j'écoutais de nouveau la jeune femme et je ne pus m'empêcher de plaquer une main sur mon front.

-Tout ce que vous voulez mais ne parlez pas nourriture

Je venais de faire un malaise devant elle je ne voulais en aucun cas vomir devant elle. Maintenant elle connaissait un peu de mon secret concernant mes injections c'était aussi très suffisant pour moi. Finalement elle vint s'asseoir près de moi et je ne pus m'empêcher d'arquer un sourcil tellement j'en fus étonné. Appeler quelqu'un pour moi ... Dur, il allait falloir que je rentre chez moi avec le peu de force qui me resté ... Enfin si il me resté des forces.

-Hum ... Non ... ça va aller .... De toute façon y a personne à apppeler

Nicholas & Vixy
Refais-ça encore une fois et je te tue moi-même!

« C'est bien la première fois qu'un homme refuse d'entendre ce mot sortir de la bouche d'une femme aussi séduisante ! »

Roh Vix' ! Un peu de tenue ma vieille ! D'une, je me lançais des fleurs et de deux, je venais limite de dire quelque chose de coquin à un homme souffrant. C'était cruel. Je souris, amusée moi-même par mes débilités.Comment ne pas réagir au mot sucette dit avec autant de dégoût après tout ? Surtout venant d'un homme quoi ! Je le détaillais, cet homme là était tout, sauf normal. D'après ce que je voyais tout du moins. Amusée par sa réaction, je décidais de me calmer. Bon, pour le moment, il était encore un peu trop dans les vapes pour savoir se défendre correctement de mes coups de gueules. Je secouais la tête en le regardant se rouler dans le fauteuil, il semblait agoniser le pauvre.

« Vous êtes bien un homme, tiens. Un petit malaise et hop, on dirait quelqu'un sur le point de mourir. Désolé mon vieux, c'est pas pour maintenant ! »

Alors que je m'étais approché de lui, je dégageais sa main plaquer sur son front afin d'y poser la mienne. Je voulais être sur qu'il n'avait pas de monter de fière ou quoi que ce soit d'autre. Tout semblait aller pourtant, il était juste encore sonner et patraque après ce qui lui été arriver. En entendant qu'il n'y avait personne a appeler, je fronçais les sourcils. Il aurait été complètement inhumain de le laisser seul dans cet état. Bon Dieu, il était peut-être séduisant, mais il gâchait ma journée ce petit con. Je me relevais en lâchant un soupir, ne croyant même pas moi-même en ce que j'allais dire...

« Ok. Par chance pour vous, je suis dans un jour de bonté ! Je vais vous raccompagner après, mais avant reposez-vous un peu, ok ? Je ne peux pas vous laissez repartir dans cet état là. Vous allez faire peur au enfant du quartier avec cette mine. Vraiment, je vous jure. »

Je me relevais finalement, passant une main dans ma chevelure blonde. Réfléchissant à comment procéder. Déjà, j'allais faire une note que je mettrais sur la porte. Afin de prévenir mon argent sur patte , enfin client...que je fermais exceptionnellement boutique à cause de problème...disons personnel, même si ce n'était pas le cas. Ensuite je rangerais vite fait tout avant de raccompagner cet ours chez lui... Ca lui laisserait le temps de récupérer le temps que je fasse tout ça !

« Il vous fait autre chose avant que je ne m'absente cinq à dix minutes ? »

Superno√a.

J'eu un rire nerveux aux paroles de la vendeuse car moi aussi j'avais pensé à autre chose, seulement le fait de savoir qu'il y avait aussi "sucre" qui pouvait être entendus avec ce mot m'avait rendu que plus malade. Evidemment dans un état normal j'aurais de suite été amusé mais la j'en avais pas la force, je devais bien avouer qu'heureusement que la jeune femme venait de jouer avec ce mot, au moins ça avait le mérite de m'amuser sans que je passe pour un pervers. D'ailleurs c'est rare de voir des personnes aussi scandaleusement diabolique et taquine, pourquoi ne l'avais pas rencontré plus tôt ? Oh de plus c'est qu'elle est sexiste, j'eu un petit sourire en coin si seulement elle savait que ce qu'elle venait de dire était le cas pour moi. Plus j'attendais pour les injections plus le poison avait le temps de me paralyser avant de me tuer, les piqûres servaient à repousser celui-ci en gros j'avais été empoisonné et je devais vivre avec , retarder l'échéance. Rien qu'à cette pensée mon visage s'assombrit, qu'allait-il se passer le jour ou je ne pourrais pas me soigner à temps ? Et ma soeur que je n'avais toujours pas retrouvé ... Il n'y avait aucune solution miracle, la science ne pouvait rien faire, dans mon cas il n'y avait que la magie et même Gold ne pouvait pas retirer le poison, de tout façon je n'avais aucune envie de signer un contrat avec lui, pour le moment notre accord était suffisant. Sur ce coup-là j'y étais passé de peu, le poison était long à reculer et je savais que dans quelque heure ma montre allait de nouveau me rappeler que je devais me faire une autre injection. Perdu dans mes pensées, je fus plus que surpris quand je sentis la jeune femme me plaquer sa main sur mon front, je repoussais sa main grognon et me calant davantage contre le coussin en fronçant des sourcils, je détestais être dans cet état de faiblesse.

-T'en mieux si je fais peur, personne ne me m'approche comme ça et on me fou la paix

J'ai passé mon enfance et mon adolescence à la rue, on m'avait toujours rejeté, donc ce n'était pas maintenant que j'avais envie de sympathiser. Mais contrairement à cette jeune femme, je devais dire qu'elle n'était pas comme les autres, alors elle pouvait m'approcher, enfin pas trop non plus, mais elle ne me gênait pas. Elle voulait me raccompagner, de suite je secoua la tête voulant me relevant pour partir avant de retomber à l'arrière ne tenant pas sur mes jambes, m*rde le poison était monté plus haut que prévus. Je détournais la tête ne sachant pas quoi dire.

-Non ça va aller ... Je dois attendre la prochaine injections ne va pas tarder

Finis-je dans un murmure.

Nicholas & Vixy
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Au moins, il riait, c'était déjà ça... Peut-être devrais-je arrêter de le tourmenter de la sorte ? Ce pauvre homme avait quand même fait un méchant mal aise... Oui, mais non. Je ne prenais jamais les gens en pitié et ça n'arriverait jamais. Quand il repoussa ma main, je fronçais les sourcils.

« Je sais que les hommes préfère que je les touche ailleurs, mais tu ne sembles pas assez en forme pour. Alors arrête de repousser ma main ! »

Je secouais la tête, plus amusée qu'autre chose. Si ma mère était là, je savais que j'aurais eu droit à un sermon comme jamais. Mais elle ne semblait pas avoir suivi la malédiction de Regina, malheureusement. Par contre, mes deux ennemis, eux, étaient bel et bien là. Génial non ? Pourquoi me les étais-je mis à dos encore ? Ah oui, j'avais légèrement plumer le premier au manteau de plume noir coup de flatterie... Repartant avec un chariot de ses richesses. Le deuxième?Je l'avais épousé et subtilisé sa fortune, le mettant dans une colère noire. Bien jouer Vixy, vraiment ! Soit, j'aimais les choses qui brillaient, j'en pouvais rien moi... J'étais née dans la pauvreté la plus total, passant plusieurs jours d'affiler à mourir de faim et quand la nourriture était enfin là, il n'y avait guère grand chose.

Non, je ne regretterais jamais d'avoir agis de la sorte. SI c'était à refaire, je le referais les yeux fermés. Même si maintenant, deux hommes veulent ma peau. Je décidais de m'en amuser au final. Après tout, la vie était bien trop courte pour commencer à avoir des remords ou ressentir de la peur.
L'homme reprit la parole. Un nouveau sourire se dessinait sur mes lèvres. Il avait décidément tout d'un Ours. Grognon, qui veut faire peur. Aussi agréable qu'une porte de prison... J'adorais ça, vraiment.

« Oh, on est asocial en plus de ça ? Tsss... Vraiment, c'est pas du jolie tout ça. »

Je riais, amusée de l'ennuyer. Ne m'en cachant absolument pas. Pourquoi faire après tout ? Je pris mes affaires, en le voyant tenter de se lever, un sourire moqueur au lèvre cette fois. AH les hommes et leur fierté : incroyable ! Je ne comprenais pas pourquoi il détournait la tête comme ça. Il n'y avait pas de honte à ça après tout. Avec un soupir exagérer, je reposais mon sac, attraper quelques instants plutôt.

« Il faudra bien que tu rentres un jour mon grand ! Je vais pas te materner toute la journée, mais si je sais que tu adorerais ça, au fond. Je veux bien attendre que tu ai fait ta deuxième injection cela dit. »

Superno√a.

J'eu de nouveau un rire devant la jeune femme, c'était bien rare que je riais ainsi ouvertement avec une autre personne, je lui répondis alors avec un clin d'oeil.

-Toujours le mot coquin pour rire

Au moins j'arrivais à me sentir à l'aise avec elle, ça aurait été une autre personne, j'aurais sans doute réagit d'une autre façon, de plus personne ne connaît vraiment l'humour dans cette ville. Finalement je l'a laissa vérifier si je n'avis pas de fièvre, à ce stade l'injection avait du agir, alors la fièvre devait déjà avoir disparue, j'avais juste des sueurs froides. Je pouvais voir que celle-ci était amusée ce qui me fit sourire, chose rare chez moi encore une fois, mais cette femme me donnait envie de sourire. Puis lorsque je ronchonna et qu'elle me dit que j'étais asocial je haussa les épaules reprenant mon sérieux. J'ai grandi orphelin, j'ai été séparé de ma soeur à l'orphelinat, j'ai terminé à la rue et j'ai appris à vivre en fouillant les poubelles ... Personne ne m'avait aidé, au contraire on évité de me regarder comme ci j'étais le diable en personne et ça faisait mal. Le froids, la faim je connais ... Plus maintenant heureusement, j'étais devenu un homme débrouillard.
Mais rien que son rire fit que mon visage ne s'assombrit pas davantage, je me contenta juste de la regarder avant de baisser à nouveau les yeux. Elle reprit la parole puis finalement je regarda celle-ci moins grognon.

-Nicholas ... Je m'appel Nicholas et hum l'injection est chez moi, donc je vais sans doute devoir me bouger un peu

Je tenta de me relever et je devais dire que ça tournait pas mal, secouant la tête je tanguais dans la pièce ...

-Comment je peux te remercier ?

Après tout elle m'avait sauvé la vie, mais pourquoi lui avais-je dis mon nom ?

Nicholas & Vixy
Refais-ça encore une fois et je te tue moi-même!

Sa remarque me fait sourire. Vraiment, en général, les gens s’offusquaient de ma façon d’être ou de faire justement, ce genre de commentaire coquin qui mettait mal à l’aise. J’adorais tellement ça. Irrécupérable, je sais. J’étais comme ça, je n’y pouvais rien moi après tout. Aussi, avec un sourire pour une fois sincère, je regardais l’homme en face de moi.

« Toujours! C’est mon atout charme : sortir des mots coquins »

Un clin d’œil venait appuyer mes dires. Tout en continuant d’évaluer son état, je ne pouvais m’empêcher de l’ennuyer. Notamment en le traitant d’asocial. Bien vite, je notais qu’il semblait tendu à cette évocation, mais je décidais de faire semblant de rien. Après tout, ce n’était pas mes affaires. Pourtant, la curiosité était belle et bien là. Je ne demanderais rien, mais ça m’intriguais réellement. Holà, pourquoi je m’intéresserai à ce type ? Ca va pas Vix’ ?

Rapidement, je secoue discrètement la tête pour remettre mes neurones en place, non mais oh. Je reprenais la parole et sans comprendre pourquoi, il se présenta à moi. J’haussais un sourcil surprise avant d’afficher un sourire en coin, amusée.

« Enchanté Nicholas. Tu es sur de pas vouloir que je te dépose ? Je te promets de rester une sage fille dans la voiture. »

Je lui offris un de mes plus beaux sourires angéliques. Un brin exagérée, je rigolais évidemment, mais le laisser seul dans cet état n’était pas vraiment une bonne idée à mon sens. S’il refaisait un malaise et que personne ne pourrait lui porter secours, je m’en voudrais tout de même. Et oui, pour une fois, je ne pensais pas à mon petit nombril. Je remarquais aussi qu’au final, je ne m’étais même pas présentée… Bon tant pis, ce n’était pas grave au pire, si il demandait, je répondrais…ou pas, c’était amusant après tout d’avoir l’avantage de connaitre son prénom alors qu’il ne savait rien. Soit, à sa question, je ne pouvais m’empêcher de rire. Comment me remercier ? Et bien je n’en avais absolument aucune idée à vrai dire !

« Aucune idée, tu proposes quoi toi, pour me remercier ? A combien évalue-tu ta vie ? »

Superno√a.

Quand je fini par dire à la jeune femme qu'elle avait toujours le mot coquin, je pus voir que celle-ci en était bien fière ce qui m'amusa encore plus, au moins elle savait plaisanter et ce n'était pas parce qu'on parler ainsi que cela voulait dire que j'allais lui pincer les fesses, j'avais bien trop de respect envers les femmes. Il y a des hommes qui ont les mains baladeuses, qui sont ignobles avec les femmes, ces hommes la il voyait rarement le jour après avoir croisé ma route. Quand à mon passé je préféra ne rien évoquer, j'avais mes raisons pour rester aussi distant et je n'avais aucune envie de m'étaler dessus, je ne veux pas qu'on me voit comme un faible ... Enfin ... Disons qu'à cet instant je n'étais pas au top de ma forme, seulement mon passé me faisait honte, j'en avais même perdu confiance en l'être humain. Puis finalement la jeune femme repris la parole et je lui afficha un sourire.

-Tu plaisante, j'ai bien trop peur de toi, on sait jamais ce qui peut arriver avec des inconnus, merci je vais ramper

Dis-je dans un léger rire.
Evidemment je ne pensé pas un mot de ce que je disais, c'était impossible que je rentre dans mon état, à tout moment je pouvais faire une nouvelle crise et celle-ci pourrait m'être fatale.
Après qu'une personne connaisse l'endroit ou j'habite ... Disons que c'était encore quelque chose qui était jamais arrivé, je ne savais même pas si sa voiture pourrait se rendre jusqu'à ma maison.

-Par contre j'habite hors de la ville ... Enfin en forêt, il faudra tout de même que je fasse un bout à pieds

J'étais loin d'être emballé mais je devais assumer, de plus, plus j'attendais, plus l'heure de ma nouvelle injection approché, je devais me bouger et il était hors de question que je me rende chez Gold. Je ne savais pas non plus comment remercier cette jeune femme, malgré son caractère de feu, je devais dire qu'elle était agréable.

-A combien j'évalue ma vie ? ... Rien la seule chose que je veux c'est voir ma soeur une dernière fois, sinon je ne vaut pas grand chose mise à part ma boutique rempli d'arbalète et d'arc en tout genre

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