[Flash-Back Malédiction] Douleur tu ressentiras pour mon bon plaisir × ft. Celebrian & Felicity

Quand Gwairth a embauché Celebrian la première fois, elle a toute de suite compris qu'elle aimerait la faire souffrir. Rien que sa présence la mettait dans tous ses états. Régulièrement la jeune femme se faisait griffer, pousser, insulter et Gwairth n'avait cesse d'aimer lui prodiguer ce traitement. Un matin, l'ancien faucon était de mauvaise humeur, de très mauvaise humeur, elle avait l'impression que quelque chose aller se passer et ça n'allait pas être dans son intérêt. Elle sortit de sa chambre avec un peignoir sur ses épaules et ferma les yeux en sentant la fraicheur de la pièce. Elle aimait le froid, elle aimait le sentir sur sa peau surtout sous forme liquide. Alors quand elle prenait son bain, il était chaud et finissant souvent froid. La femme entra dans la salle de bain attenante à sa chambre et se déshabilla avant de rentrer dans la baignoire. Elle allait se détendre et profiter de l'instant. Ensuite seulement elle pourrait faire ce qu'elle devait faire.

La brune ferma les yeux, mais elle fut rapidement réveillée par une bruit dans la cuisine … ou la salle à manger. Les dents serrées, elle se leva de son bain et s'empressa de rejoindre sa chambre pour se laver. Décidément ça n'allait pas être son jour. Heureusement, elle aurait toujours la satisfaction de voir sa femme de chambre souffrir un peu en sa présence. Parce qu'une chose était sûre avec Gwairth, même quand elle était pas là, la souris ne pouvait pas danser. Sa maison était un piège à elle toute seule et elle aimait entretenir ce piège. Elle passait pour une méchante ? Une psychopathe ? Qui pourrait prouver que c'était elle ? Après tout l'art de faire le mal, c'était bien de le faire sans se faire prendre non ? Elle s'habilla d'une pantalon en toile et d'un haut simple et se dirigea vers l'endroit ou le bruit avait retentit. Non, elle ne laisserait pas ça passer. Gwairth entra dans la pièce et la première chose qu'elle fit, c'est agripper le bras de celle qu'elle considérait comme une sorte de servante.

–Vous ne pouvez donc pas faire attention ? Tout ce qui est ici est d'une grande valeur !

Elle ne savait pas ce que la jeune femme avait fait tombé. En faite elle s'en fichait tout ce qu'elle aimait, c'était voir la peur ou la haine dans le regard d'une personne. Parce que haine veut dire confrontation et la confrontation l'ancien faucon aimait ça. Elle aimait montrer qu'elle était douée pour blesser les gens, psychologiquement ou physiquement bien sur. Elle la poussa brusquement pour récupérer l'objet qui était tombé sur le sol. Bon rien d'autre qu'une de ses multiples reliques coupantes. Heureusement pour l'autre, il y avait pas d'ébréchure sur la lame.

Valentin Lewis & Celebrian Serjo

Femme à tout faire... La fonction n'a jamais été aussi vraie !

Il y avait des gens chez qui j'aimais sincèrement travailler, puis il y avait elle. Parfois je rêvais de ne jamais avoir pris ce contrat. Mais ma famille avait besoin de cet argent, alors je serrais les dents, me montrant soumise et gardant mes pensées pour moi... Ce jour là ne fit pas exceptions aux autres, alors que je dépoussièrait l'une de ses épées, une des armes tomba. Elle fut presque là immédiatement, alors que je tentais de la remettre dans l'équilibre qui était assez précaire. A croire qu'elle le faisait exprès. A ca remarque je baissais les yeux en murmurant.
❝ Excusez moi... ❞
J'avais pourtant une envie folle de lui carrer où je pense son épée. Mais non, ce n'était pas ma place. Je continuais alors, retirant chaque grain de poussière, je passais même un gant blanc pour m'assurer de ne rien oublier, sous le regard implacable de la maîtresse des lieux. Cette peau de vache, était bien capable de me retirer du fric, elle l'avait déjà fait au départ. Mais maintenant, elle ne pouvait plus rien me retirer. Une fois la pièce terminé, il me restait encore 30 minutes. Je demandais alors toujours les yeux baisser.
❝ Madame, désire t'elle que je m'occupe d'une autre pièce? ❞
Elle ne m'avait parlé que de cette pièce au départ, mais avec elle, je savais d'avance qu'elle me trouverait autre chose...

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[Flash-Back Malédiction] Douleur tu ressentiras pour mon bon plaisir × ft. Celebrian & Gwairth

Gwairth esquissa un sourire, elle avait envie que d'une chose, la taquiner. Que dis-je de la blesser un peu, de l'énerver juste pour avoir la satisfaction de voir l'asiatique ravaler commentaire. De voir ses yeux envoyés des éclairs alors qu'elle savait qu'à aucun moment elle ne pourrait faire quelque chose. Après tout, c'est l'employeur qui porte la culotte tant que le salaire est là à la fin du mois. L'ancien animal la regarda s'activer pour finir le plus rapidement possible et un air machiavélique et vraiment méchant apparut sur son visage. Non elle n'allait pas la laisser partir comme ça. Après tout il y avait une autre pièce à nettoyer ou plutôt des objets de cette pièce. Une pièce dangereuse où des pièges pouvaient être caché.

–Effectivement, j'ai un autre endroit qui aurait bien le droit de passer entre vos … soigneuses mains.

Clairement dans son ton, on voyait que ce n'était pas un compliment, mais une insulte déguiser. Celebrian allait-elle le remarquer ? Surement mais Gwairth s'en fichait complètement. Elle savait juste que les pièges étaient clairement actifs et qu'un ou deux bleus pourraient faire l'affaire avant de partir. La jeune femme réfléchit un instant et jeta un paquet de lingettes à la figure de sa femme de ménage.

–Voici quelques lingettes que j'utilise uniquement pour les objets de cette salle. Et je tiens à vous dire que je sentirais si vous avez utilisé autre chose.

La brune l'amena dans une salle noire qui s'illumina, donnant un air tamisé à la pièce. Dans ce pièce se trouvait de nombreuses reliques de tous temps, des reliques coupantes, piquantes, dangereuse !

–Faite bien attention ! La menaça-t-elle !

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Femme à tout faire... La fonction n'a jamais été aussi vraie !

Cette femme était totalement folle et sadique, je le savais, mais je le devais. Papa ne pouvais plus travailler avec sa blessure, maman s'occupait de lui et de mamie toute la journée. Je prenais sur moi, faisant ce qu'on attendait de moi. Evidemment, je me coupais par moment, les lingettes étant trop fine. J'étais certaine qu'elle le faisait exprès. Pas grave, je ne montrerai rien. Puis j'allais bientôt avoir mes résultats sur mes derniers examens en criminologie. Ca serait toujours mieux que faire la bonniche pour elle, heureusement mes autres clients étaient adorables. En même temps à coté d'elle, même un chien enragé était plus sympathique. Je terminais la salle qu'elle m'avait indiqué, avec 5 minutes en plus de mon temps normal. J'aurais du facturer une heure de plus, mais j'avais même pas envie de batailler avec elle concernant le droit du travail. Moins je la voyais, mieux je me portais... Elle était là me tendant négligement un billet. J'avais le sentiment d'être une prostitué qu'on paie après s'être fait plaisir. Pas un mot, juste une inclinaison de tête en guise de remerciement... Je partais alors pour aller chez miss Lake.

Début juin 2012
J'avais largué la plus part de mes clients, ils avaient tous compris et accepté de mettre fin à mon contrat, mais pas elle évidemment. Je n'étais plus aussi soumise à présent, et quand elle voulu commencer une de ses brimades usuelles. Je levais mon visage vers elle, mes yeux noirs rivé à son regard et je répondit d'une voix ferme.
❝ Si vous n'êtes pas contente de mes services, rien ne vous empêche de me renvoyer. Et pour information, vos armes, vous les nettoierai seule, j'applique mon droit de retrait. ❞
Je la vois prête à faire comme avant et j'anticipe en lui disant.
❝ Pour information, j'ai un revolver sur moi, je ne vous conseille pas de faire ce à quoi vous pensiez. ❞
Je la défie du regard, et par tous mes ancêtres, que ça pouvait faire du bien.

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[Flash-Back Malédiction] Douleur tu ressentiras pour mon bon plaisir × ft. Celebrian & Gwairth

Gwairth la regarda un moment astiquer les armes souriant à chaque coupure. Puis elle la laissa finir, de toute façon, elle savait qu'elle repasserait derrière elle pour les nettoyer. Elle aimait tellement dorloter ses armes qu'elle les nettoyer et vérifiait la lame à chaque fois qu'elle y pensait. Mais l'autre préoccupation qu'elle aimait, c'était tendre des pièges à cette femme qu'elle considérait comme une sous-merde. « Heureusement qu'elle ne sait pas ce qui est arrivé à celle d'avant. Elle partirait surement en courant. » Un sourire mauvais éclaira son visage, faisant briller ses yeux. Rapidement elle attrapa une boite et sortit l'argent qu'elle devait à celle qui était pour elle sa servante.

Quand l'autre femme eut finit, elle lui donna ce qu'elle lui devait et ferma la porte aussi sec pour rerentrer dans sa salle d'arme. Elle vérifia chaque objet puis joua avec certain d'eux. Tous étaient assez aiguiser pour rentrer dans la peau de quelqu'un comme dans du beurre.

–Dommage qu'il n'y est personne pour faire le cobaye. Je pense que je m'amuserais bien.

Elle haussa les épaules et s'entraîna sur un mannequin de bois, atteignant sa cible à chaque fois. Les cibles immobiles étaient trop simple à attaquer, malheureusement.

Début Juin 2012 :
Les choses avaient changé, Gwairth était sur les nerfs et Celebrian n'arrangeait rien. La brune ne voulait pas la voir partir, après tout, c'était son défouloir personnelle. Mais l'asiatique se mit soudainement à répondre, à l'envoyer sur les roses. Mais Gwairth ne se laissait pas faire. Ses serres en métal à ses doigts, elle se retint de les lui planter dans l'oeil, se contentant de se rapproche d'elle dangereusement.

–Votre droit de retrait ? Très bien, plus d'arme à nettoyer, mais ne vous avisez certainement pas à me manquer de respect une nouvelle fois.

L'ancien faucon se mit à rire, un révolver ? Elle s'en fichait, d'un geste, elle pouvait lui planter ses serres dans le bras et attendre patiemment que le sang coule à flot. Elle sourit machiavéliquement et s'approcha pour lui prendre fermement le bras. Tant pis pour le conséquence, elle ne supportait pas qu'on la menace, et encore moi une nigaude comme elle. Elle planta ses griffes en métal et la regarda fixement dans les yeux.

–Ne me menaçait plus jamais ! Vous ne savez pas sur quoi vous pourriez tomber ici.

Elle laissa tomber le bras, lui laissant une coupure avant de se retourner et de lui balancer en pleine tête un chiffon.

–Faites donc ce pourquoi vous êtes doué. Et je peux vous assurez que ce n'est pas votre intelligence !

Valentin Lewis & Celebrian Serjo

Femme à tout faire... La fonction n'a jamais été aussi vraie !

Je la regarde froidement et lui fait un sourire ironique.
❝ Bah il me reste toujours la beauté contrairement à vous laideron. ❞
Elle m'agaçait au plus au point, je n'en pouvais plus. J'avais postulé au département du shériff en plus avec mon nouveau diplôme et j'ajoutais en dépoussiérant un truc que je fis tomber volontairement en le dépoussiérant.
❝ Pour information, je ne reviendrai plus vous voir. J'ai vu avec un avocat, je peux mettre fin au contrat quand je veux puisque j'ai un nouveau travail qui n'a rien à voir avec le ménage. Mince quelle maladroite je fais aujourd'hui. ❞
Je fis tomber un autre vase hors de prix. Un geste, un seul geste pour m'humilier ou me frapper et elle aller se prendre une balle je le jure sur tous mes ancêtres.

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[Flash-Back Malédiction] Douleur tu ressentiras pour mon bon plaisir × ft. Celebrian & Gwairth

Gwairth rit à l'entente de la phrase, la beauté, une chose tellement futile. Elle se mit à sourire réellement amusée.

–Laideron ? Savez-vous que la beauté flétrit, qu'elle va jusqu'à disparaître sous des tonnes de rides ?

Elle haussa les épaules toujours souriante, elle n'était pas blessée, non elle savait qu'elle avait encore la main mise sur cette petite chose.

–D'ailleurs si je ne me trompe pas, les asiatiques vieillissent très mal. Dommage pour vous!

Son sourire s'effaça lentement et intérieurement elle se promit de lui mettre autant de bâton dans les roues que possible. Oui, elle ferait ce qu'elle peut pour que cette fille finisse là ou elle devrait finir, c'est à dire aux pieds des grands.

–Très bien partez, mais je vous assure que tout ce que vous pensez avoir vous sera enlevé plus tôt que vous ne le pensiez , siffla-t-elle en se baissant pour ramasser les morceaux.

« La vengeance est un plat qui se mange froid ma belle, un jour tu comprendras ce que je veux dire ! »

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