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 We're walking the wire | Elizabeth J. Holmes

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MessageSujet: We're walking the wire | Elizabeth J. Holmes   We're walking the wire | Elizabeth J. Holmes EmptyVen 4 Aoû - 16:35




Rien n’arrivait par le plus pur des hasards mais bien guidé par une chose plus grande à savoir le destin, même si dans le fond celui-ci n’avait rien de figé et se trouvait être en perpétuel mouvement, c’était en tout cas la conviction que Wilde pouvait avoir alors qu’il pouvait se dire dans un sens émissaire justement de la destinée. Et c’était peut-être pour cette raison que le feu follet était dans la grande majorité des cas dans un calme olympien qui pourrait faire concurrence à un moine bouddhiste, il était rare de le voir s’emporter par la colère tout simplement parce qu’il avait cette vision que tout se déroulait dans un but bien précis même aussi infime soit-il – même le simple fait par exemple de marcher dans une flaque d’eau avait une forme d’importance, à l’image de l’effet papillon en somme qui ouvrait ainsi la voie dans une des galeries de l’avenir. Tout le monde le faisait sans même en s’en rendant compte, même l’action la plus anodine pouvait pourtant se montrer plus tard comme d’une importance capitale et engendrer plus de choses qu’un événement bouleversant, et quelque part Wilde avait le loisir de pouvoir entrevoir les conséquences des actes de chacun ou du moins celui qui serait le plus prometteur pour la personne. Le destin n’était pas quelque chose d’inflexible, c’était même tout le contraire, et dans une ville comme Storybrooke où la concentration de personnes à la gloire certaine à venir tout venait à changer très vite et parfois même de façon brutale. Combien de fois avait-il pu avoir une vision différente pour un même individu ? À l’image d’une radio qui recevait différentes fréquences qui traitaient pourtant du même sujet, ne contrôlant pas toujours ce que ses yeux pouvaient percevoir et surtout tout le déroulé de l’histoire pour en arriver là, l’un des pouvoirs du feu follet se faisait ainsi malmener par cet amas de magie et ces événements impossibles à prévoir pour la plupart au point d’offrir des contractions qui le déstabilisaient dans ce qui était son réel travail à savoir guider l’âme d’un de ses petits protégés. Il était ainsi plus difficile de pouvoir prendre sous son aile une personne dont le destin fantastique se dessinait dans ses visions, rendant ainsi encore plus incertain la moindre des prévisions qu’il pouvait faire, au point quelque part de le mettre sur le banc de touche d’une drôle de façon.

Néanmoins ce n’était pas pour autant que Wilde pouvait avoir le moindre sentiment de colère malgré tout, qui pourtant aurait pu se montrer légitime que de se voir ainsi bridé par l’environnement dans lequel il se trouvait, préférant voir ceci comme une épreuve lui étant propre par sa chère destinée qui voulait révéler encore plus son potentiel. Une idée toute nouvelle quelque part pour la créature qu’il était, durant la malédiction et depuis la fin de celle-ci en tout cas, car par le passé jamais l’être qu’il avait pu être n’avait pu prétendre une seule seconde à avoir un avenir lui-même alors que son rôle était pourtant de guider ceux qui avaient pu être choisis du mieux qu’il pouvait. Une sorte d’humanité étrange dont le feu follet n’arrivait pas encore à distinguer toutes les possibilités honnêtement, même si dans la Forêt Enchantée il avait pu revêtir une forme humanoïde ce n’était pas pour autant qu’il avait pu penser un seul instant à ce que son propre destin pouvait bien lui réserver puisqu’il en était l’émissaire tout simplement, se laissant toutefois porter doucement par le courant des choses même s’il avait pu prendre du temps pour mettre de l’ordre dans ses affaires une fois ses souvenirs revenus. Parce qu’à son sens il était primordial pour lui d’avoir un bon équilibre dans son existence pour pouvoir en faire autant chez les autres, devant ainsi se confronter aux préoccupations que le commun des mortels pouvait avoir et qui aurait pu lui passer au-dessus s’il n’était pas tombé dans ce monde, d’autant plus si ceci pouvait lui éviter de refaire les mêmes erreurs du passé et ainsi éviter le petit dernier ‘accident’ qui avait pu se dérouler lors de son exil d’avant malédiction. Même si quelque part c’était le résultat qui avait son importance aux yeux de Wilde, surtout qu’il avait pu voir comme dans une belle confirmation sa vision se dérouler comme prévu en couronnant de succès le livre de cet auteur qui était son protégé, il se doutait que le fait qu’il avait pu pousser dans les derniers retranchements l’homme qui avait pu se faire sauter le caisson risquait de lui être reproché parce que les humains étaient attachés trop fortement à la vie qui n’était pourtant qu’un état passager. Ainsi devait-il se modérer et trouver surtout le candidat idéal, ce qui n’était pas quelque chose de si aisé en fin de compte à cause des perturbations justement, attendant patiemment l’apparition de son nouveau petit poulain que son généreux destin viendrait mettre sur sa route tôt ou tard.

Il suffisait de savoir attendre correctement et Wilde pouvait se montrer comme un modèle de patience justement, sachant très bien que grâce à son travail il finirait par tomber sur la perle rare d’autant plus qu’il pouvait ratisser assez large en étant à la fois aux écoles et en centre-ville, ayant déjà des noms en tête qui se profilait à l’horizon. Ce qu’il devait aussi déterminer c’était s’il devait se lancer dans une campagne solitaire pour chacun d’eux, avoir ainsi un suivit l’un après l’autre, ou s’il venait à se lancer dans plusieurs projets en même temps d’une façon peut-être hasardeuse mais non moins intéressante. La dispersion pouvait certes avoir un côté assez alléchant, il y avait tellement de personnes à aider et à remettre dans le bon chemin de la plus grandiose destinée pour eux – qu’elle soit autant bonne que mauvaise pour le reste, mais en se concentrant assez efficacement sur un cas au moins Wilde était sûr d’avoir une sorte d’emprise solide et surtout s’assurer que le petit protégé ne craquerait pas avant la fin ou qu’il lui arrive un fâcheux accident malheureusement. Le feu follet ne pouvait aucunement prédire la mort après tout, de la même manière que visionner le grand amour était un savoir qu’il ne possédait nullement, il y avait des limites à ses prémonitions et de ce qu’il pouvait entrevoir de ce fait. Et cette ville regorgeait de tellement de choix aussi qu’il pourrait facilement en perdre la tête, se laisser bercer par une douce folie dont il n’avait conscience lui-même, qu’en attendant de trouver réellement la perle rare il faisait de son mieux pour entrer dans le rôle de conseiller d’orientation à une échelle quelque peu moindre de son véritable rôle. Mais au moins celui-ci lui permettait de rencontrer une foule de personnes et surtout de faire du tri, notant ainsi le tout précieusement dans des dossiers qu’il pouvait faire pour chaque individu franchissant sa porte, tentant de démêler qui ils étaient vraiment et qui ils étaient devenus à cause de la malédiction qui avait ainsi offert un bazar pas possible dans son devoir de guide. Wilde ne voulait plus juste reposer sur certains acquis, il voulait profiter de tout ce que ce monde pouvait bien lui apporter et la technologie en faisait ainsi partie, il voulait redevenir cette créature qui n’échoue jamais et surtout qui ne laisse personne lui échapper de la même manière qu’il était impossible d’échapper à son destin.

Encore faudrait-il que tout ceci puisse fonctionner comme il faut, même si là encore il gardait son calme et possédait plus de l’étonnement qu’autre chose en voyant son écran se figer tout en faisant un bruit horrible, mais Wilde voyait encore ceci comme un point de passage qui pouvait annoncer quelque chose de plus grand par la suite et qui le faisait ainsi sourire doucement. Se dirigeant vers le secrétariat du lycée il saluait quelques élèves qui se rendaient en classe en passage, distinguant des figures futures possibles les concernant et qui le mettaient en joie de façon presque automatique, approchant ainsi de la vieille dame en charge de tout patronner selon les ordres de la personne la plus haut placée de ce bâtiment. Et si cette dernière pouvait se montrer parfois terrible avec les élèves, n’hésitant pas à leur mettre des retenus à chaque fois qu’ils passaient la porte de cette antichambre de la direction à cause d’un retard, le feu follet avait pu réussir à amadouer le vieux dragon pour qui il n’avait jamais eu ne serait-ce que l’once d’une vision. Ceci pouvait arriver, après tout ce n’était pas un don qui marchait toujours sur commande, pouvant révéler aussi par la même occasion que le destin de la personne n’avait rien de très palpitant ou que celui-ci était déjà derrière elle. Il y avait forcément un après chaque acte mais lorsqu’il y en avait un si particulier, du moins l’information principale qu’on allait retenir à l’avenir pour cette personne, ceci venait à éclipser tout ce qui pourrait encore arriver et qui était ainsi bien moindre. En tout cas, Wilde lui expliquait ainsi son problème et s’il était possible de téléphoner à quelqu’un pour le sortir de cette situation, se trouvant avec une réponse positive et qu’il n’avait qu’à patienter dans son bureau qu’on lui envoie. Ne se faisant pas prier plus longtemps le feu follet faisait demi-tour, mettant ainsi le temps d’attente à profit pour pouvoir classer des dossiers bien physiques et des demandes de rendez-vous – après tout le lycée était un grand moment de transition pour la suite de ses si jeunes personnes, s’occupant de toute autre chose jusqu’à ce qu’on frappe à sa porte. Il ne pouvait s’empêcher d’avoir un sourire, c’était comme si la destinée était là à attendre après tout, ne faisant pas attendre plus longtemps son invité mystère qui se dévoilait comme une jeune femme se présentant comme étant celle qui allait le sortir de son problème d’ordinateur.

« Bonjour ! Entrez et  mettez-vous le plus à l’aise possible, d’ailleurs si vous avez besoin de quoi que ce soit mademoiselle n’hésitez pas je suis à votre entière disposition, le patient est juste ici ! »

Lui montrant de la main l’objet tout en essayant de détendre l’atmosphère, lui laissant la place sur le fauteuil pour faire ce qu’elle avait à faire, une part de lui ne pouvait s’empêcher de dévisager quelque peu celle qui se présentait à lui sous le nom d’Elizabeth. Wilde savait que certaines personnes avaient décidé de garder leur identité que la malédiction avait pu leur donner, lui-même qui n’en avait aucune par le passé c’était ainsi trouvé avec un nom qu’il chérissait plus que tout car c’était comme si on lui avait donné une véritable existence, mais il était souvent étrange pour lui que d’entendre de leur bouche cette dénomination alors que c’était un autre nom qui se chuchotait dans le creux de son oreille. Jodie était le prénom qui s’imposait à lui lorsqu’il la regardait, gardant tout de même un sourire pour ne pas laisser apparaître son étonnement, et c’était peut-être sa nature de créature liée au destin qui faisait qu’aucune identité pouvait lui être masquée comme si l’espace d’un instant le passé et le futur se mélangeaient pour lui offrir la vérité. Mais honnêtement ce n’était pas ce qui déstabilisait le plus dans cette histoire, certes ceci l’était mais il passait à autre chose du mieux qu’il pouvait, il y avait une force étrange chez cette jeune femme et tout particulièrement à ce qui était sa destinée qu’il n’arrivait pas à l’heure actuelle à définir parfaitement. C’était comme s’il y avait plus et en même temps un tout unique, un surplus naturel sans l’être pour autant paradoxalement, ne pouvant que laisser Wilde un peu plus interrogatif sur la question. Se retournant vers les casiers qu’il faisait mine de consulter il n’arrivait pas sur le coup à lire une seule ligne d’avenir correctement, c’était comme s’il en recevait plusieurs à la fois et de manière si rapide ou brutale que ceci ressemblait plus à des flashs de lumières informes qu’autre chose, se frottant les yeux qui le brûlaient face à cette expérience intense de lecture trop abrupte pour en faire quoi que ce soit. Restant quelques minutes le pouce et l’index sur ses paupières pour calmer la sensation, laissant ainsi l’informaticienne travaillait, ce n’est qu’un entendant un petit bruit émanant de l’ordinateur qu’il reprenait consistant et approchait ainsi de la jeune femme pour voir ce qu’elle était en train de faire par pure curiosité.

« Hé bien. Je ne pensais pas que mon ordinateur puisse être réparé aussi vite, on dirait que c’est tellement facile alors que c’est pourtant un langage si compliqué, c’est vraiment le domaine approprié pour toi Jodie. »

C’était toujours plus fort que Wilde d’appeler les personnes par leur véritable nom, parce que c’était celui qui se gravait malgré lui dans son esprit et qu’il venait inévitablement associer à la personne, mais il avait bien compris que ceci n’était pas une pratique au goût de tous et il avait déjà une fois été témoin que les personnes pouvaient aller loin pour se protéger. Ses côtés s’en souvenaient encore. Le feu follet avait pu ainsi constater que pour certains la malédiction avait été l’occasion d’un nouveau départ, d’un moyen de se protéger d’éléments extérieurs et liés à leurs destins comme par exemple un mari violent, sauf qu’à son sens il était impossible d’en échapper justement et en voyant en coin la tête que pouvait faire cette Jodie il était clair pour lui qu’elle faisait partie de cette catégorie de personnes qui aurait préféré mettre de côté ce détail.  Avec précaution Wilde s’asseyait sur le bord de son bureau tout en la regardant, ne comprenant pas toujours pourquoi les humains n’arrivaient pas à assumer ce qu’ils faisaient comme lui – sans doute à cause du fait qu’en tant que créature il n’avait pas les mêmes notions sur certaines choses, comprenant que la réaction qui se faisait de la part de la jeune femme se trouvait être au moins sur la défensive si ce n’était pas hostile. Une tension naissante qui voyait ainsi l’apparition de nouveau de la forte perturbation qu’il avait pu ressentir plus tôt, cette drôle de sensation qu’il n’y avait plus sans qu’il puisse dire de quoi il était question avec précision, alors qu’il y avait un autre prénom qui venait à se chuchoter dans son esprit et qui le laissait encore plus circonspect pour le coup. Wilde prenait un air plus sérieux tout en penchant la tête sur le côté, continuant d’observer la brunette sur son siège sans qu’il ne sache trop quoi dire sur l’instant, c’était bien la première fois que ceci lui arrivait et il ne comprenait aucunement comment il était possible d’avoir ainsi deux prénoms qui étaient aussi distincts. Ce n’était pas qu’il s’était trompé, les deux se faisaient bien présents de manière nette et séparée dans son esprit, c’était juste qu’il y avait autre chose qui dépassait peut-être son domaine de compétence pour le coup. Il était face à une énigme, reculant un peu comme pour tenter d’avoir encore plus une vue d’ensemble de Jodie, ayant un léger rire qui contrastait avec son état d’esprit.

« J’ai dit quelque chose que je n’aurais pas dû ? Ou peut-être que ce n’est pas Jodie mais… Aiden ? »

Même en y allant doucement quelque part Wilde n’y allait pas par quatre chemins, c’était comme s’il crevait directement l’abcès futur, fixant toujours l’informaticienne pour démêler le vrai du faux.







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Elizabeth J. Holmes

Elizabeth J. Holmes
En réalité, je suis
Jodie Holmes
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MessageSujet: Re: We're walking the wire | Elizabeth J. Holmes   We're walking the wire | Elizabeth J. Holmes EmptyVen 11 Aoû - 15:06

We’re walking the wire
Elizabeth ft. Wilde



”Ce n’est pas en frappant dessus que ça va mieux fonctionner.” Pourquoi tout le monde pensait qu’en donnant un grand coup dans la centrale d’un ordinateur ou au dessus de l’écran tout fonctionnera mieux ? Peut-être était-ce de la stupidité ? Ou peut- être tout simplement qu’ils évacuent leur colère sur l’objet le plus proche pour ne pas frapper la première personne venue sous la colère ? En tout les cas la solution n’était pas la bonne.”Vous risquez encore plus de dégrader le matériel, éloignez vous de cet ordinateur portable.” Ma voix est ferme, ce n’est pas tous les jours que j'agissais ainsi, mais j’avais horreur qu’on maltraite le matériel que Nathan avait acheté pour monter sa boite durant la malédiction. L’homme me jette un regard noir mais je me contente de l’ignorer, pour aller prendre sa place devant l’ordinateur, pour commencer à travailler sur celui-ci pour tenter de localiser le problème, et de le fixer le plus rapidement possible pour éviter de faire perdre trop de temps à l’employé de Nathan.

Au bout de 30 minutes, je pousse la chaise à roulettes en arrière avant de m’étirer, encore un ordinateur de fixer pour la quatrième fois aujourd’hui et en aucun cas le dernier. Je me lève du siège tout en donnant les dernières instructions à mon client avant de quitter le bureau pour marcher en direction de l’ascenseur, quand soudain mon téléphone sonne.”Elizabeth Holmes de Holmes et Cie, que puis-je faire pour vous aider ?.”J’écoute la femme qui m’explique que je dois me rendre au lycée de la ville pour m’occuper d’un ordinateur qui est tombé en panne, tout en quittant l'ascenseur pour entrer dans mon bureau.”Très bien, j’arrive le plus vite possible.”Attrapant le matériel dont j’ai besoin je me précipite en dehors de mon bureau pour descendre jusqu’au parking pour monter à bord d’une des nombreuses voitures que la boite possède, direction le lycée de la ville de Storybooke.

“Bonjour, je suis Elizabeth Holmes, vous m’avez contacté pour un dépannage.” La femme qui était derrière le comptoir n’avait en aucun cas l’air commode, mais au lieu de fixer mes chaussures comme à mon habitude, je me contente de la regarder tout en affichant un sourire des plus professionnelles avant qu’elle ne m’explique clairement qui je dois voir et où se trouve le bureau en question. Je la remercie d’un signe de tête pour ensuite tourner les talons me dirigeant ensuite vers le bureau du conseiller d’orientation, toquant à la porte, j’ajuste la sangle de mon sac en bandoulière tandis que la porte s’ouvre sur un homme.”Bonjour, j’ai été contacté pour venir vous dépanner, je suis Elizabeth Holmes.” Je jette un coup rapide autour de moi avant qu’il ne m’indique où se trouve l’ordinateur que je dois réparer.”Très bien, merci.”Je m’installe rapidement sur le siège de bureau pour tout de suite me mettre au travail, je ne voulais en aucun cas faire perdre du temps à qui que ce soit, alors être rapide et efficace étaient les deux mots clé lorsque je travaillais.

Je laisse l’homme s’avancer pour me regarder travailler, ça ne me mettait pas forcément à l’aise mais j'étais habitué à être observé depuis mon plus jeune âge et puis les clients ne pouvaient s'empêcher de regarder par-dessus mon épaule. Comme s’ils avaient peur que je dégrade encore plus leur matériel ou juste parce qu’ils avaient envie de voir de plus près le travail que j’accomplissais. Je me fige pourtant quand l’homme prend la parole, ce n’est pas le faite qui complimente mon travail qui m’arrête, mais plutôt le prénom qu’il emploie pour m’adresser la parole. Je lève les yeux de l’écran pour croiser le regard du client, je ne peux m'empêcher d’être méfiante, peu de personnes connaissent ma véritable identité, celle que j’avais décidé de ne plus utiliser depuis que j’avais retrouvé la mémoire. Cette malédiction avait été l’occasion parfaite pour reconstruire ma vie, et faire en sorte d'oublier le passé. Mais apparemment ça n’allait pas être aussi simple que ça. Qui pouvait-il bien être ? Un agent de la CIA ? Un homme de la DPA ? Il y avait eu tellement de monde qui travaillaient là-bas que je ne les connaissais pas tous, mais il ne pouvait être qu’un homme de mon passé, surtout quand il s’empresse de reprendre la parole et qu’il mentionne Aiden.

”Comment connaissez-vous ce prénom ?.”J’entends des tremblements dans ma voix ce qui attire l’attention d’Aiden qui jusque là s’était simplement contenté d’explorer la pièce d'à côté pour s’occuper le temps que je travaille, mais à présent il est bel et bien présent à mes côtés de moi et je sens déjà son côté protecteur qui se réveille.” Qui êtes-vous ?” Un bibelot qui se trouvait non loin de moi se fracasse au sol, c’est la façon d’Aiden de montrer qu’il est prêt à tout casser pour faire du mal à cet inconnu.”Qu’est-ce que vous me voulez ?.” Le silence règne dans la pièce tandis que j’attends des réponses.


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