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 The Game starts Again - Contrat du Captain Pan

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Peter Hamelin

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MessageSujet: The Game starts Again - Contrat du Captain Pan   The Game starts Again - Contrat du Captain Pan EmptyJeu 22 Sep - 16:51



The Game starts Again - Contrat du Captain Pan
Hook ξ Pan



Il balançait son pied contre l’accoudoir, son autre jambe reposant négligemment au milieu du bureau mal rangé, encombré de feuilles et de dossier qui trainait ici et là. L’ensemble était assez instable, le poids de son corps entrainant légèrement le fauteuil vers le sol, et il n’avait pas encore chuté pour une obscure raison de entre de gravité et d’autres choses ennuyantes et inutiles à savoir. Ce qu’il fallait retenir, c’était qu’il ne craignait pas la chute, c’était l’attrait amusant de se tenir ainsi, l’incertitude de ce qu’il pouvait se passer lorsqu’il bougerait à nouveau, les coups répétés de son pied fragilisant sa position. Mais ce n’était pas suffisant pour maintenir son attention éveillée, et il avait entre ses mains un dossier pioché – pas vraiment – au hasard dans les rangements du poste, et il effeuillait tranquillement le tout, dans l’attente que quelque chose ne se produise. Dans un coin de la pièce, juste à côté de la porte de sortie, son fidèle second surveillait les alentours, à l’écoute du moindre bruit, comme le bon chien de garde qu’il était. Il était sombre, comme à son habitude, le nez plongé vers le sol et le rabat de sa cape rabattue, attendant patiemment. Patient, Peter ne l’étais pas. Tel un enfant capricieux, il ne supportait pas d’attendre et devait toujours réinventer chaque instant pour occuper son temps. Il lui fallait tout, tout de suite, et malheureusement pour lui cela ne se passait pas toujours comme cela. Bien sûr, annoncer qu’il n’avait aucune patience était un peu radicale, il pouvait en faire preuve. Mais pas lorsqu’il attendait son subordonné, même si ce-dernier ne savait pas être attendu.

Les choses avaient changé, comme il n’aurait pas pensé qu’elles changent. Bien sûr, il y avait toutes ces affaires de mémoires, de pouvoirs et d’identité auxquelles tous avaient fait face. L’existence qu’il avait pu mener durant ces vingt-huit ans lui donnait envie de vomir, lui qui arborait le désir de grandir, lui qui méprisait les adultes et tout ce qu’ils pouvaient représenter. Mais si chacun avait dû s’occuper de leurs histoires, du chamboulement qu’avait causé la reine noire, lui avait dû faire face à une autre chose d’une importance tout autant primordiale : Neverland. Sitôt sa magie revenue, son esprit bien en place, il avait filé sur son domaine sans demander son reste, sans chercher à retrouver quelques personnes de son entourage, parce que tout ce qui comptait était sa jeunesse et son île perdue au milieu des mondes. Elle était encore là bien sûr, immuable et figé dans le temps. Et pourtant, tout avait radicalement changé. Elle était devenue aussi blanche que le premier sourire d’un enfant, aussi immaculée que sa pureté étincelante. Son pays était plongée sous la neige, sous un manteau laiteux qui s’étendait partout où cela était possible, et même au-delà ; la mer et ses eaux entourant le bout de terre solitaire avait complètement gelée, coinçant toute embarcation dans une épaisse couche de glace où il aurait pu marcher sans crainte. La jungle, bien sûr, aussi étrange que cela semblait être, était recouverte de neige de toute part, sur son sol froid et ses branches entremêlées. Même la forêt des désirs, comme il s’amusait à l’appeler, et sa chaleur ambiante et étouffante, n’avait pu résister à cette vague de froid intense. La lagune de ses sirènes était elle-aussi congelée, bien qu’il ne s’inquiéta pas vraiment ce qui avait pu leur arriver, le passage vers le sanctuaire des fées étaient obstruée. Le camp des Indiens mis aux arrêts par le froid, les cannibales doucement réveillées se terraient dans leur tanière avec les restes de leur repas. Le dernier emplacement de son camp lui aussi avait sombré sous la couche de neige.

Lorsque Peter avait posé le pied sur la plage glacée, sa botte crissant contre les cristaux de glace, la température s’était brusquement rehaussée, alors que la mer se réchauffait soudainement, les couches de glaces craquant soudainement pour laisser place à son flot impétueux. Sur ses pas, le blanc fondait pour laisser place à de l’herbe verte, à des fleurs impétueuses qui poussaient soudainement. Les gouttes d’eau tombaient des arbres à sa suite, mais guère plus : tant qu’il ne serait pas passé à chaque endroit maculée de neige, cette-dernière resterait sur son ile. Et lorsqu’il quittait son monde pour Storybrook, le froid reprenait lentement position. Sa présence était comme un flambeau destinée à éloigner les ténèbres de la nuit. Pourtant, il ne pouvait rester à jamais sur Neverland – Pan avait à faire. Ce qui justifiait d’ailleurs sa présence dans ce bureau. A présent qu’il avait assuré sa place, il devait rassembler ses troupes pardon, ses fidèles, et cela commençait par son impétueux pirate. Justement, il perçut du mouvement du coin de l’œil, et il révéla la tête vers Félix, qui lui-même fixait la porte. L’homme de la situation arrivait, et un grand sourire fleurit sur son visage.

« James, mon chère James ! » annonça-t-il avant même que la porte ne soit ouverte. La silhouette qu’il percevait derrière après tout ne pouvait pas le tromper, il connaissait trop bien le pirate pour cela. Et enfin il se révéla, entrant dans son bureau. La deuxième jambe de Pan rejoint bien vite l’autre sur le bureau, modifiant l’équilibre précaire de son fauteuil – enfin celui du sheriff. « Cela faisait un moment que je ne t’avais pas vu, depuis cette histoire un peu ennuyante à Camelot je crois ? Comment va la mère de tes enfants ? » Des enfants ô combien spéciaux n’est-ce pas ? Il n’en savait pas autant qu’il aurait voulu, mais c’était toujours plus que ce que pouvait penser le reste du monde. Des cas intéressant, bien plus que la jeune Lëylin, qu’il convenait qu’il étudie. Il agita justement le dossier entre ses mains, hésitant à le jeter négligemment sur le bureau. Mais il finit par garder les feuilles entre ses mains, ouvrant à nouveau pour lire en biais ce qu’il y avait. « Un cas intéressant, cette Emma, n’est-ce pas ? Elle garde de l’une des enfants Lake je crois ? Je serais bien curieux de savoir de quoi. » Sa voix refroidit soudainement, et il fit un geste vers la sortie. « Félix, surveille les alentours ». Et L’ombre s’effaça derrière la porte.





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MessageSujet: Re: The Game starts Again - Contrat du Captain Pan   The Game starts Again - Contrat du Captain Pan EmptyMer 28 Sep - 18:18


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« James, mon chère James ! »

Il n’y qu’une personne qui m’appelle encore comme ça aujourd’hui, Peter. Cette information fût confirmée quand je passe la porte de mon bureau dans le poste du Shérif. Il était là, pavanant comme ça son habitude avec l’un de ses chiens de garde à ses côtés son bon vieux Félix. Pour montrer mon mécontentement je soupire lourdement m’approchant du bureau où ses pieds étaient posés… Saleté d’enfant. C’est lui qui nettoie après ? Je voulais lui balancer les jambes par terre, mais j’ai appris qu’il ne faut pas trop l’embêter. Autant que je reste sous un bon jour face à lui.

« Ah… Camelot, beau pays non ? Plus harmonieux que Neverland tu ne trouves pas ? » J’aimai bien le taquiner sur son île chérie. Je passe une main dans mes cheveux quand il mentionne Diana. « Depuis quand t’intéresses-tu à mes amours Peter ? Je peux juste te dire qu’elle ne sera pas très heureuse de te savoir ici, bizarrement tu fais pas partie des personnes qu’elle apprécie. »

Tout ce qui l’intéresse est sa petite personne, mais bon il me connait maintenant… Je suis plus enclin à obéir quand les choses ne vont pas dans mon entourage ou pour protéger mes proches. L’une des seules faiblesses qu’il doit me connaitre je dirais. Parlant de faiblesse… J’ignore encore si je dois lui parler de mon pacte avec son cher fils. Mon dieu son fils… Le Ténébreux est le fils de ce petit morveux… Je me côtoie les ‘’Stilskins’’ depuis plus de trois générations. J’ai vraiment un souci avec cette famille.

Quand il continue de lire en biais un dossier, peut-être important j’en sais rien du tout, je lui retire des mains le fermant et le balançant un peu plus loin sur mon bureau. Autant que je montre un minimum de virilité dans mon propre bureau. On n’est plus à Neverland ici.

« Emma n’a rien d’intéressant crois-moi. Une jolie blonde voilà tout. Si tu avais atteint la maturité, peut-être qu’elle t’aurait plu. »

Par contre je me braque quand il commence à mentionner mes enfants. Pour la deuxième fois en quelques secondes. Je n’aime pas du tout ça. Il peut faire ce qu’il veut de moi, mais qu’il ne commence pas à mettre mes rejetons dans ses plans… Leylin y est déjà passé je refuse qu’un autre tombe dans son trip d’enfant perdus.  « Qu’est-ce que tu veux exactement Peter ? Mes enfants ont deux parents qui les aiment, ils ne ressentiront jamais le syndrome de tes soldats pré-ado, donc un conseil ; Laisse les tranquilles. T’as compris ? »

Je me retourne quand il s’adresse à Felix. « Obéis à ton maître petit toutou. Laisse les grands discuter entre eux. » Je le nargue d’un sourire quand il quitte mon bureau fermant la porte derrière lui. Seul à seul avec Peter, je peux peut-être lui parler de mes nouvelles infos collectés ses derniers mois.

« J’ignore ce que tu veux de moi Peter, mais n’oublie pas que nous ne sommes plus au Pays Imaginaire. Je n’ai pas à t’obéir ici. Je suis libre. » Ne tenant plus je tripote la pointe de mon crochet observant mon geste en lui lançant. « J’ai appris quelques choses d’intéressant à ton sujet. Le Crocodile serait ton fils d’après les infos qu’il m’a donné… Je voulais m’assurer face au principal intéressé si cette information était véridique ou non. »

Et même si ce n'est pas vrai, il devrait apprécier si le Ténébreux délivre de fausse information sur lui. Peut-être un allié contre ce monstre?

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MessageSujet: Re: The Game starts Again - Contrat du Captain Pan   The Game starts Again - Contrat du Captain Pan EmptyMer 12 Oct - 17:40



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Il lançait une nouvelle partie, sur un terrain encore inconnu, et dans un but assez flou pour le moment. Mais ce qui comptait était bien sûr qu’un jeu démarrait de nouveau, alors que l’homme était enfin arrivé – il se plaisait vriament à le faire attendre ? Il semblait dans tous les cas absolument ravi de le retrouver dans son espace de travail, comme un roi trônant sur son domaine – parce qu’il était évident que tout ce qui lui appartenant, était aussi possession du garçon. Ni secret ni rébellion, l’homme était à lui comme on revendique un animal de compagnie qui s’est enfuit quelque temps hors de la maison. Merci de l’avoir recueilli, de l’avoir nourrit, et au revoir. Les choses n’étaient bien sûr pas exactement comme cela, c’était un peu plus compliqué au niveau des relations, tant entre eux qu’entre la famille qu’il avait pu composer, mais il trouvait que c’était là un bon résumé de la situation. Son appartenance, et s’il se trouvait à contester ce fait, il trouverait le moyen d’apposer sa marque sur lui pour le signifier au reste du monde – et à cette femme qui semblait être un peu trop attacher à lui.  Où était passé ce petit capitaine sans loi, fréquentant sirènes et prostituées à chaque jour qui passait dans sa longue vie ? Il lui manquait légèrement, ce Crochet tatillon et soumis, surtout comparé à ce père de famille, même si cela donnait un tournant inattendu à son jeu.

« Je ne te pensais pas aussi… romantique, Capitaine. J’ai toujours crue que les femmes de petites vertus te suffisaient… Tout comme mes créatures. Comment s’appelait-elle déjà, la petite qui venait te voir ? Ah, elle sera fort déçue, tu ne crois pas ? Ah, cette chère madame Lake… Moi je la trouvais sympa, du moins c’est ce que me disent les faux souvenirs. C’est fou ce qu’ils ont pu nous faire faire, hein James ? » Lança-t-il, accompagné d’un regard appuyé.

Comme par exemple devenir sheriff, pour un pirate c’était d’une ironie assez mordante. Retrouvé la femme aimée, avoir des enfants, une existence vaine et fausse, construite sur la base de vingt-huit ans de mensonge. Il était temps que Peter réveille l’homme, celui qui le servait sans discuter et qui exécutait ses ordres à la lettre, loin d’un homme responsable et adulte, un pirate resté encore immature dans sa tête, au point de le suivre dans ses jeux les fous et les plus improbables. Son nez se fronça, une moue presque de dégout sur son visage, quand il mentionna Emma Swan comme un parti intéressant. Voilà bien des préoccupations futiles qui occupaient constamment la tête des adultes, de ceux qui avaient atteint la maturité comme il disait. Voilà au moins qui lui confirmait que James n’avait pas remarqué l’essentiel chez cette femme, son potentiel qui semblait irradier de toute part. Diana Lake avait-elle aussi repérer cela, expliquant ainsi son rapprochement avec la blonde, sans rien en dire au père de ses enfants, ou bien était-elle aussi aveugle que les autres ? Belle question rhétorique qui n’avait de toute façon aucune importance. Il ne répondit même pas aux avertissements sur ses enfants, se contentant d’un sourire goguenard, en pensant à des plans qui n’avaient aucune existence, pour le moment. Le cas de ces trois-là étaient bien trop intriguant pour qu’il l’ignore bien longtemps. Le capitaine oubliait bien trop facilement ce qui composait le cœur des enfants, leur insécurité et leur peur. Il y avait déjà eu nombre d’enfant, à Neverland, qui avait pourtant deux parents aimants. Mais cela ne faisait pas tout, n’est-ce pas ? L’adolescent regarda l’homme  narguer son fidèle serviteur sans broncher, trouvant même amusant le renfrognement de Felix. Après tout, quoi de plus normal que ses fidèles se disputant sa présence ?

Mais le jeu prit un tour bien plus sérieux – et ennuyeux même – lorsqu’il lâcha sa petite collecte d’information. Ce n’était pas une chose qu’il aimait savoir dans la tête de cet homme, ni dans aucune autre d’ailleurs. Une erreur de sa vie, celle de toute une vie, avant qu’il ne parvienne à se trouver et devienne le Pan. Cette existence n’aurait dû laisser aucune trace derrière elle, pour ne laisser que sa vie à Neverland, mais il avait eu un fils, laissé un héritage dans l’histoire. Rumple était le fils qu’il n’aurait jamais dû avoir, un être qui n’aurait jamais dû exister, même si Peter n’avait rien contre lui. C’était de sa faute après tout, d’avoir eu un enfant, et malgré tout il ne souhaitait que le bonheur de ce fils qu’il avait renié. Mais pouvait-il vraiment le considérer comme son enfant, la chair de son sang, une partie d elui ? Peter Pan n’avait pas d’enfant, il était un enfant. Mais une autre information capitale retenait son attention,

« Le père de Rumplestilskin s’appelait Malcolm. Mort, il y a un moment déjà. Mais dit moi plutôt, je ne voie ni coup ni blessures sur toi, ta femme t’aurait-elle soignée ? J’ai du mal à croire que en une rencontre cordiale entre toi et le Ténébreux, ne voulais-tu pas le tuer il y a peu ? » Ses jambes se décroisent soudainement, faisant tanguer la chaise en équilibre précaire. Il tenait cette position depuis un moment déjà, et il s’en sentait lassé, il avait besoin de bouger. Il croisa ses jambes sous le fauteuil, prenant appuie sur le bureau en le débarrassant d’un mouvement de bras de ce qui pouvait l’y gêner – comme l’enfant capricieux qu’il était.

« Mais tu as raison James, nous ne sommes plus à Neverland. C’est bien ce qui est inquiétant. Je suis sûr que tu te souviens de l’Ombre ? Être de magie, tout ça. Elle n’a pas pu se matérialiser à Storybrook la pauvre, et a dû rester Neverland, seule pendant vingt-huit ans. ». Il fit une pause, dramatique et souriant funestement, trépignant d’avance à l’idée de rentrer réellement dans le jeu et de cesser toutes ces simagrées. « As-tu déjà songer à te faire rattraper par les années, et à finir en un petit tas de poussière tant tu es vieux ? »




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MessageSujet: Re: The Game starts Again - Contrat du Captain Pan   The Game starts Again - Contrat du Captain Pan EmptyDim 30 Oct - 11:00


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Les filles de petites vertus. Je ne peux pas m’empêcher de sourire à ce souvenir. Je faisais un malheur dans les bordels à l’époque. Que ce soit à Tortuga ou dans n’importe quels autres ports. Je me crispe un peu quand il mentionne Limenia. Ou plutôt qu’il oublie son nom… Cette petite était tellement obsédée par Peter… Cette petite me manque… Beaucoup.

« Son nom était Limenia ! C’était de loin ta meilleure sirène. Elle est morte, il y a peu de temps. Enfin. C’est pas à toi qu’elle va manquer n’est-ce pas ? »

Dieu ses faux souvenirs. Regina a le sens de l’humour. Faire de moi un représentant de la loi. Le pire est que je garde toujours ce poste, mes souvenirs de scélérat de retour. Pourquoi je fais ça au juste ? Foutu malédiction… Je ne préfère pas répondre à Peter, je connais son air. Il veut retrouver son copain de jeu. Je ne suis pas fier de ce que la malédiction a fait de moi, bafoué mes souvenirs de Milah, renié ma nature, mais je n’y peux rien. C’est trop tard désormais pour faire demi-tour.

Hum… Malcolm hein ? Je dois avouer que je ne comprends pas trop ce que ça veut dire. Malcolm serait Peter ou pas alors ? Il ne veut pas me répondre davantage, je ne vais pas ennuyer mon patron là-dessus ça pourrait me retomber dessus. Je lui fais un sourire digne de Hook quand il me parle de mes ‘anciens’ projets de tuer le Ténébreux.

« Ne t’inquiète pas là-dessus. C’est toujours ma priorité première. Tu vois, j’ai passé un deal avec lui. Il veut que je lui livre tes faiblesses pour qu’il puisse te nuire ou te tuer je ne sais pas. Je peux profiter de cette paix éphémère entre nous pour rechercher la dague et l’anéantir sans trop l’avoir dans les pattes. Ou alors utiliser son pouvoir pour le contrôler et lui faire détruire par lui-même son bonheur. Ce serait trop demandé d'une petite assistance de ta part, non? Après tout, le Crocodile t'en veux à toi aussi. Si on s'allié contre lui... Il n'aurait aucune chance pas vrai? »

Peter, jouant son gamin, balance ce qui peut le gêner sur mon bureau. Je retiens de justesse une photo de mon amour, le Jolly Roger, qui allait s’écraser par terre. On ne touche pas à mon bébé ! il parle de l’Ombre, bien sûr que je me souviens de ce démon. J’approuve de la tête ses informations sur elle.

« Quoi ? Tu mens. » Je claque la mâchoire à ces dernières informations. Est-ce vrai ? Je peux rattraper mes 300 années d’un seul coup ? Si c’est vrai, Leÿlin aussi mourra de la même façon. Elle vient d’avoir un enfant… Si je meurs, ce n’est pas si grave que ça, mais pas ma fille aînée. Je me rapproche de Pan, m’appuyant juste à côté de lui croisant les bras.

« On peut faire quoi pour l’empêcher ? Si ce que tu dis est vrai. » Et c’est vrai, Pan ne ment jamais… « Je ferai ce qu’il sera nécessaire pour sauver mon enfant. Tu le sais. »

Il voulait retrouver son compagnon de jeu, et bien le voilà servi.


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MessageSujet: Re: The Game starts Again - Contrat du Captain Pan   The Game starts Again - Contrat du Captain Pan EmptyMer 2 Aoû - 8:54



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Le sourire disparut un instant de son visage alors qu'il songeait à la petite sirène et à son destin tragique. Pas qu'il ne se souciait réellement de cette créature, mais plus des circonstances. Une sirène, c'était plutôt résistant mine de rien. Elles habitaient les profondeurs, et pouvaient aisément s'y refugier à l'abri des chasseurs et autres personnes susceptibles de leur en vouloir. Elles avaient quelque pouvoir sur les mers, et puis celle-ci n'avait-elle pas un artefact pour marcher librement sur les terres ? Non, la cause de sa mort était plus importante : avait-on cherché à lui porter atteinte, en tuant l'une de ses créatures les plus fidèles ? Bah, si quelqu'un avait voulut lui nuire, ce n'est pas une parmi tant d'autres qu'il aurait tuer, mais quelqu'un de plus important. Tant pis pour cette Limenia. Quel idée aussi de rester à Storybrook, là où les adultes pullulaient !

Son grand et habituel sourire reprit en tout cas rapidement sa place à l'écoute de son pirate. Non, imaginer le Crochet sans sa haine pour son crocodile de fils, c'était un monde qui ne pouvait exister : Peu importe comment, une inimité devait se créer entre eux, une qui ne pouvait être réparer. Mais ainsi, Rumple cherchait à en savoir plus pour lui ? Une idée innocente pourrait faire croire que le fils cherchait à en apprendre plus sur son père, mais bien sûr ce n'était pas du tout le cas. Qu'est-ce qui se cachait alors dans le crâne du Dark One pour venir l'embêter ainsi ? Vraiment, ce n'était pas bien du tout de piquer les jouets d'autrui, alors procéder à un contrat avec son jouet préféré, non vraiment pas acceptable. Mais ferait-il quelque chose pour autant ? Tant que Rumple ne se montrait pas ouvertement menaçant, Peter n'irait pas à sa rencontre. Ce n'était pas pour rien qu'il avait coupé tout ponts avec lui, et certainement pas pour qu'ils gardent contact. Et c'était pour cela aussi qu'il ne s'allierait pas à James pour chercher querelle à Rumple, aucun intérêt à ce jeu pour lui. La réaction de l'homme à ses dernières révélations fut bien plus amusante en revanche ! La tension se fit tout de suite plus sérieuse - malgré sa propre présence dans la pièce - et Peter se contenta se soutenir le regard presque paniqué du capitaine. Pan, mentir ? Jamais. Peu importe quel était la vérité, elle sortait de sa bouche. Peut-être parfois sous une forme quelque peu arrangé, sous sa propre perception, mais jamais déformé. La vérité sort toujours de la bouche des enfants, n'est-ce pas l'adage ? Il en rirait bien, une autre fois.

L'excitation du jeu reprenait possession de lui, aussi surement qu'il le reprenait avec son compagnon préféré, et ce dernier l'avait bien comprit. Et c'est pour cela qu'en toute honnêté, car il comptait bien poser les règles de ce jeu dès le début de la partie, son regard vrillé à celui du shérif, que Peter répondit " je n'en ai aucune idée ". N'était-ce pas une idée frémissante, inquiétante ? Si quelqu'un devait savoir comment résoudre les problèmes de Neverland, c'était bien Pan. Et si même ce-dernier n'en savait rien, quel espoir restait-il ? Personne n'aurait pu trouver de solution aussi rapidement que lui, et le temps pressait. Cartes sur table, il n'avait aucun début de réponse. " C'est pour cela que nous devons partir maintenant. Le jeu a commencé James, nous devons vite trouver des indices avant de nous faire devancer par l'Ombre !" Car oui, c'était un véritable jeu pour lui qu'il lançait, aussi fou que cela puisse paraître. Mais personne n'a dit que Peter Pan ne pouvait pas être fou. Un grain de folie pour 3 grains de raisons, c'était un bon ratio non ? Lui préférait 3 de folie pour 1 de raison, beaucoup plus imprévisible et amusant ! D'un bon, l'enfant se leva et tendit sa main au pirate, comme dans un flash de leur antique jeu sur l'île. Sauf que celui-ci de bien des manières pouvait être beaucoup plus mortel que tout les autres combinés. Quelqu'un avait-il dit un jour que Peter Pan n'avait pas peur de la mort ? Ce n'était pas une idée qui le terrifiait, mais qui le figeait de peur tant il ne parvenait pas à l'envisager. La mort, cette grande inconnue. Certains disaient que Neverland était le paradis des enfants mort trop jeune ou abandonné. Mais si lui mourrait, ou irait-il finir ses jours ? Non, l'enfant perdu voulait vivre pour l'éternité, que chaque jour soit un renouveau de jeu et de situation, et celle-ci en était une toute inédite, mais il était sur qu'il parviendrait à s'en sortir, car c'était ainsi que Pan vivait. Et dans cent ans une nouvelle situation inextricable surviendrait, menaçant leur vie, et tous diraient qu'ils n'avait jamais été autant en danger, comme un éternel recommencement. Alors bien sûr, la crainte de la fin du jeu, du game over, de la mort était réel chez lui, car sinon prendrait-il plaisir à se jouer ainsi de la vie ? Mais personne ne le savait, et personne ne devrait jamais le savoir, car il fallait garder cette image du Pan intrépide dans l'esprit de tous. Et c'est pour cela qu'en lui tendant sa paume, dans une invitation évidente, Peter parla. "Nous avons toutes les chances de mourir au final, et très peu de chance de nous en sortir tant le danger de cette aventure est grand et puissant. Mais la mort doit être la plus grande des aventures. Viens." Et le pirate de prendre sa main. Alors le garçon s'envola, le tirant à sa hauteur et passant par la fenêtre, n'ayant que faire de Félix qui resterait là à patienter son retour, ou des gens de la ville qui pouvait apercevoir le sheriff s'envoler accroché à la main d'un garçon assez jeune. Ca allait jaser non ? Tant mieux !

Le voyage ne fut en fait guère long. A peine avaient-ils rejoint le ciel bleu, en hauteur, que la magie de Peter avait créer une passerelle pour qu'ils puissent passer, et Neverland fut ainsi à porter presque immédiatement. Heureusement pour le pirate qui s'accrochait de toute ses forces au garçon - où était l'appareil photo quand on en avait besoin ! D'ailleurs, par pur plaisanterie, le chez des Lost Boys s'arrêta au-dessus des océans de Neverland, ceux qui n'étaient pas toucher par le gel prêt des cotes, cette mers impitoyable mais à présent plutôt calme, et pour cause ! Il s'arrêta donc, lançant un regard à son pirate, un grand sourire ironique au coin des lèvres. "Tout va bien Capitaine ? C'est qu'on est au bout du chemin … Je viens de me rendre compte qu'il y a une barrière, je ne peux aller plus loin. Ni plus haut, ni plus bas. Terminus tout le monde descend !" A peine le temps pour l'homme d'esquisser un mot que Peter le lâchait au-dessus des flots.




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