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 Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White

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Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White Empty
MessageSujet: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyLun 25 Juil - 17:54

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Aileas n'avait pas beaucoup de travail pour un mois d'été ; ce qui était curieux, d'une certaine manière, mais étant travailleuse sociale, elle ne pouvait que s'en réjouir. La plupart des affaires sur lesquelles elle était depuis quelques mois c'étaient soit réglées d'elle-mêmes, soit était-elle parvenu à les arranger avec un peu d'adresse ; alors passait-elle la majorité de son temps au club de tir à l'arc, dont elle était présidente depuis quelques mois déjà. Il n'y avait rien de tel pour elle que de passer des heures là-bas, à se concentrer sur les cibles, à tirer flèche sur flèche en parvenant chaque fois à atteindre sa cible ; il n'y avait rien de tel que de prendre en charge quelques élèves dont le professeur était en congé maladie. Mais malheureusement, il n'y avait pas que le plaisir, quand on avait un club en charge ; il y avait aussi toutes les contraintes administratives, qui lui prenaient miraculeusement de moins en moins de temps -peut-être parce qu'elle avait pris l'habitude de farfouiller des archives et des documents administratifs quand il s'agissait de son métier principal. Rien de tel que des fraudes financières découvertes pour mettre la pression sur le maître chanteur d'un de ses clients…

C'est donc un peu fatiguée qu'elle sortit du club, soulagée tout de même de voir le soir arriver. Elle avait hâte de pouvoir se détendre un peu, se prélasser peut-être sur la grande place puisqu'elle n'avait pas de terrasse pour le faire chez elle dans son miteux appartement bas-prix… elle en avait bien besoin, après toutes ces émotions. Inconsciemment, elle s'assura que son objet le plus précieux se trouvait toujours dans sa poche ; puis, lançant son sac sur son épaule, elle prit le chemin de chez elle avec une petite mine réjouit.

Bien sûr, tout ne se passa pas comme prévu. Mais ça se passa très vite, au moins ; à peine avait-elle débarqué dans une rue majoritairement pleine de boutiques qu'elle se retrouva tout prêt d'un magasin avec une grosse horloge décorative sur le devant. Une nouvelle boutique d'horlogerie ? Pourquoi pas ! On trouvait de tout, à Storybrooke, plus rien n'était un étonnement, à force. Mais ce qu'elle avait beaucoup moins vu, par contre, c'était une échelle, échelle qu'elle se prit de plein fouet alors qu'elle faisait plus attention à la vitrine que là où elle marchait…

« Woaaaaaaaaaah ! »

Poussant un cri, elle sentit l'objet de bois basculer tandis qu'elle se rétamait le dos sur le sol ; et en quelques secondes, elle entendit l'échelle claquer sur le sol brusquement, puis une masse inconnue soudainement lui arriver droit dessus. Elle était en train de se faire écraser par un inconnu !

Et automatiquement, toutes les alarmes possibles et imaginables se mirent en route dans l'esprit d'Aileas, quand elle se rendit compte que c'était un gars à l'air niais qui était presque en train de la… tripoter ?! Mais ça va pas ? Bon, peut-être aussi qu'il essayait surtout de se relever en lui faisant le moins mal possible… mais quand même ! Avec une force insoupçonnée, probablement fournie par l'adrénaline qui la parcourait, elle souleva le mec douteux et le poussa avec brutalité sur le côté, pour se relever prestement, le fixant avec un air carrément méchant.

« Mais ça va pas de tomber sur les gens comme ça ?! Espèce de pervers ! »

Il lui fallu bien quelques secondes pour se souvenir que toute cette histoire était à la base de sa faute ; c'était quand même elle qui avait fait tomber son échelle, et par extension, l'avait fait tomber lui… Prenant une grande inspiration, elle se calma autant qu'elle en était capable -autant dire, pas beaucoup, mais suffisamment.

« Pffouuu… Désolée. J'avais pas vu qu'il y avait une échelle… on dit que ça porte malheur de passer dessous, mais c'est foncer dedans qui porte malheur, surtout, je crois. »

Il ne lui vint pas à l'esprit que la moindre des choses aurait été de lui tendre la main pour l'aider à se relever ; mais la simple idée d'un contact physique la faisait frissonner, et pas dans le bon sens du terme, alors le laissa-t-elle se débrouiller tout seul, bien qu'elle se dévoua pour ramasser l'échelle. Au moins ! Une fois l'objet remis en place, elle croisa le regard de l'inconnu… et crut pendant un instant qu'elle le connaissait. Elle avait déjà vu ce regard… mais où ?

« Est-ce qu'on se connaît ? J'ai l'impression qu'on s'est déjà vu. Enfin… peut-être. Et désolée encore, pour l'échelle… Je crois qu'elle a rien. »


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyJeu 28 Juil - 21:26

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.

Il avait passer plusieurs semaine a travailler a l'intérieur de sa boutique, il avait du réparer beaucoup de chose et l'endroit nécessitait un bon gros coup de peinture et de balais, une fois le travail achevée, il avait installer tout son matérielle a l'arrière de la boutique, avant de placer les différentes horloges qu'il avait récupérer un peut partout dans la boutique, par chance les bruits était assez discret pour qu'il n'en perde pas la tête, enfin, pas plus qu'avant en tout les cas.

Une fois le travail intérieur achever, il lui fallait s'occuper de l'extérieur et plus particulièrement du nom de sa boutique, alors c'était ce qu'il avait prévue de faire ce jour la, échelle installer au bonne endroit, pot de peinture et pinceau requis a la main, son cerveau fonctionnais a mile a heures, ce demandant par ou commencer, le début ? la fin ? le milieu ? Est-ce que sa avait vraiment de l'importance ? Avait-il éteint la gazinière en partant de chez lui ? Etait-il en retard pour quelque chose d'important ?

"Concentre toi."Siffla-t-il entre ses dents tandis qu'il s'avançait vers l'échelle, il était devenue une véritable tornade depuis qu'il avait récupérer ses souvenirs de sa vie de lapin a Wonderland, il courrait dans tout les sens, son cerveau partait dans des tangentes qu'il avait parfois du mal a suivre, il devait parfois se concentrer sur quelque chose en particulier pour ralentir, aujourd'hui c'était la peinture.

Il grimpa au sommet de son échelle avant d'ouvrir son pot de peinture, l'odeur s’incrustant dans ses narines, il éternua et c'est a ce moment la que quelque chose rentra en collision dans son échelle du coup il perdit l'équilibre avant de s'écraser au sol ou plus précisément sur quelqu'un. Il poussa un grognement avant de gigoter sur place pour tenter de se dégager, mais la personne semblait avoir plus de force que lui car elle le dégagea rapidement.Il ne fit même pas attention au faite que la femme était entrain de l’accuser d'être un pervers, son crane avait taper légèrement contre le bitume alors il était légèrement sonner.

Se frottant le crane, il avait finit par se relever tout en écoutant d'une oreille distraite la femme qui lui parlait toujours, il cligna plusieurs fois des yeux avant de pousser un autre grognement. Son regard avait finit par croiser celui de la rousse, il n'avait pas eu besoin de réfléchir bien longtemps pour savoir où il l'avait déjà croiser.

"Sa arrive."Avait-il dit après qu'elle se soit excuser avant qu'il n'ajoute."Vous êtes la femme que j'ai vue plusieurs fois a une fenêtre durant la malédiction..."Il déposa son pinceau sur son échelle pour pouvoir jeter un coup d’œil a son propre corps,ses vêtements était un peut sale et son bras avait des égratignure,mais  par chance il n'avait rien de casser.

"L'échelle s'en remettra,j'en suis sur."Son ton avait été sarcastique, il fronça le nez avant de secoué la tête, il n'était plus Samuel il devait arrêter d'avoir un caractère qui n'avait rien a voir avec le vrai lui. Il poussa un soupire avant de se pincer l’arête du nez."C'est pas grave...sa arrive."Avait-il répéter encore une fois, parce que oui, foncer dans les objets sa lui arrivait parfois, surtout durant sa période a rechercher Alice.


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptySam 6 Aoû - 21:52

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Aileas se promenait rarement sans son arc et ses flèches ; et elle avait la désagréable impression que c'était toujours quand elle en avait besoin qu'elle ne les avait pas, tout comme elle soupçonnait qu'elle se balade avec pour rien d'autres que se prendre des regards inquisiteurs des gens qui passaient. Pourtant, elle aurait pensé que ce soit devenu monnaie courante d'avoir des armes sur soi, depuis la levée de la malédiction ; après tout, nombre d'habitants venaient de contrées moyen-âgeuses et avec les changements d'apparence et tout le charmant bataclan, on ne savait plus qui pouvait être un ami parmi ses ennemis et qui pouvait être un ennemi parmi ses amis. Aileas était peut-être parano, mais elle se considérait surtout comme une personne prudente, et Mor'Du pouvait très bien être son voisin, son épicier, ou pire, ce drôle d'homme à qui elle venait de renverser l'échelle. Bon, il était un peu gringalet pour être la forme humaine d'un ours géant et maléfique mais, comme elle le disait toujours, les apparences ont parfois tendance à être trompeuses.

Mais ses doutes se dissipèrent à l'instant même où il signala nonchalamment qu'il était l'homme assis dans la grande place, du temps où Aileas vivait encore dans un petit appartement avec son mari. Était-ce vraiment cet individu qui l'avait fascinée ? Ça n'était pas… Non. Non ? Elle qui avait passé des heures et des heures assise à cette fenêtre, les yeux dans le vague… Un flashback envahit son esprit. Elle se voyait à nouveau à regarder à travers la vitre, un soir, au moment où le soleil se couchait ; et cette silhouette se détachait du paysage comme une étrange aura lumineuse, les yeux fixés en direction de la tour de l'horloge, regard qui soudain se dirigeait dans sa direction et malgré la distance, elle savait qu'il la regardait. Il s'était échangé à plusieurs reprises ce lien étrange, et Aileas avait soudain transformé cette relation silencieuse en un fil, le seul et unique fil qui la maintenait encore dans la réalité, qui retenait le peu de sanité d'esprit qu'il lui restait en ce temps-là. Et elle avait tant idéalisé le moment où elle pourrait le rencontrer en vrai, l'approcher, le saluer, lui parler, lui dire à quel point il avait été important dans sa vie d'avant. Et ce symbole qu'il était devenu, c'était… ça ? Un type sarcastique avec l'aspect d'un pigeon déplumé ?

« Oh. C'était… vous. »

Le regard d'Aileas se fit soudain profondément blasé ; comme quoi, il ne fallait jamais rencontrer ses héros. Bon, un pigeon déplumé, c'était peut-être un peu cruel mais… Elle qui était si perdue durant la malédiction, si silencieuse et fragile, elle avait toujours perçu cet inconnu comme une sorte de héros, une apparition, un fantôme, quelque chose qui n'existait que dans son imagination, qu'elle avait créé de toute pièce simplement pour se sortir de sa torpeur. Et d'apprendre que l'esprit en question était un homme réel, et des plus normaux -enfin, aussi normal qu'on pouvait l'être dans une ville comme Storybrooke, était quelque peu… décevant. Peut-être s'était-elle trop laissée emportée dans ses fantaisies de femme en détresse, à l'imaginer un jour toquer à sa porte et l'emporter entre ses bras, la sauvant d'une existence morne et triste à en mourir. Et il n'était jamais venu… Jamais. Elle s'était sortie toute seule de sa galère, en redevenant la bonne vieille Merida au caractère bien trempé, alors ça n'était pas aujourd'hui qu'elle avait besoin de lui.

Et sans vraiment s'en rendre compte, elle se mit à lui reprocher intérieurement tout ce qu'elle avait vécu dans sa vie d'avant, à reporter sur lui toute la rancoeur qu'elle éprouvait à l'égard de la personne qu'elle était, à l'égard de l'ancienne Aileas, à l'égard du fait qu'il n'était jamais venu alors qu'elle l'avait tant espéré. Elle ne parvenait pas à sortir de cette idée étrange, ne voulait pas comprendre que cet homme était simplement un inconnu avec qui elle avait échangé des regards quelques fois, durant la malédiction, et qu'il n'était rien d'autre que cela tant qu'elle ne prendrait pas le temps de le connaître mieux.

« Ouais, enfin, c'est vrai que ça aurait pu être pire. Elle aurait pu vous rater. » Elle avait croisé les bras, tentée par l'irrésistible envie de s'en aller tout en ayant le désir irrépressible de rester près de lui, rien que pour en savoir plus sur la personne qui lui avait accidentellement servi d'ancre durant la malédiction. « Sinon, puisque l'on est plus séparés par la distance et par une vitre glacée… On peut faire connaissance pour de vrai. » Tentative d'approche irréprochable. S'il y avait eu un verre avec des glaçons, les glaçons n'auraient pas pu fondre. « Je m'appelle Aileas. Aileas McGuiness. » Elle tendit spontanément la main, mais la retira avant qu'il ne puisse la saisir, se remettant les cheveux en place. Bah quoi ? Elle n'aimait pas les contacts physiques, surtout avec des inconnus, et venait de s'en souvenir, alors… « Je ne vous retiens pas dans votre travail, j'espère ? Heureusement, la peinture ne s'est pas renversée, on aura évité de repeindre la rue comme ça. »

Elle restait obstinément plantée devant lui les bras croisés, toujours inconsciemment guidée par l'envie de partir mêlée à l'envie de rester. Et devinez quelle envie avait pris le dessus, à ce stade ?..


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyJeu 11 Aoû - 18:25

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.



« Oh. C'était… vous. »

On pouvait dire qu'il avait fait une grande impression auprès d'elle,son air blasé pouvait surement s'expliquer par le faite qu'elle avait du s'imaginer un tas de choses a propos de lui et qu'en faite il n'était qu'un simple type lambda qui peignait des noms de boutique,il en aurait presque lever les yeux au ciel, les gens ce faisait toujours toute une montagne dans leur esprit quand ils croisent de nouvelle personne,mais une fois la rencontre faite, les gens ne peuvent s’empêcher de juger, d'être déçus. C'est pour sa qu'il avait horreur de sa, tout ce qui touchait aux conversation banale dans la rue ou chez le boucher du coin, tout ce qui touchait aussi aux convention sociale, qu'il fallait réagir comme ceci ou cela dans tel ou tel situation, c'était beaucoup trop ennuyeux et rasoir pour lui, il préférait la compagnie d'un bon livre que de gens idiot qui ne parlait pour ne rien dire.

Comme c'était le cas en ce moment même, il ne pensait pas un jour ce retrouver face a face avec elle, a lui adresser la parole, il ne l'avait qu’entraperçue que quelques fois les jours où il venait s'installer pas loin pour observer la tour de l'horloge durant la malédiction, ils avaient simplement échanger quelque regards, peut être un sourire ou deux et sa lui avait suffit a Samuel, ils ne c'était jamais adresser la parole, il n'avait jamais du contrôler ce qu'il sortait de sa bouche,il avait été libre de faire ce qu'il voulait, mais maintenant que la malédiction était brisée et que ses souvenirs lui était revenue, son côté lapin blanc le poussait quand même a être un peut plus sociale, a être plus gentil, mais être sociopathe sa ne disparaissait pas en un claquement de doigts, il le serait pour le restant de ses jours, pas que sa le dérangeais plus que cela.

"Quel chance."Il pouvait sentir son envie de gigoter, de ce bouger pour reprendre son travail, il ne pouvait jamais ce concentrer sur les conversations, son cerveau faisait toujours en sorte qu'il entende une phrase sur deux avant de partir sur un autre sujet,tout ceci allait le mettre en retard, il avait une date d'ouverture, il ne pouvait tout simplement pas tout faire retarder juste parce qu'une inconnue avait envie de discuter chiffon et serpillière.Il arqua un sourcils quand elle tandis sa main avant de la retirer pour ce la passer dans les cheveux,il ne chercha même pas a comprendre ce que ce geste signifiait.

"Samuel White..."Avait-il finit par répondre après plusieurs secondes de silence, peut être qu'il aurait du dire qu'il était enchantée de faire sa connaissance ? Non pas la peine de raconter des mensonges, il n'était pas faux-cul alors les expression de politesse,il pouvait s'en passer."J'ai une date butoir...mais ce n'est pas presser...la journée n'est pas encore finit."Le côté lapin blanc avait reprit le dessus sur la discussion, évitant soigneusement de répondre que si elle le dérangeait et il voulait finir sa peinture au plus vite pour ensuite attaquer la seconde couche et peut être acheter une plante ou deux pour l'intérieur.



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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyVen 19 Aoû - 23:03

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Eh bah, ce type était au moins aussi bavard et aimable qu'une porte de prison haute sécurité ; bon, ça n'était pas plus mal, étant donné qu'Aileas elle-même n'était pas une fada de conversations vides sur le beau temps et n'affectionnait pas particulièrement de parler pour ne rien dire. Mais en même temps, il pouvait faire un effort ! Ça n'était pas rien, ce qu'ils avaient partagé. Ok, peut-être un peu, ça n'était rien de concret, rien de véritable ; et Aileas savait très bien qu'elle avait la possibilité de mettre un terme à cette drôle de rencontre tout comme elle s'en sentait parfaitement incapable tant elle n'avait pas encore envie de le lâcher. Un peu parce qu'elle avait envie de trouver en lui ce qu'elle avait imaginé durant la malédiction ; et un peu par mesquinerie aussi, mais ça elle ne se l'avouerait jamais, vu qu'il n'avait pas l'air d'avoir particulièrement envie de sa compagnie -quelque chose d'à la fois réciproque et non-réciproque. Aah, les inconstances… que c'était fascinant. Techniquement, elle n'avait rien contre lui ; elle ne le connaissait pas, après tout, et rien ne les forçait à se fréquenter. Mais avec son opinion faussée et particulièrement négative à l'égard de la gente masculine, et la claque qu'avait été la désillusion présente, elle avait comme cette envie étrange de pourrir encore plus sa journée -alors qu'en temps normal, et même dans son métier actuel, c'était plutôt l'effet inverse qu'elle voulait créer.

Regardant autour d'elle, elle s'attarda un instant sur la vitrine encore en travaux ; des horloges, des montres, et des tas d'objets qui faisaient tic-tac ; voilà qui était curieux. Le monsieur était un vendeur de montres, alors ? Pas étonnant qu'il ait l'air si pressé que la conversation se termine. Ils se complétaient bien, tous les deux, dans un sens ; aucun n'aimait spécialement les discussions fades du quotidien, et aucun n'aimait perdre du temps, l'un par sa nature de lapin blanc en retard, et l'autre par sa nature explosive et les 28 années qu'elle avait à rattraper après une malédiction aussi terne et morne. On pouvait dire que Regina avait réussi son coup en matière de ruine des fins heureuses.

« Pourquoi vous passiez autant de temps sous l'horloge, au fait ? » Elle avait délibéremment ignoré son sous-entendu par rapport à sa « date butoir », avec son charmant esprit de contradiction, le simple fait de voir qu'il voulait boucler cette histoire dans les plus brefs délais lui donnait d'autant plus le désir de rallonger encore et encore le temps qu'elle passerait là. « Vous y étiez souvent… Mais toujours seul. Et je ne vous ai jamais croisé ailleurs. Enfin, pas que ce soit quelque chose de très possible dans mon état de l'époque mais… Vous aimez pas les gens, c'est ça ? »

C'était sur ce point peut-être que le lapin blanc et la tornade rousse différaient ; car le premier se révélait être un sociopathe, un état d'esprit qui ne se résumait pas qu'à « je n'aime pas les gens » mais qui incluait cette tendance ; ça n'était pas vraiment les gens le problème, mais ce qu'ils étaient, sûrement. La rousse, de son côté, c'était tout l'inverse ; elle n'avait de loin pas choisi son métier au hasard, et même si elle avait un peu contourné quelques règles pour pouvoir être en règle -paradoxalement- vu qu'elle n'avait fait que quelques formations hasardeuses, elle s'efforçait chaque jour de rendre la vie de chacun meilleure. Tous ceux qui venaient frapper à la porte de son bureau en quête d'une aide était sûr d'en trouver une, et même si la mission qu'ils lui confiaient paraissait impossible, elle n'était jamais loin de promettre de pouvoir tout arranger en quelques claquements de doigt. Et quels claquements ! Elle passait son temps à courir partout, parfois en allant jusque sur le terrain -ce qui lui avait attiré pas mal d'ennuis ici et là mais c'était un détail-, mais toujours dans l'optique de la quête du bonheur, de la quête du destin, pour convaincre tous ceux qui venaient à sa rencontre que rien n'était jamais écrit dans le marbre et qu'ils étaient maître d'eux-même jusqu'à leur dernier souffle, que c'était leurs actions qui les définissaient et non pas leur être profond, leur propre opinion d'eux-même -existentialisme sartrien pour les nuls, en quelques sortes. Elle aimait les gens, quoi, même si ça n'était de loin pas son style de le montrer.

« Je suis devenue travailleuse sociale. » Elle avait balancé ça d'un seul coup, comme s'il avait posé la question, indifférente de savoir s'il voulait vraiment le savoir ou non ; mais elle était encore percée par ce sentiment de trahison qu'elle ressentait, sentiment infondé mais qui existait tristement ; et bien qu'en temps normal elle se fichait bien de démontrer ses propres accomplissements, elle en ressentait curieusement le besoin face à celui qui l'avait vue dans un de ses pires moments de détresse. Un peu comme si elle devait lui prouver qu'elle n'était plus une jeune femme faible et fragile mais une battante qui avait défoncé des portes pour réussir -et ça n'était pas tout à fait une métaphore. « Et présidente du club de tir à l'arc… Si vous passez au stade de sport de l'université. Le précédent a… abdiqué, à la levée de la malédiction. » Abdiqué, oui, c'était le mot. Parfois, il fallait se passer des détails. « Je peux vous aider à repeindre, si ce n'est que ça. Aider les gens, c'est mon métier... » Et elle disait cela avec un petit sourire au coin des lèvres, démontrant inconsciemment que ce n'était plus elle qui avait besoin d'aide désormais. Décidément, cette étrange fierté mal placée promettait de belles conséquences… Sans plus attendre d'ailleurs, elle attrapa le gros pot de peinture et le pinceau qui trainait par là. « Vous avez un deuxième pinceau ? Vu que vous avez l'air pressé de tout terminer, une deuxième paire de mains, c'est pas plus mal, non ? »

Non pas qu'elle soit particulièrement expérimentée dans le domaine de la peinture ; mais ça devait pas être si compliqué, non ? Aileas était avant tout une manuelle, pas forcément une touche à tout mais mettre la main à la patte n'était pas quelque chose qui l'effrayait, au contraire. Après tout, elle n'était pas exactement une princesse classique, une lady ennuyeuse qui ne faisait jamais rien de ses mains, c'était même le contraire parfait. Elle avait éduqué elle-même Angus dans le monde des contes depuis qu'il était poulain -avec l'aide de son père mais quand même !-, elle s'occupait elle-même de ses affaires, réparait elle-même ses flèches, son carquois et son arc dès qu'ils étaient abîmés, faisait de la pâtisserie -avec des conséquences mais c'était un détail qu'elle n'allait certainement pas partager de sitôt. Les gâteaux, c'était son truc, bien qu'elle était une catastrophe ambulante dans toute autre tentative culinaire, si bien qu'elle se nourrissait surtout de plats à l'emporter et de pâtes au fromage.

« Bah faîte pas cette tête ! Je vous jure que ça se passera bien. Et avec moi vous en avez pour moitié moins de temps. Et puis, je vous l'ai dit : maintenant qu'on est face à face, j'ai bien envie de faire connaissance avec vous sans échelle dans le passage. D'ailleurs, vous devriez faire attention, il suffit de peu pour la renverser comme vous l'installer, j'en suis bien la preuve vivante... » Et Aileas n'était pas quelqu'un de maladroit, juste du genre à marcher très vite vers son objectif sans rien laisser lui barrer le passage. « Je peux même vous aider à terminer l'intérieur. Vous pourrez m'expliquer ce que vous faîte dans la vie comme ça ! »

Chassez le naturel, et il revient au galop ; elle qui voulait initialement lui pourrir un peu sa journée, voilà qu'elle s'ouvrait un peu plus avec son enthousiasme habituel et sa chaleur humaine inimitable. Encore fallait-il contrôler l'incendie, car quand Aileas était lancée, ça pouvait faire de sacré dégâts, et le plus souvent contre sa volonté...


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyMar 6 Sep - 20:40

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.



Ennuyeux...ennuyeux...ENNUYEUX !

Tout ceci était ennuyeux,pourquoi s'acharnait-elle a vouloir lui adresser la parole ? N'avait-elle donc rien d'autre a faire ? Elle était dehors, donc elle elle était dehors pour une raison, surement pas pour discuter avec lui quand elle pouvait parfaitement voir qu'il n'avait aucune envie de parler ou alors elle l'avait bien compris, mais au lieu de s'en aller elle avait décider de l'enquiquiner juste parce qu'ils c'était vue durant la malédiction.Il ne c'était rien passer de plus, alors pourquoi insistait-elle autant a être agaçante ? Il n'en n'avait aucune idée.

"...Vous aimez pas les gens, c'est ça ?"

"Qu'est-ce qui vous a mis sur la voie ?."Le sarcasme encore et toujours le sarcasme, c'était essentiellement ce qui résumait Samuel sa sociopathie et son sarcasme, mixer a présent avec l'énergie débordante du lapin blanc, tout ceci donnait un résultat assez détonnant.Il avait bien sur ignorer royalement sa première question, il n'était pas enclin a parler de sa vie juste parce qu'elle avait décider de lui casser les pieds avec des questions plus ennuyeuse les unes que les autres. Si sa mère avait été présente elle lui aurait surement tirer les oreilles devant tant de grossièreté et il aurait simplement lever les yeux au ciel.

Ignorant le reste de ses paroles, il détourna la tête un instant son regard attiré par un chien qui passait par la quand il regarda de nouveau en direction d'Aileas, la jeune femme avait a présent un pinceau et un pot de peinture en main, il arqua ses sourcils devant cette vision, elle tenait vraiment a faire sa connaissance au point de vouloir l'aider a peindre sa devanture ? Il n'était pas aussi intéressant que cela."Vous avez rien d'autre faire ?"Avait-il dit sans pour autant lui retirer le pinceau des mains."Vous étiez dehors pour une raison n'est-ce pas ? Alors pourquoi vous tenez absolument a me parler ? Ce n'est pas parce que on c'est entraperçus quelque fois durant la malédiction que nous avons une connexion."

Il l'observa attentivement, s'attendant déjà aux insultes pour sa brutalité dans ses paroles voir même a encore plus de déception dans son regard ou alors elle allait continuer a l'enquiquiner juste parce qu'elle en avait envie. Il leva les yeux au ciel, avant de pousser un soupire agacer."Je n'ait pas le temps de bavarder...ou de répondre a des questions sans intérêt donc vous pouvez m'aidez si sa vous chante sans posez d'autre questions...ou vous reprenez votre chemin et tenter d'oublier a quel point l'image que vous vous étiez faite de moi était tellement mieux que la réalité."

Sans attendre de réponse il remonta sur son échelle qui avait été remise en place après avoir attraper un autre pinceau qui traînait dans la boite a outil près de la porte et après avoir aussi récupérer son pot de peinture qui était par chance intacte, il trempa son pinceau dans la peinture avant de se mettre a peindre la première lettre qui était devant lui.






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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptySam 10 Sep - 20:23

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« Vous avez qu'à me le dire si je vous emmerde. »

La vulgarité n'était pas une habitude chez Aileas ; mais passer par quatre chemins non plus. Et puis, ce drôle d'homme était en train de lui faire comprendre qu'elle le dérangeait bien plus que de raison, mais sans le lui dire directement, quelque chose qu'Aileas n'aimait pas non plus. Elle n'aimait pas grand-chose, en fait. Enfin, plus précisément, elle n'aimait pas quand les choses n'allaient pas dans son sens. Si un mur lui barrait la route, elle était capable de taper dedans jusqu'à ce qu'il se bouge de lui-même tant elle pouvait être bornée dans ses idées ; et son idée actuelle était de ne pas laisser la moindre chance à ce pauvre individu lui échapper. Elle tenait le pot et le pinceau bien en main, fusillant copieusement Samuel du regard.

« Absolument pas. J'ai tout mon temps. J'ai terminé toutes mes missions urgentes depuis trois jours, je vous garantis que je suis en pénurie de travail. Et puis, rassurez-vous, je ne vous demanderai rien en échange, je ne fais ça que parce que je suis gentille. » Elle l'assailli d'un petit sourire mesquin, avant de poser le pot de peinture et y tremper le pinceau, qu'elle sortit avec la brusquerie naturelle qui caractérisait la fille survoltée qu'elle était ; et bien sûr, sur son passage se trouvait Samuel, qui se retrouva avec une belle ligne de peinture en travers du t-shirt. Elle retint un rire, et fidèle à elle-même, elle ne prit pas la peine de s'excuser -« désolé » faisant parti de sa liste de choses les plus difficiles à dire sincèrement. « Bon ! Au moins c'est votre t-shirt de travail, ce n'est pas trop grave. » Elle tiqua sur son histoire de connexion ; elle n'avait pas envie de le reconnaître, mais c'était pourtant bien cela qu'elle ressentait. Une connexion. Un lien spécial qui les reliait, qu'ils le veuillent ou non. Pour le meilleur et pour le pire. Et si cette connexion allait devenir une haine sans merci, ça lui allait très bien ; elle avait juste envie de foncer tête baissée jusqu'au fond des choses, comme pour tout ce qu'elle entreprenait dans sa vie. « Une connexion ? Mais qu'est-ce que vous allez imaginer ! Ne soyez pas absurde. D'ailleurs, restez bien à plus de deux mètres de moi minimum, sinon je ne suis pas sûre de pouvoir retenir mes coups, c'est devenu un réflexe à force. »

Cet homme était un vrai challenge ; et maintenant qu'elle y pensait, Aileas se dit que c'était précisément pour cela qu'elle se sentait si déterminée à rester plantée près de lui. C'était différent de tout ce qu'elle avait affronté jusque là ; elle évitait les hommes la plupart du temps, et entre Niels le psychopathe et Iñaki le taré de service, elle était servie en matière de gente masculine désastreuse. Mais le comportement de Samuel lui paraissait si curieux, si inaccessible que ça la rendait encore plus désireuse de le connaître. Un peu comme si Aileas avait développé une hypocrisie telle qu'elle rejetait toute forme d'amitié ou d'affection de la part de ces messieurs mais dès que c'était elle qui se faisait rejeter, elle devenait soudain comme une dompteuse qui essayait de dresser un tigre à tout prix. Quelle superficialité profonde, quel paradoxe étrange. Ou alors c'était juste que vu qu'il semblait si enclin à la repousser loin de lui, elle le voyait comme un défi à relever, et Merida ne refusait jamais au grand jamais un défi.

« Parfait ! Moi non plus je n'aime pas les conversations banales ou les questions stupides, alors on va bien s'entendre dans le silence. Aller, vous faîtes la gauche, je fais la droite, et on se retrouve au milieu. » Elle l'observa remonter son échelle, soudain songeuse. « Je me suis fait une idée de vous oui, mais c'est précisément parce que je ne vous connaît pas réellement que j'aimerais le faire maintenant. Je déteste les préjugés. »

Quand ça l'arrangeait, bien entendu, même si sa tirade avait une certaine forme de sincérité en elle ; certes, Aileas n'était pas friande des hommes, mais c'était surtout un processus de méfiance inconscient que ses faux souvenirs lui avaient imposé. La plupart du temps, elle essayait de ne pas s'arrêter à des apparences. Et quand elle voulut enfin se mettre au boulot, elle se rendit compte qu'elle avait un problème ; elle n'avait pas d'échelle. Ce qui était quand même problématique étant donné qu'elle ne pouvait pas s'envoler pour l'aider à écrire ses fichus lettres… Sans même lui demander la permission, elle fit la première chose qui lui traversa l'esprit ; elle entra dans la boutique, à la recherche d'un autre truc sur lequel grimper, pensant que ça devait bien exister là-dedans ; et elle fut prise d'un sursaut en se retrouvant assaillie de tic-tac de tous les côtés. Si elle avait pu, elle se serait bouché les oreilles...


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyMer 28 Sep - 16:36

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.



"Vous avez la maturité d'une enfant de quatre ans."Avait-il dit quand il regarda son t-shirt qui a présent avait une jolie trace de peinture blanche,heureusement qu'il n'avais pas mit un de ses t-shirt favoris sinon la conversation aurait déraillé encore plus.Il tilta la tête sur le côté quand elle reprit la parole pour dénier qu'elle n'avait jamais imaginer qu'ils avaient une connexion,elle était fatigante comme femme, il ne savait pas comment les gens pouvait la supporter."Des coups ? Vous étiez incapable de me serrer la main plutôt alors excuser moi si je ne pense pas que vous soyez capable de me frapper au visage."

De toute façon il n'était pas très tactile lui même, il avait horreur quand les gens lui tapotait l'épaule, lui serrait la main, il ne comprenait pas pourquoi les humains avait temps besoin de se toucher dans leur vie de tous les jours, comme s'ils avaient besoin d'être rassuré, comme si ils étaient incapable de vivre sans le moindre frôlement. Samuel lui avait sa bulle personnelle depuis toujours, enfin surtout depuis la malédiction et le premier qui s'avançait un peu trop près à son goût sans son autorisation était sûr d'en entendre parler.

Aileas semblait déterminer à vouloir l'aider dans ses travaux manuelle, il se contenta de ne rien dire cette fois-si, il avait l'impression de communiquer avec un mur de brique et tous les mots qu'il aurait pu utiliser pour l'envoyer ce faire voir semblait inutile, alors il devait faire avec."Rendre service à quelqu'un qui n'en n'a pas envie, ça n'a rien de gentil."Ou alors il se contenterait de bougonner dans sa barbe inexistante, cette journée avait pourtant si bien commencé, il avait presque été exciter à l'idée de peindre le devant de sa boutique, maintenant il avait simplement envie de ranger ses outils et de rentrer chez lui pour lire un livre.

Son attention fut attiré par la rouquine qui venait d'entrer dans sa boutique, tout de suite des alarmes avait résonner dans son esprit, elle avait l'air aussi gracieuse qu'un éléphant dans une boutique de cristal, quelque choses allait surement être brisée juste parce qu'elle n'avait pas fait attention. Il posa son pinceau avant de descendre de son échelle."Qu'est-ce que vous fabriquer ?."Demanda-t-il une fois à l'intérieur de la boutique, les bruits de tic-tac assaillant ses oreilles, ce genre de vacarme pouvait en rendre fou plus d'un, pour lui c'était comme une musique à ses oreilles,
Il semblait plus à l’aise à l'instant même où il franchit la porte d'entrée."Si vous voulez une échelle il y en a une seconde dans l'arrière boutique..."Et voilà qu'à présent il se montrait un peu plus gentil, l'effet des tic-tac était beaucoup plus fort sur lui que n'importe qui aurait pu l'imaginer."Essayez juste de rien casser, avec votre grâce naturelle je devrait fixer des horloges pendant les prochaines semaines."



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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 9 Oct - 15:21

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
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Ce type était juste… incroyable. Où était-il passé ce gentil monsieur au sourire discret, qui l'observait depuis la rue ? Non parce qu'il n'avait pas eu l'ombre d'un sourire depuis le moment où elle était arrivée, et à vrai dire elle s'était inconsciemment forgé l'idée qu'elle ne partirait pas tant qu'elle n'en avait pas vu un seul qui soit parfaitement sincère et non l'incarnation physique de ses remarques à deux balles. La maturité d'un enfant de quatre ans, vraiment ? Ce… aah ! Elle se sentait s'énerver intérieurement, sa patience légendaire laissant sa place à l'agacement et son côté borné venant lier le tout avec une aisance improbable qui la poussait à rester encore et encore à prendre sur elle au lieu de lui vider le pot de peinture sur la tête. Elle avait fait une moue frustrée lorsqu'il avait insisté sur le fait qu'elle ne lui avait pas serré la main. Oui, bon, elle avait des réflexes incontrôlables quand il s'agissait de contacts physiques, ça pouvait arriver à tout le monde !

« Ne vous en faîtes pas je n'ai pas besoin de vous toucher pour vous faire une belle bâlafre à l'image de cette trace de peinture en travers de cet édifice qui vous sert de cavité nasale. »

C'était sorti tout seul, et à vrai dire, Aileas était choquée elle-même des attaques qu'elle pouvait prodiguer à ce charmant personnage qui lui faisait face ; mais elle savait aussi que ce n'était pas son genre de tenir sa langue alors, à quoi bon se retenir pusiqu'il semblait déterminé à vouloir qu'elle se barre aussi vite que possible ? Si on jouait avec les nerfs de Merida, on était toujours servi au centuple. Trop susceptible, peut-être ; mais surtout, elle redéfinissait complètement le concept de « vouloir bien faire », car dans son cas c'était largement plus forcer la main jusqu'à ce que la personne cède et la laisse s'occuper de toutes leurs affaires pour eux. Mais c'était pour la bonne cause alors, où était le mal ?

« Alors je ne suis pas gentille mais je le vis bien. »

Elle avait haussé les épaules avant de pénétrer dans la boutique, bien qu'elle s'était arrêtée dans son mouvement à ce moment-là, accaparée par tous les sons de toutes les natures qui venaient peu mélodieusement siffler dans ses oreilles. Comment un type comme lui pouvait survivre dans une telle cacophonie ? Maintenant qu'elle y pensait, le flegmatisme que Samuel affichait s'expliquait nettement mieux, il devait être de nature blasée si des tic-tac incessants ne venaient pas l'énerver, ou alors il avait complètement perdu la boule depuis assez longtemps pour faire comme si ça n'existait pas. Une des deux solutions, très probablement.

« Ah ! Ça vous arrive d'être sympathique de temps en temps ! C'est rassurant. Je commençais à me dire que vous étiez un goûjat de A à Z ! »

Peut-être parvenait-elle à mettre le doigt sur ce qui l'énervait tant chez ce charmant monsieur ; son côté très condescendant, comme s'il avait acquis une supériorité absolue sur le monde qui l'entourait, supériorité intellectuelle, humaine, existentielle, comme s'il se croyait au-dessus de tout le monde et que cela excusait le fait que son sens de la communication était aussi efficace que celui d'un babouin. Contrairement aux apparences, Aileas avait un seuil de tolérance élevée aux personnalités un peu moins… supportables, et à vrai dire les marginaux étaient parmi les individus qui la fascinaient et l'enchantaient le plus. Mais lui avait un autre niveau bien au-dessus, un magnétisme agaçant auquel elle n'avait pas réussi ni même essayé de s'échapper. C'était son truc à elle ; foncer dans le tas, aveugle des conséquences et de tout ce qu'elle pouvait endurer, pour ensuite user de toute la force dont elle était capable pour soit arranger le problème de l'intérieur, soit déguerpir avec aussi peu de blessures qu'elle le pouvait.

Ah, ok, gentil pendant deux secondes uniquement.

« Je suis plus adroite que vous pourriez le penser, vous savez. Bon j'ai déjà fait tombé une échelle avec vous dessus mais c'était un accident, ça peut arriver à tout le monde ! »

Elle lui administra un clin d'oeil qui tenait plus du sarcasme que d'autre chose, avant de se diriger avec vivacité dans l'arrière boutique, bien qu'elle ne pouvait s'empêcher de faire bien attention à ce qui l'entourait pour éviter de prouver les dires de sa « victime » du jour et casser quelque chose. Précautionneuse, elle évita les quelques obstacles qui pouvaient se présenter sur son chemin, avant d'attraper l'échelle en question avec autant de précautions qu'auparavant pour venir l'installer avec fierté à côté de celle de Samuel.

« ça n'était pas si compliqué, vous voyez ! »

Pourquoi est-ce qu'elle tenait tant à lui prouver quoi que ce soit ? Était-ce une sorte de pseudo-instinct féministe qui l'envahissait, pour lui prouver que même si elle était une femme dans le genre rude et grande gueule elle n'en était pas moins capable ? Ou alors était-ce cette obsession malsaine qu'elle avait de prouver à ce « faux prince charmant » qu'elle pouvait se débrouiller seule et sans aide, qu'elle n'avait besoin de personne pour exister ? En tout cas, tout cela se déroulait dans l'inconscient le plus total, sa fierté et son côté borné ayant complètement pris le dessus dans le fil de cette histoire.

« Au travail ! »

Elle attrapa pinceau et pot de peinture avec la même vivacité, accrochant le tout en haut de son échelle pour pouvoir peindre dans les meilleures conditions ; et après quelques gestes maladroits, elle parvint à obtenir un résultat satisfaisant ; pas parfait, certes, la peinture n'étant pas son domaine d'expertise, mais elle était bien contente du résultat. Et c'est le pinceau relevé qu'elle jeta un coup d'oeil au côté de Samuel, et son expression passa aussitôt d'un air fier à un air profondément blasé. C'était un peu comme si son travail à lui était si bien fait que des fleurs et de belles odeurs s'en dégageaient, alors que de son côté ça n'était qu'un brouillon, une pâle copie de ce qu'était censé être le résultat final. Fantastique. Bon, ça n'était pas non-rattrapable, mais ça restait quand même très enfantin.

« Bon ! Au moins c'est pas une catastrophe. Vous aviez peut-être raison, je n'aurais pas dû chercher à vous aider. Je suis plus adroite avec les flèches et les relations humaines qu'avec les pinceaux, j'aurais dû m'en douter. »

Elle lui jeta un regard noir avant qu'il ne puisse contester qu'elle puisse avoir un « talent » dans le domaine des relations humaines ; car Aileas avait beau avoir un sale caractère, elle n'était pas travailleuse sociale pour des prunes, et si ses méthodes pouvaient être qualifiées de « controversées », elle atteignait toujours des résultats extraordinaires et ses capacités sociales étaient bien plus développées que ses capacités manuelles.

« Je range tout et je vous laisse finir, j'ai déjà peint la base vous n'aurez plus qu'à rattraper les bordures et ce sera parfait. »

Elle était froide tandis qu'elle redescendait de son échelle, refermant soigneusement le pot de peinture pour ramener l'échelle dans l'arrière-boutique, ressortant comme si rien ne s'était passé hormis les taches de peinture qui apparaissaient ici et là sur ses vêtements. Mettant ses poings fermés sur ses hanches, elle lui adressa un petit sourire malicieux.

« Vous voulez bien me faire plaisir ? »

Une bien mystérieuse question, dans les circonstances...


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 13 Nov - 21:21

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.

A ses mots il se frotta le nez avec la manche de son t-shirt rouge tout en ignorant le commentaire sur son nez, il savait très bien qu'il avait un nez assez grand, on lui avait déjà fait la remarque a plusieurs reprise, mais comme tout commentaire sur son physique ou sa personnalité, Samuel n'en n'avait strictement rien a faire, pas comme le reste des gens sur cette planète, toujours préoccuper sur leur apparence et a ce demander si le reste du monde les apprécies, quel bande de nombriliste narcissique.

Une fois a l'intérieur de la boutique, il afficha un léger sourire amusée a sa remarque, ça aussi ce n'était pas la première fois qu'il l'entendais, pendant 28 ans de malédiction avec des faux souvenirs et une personnalité différentes, il ne c'était pas fait beaucoup d'ami."Justement je préfère quand même que vous soyez plus prudente, je ne veut pas que vous aillez un autre accident."Il répondit encore une fois sur un ton plus sympathique, depuis la fin de la malédiction il se débattais intérieurement avec ses deux personnalité, mine de rien passer 28 ans a être une autre personne ça pouvait bouleverser beaucoup de chose.

Il la regarda s'éloigner en direction de l'arrière boutique, fermant les yeux pour se laisser bercer pendant plusieurs seconde par le bruit des tic-tac qui régnait dans la boutique, il prit plusieurs respirations avant de quitter la boutique pour rejoindre la jeune femme qui venait d'installer son échelle près de la sienne, il arqua un sourcil avant de secouer la tête, cette fille n'était pas croyable.Il remonta en haut de son échelle pour reprendre son pinceau qu'il trempa encore une fois dans la peinture avant d'attaquer la lettre qu'il avait sous les yeux, ce perdant dans sa concentration.

Quand il sortie de ses pensées, du temps avait passer et leur travail était terminée, il descendit de son échelle pour s'éloigner de quelques pas sur le trottoir, observant le résultat final avec un air plutôt satisfait, ce n'était pas parfait certes, mais ils avait terminée et puis il n'était pas spécialement perfectionniste, alors il laisserait comme ça.A la vue du regard noir que venait de lui lancé Aileas, faire un commentaire sur ses talents n'aurait pas été la bienvenue.

"Je suppose que sa ira."Il haussa les épaules avant de la laisser ranger son matérielle, il s'occuperais du sien plus tard quand elle serait partie ou peut être qu'il devrait fermer son pot de peinture, si jamais elle faisait un faux pas et qu'elle faisait tomber l'échelle, le pot de peinture finirait exploser au sol. Décision prise il remonta sur son échelle pour fermer son pot de peinture avant de le descendre avec son pinceau.

Il fronça les sourcils quand il remarqua le sourire malicieux d'Aileas, il ne la connaissait pas depuis longtemps,mais il devinait rapidement que cela n'annonçait rien de bon."Je vais choisir la sécurité et dire non."Il répondit, méfiant.



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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyMer 16 Nov - 15:42

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Aileas aurait presque pu être outrée si elle ne l'était pas déjà à puissance maximum, quand ce drôle de personnage se contenta d'un « ça ira » des plus blasés et refusa de « lui faire plaisir » sans même savoir ce qui allait être sa demande ; ça n'allait décidément pas être facile de lui arracher au moins l'ombre d'un sourire, mais s'il y avait une chose qui caractérisait Merida c'était sa manière de s'évertuer à continuer sur un chemin qui était pourtant bloqué par un mur de dix mètres de haut et parcouru à son sommet de barbelés électrifiées. Elle vivait dans la certitude que n'importe quel obstacle aussi farfelu ou mortel soit-il pouvait être franchi si on s'y prenait avec suffisamment d'ingéniosité -ou en y allant franco, mais cette seconde méthode certes plus rapide comportait un nombre improbable de conséquences parfois très désagréables. Heureusement peut-être que dans la liste des qualités d'Aileas, il y avait le fait qu'elle assumait le moindre de ses choix.

« D'accord, d'accord, mais vous ne savez pas ce que vous ratez. » Elle avait prit un ton frustré, adoptant une mine sombre alors qu'elle jetait un coup d'oeil au résultat final -pas si mal que ça au final, et puis les quelques fautes de peinture donnait un air personnalisé à l'enseigne, lui donnait du caractère, et pour Aileas, avoir du caractère c'était quand même l'essentiel. Tapant du pied d'un impatient, elle n'appréciait pas le silence qui venait de retomber, surtout du fait que Samuel semblait n'en avoir strictement rien à faire. « Bon ! Alors je vais vous laisser en paix vu que je vous embête tant que ça. Et de rien pour l'enseigne, c'était un plaisir. » Elle ne s'avança pas pour lui serrer la main, cette option étant clairement passée dans les choses qui n'allaient jamais arriver entre ces deux-là, aussi banal soit le geste. « Bonne fin de journée, l'édifice nasal. »

Sans un mot de plus, elle continua sa route sur le trottoir comme si elle ne s'était jamais arrêtée, bousculant légèrement l'échelle -cette fois volontairement, juste pour dégager un peu de son agacement à l'égard du vilain monsieur, bien qu'elle fit passer le tout pour un second « accident ». Elle avait d'autres chats à fouetter que faire sourire ce grognon !..

**

Le passage du temps était quelque chose de fascinant pour Aileas. Elle était le genre de personne qui ne supportait pas de n'avoir rien à faire plus de cinq minutes ; elle avait constamment besoin d'avoir la tête occupée, soit par des missions sur le terrain pour le compte de ses clients, soit en allant s'entraîner au club de tir à l'arc et en gérant les affaires administratives dudit club, soit en inventant tout un tas de stratagèmes improbables dans son bureau -ancien placard à balai inoccupé de son immeuble qu'elle avait réinstallé pour l'occasion, ayant déjà par exemple bricolé un nombre hallucinants de jeux sans aucun sens pour ne pas s'ennuyer, ou en ayant enregistré wikipédia dans ses favoris sur internet pour pouvoir aller lire en entier des pages au hasard quand les journées se faisaient trop longues à son goût.

Mais depuis quelques temps, à vrai dire, depuis qu'elle avait croisé la route de ce satané « faux prince charmant », le tic-tac de son horloge était passé d'un son en background à un parasite sonore des plus désagréables. Chaque fois qu'elle s'asseyait à son bureau pour se concentrer sur une tâche du quotidien, ou même en accueillant un client quémandant son aide, elle ne pouvait s'empêcher d'écouter avec la plus grande attention le bruit régulier de l'aiguille qui circulait sur son cercle comme s'il la narguait, au point qu'un beau jour alors qu'elle essayait d'écouter une jeune femme avec des problèmes relationnels de gravité faible, elle avait lancé un stylo sur le cadran, provoquant sans le vouloir la chute dramatique de cet objet pourtant si innocent, qui s'écroula sur le sol avec un grand fracas pour ne plus jamais produire le moindre son. Aileas avait perdu un client ce jour-là, bien qu'elle avait tenté le sourire débile comme si rien ne s'était passé, mais la demoiselle l'avait probablement prise pour une folle et avait plutôt opté pour l'agence de coaching qui se situait de l'autre côté de la ville -Aileas avait alors eu une pensée pour Taran, espérant qu'elle choisirait sa méthode de bisounours puisque c'était exactement ce dont elle avait l'air.

« Pff... »

La guerrière rousse poussa un soupir plus profond que jamais, avant de se lever presque d'un bond ; elle savait exactement ce qui la préoccupait tant depuis tout ce temps. Le fait qu'elle n'ait pas réussi à lui arracher le moindre sourire sincère la hantait bien plus qu'elle ne le voulait -principalement parce qu'elle se l'était fixé comme objectif et quand elle avait un objectif, tant qu'elle ne le remplissait pas, elle devenait une véritable furie jusqu'à ce qu'elle puisse mettre un vu à côté de lui sur sa To Do List. Elle sortit de son bureau, tournant le panneau « ouvert/fermé » sur le « fermé » pour ensuite fermer le tout à clé, avant de se diriger vers la porte de son appartement juste en face. De là, elle attrapa son arc et son carquois -parce qu'elle avait décidé de ne plus s'en séparer tant qu'elle sortait de chez elle- avant de ressortir à nouveau, rejoignant la fraîcheur de fin de journée d'un pas décidé, prenant une direction bien précise : la boutique d'horloge de l'autre blasé de la vie.

« Bonjouuuuur ! »

Elle avait pris un ton enjoué alors qu'elle entrait, faisant résonner le carillon ou elle ne savait quel système pour prévenir de la présence d'un client, avant de faire un grand sourire à Samuel, qui s'affairait alors sur elle ne savait quoi, tandis qu'il lui lança le même air que la dernière fois, la faisant presque tiquer au niveau du sourcil. Puis, essayant d'avoir l'air naturel -bien que ça n'était pas très crédible puisqu'elle était armée-, elle se mit à examiner les montres et les différents objets exposés à travers la boutique, essayant tant bien que mal d'ignorer le tic-tac cacophonique qui régnait dans cette pièce, l'air faussement curieuse.

« J'aurais besoin d'une nouvelle montre… la mienne s'est cassée. »

Pas tout à fait vrai, même si sa montre avait connu un destin similaire au cadran de son bureau -totalement et sincèrement accidentel, celui-là. Mais elle fonctionnait encore, la vitre était juste brisée. Tiens, pourquoi n'avait-elle tout simplement pas prit sa montre avec elle pour la faire réparer comme prétexte de visite ? Elle se frappa le front de la paume de la main intérieurement, bien que de l'extérieur elle avait simplement levé les yeux au ciel.

« Vous avez quelque chose à me proposer ? En tout cas je peux vous dire que l'enseigne dehors en jette. On a bien bossé ! »

Elle essayait l'enthousiasme, essayant de voir si ce drôle d'homme était au moins capable d'exprimer un semblant de bonne humeur, juste une seconde, pour elle, aller...


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 8 Jan - 20:19

Samuel & Aileas

Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.

Cela faisait plusieurs jours maintenant que sa boutique était officiellement ouverte et son excitation ne semblait pas diminuer, chaque jours il partait au travail en sautillant a moitié comme un cinglé, il avait remarquer les regards que les autres habitants de la ville lui avait lancer, mais si une chose n'avait pas changer depuis la fin de cette malédiction, c'était sa capacité a n'en n'avoir rien a faire, il vivait sa vie comme il le souhaitait, peut importe ce que les gens pouvait pensée de lui, même la rouquine qu'il avait croiser quelques jours plutôt, cette femme qu'il n'aurait jamais pensée revoir de sitôt, pensant qu'elle resterais chez elle jusqu'à la fin de sa vie, il avait eu tord.

D'ailleurs ce fut celle-ci qui débarqua en trombe dans sa boutique en lançant un "bonjour" des plus bruyant alors qu'il se concentrait sur le mécanisme d'une montre d'un client, il poussa un soupire agacer avant de lever les yeux pour observer Aileas, son expression montrant a quel point il n'était en aucun cas ravis de la revoir, il n'aimait pas les gens, c'était un fait, mais elle avait tendance a lui taper encore plus sur le système que n'importe qu'elle autres personnes.

"Encore vous."Lâcha-t-il tout en retirant ses lunettes pour se masser l'arête du nez, avant de les remettre sur son nez pour fixer la rouquine du regard avant de quitter sa place dérrière le comptoir pour passer de l'autre côté vers la section des montres qui était exposez.

"Vous voulez une montre a gousset ? Ou plutôt une montre a bracelet ? "Commença-t-il a questionner avant qu'elle ne commente sur l'enseigne de sa boutique, il hocha la tête."Sa semble être l'avis général des Storybrookiens."Son ton était calme alors qu'il ouvrait l'arrière du dôme en verre qui couvrait les montres près a récupérer les premières montre qui intéresserait la jeune femme."Montre digital ? Montre a affichage analogique ou alors vous êtes plutôt chiffres romains."



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Dernière édition par Samuel T. White le Dim 26 Mar - 16:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 26 Fév - 17:35

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Ailes était une guerrière, une combattante ; une fois qu'elle s'était octroyée une mission à remplir, elle ne perdait pas de vue son objectif. Mais à cause de cette tendance de fonceuse, elle avait la sale habitude de porter des oeillères et d'en oublier que même si elle avait quelque chose en tête, la vie continuait autour d'elle, et il y avait d'autres obstacles à franchir, des responsabilités à tenir, des délais à respecter. Mais qu'importe ! Elle s'était mise en tête de faire ce sourire ce satané horloger, alors elle allait y arriver, quitte à mettre toute son existence sens dessus-dessous.

Eh ! Il semblait tellement ravi de la revoir que le sourire de la rousse ne se fit que plus étiré ; à vrai dire, elle ne savait plus vraiment si le but de cette visite était de le mettre en pétard ou le faire sourire sincèrement, mais à vrai dire elle n'était de loin plus à ça près, et il fallait reconnaître qu'elle avait tendance à oublier ses objectifs dès le moment où elle franchissait le seuil de son appartement, étant plutôt du genre à improviser sur ce qui se présentait plutôt qu'à prévoir chaque minute de chaque journée avec une précision d'horloger. Et puis, elle aimait quand les gens s'énervaient autour d'elle, c'était un peu son plaisir coupable, car ayant les nerfs passablement fragiles, ça lui faisait un bien fou de voir les autres être encore plus énervés qu'elle, surtout si c'était de sa faute…

« Toujours autant ravi de me voir à ce que je vois... »

Elle flânait dans la boutique en observant tout ce que ses yeux pouvaient bien voir, bien qu'avec sa patience quasi inexistante, elle se demandait bien comment on pouvait rester penché sur des mécanismes aussi petits pendant aussi longtemps, et tout cela par plaisir ; c'était un fait clairement établi qu'elle préférait l'adrénaline, l'action, le moment présent. Elle observait une grosse horloge quand Samuel daigna répondre à son inquisition à propos d'une nouvelle montre, bien qu'elle n'écoutait véritablement qu'à moitié.

« Oui... » Elle sembla revenir à elle, se tournant vers lui. « Enfin, une montre à bracelet. » Elle se rapprocha de lui, une petite expression espiègle sur le visage. « Wow, vous avez le sens de la répartie, dîtes-donc. Une porte de prison serait jalouse ! »

Elle semblait se perdre dans ce qu'elle disait, puisqu'au fond pour elle une montre était exactement cela, une montre ; mais elle imaginait que c'était la même chose lorsqu'elle expliquait à quelqu'un les différentes manières de tirer à l'arc, les types d'arc et de flèches, et tout ce qui ensuivait, alors elle ne s'en formalisa pas, se contentant de jeter un œil attentif aux différents modèles qu'il lui proposait.

« Affichage analogique… Le plus simple que vous avez. Avec un bracelet en cuir ou en tissu, je ne suis pas fan des bracelets de métal. » ça fait homme riche et prétentieux, mais elle ne le rajouta pas à sa phrase. Elle le laissa présenter quelques modèles en lui expliquant tout son savoir dans un charabia qu'elle avait bien du mal à suivre, quand elle se décida à l'interrompre lorsqu'il lui faisait un discours sur la différence entre deux des montres qu'il lui montrait : « Mmh… Tout cela est fort intéressant mais du coup la dernière fois, je n'ai pas pu vous demander mon service. Mais dîtes moi… vous avez déjà essayé de sourire ? »

Merida ne cesserait jamais d'être Merida… Dénué du moindre tact, et parfaitement fier de cela.


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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 26 Mar - 18:30

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Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur.

Il avait décidé qu'il ferait un effort surhumain pour ne pas s'emporter, il fallait qu'il reste calme, même si elle cherchait la petite bête il resterais de marbre, après tout peut importe le genre de sottise qu'elle pouvait bien sortir il n'en n'avait rien à faire, il devait garder ça en tête. C'est pour ça que quand il comprit qu'elle n'avait qu'écouter à moitié ce qu'il avait demander, il se contenta de la fixer du regard en restant neutre, s'énerver contre tout le monde parce qu'ils ne pouvaient pas s’empêcher d'ouvrir la bouche pour raconter tout et n'importe quoi finirait par le fatigué.

Il la laissa observer les différents modèle de montre qu'il avait déposer devant elle tout en restant à l'écoute de ses envies avant de sortir de nouveau modèle avec bracelet en cuir et tissus tout en lui expliquant chaque modèle, leur qualités tout en donnant son avis personnelle sur chacune, il ne faisait pas vraiment attention à la jeune femme beaucoup trop concentré sur son discourt car chaque montre était importante à ses yeux, même s'il savait parfaitement que les gens n'en n'avait que faire de ce qu'il avait à dire et la jeune femme devant lui n'était en aucun cas différente que le reste de la population Storybrookienne.

"Miss McGuiness..."Commença-t-il à dire tout en rangeant les différentes montres qu'il avait sortie, il pouvait sentir qu'il perdait rapidement patience, mais il devait rester calme."Contrairement à vous je n'ai pas le temps papoter avec les gens qui m'entourent, j'ai du travail à faire, donc soit vous choisissez une montre soit vous pouvez vous en aller et revenir plus tard quand vous serez plus décider sur ce que vous souhaitez."Sur ces mots il lui fit son sourire le plus faux avant de ranger les montres à bracelet en métal qu'il avait sortie un peut plus tôt





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MessageSujet: Re: Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White   Il ne faut pas passer sous une échelle ! ça porte malheur ! • Samuel T. White EmptyDim 2 Avr - 21:47

Il faut pas passer sous une échelle, ça porte malheur !
Quand je panique la mécanique de mon cœur déraille au point que je me prends pour une locomotive à vapeur dont les roues décollent dans les virages. Je voyage sur les rails de ma propre peur. De quoi ai-je peur ? De toi, enfin de moi sans toi. • Samuel & Aileas



Ah si ! Ça souriait. Intéressant comme concept, même si elle pouvait voir comme le nez au milieu du visage -sauf quand on s'appelait Voldemort- que son sourire était le plus faux qu'elle ait jamais vu -et les dieux celtes savaient qu'elle en avait vu des sourires faux ; à vrai dire, décrypter les expressions faciales c'était sa spécialité, bien qu'elle avait tendance à voir ce qu'elle avait envie de voir. Elle lui sourit à son tour, avec ce sourire qui ne faisait que rider ses joues et non ses yeux, trahissant qu'elle aussi était rentrée dans son jeu, soulignant le fait que maintenant qu'il avait cédé une fois, elle n'avait pas l'intention de lâcher l'affaire de sitôt, et qu'ainsi en essayant de l'envoyer valdinguer il n'avait fait que s'assurer qu'elle reste exactement là où elle était, campée sur ses jambes sans la moindre intention de bouger.

« Celle-là ! Celle-là elle est cool ! »

Bizarrement, même si elle affichait une expression tout autre, elle s'était laissée prendre au discours de Samuel. Même s'il employait un ton monotone qui soulignait à quel point il n'avait pas envie d'être là, ou tout du moins pas envie de communiquer avec elle, il avait une manière de tout expliquer dans le détail avec une passion significative, au point que Aileas l'avait écouté comme on écoute un conteur raconter une histoire, la bouche entrouverte et un air très attentif qui brillait dans son regard. Bien que pour le coup elle n'était pas sûr si Samuel était passionné par son métier ou simplement un très, très bon vendeur ; et conformément à son naturel, elle s'amusait de penser qu'il n'était qu'un commerçant qui cherchait à la faire acheter tout ce qu'il pouvait en employant une éloquence distinguée. Quoique pour le coup il avait totalement réussi sa mission, car elle venait de flasher sur une montre noire avec un bracelet rouge, qui aurait pu paraître un peu trop flashy si elle ne dégageait pas un côté classieux qui plaisait passablement à la demoiselle. Elle n'était pas très bijou, mais après tout, une montre c'était utile non ? Ça indiquait l'heure. Pratique !

« Je vais vous la prendre… enfin. Ça me fera combien ? » Elle avait haussé un sourcil en le regardant d'un air blasé, persuadée qu'il allait probablement lui sortir un prix exorbitant qu'elle ne pourrait payer. « Rolala vous êtes au moins sympathiques avec vos clients… J'espère que vos affaires marchent quand même malgré le fait que vous êtes carrément flippant avec un sourire aussi… flippant, justement. » Elle avait penché la tête sur le côté, le défiant du regard. « Mais moi vous savez, je parlais d'un vrai sourire. Même juste poli, mais un vrai, qui vous vient naturellement et vous fait étirer les lèvres d'un côté et de l'autre dans un rictus qui donne envie de discuter avec vous. Parce que ce n'est pas comme ça que vous allez faire des affaires. Croyez-moi, la vie sociale n'a aucune secret pour moi. »

Oui, bon, elle était travailleuse sociale et bossait dans le milieu de la réintégration sociale, mais ses méthodes n'étaient clairement pas orthodoxes même si ses résultats étaient bien réels.


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