Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mer 13 Juil - 14:17
❝Un jour, j'irai à New York avec toi❞
Morrigan dans l'intrigue arthurienne
Même si elle ne saignait pas, Lansa eut la délicatesse de donner à Morrigan un mouchoir. Toujours à aider les autres celui-là! A croire que c'était plus fort que lui. Morrigan le remercia du bout des lèvres et prit le mouchoir non sans lancer un petit regard noir au chevalier.
Au restaurant, tout se passa pour le mieux à un détail près. Un des serveurs, maladroit, renversa un plat sur la tête de l'autre rouquine, Rebekah si les souvenirs de la fée était bons. Il n'y avait rien de bien grave, juste une petite plaie mais elle fit un esclandre. Elle était encore moins sortable qu'une classe de seconde en voyage de fin d'année. Tout ça pour un peu de sang sur le front...
Une fois le repas fini et la honte du numéro de Rebekah passée, tout le monde se dirigea vers Central Park pour une petite balade digestive. Morrigan déambulait, regardant les écureuils qui faisaient des clins d'œil entre les feuilles. Elle ne fit quasiment plus attention au groupe. C'est quand elle entendit quelqu'un se faire plaquer au sol qu'elle se retourna vers ses compagnons. C'était Lancelot qui venait de manger la poussière à cause de ... Perceval. Mais qu'est-ce qu'il foutait là, celui-là? Apparemment, vu le regard surpris qu'il faisait courir entre Diana et Morrigan, la présence de la fée ne lui plaisait guère. Elle croisa les bras en lui disant :
- Si je t'reviens pas, tu peux me le dire, tu sais?
Oisin ne releva et se contenta de parler avec Diana. Mais le chevalier lâcha une bombe, le "Il est là" était on ne peut plus clair pour Morrigan. Ce qui fut confirmé par le tressaillement de Gwen. Celui qui avait tant fait souffrir la reine, celui qui avait essayé de tuer Diana il y a à peine 6 mois. La colère monta en Morrigan en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
Tout le monde était maintenant sur ses gardes et chaque être important de Camelot protégea les personnes du groupe qui n'avait aucun rapport avec tout ça. Morrigan se dirigea vers Elijah et Jake, non pas parce qu'elle voulait particulièrement les protéger mais parce que, d'un regard, Diana lui avait fait comprendre qu'elle le devait. En soit, elle n'en avait rien à faire des deux idiots mais elle faisait confiance à son amie. D'ailleurs, Diana était partie chercher des armes dans une boutique de souvenirs, elle confia à chacun un couteau gravé des mots New York ou Central Park. La portée était minime mais tant que ça blessait, c'était le plus important. Et ils allaient devoir s'en servir très rapidement puisque Diana fut touchée dans le dos et une bande de malfrats commençait à s'attrouper pour les attaquer.
Le groupe fit cercle autour de Gwen, qui était clairement la cible puisque Méléagant était derrière tout ça, et de la femme enceinte, par principe on ne pouvait la laisser combattre. Mais Morrigan n'eut pas l'occasion de compulser sa colère sur quelqu’un. Des sirènes se firent entendre et elle rangea son opinel dans la poche de son jean avant que la police n’arrive.
Les malfrats avaient été arrêtés, mais la malédiction contre eux reprit de plus belle. Attaques de chiens, jet de pierres, le sort était contre eux. Non pas le sort... Méléagant... Sans magie, Morrigan ne pouvait pas grand-chose contre lui. Comme elle se sentait mal sans ses pouvoirs. Et le rappelle que fit Gwen de la situation n'aida pas la fée à se calmer. Quand elle entendit l'ancienne reine raconter son histoire, elle serra les poings. Elle allait la débarrasser de ce Mike ou Méléagant une bonne fois pour toute. Elle s'était juré d'aider Gwen autant que possible et elle tiendrait parole.
Lansa s'approcha de sa chère et tendre pour la rassurer et lui dire que tout le monde ici ferait en sorte de la protéger et il cita même Morrigan en première. Il y avait du progrès. Il pourrait presque remontait dans son estime. Tout le monde était là à rassurer Gwen quand le groupe fut surpris par la chute d'un arbre. Mais il voulait leur mort!
Enfin cela renseignait sur la position de ce malade. C'était forcément lui ou un sous-fifre qui nous mènerait à lui qui était derrière tout ça. Alors qu'ils étaient encore bloqués par les feuilles et les branchages, un bruit sourd et un léger grognement se firent entendre à proximité de la base de l'arbre qui venait de tomber. Morrigan repoussa les branches en vitesse, Méléagant devait encore y être. Mais quand elle arriva, personne... Juste un bout de tronc qui était tombé dans l'autre sens avec un peu de sang dessus.
- C'est pas vrai!
Elle ne savait pas exactement ce qu'il s'était passé mais elle espérait que cela avait blessé suffisamment l'autre sadique et qu'il les laisserait tranquille. Sinon, Morrigan ferait tout pour protéger les siens, c'est-à-dire Diana et Gwen. Les autres lui importaient peu et pouvaient être des dommages collatéraux. Cependant, deux d'entre eux pouvaient s'avérer utile. Ils connaissaient l'ennemi et l'absence de magie ne les dérangeaient pas outre mesure. Morrigan s'approcha tout doucement de Lansa et Oisin et prit chacun sous le bras.
- Alors les chevaliers, va vraiment falloir qu'on se serre les coudes! Je sais qu'on a eu des différents mais la protection de Gwen et de Diana mérite qu'on enterre la hache de guerre, vous ne croyez pas?
Elle leur adressa à chacun un grand sourire, sûre que son argument ferait mouche.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Jeu 14 Juil - 17:15
Voyage à New York
Suivre Méléagant avait été une bonne idée au final. Cela avait permis à Oisin de se rendre à New-York, d'être au courant d'une partie de ses plans et de pouvoir se trouver au bon moment, au bon endroit. Ce qui avait sauvé la vie de Lancelot au passage. Le Chevalier plaisanta avec son ami avant de se tourner vers Viviane pour la mettre au courant.
Après une petite révérence pour saluer l'assemblée, Oisin soupira. Pourquoi déjà est-ce qu'il la mettait en garde ? Pour rien, puisqu'elle avait décidé de continuer à faire ce qu'elle voulait. Parfois, il ne comprenait pas Viviane, quand on pouvait éviter le danger, pourquoi ne pas le faire ? Mais il n'était pas là pour contester les décisions de son amie. Alors il se contenta de se mettre près de Lancelot et de la Reine, assez loin de Morgane.
Ça aussi, il avait du mal à le comprendre. Mais puisque Diana était amie avec la fée, autant se contenter de l'ignorer. Mais c'était assez difficile quand la brune l'agressait verbalement alors qu'il n'avait rien dit, rien fait ! Bordel, elle cherchait déjà la bagarre la fée ? Elle n'avait plus besoin de provocation apparemment maintenant... Oisin lui jeta un regard de travers et lui tourna ostensiblement le dos. Excite-toi toute seule sorcière...
Il suivit le groupe dans la ruelle et eut une moue dubitative quand Diana lui donna un couteau. Sérieux ? Il aurait pas pu avoir autre chose ? Un couteau de chasse au moins, ça aurait été utile... Là, avec les cure-dents, ils ne feraient pas beaucoup de dégâts. Le groupe leur tomba dessus, mais ils étaient préparés. Ils avaient mis la Reine et la femme enceinte au centre du cercle qu'ils avaient formé de leurs corps.
Le combat venait à peine de débuter qu'il finit rapidement. La police venait de débarquer. Comme un seul homme, le groupe avait rangé leurs couteaux, mais les malfrats eux, se firent attrapés. Bon, c'était une bonne chose ça, ils allaient pouvoir rentrer et se soigner. Ou pas. Diana voulait aller au parc. Alors tout le monde suivit.
- Allons Altesse, vous savez parfaitement que vous n'avez pas à me remercier. Que ce soit lui ou vous, je serais toujours là quand il le faut. Lui assura-t-il avec un sourire.
N'empêche que le parc, ce n'était pas une bonne idée. D'ailleurs, ça commença par la Reine qui se fit mordre, puis lui. Un gros bon soupir échappa à Oisin. Ils n'étaient pas sortis de l'auberge... Le pire fut sans doute quand Morgane les attrapa, Lancelot et lui, comme s'ils étaient amis depuis des siècles. Et le petit discours qu'elle leur tint eu le don de l'agacer.
- Des différents, vraiment ? Dit-il en dégageant son bras de la prise de Morgane. Qu'on soit clair. Je ne vous aime pas beaucoup. Mais Diana semble vous apprécier, alors ça me suffit. Peut-être aussi que je parviendrai à vous apprécier si vous arrêtiez de me balancer des piques, comme tout à l'heure. Précisa-t-il. Quant à la protection de Diana et la Reine, il va de soi qu'on compte sur tout le monde, vous compris. Y avait pas besoin de le dire, franchement.
Comme s'il ne savait pas ce qu'il avait à faire ! Et Morgane savait se battre apparemment, alors ils auraient été bien bêtes de se séparer d'elle. Et s'ils avaient été à Storybrooke, elle aurait pu être encore plus utile.
- Dommage qu'on soit pas chez nous, votre magie aurait été bien appréciée. Dit-il en soupirant.
Oisin allait avoir un peu de mal à collaborer avec celle qui avait tué son roi. Mais c'était Viviane qui lui avait permis de devenir Chevalier... Si elle considérait Morgane comme son amie, c'était qu'il y avait une raison. Et le jeune homme n'avait jamais remis en cause les décisions de son amie. Alors il ferait des efforts. Mais il n'était pas question que Morgane puisse se permettre de lui balancer encore des piques à la figure. Ça, il ne l'acceptait que de ses amie, ce qu'elle n'était pas pour le moment.
Sans attendre d'autres catastrophes, Oisin guida tout le monde vers une clinique de l'Upper East Side. Diana fut la première à bénéficier des soins, puisque le Chevalier fut intraitable. Et qu'il faisait perdre du temps sur le bel emploi du temps prévu par Diana. Vint ensuite la femme enceinte, puis Morgane, Lancelot et la Reine. Et ce fut le tour du blondinet inconnu, de la rouquine, du brun inconnu et de lui. Il était prêt de 20h. Et Diana en profita pour héler un taxi, direction Brodway pour manger et visiter.
Le voyage serait bien long tiens... Comment il allait pouvoir protéger tout le monde ?
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Sam 16 Juil - 17:15
Ouvrons notre horizon
Une fois que nous étions tous soigné nous repartîmes pour profiter de notre voyage à New-York. Et miracle tout se passe bien pour nous. le repas est délicieux, sans blessures pour personnes. On part dans les rues et enfin nous pouvons tous profiter de notre séjour enfin. Vers minuit nous rentrons à l'hôtel. Avant je propose à tout le monde de se rejoindre sur les marches du MET à 9h le lendemain, enfin pour ceux qui veulent évidemment. Je demande à Oisin de venir avec moi dans ma chambre. Il faut que je parle à cette tête brûlée.
- « Perceval, je t'avais demandé de faire attention à toi, pas te mener l'enquête. »
Je le prends alors dans mes bras avant même qu'il me réponde. Et je rajoute alors.
- « Oisin, tu n'en fait jamais qu'à ta tête comme moi. Mais ça aurait pu être dangereux pour toi. Je ne veux pas te perdre. Je ne t'ai pas sorti de la fange des cochons pour que tu te face tuer par Méléagant, dans ce monde. »
On discuta longuement par la suite de ce qu'il avait découvert sur Méléagant. Puis il parti pour son propre hôtel. Alors je pris mon téléphone et Killian répondit. Je lui racontais en détail, je finis par réussir à le convaincre de rester à Storybrooke et à veiller sur notre famille. Puis le m'endormi. Le lendemain, Gwen, Lansa et moi étions à l'heure sur les marches du MET. Voyant les autres nous rejoindre je souris et je leur dit.
- « Que diriez vous qu'on aille voir la statue de la Liberté aujourd'hui? »
Je les avais prévenu, je ne me laisserai pas dicter ma vie par ce lâche de Méléagant
Après notre rapide altercation avec les hommes de Médégant, nous n’étions toujours pas au bout de nos peines. Un rottweiler se jeter sur Serena, qui réussit à se protéger tant bien que mal avec son bras. Puis, une pluie de pierres nous tomba dessus. Je croyais que la magie ne fonctionnait pas ici ? C’était quoi cette arnaque ? Ensuite, rebelote, un caniche mordit le mollet de Gwen. Décidément, les chiens ne semblaient pas trop apprécier les touristes… Pour ne rien arranger, un arbre faillit bien nous tomber dessus. New-York me plaisait de moins en moins. J’avais le goût du risque, mais frôler la mort tous les trois mètres, ça commençait à devenir lourd. Et certains d’entre nous étaient vraiment mal en point. L’état de Diana m’inquiétait particulièrement. Enfin, nos malheurs semblaient s’être calmés, et Oisin nous accompagna jusqu’à une clinique médicale de l’Upper East Side. Je grimaçai. Je n’étais pas une grande amatrice des hôpitaux. Je n’en avais jamais eu besoin et, moins j’en voyais, mieux je me portais. L’idée d’être coincée entre les quatre murs d’une chambre aseptisée, clouée sur un lit vingt-quatre heures sur vingt-quatre, me donnait presque de l’urticaire. Je n’aimais pas spécialement que des inconnus s’occupent de ma santé. Je n’étais pas du genre à laisser ma vie entre des mains étrangères, aussi expertes soient-elles. Question de méfiance naturelle, m’voyez ? Bref. Dès que nous entrâmes dans le hall de la clinique, les personnes les plus atteintes furent aussitôt prises en charge. Un peu plus tard, alors que je faisais les cent pas dans les couloirs (je ne tenais pas en place), des infirmiers vinrent me chercher. A peine m’eurent-ils saisis que je me débattis comme un beau diable. Mes blessures n’étaient pas bien graves, je n’avais pas besoin de soins. Mais lâchez-moi ! Puisque je vous dis que je vais bien ! Même que j’me suis jamais sentie aussi bien de ma vie ! … Aïe ! Un infirmier venait d’appuyer sur une plaie ouverte à mon épaule, causée par une pierre tranchante. Bon, peut-être que je vais pas si bien que ça, grommelai-je, maiiis… Je poussai un profond soupir de résignation. De toute manière, ils n’allaient pas me lâcher. D’accooord, on y va. Et, boudeuse, les mains enfoncées dans les poches de mon jean, je suivis les soignants en traînant les pieds. Une fois que nous fûmes tous de nouveau sur pieds, nous repartîmes visiter la Grosse Pomme, direction Broadway. Par miracle, aucun dégât ne fut à déclarer. Après une soirée des plus agréables, chacun repartit dans son hôtel. J’étais dans le même que mon acolyte rouquine, et nous étions même voisines de chambre. Avant d’aller dormir, je lui dis de ne pas hésiter à m’appeler si jamais elle avait besoin de quoi que ce soit. Puis, dès que je fus couchée, je tombai comme une souche dans un sommeil profond.
Neuf heures, sur les marches du MET. Nous nous étions tous donné rendez-vous ici. Ma sœur nous proposa d’aller visiter la Statue de la Liberté. Nous étions tous bien conscients que l’autre taré de Médégant n’allait pas nous laisser jouer les touristes tranquilles, mais il était hors de question de se laisser abattre et de rester confinés dans nos chambres. Et bingo ! Sur le chemin, un individu cagoulé braqua un revolver sur notre groupe. Je le vis appuyer sur la détente, et ce fut comme si la balle avançait au ralenti. Je devinai sa trajectoire meurtrière et, sans réfléchir plus longtemps, je me jetai sur Diana avant que le projectile ne l’atteigne. Une douleur vive me transperça l’avant-bras et je chancelai. Portant ma main sur mon membre touché, celle-ci en ressortit poisseuse de sang. Merde, ça pique ! Instinctivement, je saisis le couteau qui était toujours dans ma poche et m’en servis pour déloger la balle. A la Rambo, eh ouais ma poule ! Déchirant un pan de mon haut, je me fis un garrot pour stopper l’hémorragie. Et voilà le travail ! Je me postai enfin aux côtés de Diana, Serena derrière moi. Médégant et ses sbires les moufles ne perdaient rien pour attendre !
Emi Burton
Bekah : 90%
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En réalité, je suis
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Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mar 19 Juil - 20:00
Une sirène à New York
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
Alors après l’altercation des hommes, la tentative de meurtre du rotweiller envers ma personne et la chute de pierre, je pensais être au bout des surprises mais non, ce n’était que le début. Puis y’a eu le caniche et l’arbre qui manqua de nous tomber dessus. New York était hanté ou quoi ? Non mais sérieusement ? Je commençais à me dire que je voulais reprendre l’avion et rentrer à Storybrooke, non parce que là, je craignais encore plus pour mon bébé que pour moi.
Finalement, on fut emmenés dans une clinique pour être soignés. On me fit une échographie pour vérifier si mon bébé allait bien mais il fallait croire que ma petite Melody était une battante. Puis, après qu’il m’ait soignée, on pus tous sortir de la clinique à mon plus grand plaisir, parce que non, je n’aimais pas les hopitaux, je n’avais jamais aimé les hôpitaux. On passa la fin de l’après midi à se balader dans la Grosse Pomme et la soirée se passa au mieux, aucun dommages. Tant mieux.
Puis en fin de soirée, on se rendit à nos hôtels respectifs et je souris à mon accolyte que je commençais vraiment à bien aimer et cette dernière me dit de la prévenir au cas où. Après tout, elle était dans la chambre voisine. « C’est promis. » dis-je simplement avant de la laisser aller dans sa chambre et une fois que je fus en pyjama, je me coucha et m’endormis très rapidement. Par chance, je pu passer une nuit presque tranquille. On se retrouva donc tous le lendemain matin sur les marches du MET. Diana nous proposa d’aller visiter la statue de la liberté, je fis un grand sourire, c’était ce que je voulais faire depuis le début mais je sais pas trop, j’avais comme un mauvais pressentiment.
Alors qu’on marchait, un homme cagoulé nous arriva dessus avec un revolver. Il visait notre groupe. Et le coup retentit, ce fut Bekah qui fut blessée puis il y en eu un second et tandis que je me trouvais derrière elle, cela n’empêcha pas la balle d’atterrir dans mon épaule. Une traînée de sang ne tarda pas à apparaître sur mon chemisier blanc.
« C’était pas prévu ça… » dis-je simplement avant de regarder Diana puis Bekah « Est-ce-que quelqu’un peut m’aider ? »
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Morrigan O'Conelly
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Morgane la Fée
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Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Jeu 21 Juil - 1:01
❝Un jour, j'irai à New York avec toi❞
Morrigan dans l'intrigue arthurienne
Perceval ne prit pas très bien la boutade de Morrigan. Comme ces chevaliers pouvaient être rabat-joie ! Et puis, le soupir pour rappeler tout en douceur qu'elle n'avait pas de pouvoir ici, merci bien ! Morrigan, vexée, s'éloigna des deux chevaliers. Elle préféra s'isoler pour ne pas envoyer paitre ce pauvre idiot. Idiot qui les conduisit tous à une clinique. Le petit groupe reprit du poil de la bête. Puis la journée se termina après une rapide balade à Broadway.
Arrivé à l'hôtel, chacun se vit attribuer une chambre. Avant de rejoindre la sienne, Morrigan voulut dire deux mots à la reine. Comme toujours, Lansa était collé à ses basques, mais en voyant s’approcher la fée, il s’éloigna légèrement pour laisser discuter les deux femmes.
- Je n'ai jamais été très loquace et je suis sûre que cela te stresse encore plus qu'on te le répète tous comme ça, mais tu sais qu'on fera tout pour te protéger de ce psychopathe.
Morrigan enlaça rapidement l'ancienne reine dans ses bras. Elle avait détruit son passé, la malédiction avait été un enfer pour Gwen, alors elle voulait l'aider. Une sorte de thérapie de se déculpabiliser un peu d'avoir tué Arthur. Elle n'était pas idiote, elle savait que rassurer la reine et ne comblerait jamais le vide mais cela l'apaisait un peu, sans qu'elle sache exactement pourquoi.
- Fais-nous confiance. Essaie de ne pas trop y penser cette nuit. Tu seras tranquille normalement, tu as ton chevalier servant pour te protéger.
La fée fit un rapide clin d'œil avant de rejoindre sa chambre.
Le lendemain, Diana se décida pour une visite de la Statue de la Liberté, un incontournable de New York. Mais Morrigan ne pensait pas que c'était une très bonne idée de continuer ce voyage comme si de rien n'était avec tous les évènements qu’il y avait eu la veille. Et elle n'avait pas tort. Sur le chemin, un homme cagoulé s'approcha d'eux.
Sans aucun préavis, il tira sur Diana. Heureusement la rouquine extravagante se jeta sur elle prenant la balle à sa place. Puis un second tir toucha la femme enceinte. Il fallait essayer de gagner du temps.
- Oh regarde, on n’est pas armé, aucun de nous ne peut se défendre, donc dis-nous ce que tu veux.
Morrigan avait levé les deux mains et se mettait tout doucement devant les deux femmes blessées.
- Tu n'es pas obligé de nous tuer, on peut obtempérer. Tu veux une personne parmi nous, n'est-ce pas? La fille qui est là-bas derrière? On peut te la livrer si tu veux. Moi je le ferai.
Bien sûr, Morrigan bluffait, et elle espérait que les autres l’avaient bien compris. Si cet homme était sous les ordres de Méléagant, il venait chercher Gwen et jamais la fée n'aurait livré cette jeune femme qu'elle avait prise sous son aile.
- Ton patron me connait. Il sait qui je suis et ce que j'ai fait.
Cela marchait, l'homme ne tira pas à nouveau, même s'il gardait l'arme braquée sur le groupe. Pendant ce temps, Morrigan vit dans le dos du braqueur Lansa qui s'approchait tout doucement.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Ven 22 Juil - 18:25
❝Une ancienne reine à New York❞
Je ne sais pas comment je vais réagir devant mon frère Méléagant, je ne l'ai pas vu depuis un ans et quelques, enfin que avant la malédiction se termine. Déjà depuis que nous sommes arrivé à New York, des soucis nous sont tombé dessus, surtout au parc avec ce chien qui a mordu le bras de Serena et un petit caniche qui me mord la cheville. Ce n'est pas possible. Le pire pour moi, c'est quand l'arbre nous est tombé dessus, Malgré que Lansa m'ai protégé, les larmes ont toute suite apparu, la peur est présente, au nom de mon frère, je tressailli.. Oisin a eu la bonne idée d'aller à un hôpital pour qu'on puisse se soigner vu que nous avons aucun pouvoir de guérison. Je n'étais pas vraiment rassurée d'être ici, ça me rappelle les fois où je suis allée quand Mike me frappait trop fort à me casser un bras ou autre. Après cet épisode à l’hôpital, on se dirige vers notre hôtel, où je pourrais enfin souffler de cette première journée.
Je vis Morrigan venir vers moi durant l'absence de Lansa qui est allé voir sa mère. Elle essayait de me rassurer du mieux qu'elle le peux. Elle m’enlace rapidement, je sais comment elle est, morri est très réservée et n'aime pas montrer ses sentiments devant les autres.
-Merci beaucoup Morrigan, je suis contente de te revoir malgré les circonstances, et ne soit pas trop dur avec les chevaliers, ils essayent de se racheter avec ce qu'il s'est passé durant la malédiction enfin surtout Lancelot.. Je te souhaite une bonne nuit et repose toi, on a eu une journée assez chargée avec tout ce qui s'est passé.
Je rentre donc dans ma chambre pour rejoindre le chevalier qui somnole à moitié. Je m'installe à ses côtés pour passer une bonne nuit.
Le lendemain, après un bon petit déjeuner, nous rejoignons les autres sur les marches du MET pour aller voir la fameuse statue de liberté, un magnifique monument, je trouve personnellement. Sur le chemin du monument, un homme cagoulé armé nous barre la route. Bordel ce n'est pas possible, il commence à nous tirer dessus, Beka et Serena sont blessée. Lansa a réussi à se rapprocher de cette homme. Durant que morrigan parlait, je remarque aussi Elijah s'approche en silence. Je me place à côté de Morrigan tout en prenant mon courage à deux mains pour dire.
-Je sais que vous travaillez pour mon frère, je me demande pourquoi il est aussi lâche pour ne pas venir nous affronter face à face.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Dim 24 Juil - 17:44
Voyage a New-York [Intrigue] × ft. Lansa & Gwen & les autres
Gwen se mit à pleurer et Lansa savait qu'il ne pouvait rien faire, il n'y avait rien à faire à part la prendre dans ses bras pour lui montrer qu'il était là et que même s'il n'était pas là, quelqu'un serait à ses côtés pour l'aider. Bien décidé à monter la garde auprès de la fin de sa vie, il la mit dans la direction de Diana avant de se faire tirer sur le côté par Morrigan. Bien évidemment ce qu'elle dit l'agaça prodigieusement mais contrairement à Perceval, il garda son calme. Il l'écouta jusqu'au bout, les écouta jusqu'au bout, mais ne put parler car elle partit en sens inverse. Là, il attrapa Oisin pour lui parler.
–Je sais que c'est dire de colaborer avec Morrigan, crois-moi, j'ai aussi envie de faire des tentatives de meurtre sur sa personne quand elle prend ses airs comme ça, mais on a besoin d'elle. Il ne faut pas oublié qu'elle ne fera réellement rien contre Gwen ou les autres, elle les aidera peut-être pas, mais elle ne fera rien et c'est ce qu'on a besoin. On a besoin d'elle pour rentrer sain et sauf à Storybrooke.
Il laissa son ami prendre la direction d'une clinique et rejoignit Gwen qu'il ne quitta pas d'une semelle. Les médecins les prirent en charge et quand ils voulurent prendre Gwen à part, un regard de sa part leur fit comprendre qu'il resterait avec elle. Il se tint à ses côtés, debout insensible au marteau piqueur qui s'amusait dans son crane. Après un vérification ou deux, ils purent ressortir. Ils allèrent visiter un peu la ville toujours sur leur garde, mangèrent et ensuite, ils allèrent chacun dans leur chambre d'hôtel. Lansa accompagna Gwen, mais quand il vit Morrigan s'approcher d'elle, il comprit qu'elle voulait avoir une discussion avec sa Reine et même si ça l'agaçait prodigieusement, il la laissa faire et partir rejoindre sa mère pour lui souhaiter bonne nuit avant de rejoindre sa propre chambre qu'il partageait avec Gwen. Il attendit qu'elle s'endorme pour poser une question à la nuit.
–Est-ce qu'on nous réserve d'autre chose du genre pour les prochains jours ? murmura Lansa
Sachant qu'il n'aurait aucune réponse, il colla un peu plus sa belle contre lui et resserra ses bras autour d'elle, comme pour la protéger du reste du monde. Peu à peu il s'endormit et plongea dans un rêve ou n'apparaissait que lui et sa dame. Le lendemain, ils allèrent devant le MET pour attendre les autres et c'est seulement ensuite qu'ils se dirigèrent vers la Statue de la Liberté. Tandis qu'ils avançaient un homme apparut armé d'un flingue, près à tuer toutes personnes le séparant de son butin, c'est à dire Gwen. Lansa qui était maintenant trop loin de Gwen pour la sauver se morigéna mentalement avant de voir Morrigant amorcer quelque chose. Deux femmes touchés et il était près à continuer à tirer. Morri regarda rapidement Lansa comme pour lui faire passer un message et elle se mit à parler avec la personne. Ainsi il put avancer dans la direction du tireur. Gwen se mêla à la partie et il eut peur pour elle, mais Elijah s'avança à son tour, ils allaient arrêter cet homme. Au moment ou il se dit qu'il aurait pu avancer encore un peu, l'homme se tourna vers lui et tira à bout portant. La balle se ficha dans son épaule et il se retint de gémir se contentant de rester debout, la main posée sur la plait. En appuyant dessus, il pouvait sentir la balle fichée dans l'os. « Merde ! » Il espéra qu'Elijah aurait plus de chance que lui et que le tireur soit rapidement or d'état de nuire avant qu'il ne se vide de son sang !
Mission : 100% Vie: 90%
Dernière édition par Lansa L. Lion le Sam 6 Aoû - 15:56, édité 1 fois
Après avoir enchaîner les accidents a peu près à chaque pas qu'ils faisaient, le type nommer "Oiseau" ou un truc dans le genre les emmena dans un hôpital, par chance l'ex dragon n'avais pas besoin de se faire ausculter alors il attendit patiemment que les autres revienne avant qu'ils partent tous pour qu'ils continuent de visiter le reste de la ville, rien de grave ne se passa et l'ex dragon en était bien content car il n'était pas sûr de pouvoir garder son sang-froid.
Puis après une nuit dans un hôtel qui leur permit de reprendre des forces, ils se retrouvèrent tous encore une fois sur les marches du MET, le pompier avait embarquer son couteau papillon avec lui car il savait pertinemment que cette nouvelle journée ne se passerait pas forcément sans anicroche car il avait bien compris grâce au explications de Gwen que l'autre baltringue était un tarée de première catégorie, insulte qu'il c'était empresser de lâcher à voix haute à la fin des explications.
"Reste près de moi."Avait-il dit à Jake alors qui prenaient le chemin pour se rendre à la statue de la liberté, il observa chaque personnes autour de lui et il fut peut être l'un des premiers à remarquer le type en cagoule qui s'avançait vers eux avec une arme pointé sur Diana, un coup résonna dans la rue et une première balle fila en direction de la brune mais par chance Bekah se mit en travers du chemin de celle-ci, puis ce fut au tour de la femme enceinte puis a Lancelot, quand il vit le mec pointer le flingue dans sa direction l'ex dragon n'eut pas le temps de réagir qu'une balle se planta dans son épaule puis Jake aussi s'en prit une.
"Il commence doucement à me faire chier celui-là."Lâcha-t-il assez fortement pour tout le monde l'entende."Oh vous allez arrêter de faire chier espèce de tarée ou il faut que je vienne pour vous encastrer dans la voiture la plus proche ?.Lui suicidaire ?Probablement, mais il commençait peut a peut à perdre de son calme et se faire tirer dessus sa faisait beaucoup plus mal que de se prendre un coup de couteau dans la jambe, il le savait bien car sa lui était arrivée il y a longtemps.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mar 26 Juil - 22:10
Voyage à New York
Oisin avait emmené le groupe à une clinique pour qu'ils soient tous soignés autant que possible. Une fois que ce fut fait, il raccompagna le groupe jusqu'à leur hôtel et fut attrapé par Diana qui l'entraîna à l'écart pour le gronder un peu et le prendre dans ses bras.
- C'est plutôt après toi et la Reine qu'il en a, moi, je ne suis rien à ses yeux. Et puis, je ne risquais rien, il n'a même pas compris que je l'avais suivi jusque-là ! S'exclama-t-il. Allez, arrête de t'inquiéter, je vais bien. Lui dit-il avant de l'embrasser sur la jour.
Puis le jeune homme partit pour son propre hôtel, espérant que rien n'arriverait pendant son absence. À 9h, il était au rendez-vous au MET. Quand les autres arrivèrent et que Diana proposa d'aller voir la Statue de la Liberté, le chevalier soupira. Ça sentait encore les ennuis à plein nez ça...
Et ça ne loupa pas puisqu'ils se firent tirer dessus par un malade, allié à Méléagant. Morgane détourna l'attention de l'homme et Lansa put avancer un peu vers lui. Heureusement que son ami l'avait prévenu que la fée ne voulait aucun mal à la Reine et qu'elle ferait tout pour la protéger, parce que sinon, il aurait pu s'indigner.
- Voilà pourquoi je te fais pas confiance... Toujours à vendre les autres pour rester en vie... Dit-il avec colère.
Du moins, il espérait avoir l'air en colère. Oisin ne l'était pas vraiment et il n'avait jamais réussi à jouer la comédie. En tout les cas, sa prise de parole avait sans doute mis l'attention de l'homme sur lui et c'était tant mieux puisque Elijah avait continué à avancer vers l'homme, malgré sa blessure. Ce qui plut grandement le jeune homme !
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Jeu 28 Juil - 22:19
❝Une ancienne reine à New York❞
Pourquoi faut-il toujours avoir des ennuies qui nous tombent dessus. J'essaye de me dire que ce ne peut pas être pire.. Je crois que je me trompe lourdement vu qu'un brigand qui doit surement travailler pour Maléagant, le seigneur qui m'a enlever avant la malédiction. Je n'en peux plus de tout ça... En plus, ce que lance Morrigan, ne me plaît vraiment pas, mon ex belle sœur ne veut pas non plus que le monstre vienne me kidnapper de nouveau. Enfin bref, je préfère rester calme face à tout ça.. sur tout le groupe il y a déjà deux femmes de touchés ainsi que trois autres hommes dont mon chevalier Lansa, Ce n'est pas vrai !! je n'en peux plus de tout ça.. Oisin restait à mes côtés mais je ne peux pas m'empêcher de lui demander : -Tu crois qu'il va arrêter de me pourchasser..., J'avais peur oui j'ai peur qu'à cause de ce fou, qu'il y ai est blessée, que Diana soit gravement touchée.. ainsi que Lansa..
Deux d'entre nous ont avancée discrètement pour pouvoir neutraliser l'homme qui nous attaque depuis tout à l'heure. Quand je vis que Lansa est touché, je pris peur... Je ne voulais pas que lui ni les autres soient blessé parce qu'un dégénéré mental veut me récupérer.. Je lance un regard noir au tireur qui en profite de me tirer dessus, touchée au niveau de l’abdomen enfin du côté gauche.., je m'effondre, genoux à terre, main sur ma blessure... tellement que la douleur est aïgue... Je n'ose même pas regarder Lansa qui doit paniquer de me voir ainsi...
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Sam 30 Juil - 22:16
Ouvrons notre horizon
On était tous partant malgré la menace de la veille, mais la plupart ne comptais pas se laisser impressionner par ce lâche. Tout avait bien commencé, avant que les balles ne pleuvent. Je ne bougeais pas je regardais ça comme déconnecté.Je sortis même mon mobile, l'homme dirigea son calibre vers moi m'ordonnant de lacher se téléphone je me démontais pas.
- « J'ai déja le 911 en ligne, tu veux donner ton identité peut-être. »
Elijah malgré s'vançait toujours vers l'homme alors qu'il gardait son arme sur moi, encore un pas et il pourrait se jeter sur lui. En attendant je le fixais, je n'avais jamais eu peur de la mort, pas plus dans mon autre vie qu'ici. puis je me mis à parler plus fort. J'étais certaine qu'il m'entendrait. Je parlai avec un ton insultant à souhait
- « Pauvre petit Mike qui s'netoure d'incapable, tu vas devoir faire le job tout seul, si jamais tu as un minimum de c**illes. Mais lâche une jour, lâche pour toujours.. Il est simple de torturer et abuser une femme comme Gwen, mais ceux qui te résiste ça te fais peur, lâche. »
L'homme cagoulé sembla recevoir un ordre et s’apprêta à tirer. Mais rien ne sortit du canon de l'arme. Je dis alors.
- « Une arme, faut la recharger tu sais. Elijah et Lansa, vous voulez bien vous en occuper. »
Je me tournais alors pour faire face à une arme pointais sur la tête. Et cette voix... Je répondais alors.
- « Oh comme c'est beau, t'as trouvé tes parties pour nous affronter. Alors Méléagant, vu que tu vas nous tuer, sauf Gwen, car c'est bien ça ton plan. Tu vas peut être pouvoir nous dire pourquoi. On a rien fait, il y a des innocent qui n'ont rien à faire avec nous, alors dis moi pourquoi et pour qui tu bosse. »
Si je le tenais assez occupé, les autres pourraient s'en occuper. Je regardais fixement Méléagant. Vu son ego, il parlerait, je devais l’occuper...
Des incapables ! Tous des incapables ! Pas foutu de se débarrasser de ces débiles. Du temps de Camelot je les aurai enfermés pour cette incompétence ! J’observe mon complice échoué, comme jamais dans son rôle, caché au coin d’une ruelle. Sans bronché j’écoute cette saleté de fée pesté contre moi me traitant de lâche. Lâche ou pas j’obtiendrai ce que je veux avant la fin de cette journée. Gwen reviendra à mes côtés. Je n’ai pas fait tout ce chemin pour rien, je me suis pas fait soigner dans une clinique vétérinaire pour rien damnit !
Je donne l’ordre à mon pion d’exécuter les victimes et… ce débile avait oublié de recharger son arme… ce n’est pas possible d’être aussi bête… Si seulement je pouvais les avoir sur mon terrain à mon époque ça ferait longtemps qu’il serait jeté dans la fosse commune ! C’est profitant de l’arrestation de mon complice que je peux me glisser jusqu’à derrière la fée Viviane pointant mon arme sur sa tête dès qu’elle me fit face.
« Perdu milady. »
Je lui souris pointant un peu plus le canon de l’arme contre sa tempe, écoutant sans broncher ses petites questions. Je rigole à ses propos.
« Que serait une chasse sans quelques morts ? Personne ici est innocent, vous avez protéger Gwen, vous périrez pour cela. Puis qui te dis que je veux seulement Gwen vivante ? Je n’ai jamais eu le plaisir de m’amuser avec une femme enceinte, je changerai bien mes plans pour elle. Lancelot nous accompagnera bien-sûr, cette saleté de chevalier m’a trop pris pour rester impuni. »
Perceval je n’en ai que faire de lui, sans parlé des deux boulets qui les accompagnes… La rousse semble trop imprévisible elle pourrait être dangereuse autant que je m’en débarrasse immédiatement après Viviane.
« Je suis mon propre chef de cette entreprise. C'est seulement une petite satisfaction personnelle tu comprends? »
Je quitte quelques secondes des yeux la Sorcière pour m’assurer que ses compagnons ne tentent rien de stupide. Je reporte mon regard sur Viviane, un sourire au coin. Ce souvenir devrait lui plaire.
« Allons Sorcière, la mort devrait te plaire, grâce à moi tu pourras revoir ton jeune bâtard dans l’autre monde où je l’ai envoyé il y a tant d’année. Tu l’embrasseras pour moi. »
Je lui fais un clin d’œil avant de retirer le cran de sécurité de mon arme à feu, prêt à la rayer de cette terre pour de bon.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mar 2 Aoû - 11:25
Voyage à New-York
Intrigue Arthurienne
Trop vite. Tout était allé trop vite. Et je n’avais rien pu faire.
Les balles fusaient, meurtrières, et venaient se loger dans la chair de mes camarades. J’avais beau être robuste et rapide, je ne pouvais pas non plus être partout à la fois pour encaisser les coups. Je voyais des taches sanguinolentes s’étaler sur les vêtements de certains Storybrookiens. Morrigan, Gwen et Oisin essayaient de manipuler l’homme cagoulé pour le distraire pendant que Lansa ainsi qu’Elijah s’approchaient de lui. Je n’aimais pas ça. Le réel danger n’était pas ce type avec un flingue. La source de toutes les emmerdes qui nous tombaient sur le coin de la tronche depuis que nous avions débarqué ici, c’était le sale taré qui lui parlait dans l’oreillette. Il fallait à tout prix mettre la main sur Médégant (ou quel que soit son nom) afin d’en finir au plus vite. Plus le temps passait, plus nous nous affaiblissions, et plus nous étions vulnérables. C’était une course contre la montre. Et je n’étais pas la seule à l’avoir compris : Diana tenta le tout pour le tout en jouant la carte de la provocation. Je fronçai le nez dans une grimace de désapprobation. Ma sœur mettait la menace sur son dos, c’était tout à son honneur, mais ça ne me plaisait pas. Surtout que, sans magie, je récupérais beaucoup moins vite de mes blessures. Son plan fonctionna à merveille, certes, mais pas comme prévu : alors que les tirs s’arrêtèrent, nous prenant tous de court (nous nous étions habitués au bruit), le big boss se montra enfin. Le hic, c’est qu’il pointait son arme sur la tempe de Diana. Un frisson glacé remonta le long de mon échine. Ma sœur ne se démonta pas pour autant et resta fière alors que Médégant se lançait dans le sempiternel monologue du grand méchant. Quant à moi, je ne bougeai pas d’un pouce. Le moindre mouvement pouvait causer la mort de la Dame du Lac. C’était très frustrant : j’étais à côté d’elle et je ne pouvais strictement rien faire. Allons Sorcière, la mort devrait te plaire, grâce à moi tu pourras revoir ton jeune bâtard dans l’autre monde où je l’ai envoyé il y a tant d’année. Tu l’embrasseras pour moi. Le cran de sécurité fut retiré. Mes muscles se tendirent encore davantage. Je ne pouvais toujours pas risquer la vie de Diana en essayant de la sauver. Ce sentiment d’impuissance était tout à fait détestable. Aussi me contentai-je de fusiller de mon regard d’ouragan le vilain pas beau. Mais où était passée la Tornade, l’imprévisible et impétueuse tête brûlée ? C’était ce que tout le monde attendait de moi : que j’agisse. J’étais la plus proche de Médégant, la mieux placée pour l’atteindre. Pourtant, je n’en fis rien. Diana me séparait de son agresseur, et je n’arrivais pas à me convaincre que je pourrais la sortir de ce traquenard sans aucun risque. Je me sentais misérable à rester plantée là, fixant le canon mortellement près du crâne de ma tendre sœur. Le reste de la scène se déroula comme dans un film au ralenti : je vis l’ennemi appuyer sur la détente, Diana planter son couteau dans le ventre du tireur, déviant ainsi la trajectoire de la balle qui vint se planter dans son épaule. Tout du long, je n'avais pas esquissé le moindre mouvement, en apnée totale. Vivi, ma Vivi avait failli mourir. Sous mes yeux. Et je n'avais strictement rien fait. A présent, du sang coulait de sa blessure. A Tortuga, nous avions toutes les deux valsé avec la Mort plus d'une fois. Cependant, dans ce monde sans magie les enjeux n'étais pas les mêmes : ce qui l'aurait simplement chatouillé là-bas pouvait bien causer sa perte ici. Mais à présent, Diana était libre, alors il fallait que je me ressaisisse. Je repris mon souffle, apportant de nouveau de l'oxygène à mon cerveau. C'est pas le moment de s'enraciner cocotte, on se magne le fion ! On reboot et on repart !
Emi Burton
Bekah : 90% Et -10% pour Didi
Morrigan O'Conelly
En réalité, je suis
Morgane la Fée
☂ Conte : Légendes arthuriennes
☂ Emploi : Prof d'Histoire Géo
☂ Camp : I'm just Different
☂ Avatar : Katie Cassidy
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mer 3 Aoû - 13:57
❝Un jour, j'irai à New York avec toi❞
Morrigan dans l'intrigue arthurienne
Les choses allaient de mal en pis. Morrigan et Gwen avaient pourtant réussi à détourner l'attention du braqueur fou, si on pouvait l'appeler comme ça, mais finalement les deux sauveurs furent repérés et prirent chacun une balle.
Heureusement, à force de tirer sur tout le monde, l'homme se retrouva vite à court de balle. Mais une autre personne s'invita à la fête. Méléagant était là, lui aussi un pistolet braqué sur Diana. Cette dernière décida alors de narguer le malade qui leur faisait face. Par moment, elle était complétement inconsciente, pire que Morrigan.
- Tu es sûre que c'est la meilleure chose à faire, là?, lança-t-elle à son amie avec un regard noir.
Mike avait les yeux fous. Il était complètement concentré sur Diana que cela faisait peur. A croire que c'était elle sa cible et non Gwen. Puis, il commença à parler de choses qui ne devaient pas tomber dans toutes les oreilles. Morrigan se tourna affolée vers Oisin et Lansa. Il fallait vite faire taire Méléagant avant que tout ne resurgisse. Cet idiot allait tout gâcher. Pourquoi il ne voulait pas tout simplement récupérer sa Reine pour la torturer?
Aussi discrètement qu'elle le put, Morrigan attrapa le couteau qu'elle avait glissé dans son sac, au cas où. Mike était tellement focalisé sur Diana qu'il ne faisait attention à rien d'autre. La fée en profita donc pour doucement le contourner. Arrivée derrière lui, elle le frappa avec le manche de son opinel. Il tomba, assommé par le choc.
Morrigan aurait bien voulu le tuer mais ce n'était pas à elle de le faire. La vengeance appartenait à Gwen, et la fée ne lui volerait pas cette occasion.
- Bon, maintenant qu'on est tranquille, on fait quoi?
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Jeu 4 Aoû - 21:49
❝Une ancienne reine à New York❞
Je me relève difficilement, sentant le sang couler à travers le tissu de mon chemisier. Je vois avec effroi mon frère.. Ou plus connu sous le nom de Méléagant qui s'attaque à la dame du Lac.. Je me sens comme pétrifiée en le voyant mais ce que j'entendis me sorti de ma torpeur.. Comment peut-il dire ça... Ce monstre.. Avant que je dise quoi que ce soit Morrigan l'assomme. Je regarde Morri avec un triste sourire. Tout ça est fini, Oisin en profite pour attacher mon frère, je n'ose même pas le regarder, vu que je me dirige vers celle que je considère comme une mère pour la prendre dans mes bras. -Tu vas bien Diana??... Je pense qu'on devrait faire un détour à l’hôpital pour retirer la balle que certains d'entre nous ont reçu.. annonçais-je avant qu'on se dirige vers l'hôpital le plus proche.. Un endroit que je n'aurai pas aimé y retourner mais nous le devons. Après avoir extrait la balle que j'ai eu dans les côtes . Nous étions tous près pour repartir.. Lansa, Diana et moi même repartions vers l'aéroport pour notre avion.. Ce séjour me restera en mémoire, je reste silencieuse durant la moitié du voyage jusqu'à ce que Lancelot me sort de ma rêverie en me demandant si j'allais bien. -On fait aller, ne t'inquiète pas Lansa.. Repose toi, tu as l'air exténué, remarquai-je inquiète en le regardant dans les yeux et passant ma main sur sa joue, je l'embrasse doucement. Il se repose en ayant ma main dans les siennes. Peur peut-être que je le quitte. Je jette un coup d'oeil envers Diana, elle dormais depuis que l'avion a décollé, je la couvre de ma veste doucement. Je m'inquiètes pour elle.. Après notre arrivée, Lansa et moi rentrions à notre maison pour qu'on puisse se reposer de ce petit séjour qui me restera en mémoire..
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Sam 6 Aoû - 16:41
Voyage a New-York [Intrigue] × ft. Lansa & Gwen & les autres
Quand la balle toucha sa Reine, Lancelot voulut aller vers elle, mais il savait que si jamais il bougeait d'un pied, il se retrouverait surement sur le sol à pisser le sang. Alors il ne bougea pas, posant simplement sa main sur la blessure pour tenter d'arrêter le sang. Bon soyons clair ça ne changeait rien, le liquide continuait de couler, lui perdait des couleurs sous la douleur. Mais tout ça il s'en fichait, il ne voulait qu'aller rejoindre la femme qui faisait battre son coeur pour la serrer contre lui et l'amener à l'hôpital. Mais les choses se gâtèrent avec l'arrivé de Méléagant qui tenait en joue sa mère. Le jeune homme se sentit partageait entre deux feux, il voulait, il pourrait se mettre à courir et arriver devant le canon avec qu'il ne tire. Mais l'homme ne fit que parler, que répondre à la provocation de Diana.
–Si elle veut finir criblée de balles c'est comme ça qu'il faut faire, se murmura-t-il en surveillant aussi bien l'homme armé que Méléagant.
Puis il se mit à parler d'une chose qui le fit se tendre, Lansa sentit le regard d'Oisin et de Morrigan sur lui, oui il fallait l'arrêter avant qu'il ne dise quelque chose de travers. Mais pour cela, il fallait que l'un d'eux puisse avancer sans se faire avoir d'une quelconque manière. Morrigan s'avança lentement derrière l'ennemi et lui tapa violemment sur le crane. Un soupire de soulagement l'étreint et il se laissa glisser sur le sol pour pouvoir se remettre à respirer. Il prit une grande inspiration avant de se remettre debout et d'aller vers Diana pour la rassurer et surtout pour se rassurer. Voulant faire de l'humour pour détendre l'atmosphère, il dit :
–Je ne sors plus avec toi Maman, a chaque fois que je suis avec toi je finis blessé. Ou alors c'est toi que je devrais interdire de sortir.
Il l'embrassa sur la joue pour montrer qu'il rigolait et suivit ensuite Gwen vers l'hôpital. Oui il faudrait vraiment qu'ils se reposent un peu et se remette de leur blessure avant d'aller vers un quelconque endroit. Dans l'hôpital, les médecins les prirent en chargent et Lancelot se retrouva couché sur un lit à se faire extraire le plomb de l'épaule. Les médecins avaient été étonné de voir toute une troupe blessé, mais ils n'avaient pas fait de commentaire. Mais cependant ils n'en pensaient pas moins. Rapidement, Lansa rejoignit les autres et en particulier sa Reine qu'il n'avait pas encore prit dans ses bras depuis que Méléagant était apparut. Ils allèrent prendre leur avion et le jeune homme resta un moment silencieux avant de demander à Gwen si elle allait bien. Avec tous ces évènements, il ne pouvais pas s'empêcher de le demander. Elle lui répondit et il lui sourit avant d'entrelacer leur doigt et de s'endormir. Son épaule lui faisait mal, mais c'était un mal pour un bien. Au moins Méléagant était hors d'état de nuire. Il rentra chez lui avec Gwen et se promit de tout faire pour lui faire oublier son frère.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Sam 6 Aoû - 23:46
J'allais sortir de mon insupportable rôle de simple spectatrice lorsque j'aperçus, à la périphérie de ma vision, Morrigan entamant une approche discrète vers Médégant. Avant que celle-ci n'assomme notre ennemi, je lançai à ce dernier un sourire fourbe. PAF. Il tomba à terre, inconscient. Mon regard resta fixé sur son corps alors qu'on le ligotait. Pendant les instants qui suivirent, je ne bougeai pas, le visage impassible. Puis, quand l'heure fut venue de partir pour l'hôpital (à ce rythme, autant prendre un abonnement), je décidai de laisser un petit souvenir au sale type qui nous avait gâché le voyage : avec un peu d'élan, je lui balançai un formidable coup de pied dans les côtes, lui en fêlant une. Il était trop KO pour se réveiller sous le choc. Ce n'était pas un acte d'une bravoure suprême, mais au moins, la prochaine fois qu'il pensera à nous pourrir la vie, une vilaine blessure lui remettra les idées en place. À l'hôpital, je laissai un médecin me poser quelques points de suture. Il me félicita pour avoir délogé la balle par moi-même. Je me contentai d'un grognement pour toute réponse. Gwen, Lansa et Diana repartaient tout de suite à Storybrooke. Je laissai toute la petite troupe faire ses aux revoir, et me rapprochai ensuite de ma sœur. Je lui pris le bras, le serrant entre mes doigts. Je plongeai mon regard de tempête dans le sien. Je m'en voulais terriblement de ne pas avoir pu réagir, de ne pas avoir pu la protéger. Nous nous étions toujours jurées d'être là l'une pour l'autre, de veiller l'une sur l'autre, et j'avais été minable. Mon cœur se comprima sous la honte que je ressentais. Et tout cela, Diana pouvait le lire dans mes yeux. J'espérais qu'elle parviendrait à me pardonner...
Après avoir récupéré mes affaires à l'hôtel, je passai récupérer Serena pour porter ses bagages. Pas question qu'elle s'épuise encore plus, le séjour avait déjà été assez éprouvant. Nous prîmes un taxi qui nous mena jusqu'à l'aéroport. Seulement, en chemin, je demandai au chauffeur de faire une halte et de nous attendre quelques minutes. J'emmenai Serena avec moi à l'intérieur d'un grand building. Nous entrâmes dans un ascenseur pour monter jusqu'au dernier étage. Nous étions sur le Top of the Rock, le sommet du Rockefeller Center. Sous nos yeux s'étendait une vue panoramique de New-York, à couper le souffle. Pendant plusieurs minutes nous restâmes là, à admirer le spectacle. Je me disais que ce serait bête de partir dans profiter... marmonnai-je comme pour me justifier d'une bêtise. Je ne me rappelle plus combien de temps nous avons passé là-haut, côtoyant les nuages.
Le trajet du retour se fit dans le silence. Aucune de nous deux n'avait vraiment envie de papoter. Dans l'avion, j'avais laissé le hublot à Serena et j'avais dormi pendant tout le vol. Je somnolais même au volant jusqu'à ce que je passe la frontière de Storybrooke. Alors, je sentis la magie affluer en moi comme un raz-de-marée salvateur. J'étais enfin entière. Je retrouvai ma petite maison, mon petit chez-moi. Dans la salle de bain, je m'aspergeai le visage d'eau glacée. Examinant mon visage dans le miroir, je fronçai les sourcils : Tu te ramollis ma vieille, c'est pas bon ça... Et maintenant tu parles à ton reflet. T'as les plombs qu'ont sauté ma pauvre fille. CRAAAC. Je venais d'enfoncer mon poing dans le mur. Des débris de carreaux tombèrent au sol alors que je le retirai. Je détestais me s'entre faible à ce point. Tandis qu'une colère sourde commençait à gronder, je sentis d'imperceptibles tressaillements au fond de mes entrailles. La Chose se repaissait de mes états d'âme. Une petite voix dans ma tête me conforta dans mes inquiétudes : Si tu La laissais faire, Elle pourrait t'aider. Elle te rendra plus forte, invincible. Grâce à Elle, tu pourras faire ce dont tu es incapable aujourd'hui. Libère-La... Et le pire, c'est que cette mauvaise conscience, ce Dark Jiminy Cricket, n'avait pas tellement tord.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Dim 7 Aoû - 12:04
Voyage à New York
Le tireur fou avait été arrêté. Mais ils étaient tombés de Charybe en Scylla… Parce que Méléagant venait de surgir et qu’il pointait une arme sur Diana. La Dame du Lac ne se laissa pas faire et fit tout pour énerver l’homme. Elle y parvint, bien sûr… Si bien que Méléagant commença à évoquer le passé. Et il fit ressurgir des événements qui devaient demeurer cachés. Échangeant un regard avec Morgane, Lancelot et la Reine, il y vit la même urgence qui devait se trouver dans ses yeux. Il fallait le faire taire, et vite !
Morgane fut la plus prompte à agir. Elle parvint à l’assommer, avant que des dégâts irréversibles ne soient faits. Oisin se dirigea vers Diana et la serra contre lui avant de la laisser aux bons soins de Rebekah et la Reine. Lui avait une mission importante à accomplir. Pendant que Méléagant était inconscient, le Chevalier l’entrava. L’homme finit dans le coffre de la voiture du mécanicien, ligoté et bâillonné. Il avait juste un petit trou comblé par une paille, afin qu’il puisse boire de l’eau durant le trajet, Oisin n’étant pas un monstre, il n’allait pas le laisser crever comme ça…
Pendant que les autres rentraient à l’hôtel, lui se mit en route. Il avait bien plus de trajet à faire que les autres, puisque lui étaient en voiture. Diana, Guenièvre et Lancelot seraient à Storybrooke bien avant lui, Oisin le savait parfaitement… Quand il arriva près du panneau souhaitant la bienvenue aux visiteurs de Storybrooke, le mécanicien vit que Diana l’attendait. Avec un regard entendu, il s’arrêta sur le bas-côté, fit descendre Méléagant et le laissa aux bons soins de la Dame du Lac. Maintenant qu’ils étaient de retour chez eux, Diana avait ses pouvoirs et Méléagant n’avait plus qu’à bien se tenir.
Après un dernier regard vers Diana, Oisin continua sa route jusqu’à chez lui, ravi d’avoir aidé à se débarrasser de ce problème.
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Dim 7 Aoû - 23:00
Ouvrons notre horizon
L'avantage des cliniques privées c'est que du moment qu'on paye assez on a toute discrétion. J'avais claqué près de 100 000$ pour pas qu'ils contactent la police, pas besoin d'attirer l'attention sur nous et sur notre ville d'origine. Bref je rassurais ma soeur.
- «Bekah, arrête de t'en vouloir tu veux bien. Je ne t'en veux pas, ça ne change rien en la confiance que j'ai en toi. On en parle à Storybrooke su tu veux, mais pour moi y a pas de soucis. »
Je la prenais doucement dans mes bras. Après avoir salué tout le monde il était temps de prendre la route de l'aéroport et de rentrer à la maison. Une fois la limite de la ville passée, la magie qui coulait dans mes veines agit sur mes blessures pour n'en faire que de lointain souvenirs. J'embrassais mes enfants une fois à la maison, ainsi que mon petit fils. Je croisais le regard de Killian et je lui donnait une heure précise pour se retrouver à la sortie de la ville. Je me préparais par la suite à cette confrontation, Killian m'avait suivi et je lui avait raconté ce qui c'était passé en détail. Il était furieux évidemment. M'enfin j'avais réussi par le rassurer en disant qu'ici j'avais ma magie et qu'il ne pourrait pas m'abuser aussi facilement. Je prenais par la suite ma voiture, en disant à Killian de me faire confiance que j'allais régler le soucis, et que je lui amènerai au poste. Bref j'attendais depuis 5 minutes une centaine de mètres après le panneau d'entrée dans la ville. Oisin arriva, me laissa le prisonnier et dans un simple regard, comme bien souvent avec ce chevalier que j'avais en partie éduqué aussi, il me laissa Méléagant et rentra chez lui. Je regardais alors froidement l'homme en face de moi. Puis je lui retirai son bâillon d'un geste négligeant de la main, restant à 5 mètre de lui. Ma voix aussi froide que mon regard se fit entendre.
- « J'avoue que je ne t'ai jamais compris. A quoi bon s'en prendre à Gwen à présent. Arthur est mort, Camelot n'est plus. Je... »
Une voiture se gare derrière moi j'ai juste le temps de me retourner et son arme de service arrive dans ma main. Je me précipite vers Méléagant et plonge ma main dans son buste. D'un geste sec je retire ma main, le coeur de l'homme à l’intérieur. Killian et Méléagant me regardent tous les deux, la même lueur d'incompréhension dans le regard. Killian est comme pétrifié. Peu importe pour le moment, je dois protéger ma famille, ainsi que Killian. Je regarde l'homme qui a voulu notre mort les deux dernier jours. Une rage plus froide que la glace de la banquise montait en moi, il avait menacé ma famille, il avait blessé des innocents à New-York et pire encore une femme enceinte. Je lui damandais alors de rennoncer, de laisser ça derrière, de ne plus chercher à nous nuire, qu'on avait rien fait contre lui, Gwen n'avait jamais porté plainte contre lui. Il me ria au nez, et je compris que jamais il ne changerai. Le calcul se fit rapidement dans ma tête, alors que Killian semblait retrouver sa mobilité et se mettait à courir pour lui planter son crochet dans la gorge. Méléagant s'écroula alors que Killian était à ma hauteur, il m'avait vu. Killian avait vu et d'une voix horrifiée il me dit.
- « Viviane, qu'as tu fait? »
Je réouvrais la main qui contenait le coeur de Méléagant, il n'y avait plus que des cendres. Je les faisais tomber au sol. Un regard au corps, un autre à Killian, et je faisais cramer le corps de ce tortionnaire en répondant à Killian froidement.
- « Je fais un choix, je protège ma famille, quelque soit le prix à payer. »
Pas de corps, pas de crime. J'imaginais mal Killian m'arrêter alors qu'il allait lui même le tuer, et de la femme qui lui donnait ses ordres, elle ne dirait rien non plus. Je regardais Killian, on avait une longue discussion à Avoir à présent. Je le suivais au bureau du Shérif, et la discussion commença...
Sujet: Re: Voyage à New-York [Intrigue Arthurienne] Mar 16 Aoû - 15:13
Voyage a New York
Les apparences sont toujours trompeuse.
Trois mois a présent qu'il vivait a Storybrooke, trois longs mois, il avait fait connaissance avec plusieurs habitants de la ville, son équipage c'était étaler en ville, mais la plupart restait quand même à bord du Queen's Anne, n'arrivant pas à s'habituer a la nouvelle époque ou surement parce qu'un pirate ne dormant pas sur un bateau sur l'eau, c'était beaucoup trop difficile pour certains. Barbe Noir n'en n'avait rien à faire, il avait bien fait comprendre à son équipage qu'ils étaient libre de faire ce qu'ils voulaient, tant qu'il ne dérangeait pas leur Capitaine pour des raisons plus idiotes les unes que les autres.
Lui depuis qu'il était arriver en ville avait passer la moitié de ses journées entre explorer la ville, apprendre les us et coutume du 21ème siècles et a embêter Merlin. Ses connaissances était encore assez limiter, mais il apprenait assez rapidement, il avait horreur d'être désavantager dans un nouvel endroit, c'est pour cela qu'il devait connaitre chaque recoin de la ville, mais aussi c'est alentour. Ses pas l'avait entraîné vers la sortie de la ville, cela avait été instinctif, une force l'avait pousser a ce diriger là-bas.
Et il n'était pas tout seul, Miss Lake était présente et une voiture semblait l'avoir suivit depuis la ville.Ce stoppant près de l'ancienne frontière, il observa la scène qui se déroulait sous ses yeux, deux hommes venait de sortir du véhicule, il leva les yeux au ciel quand il reconnue Hook, il n'avait pas encore eu l'occasion d'avoir une conversation avec l'ancien Capitaine du Jolly Roger, mais sa ne saurait tarder.L'homme a genoux par contre il ne le connaissait pas, mais il savait une chose a son propos: Il allait mourir.
Sa prédiction fut confirmer quand la brune plongea sa main dans la poitrine de l'homme a genoux pour lui arracher le cœur avant de l'écraser pour qu'il ne reste qu'un tas de poussière. Il lâcha un petit sifflement impressionner avant de tourner la tête en direction de la forme transparente a ses côtés."Vous avez vue cela ? Elle a simplement arracher votre cœur, la écraser et POUF ! Plus de Méléagant...j'aime bien quand sa dure longtemps, mais on va pas faire la fine bouche hein ? Elle aurait pu vous couper la tête ou vous brûler-..."Il fut interrompue dans son petit monologue par Miss Lake qui venait de mettre le feu au corps de Méléagant, il reporta attention sur la forme transparente qui le regardait avec un air confus.
Le Capitaine lui étais très amuser"J'ai parler trop vite apparemment ...et avant que vous ne posiez la question, parce que tout le monde la pose et que j'en ai marre de cette question, non ils ne peuvent pas nous voir."Il fit un petit geste en direction de Diana et Killian avant de donner un petit coup dans la tête du pirate a crochet."Vous voyez ? Je pourrait le pousser dans le vide que personne ne pourrait m'arrêter...personne ne me voit quand je décide que personne ne me voit."Sa expliquais pourquoi le petit couple n'entendait ni la conversation, ni n'avait vue qu'il avait été présent lors de la mort de Méléagant."C'est l'un des avantages quand on gère l'Underworld...d'ailleurs on ferait mieux de ce bouger."
D'un geste de la main le décors fut modifier, l'air ce fit plus chaud, le soleil avait disparue, tout autour d'eux il faisait assez sombre."Pas l'endroit le plus glamour mais quand on meurt il ne faut pas s'attendre a des prairies et des licornes."Il regarda autour de lui, petit sourire amusée au lèvres avant qu'il ne regarde l'homme a ses côtés."Alors le programme est simple...torture, torture et torture jusqu'à la fin...mais comme y'a pas de fin et bien sa durera jusqu'à ce que je décide de m'arrêter, c'est a dire jamais...on va bien s'amuser..."Il pouvait voir dans le regard de Méléagant qu'il n'était vraiment pas chaud a l'idée de ce faire torturer encore et encore.
"Allons allons, pas la peine de faire cette tête, quand on décide de faire du mal aux gens autour de soit, il faut être prêt a en payer les conséquences, rien n'est gratuit dans la vie."Il poussa l'âme dans une direction."Et puis qu'elle idée saugrenue de s'en prendre a ces gens la, je ne comprendrais jamais les gens qui décide de s'en prendre aux gens proches de Merlin...je suis sur que le vieux papy aurait finit par s'en mêler et sa n'aurait pas bien finit pour vous...moi j'ai tuer accidentellement son gosse ...il va surement faire la gueule pendant les prochaines années...c'est d'un ridicule."Il roula les yeux avant de pousser Méléagant dans une cellule."J'utilise rarement les cellule...mais pour vous je vais faire une exception...on se revoit dans pas longtemps."Il fit un petit signe de la main avant d'éclater d'un rire tonitruant, disparaissant sous les yeux de Méléagant qui se mit a hurler de terreur en voyant quelque chose d'autre arriver dans sa direction.
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