Le grand jour, pas vrai ? Ce bal de la St. Valentin dans la demeure de Jefferson, j’ai longtemps hésité avant de me décider à y aller. Avec les événements de Camelot changer d'air nous ferais le plus de bien. En réalité j’ignorais si Diana voudrait m’accompagner là-bas, la situation peut s’être un peu amélioré entre nous j’étais toujours hésitant à lui demander les choses. J’avais peur du rejet et alors ?! Je ne vous permets pas de vous moquer de ma situation. Enfin, bon c’est pour ça que durant la semaine qui précédée je me suis débrouillé seul pour aller chercher nos tenues respectives. Ouais, j’aurai l’air malin si elle refuse, je sais… Mais au pire on les utilisera un autre moment.
C’est lors de l’après-midi, quand j’étais sûr qu’elle travaillait dans son bureau que je suis allez récupérer les vêtements quand j’avais caché sur le Jolly Roger, à part Liam personne y allait en ce moment. Et si jamais Liam me trahi là-dessus, je lui ferai connaitre le supplice de la planche ! Une fois à la maison je m’étais débrouiller pour, le plus discrètement possible, déposer sa robe rouge sur notre lit. Je suis convaincu qu’elle va l’aimer, j’espère ne pas trop m’avancer en disant que je pense connaitre ses goûts à présent. Content de moi je vais à sa rencontre en fermant la porte de notre chambre en sortant, elle est comme j’avais prévu dans son bureau.
Je reste quelques temps adosser à la porte en la regardant travailler ou faire je ne sais quoi. J'hésite presque à faire demi-tour et annuler tout ce que j'ai prévu, on sait jamais. Inspirant un bon coup je me lance. Je pose ma main doucement sur son épaule exerçant une douce pression pour l’interpeller en lui souriant.
« J’ai une surprise pour toi. »
D’un regard entendu je ne lui laisse guère le choix en la tirant avec moi par la main. Quand on arrive pratiquement devant la porte de notre chambre je lui suggère d’un hochement de sourcil de passer devant moi, placer derrière elle je m’avance jusqu’à poser ma main valide et mon crochet sur ses hanches laissant mon visage reposer contre son cou en l’embrassant lentement. Ouais vu comme ça elle doit penser que la surprise c’est des tacos, mais même pas!
Quand je lui murmure d’ouvrir la porte et d’entrer elle le fait sans l’ombre d’une hésitation. Je lui laisse quelque seconde pour admirer la robe. Je me décale doucement toujours accrocher à elle pour pouvoir contempler son visage. Je suis juste un peu stressé. Je l'averti seulement quelques heures avant le début de ce fameux bal. Je vais me trouver con si jamais elle refuse, nan ? Ou que d'une certaine façon elle interprète mal mon geste. Essayant de cacher au moins mon malaise je lui souris en désignant la robe installer de tout son long sur le lit d'un signe de tête.
« Qu’est-ce que t’en dis ? Tu veux bien m’accompagner à ce bal ? Raviver quelques vieux souvenirs. »
Petite référence à notre première rencontre faite. Tu peux la rayer de ta liste Jones. Bon alors. Elle dit oui, elle dit non… Prochain mystère à résoudre. Vous avez deux heures.
Depuis le retour de Camelot les choses s'arrangeaient doucement avec le père de mes enfants. Les gestes tendres étaient de plus en plus fréquent. Il me prenait par la main quand nous nous baladions en famille, comme lors de la malédiction je me blotissais dans ses bras lors des soirée DVD en famille. Suite à la tentative de meurtre contre moi et les menaces concernant notre famille, j'avais du rassurer et faire promettre à Killian de ne pas tuer ce type. Nous avions augmenter encore plus la sécurité sur le terrain, entre les caméras de vidéo surveillance et le fait qu'on devait tous envoyer un sms par heure à Killian. C'était à cette seule condition qu'il avait accepter de ne pas suivre Méléagant et pour lui offrir une mort horrible. J'avais oublié une fois, absorbée par mes recherches, il avait débarqué à la maison en plein service. Tous se préoccupait de Méléagant, moi ce qui m'inquiétait c'était cette femme qui semblait le commander. Cette femme dont on ne savait rien. Alors chaque après midi je cherchais qui celà pourrait être et surtout pourquoi elle en voulait à ma famille. Bref c'était une de ces après-midi là, je suis bien incapable de vous donner une date, on était en février, au milieu je crois. Je laissais la porte du bureau ouverte, ma chienne montait toujours la garde assise juste à côté de moi. J'avais une ligne de conduite, m'arrêter avant les retour de triplés du Lycée, être dispo à tout moment pour mes 5 enfants et Gwen. Killian et moi avions notre moment le soir, je me blottissais dans ses bras, nous échangions quelques baisers et enfin je m'endormais, bercé par les battements de son coeur. A un moment dans l'après-midi Gemma se coucha, c'est par ça que je compris que Killian était là. Ma chienne ne s'arrêter jamais de garder tant que Killian n'était pas dans la même pièce qu'elle. Il mis un petit moment à me signaler sa présence par une inspiration et en déposant sa main sur mon épaule me caressant doucement. Je me tourne vers lui mon regard chocolat tombant dans l'océan du sien. Je vois son sourire franc et je décèle dans son regard une touche de stress quand il me dit qu'il a une surprise pour moi. Sans me laisser le temps de lui parler, il me prend pas la main et m'amène vers notre chambre. Devant la porte il se colle à moi embrassant tout doucement mon cou. Un frisson parcours mon corps, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas eu ce genre de geste envers moi. Pas qu'il ne m'embrasse pas ou ne me fasse pas de câlin, loin de là. Mais ce geste était adorable et en même temps un peu osé, et pour la première fois depuis la naissances des triplés, il venait de faire ce genre de chose en premier. J'ouvre la porte sans crainte à sa demande. Quelque soit sa surprise je suis certaine qu'il n'a rien fait qui puisse être dangereux. Je vois une robe de soirée écarlate sur notre lit. Je réalise alors que nous sommes le jour du bal chez Jeff. Au pars tous les Dieux, faudrait quand même que je suive un peu plus mon calendrier. Je m'approche du lit, je sais le connaissant par coeur qu'il ne doit pas louper un seul de mes gestes. Je touche du bout des doigts le tissus de la robe. Elle est sublime, simplement parfaite. Je ne peux m'empêcher de sourire, heureuse de ce que cette robe signifie. Je vais pour me retourner afin d'embrasser Killian avec amour mais il ne m'en laisse pas le temps en me demandant si je veux bien l'accompagner. Je lui réponds rapidement en déposant ma main sur son visage, mes yeux dans les siens.
- « Comme à l'époque, ça serait un honneur que de t'accompagner Killian. J'ai un cadeau enfin deux à te faire avant. Viens avec moi. »
Je l'entraîne alors d'abord dans la sa salle de musique. Je lui montre alors deux paquet. Ils l'ouvre et tombe sur une guitare électrique pour gaucher, une fender à cordes inversées. Il ouvre le second paquet, c'est une prothèse avec un médiator. Je sais que la musique ça lui manque, mais j'ai parfaitement confiance en lui pour s'adapter. Il va devoir réapprendre mais il est doué pour s'adapter rapidement. Je luis dis alors.
- « On ira au garage demain, là on doit se préparer pour le bal. »
Je l'amène alors avec moi vers notre salle de bain, nous prenons notre douche ensemble. Il s'habille classe avec une pointe décontractée. Je me mords la lèvre, il est diablement sexy ainsi. Je met ma robe à même la peau. Elle est vraiment parfaite. Ce dos nu, ce décolleté discret mais profond pour celui qui sera mon cavalier, ajustée à souhait, j'aime vraiment beaucoup... Elle est classe ce robe. Je me maquille et me coiffe en conséquence (maquillage et coiffure). Je mets simplement une jolie paire de boucle d'oreille en argent et je me plante devant mes chaussures. Je sens que Killian va pas tarder à se moquer gentilments de moi, et j'anticipe.
- « Ne dis rien, je sais que sur mes 200 paires je devrais trouver quelque chose. »
D'ailleurs j'attrappes alors une paire noire de chez Louboutin, elle finira parfaitement la tenue. Je dépose un baiser sur les lèvres de Killian et nous partons en direction du manoir de Jeff dans ma Mustang rougE. Arrivés sur place, je regarde la déco, je suis subjuguée.
- « C'est magnifique ce qu'il a était fait pour la déco... »
Le gros stress de la soirée est passé ; elle accepte je peux respirer à présent. Je savais bien que la petite référence à notre passé aller fonctionner. Perspicacité quand tu nous prends. Puis vu la quantité de temps qu’elle a pris pour étudier la robe elle doit l’apprécier, voir l’adorer. Good job, me. Je fronce les sourcils quand elle me dit que des surprises m’attendent. Quel genre ? Je n’aime pas les surprises usuellement, mais bon Diana va pas me poignarder dans le dos tout de même. Je rentre un peu hésitant jusqu’à mon ancienne salle de musique, salle que j’avais dévasté à la fin de la malédiction, où deux paquets m’attendent. J’ouvre le premier où une magnifique Fender adapter à mon handicap se dévoile et pour couronner le tout une prothèse de main avec médiator dans le second paquet. C’est avec un sourire quelque peu crispé que je la remercie.
« Je pourrais apprendre à Cassie comment jouer, elle adorera j’en suis sûr. »
Ou à Ley, Ceri. Liam aussi, pour attirer les minettes il n’y a pas mieux que les musiciens ! Ah… La bonne époque de la malédiction. Le garage et pourquoi ? Je vais le savoir demain, je ne vais pas la brusquer là-dessus même si je suis impatient de le découvrir… Avant d’entrer dans la douche à sa suite je siffle Barthy qui me ramène mon costume encore dans le salon et dans sa protection. Un chien dressait c’est le rêve. Enfin… il écoute quand il veut quoi.
Je pouvais parier combien qu’elle mettrait une demi-heure de plus que moi pour se préparer ? Même moi avec ma main en moins j’étais plus rapide à enfiler mon costume et à m’attacher ma chemise et le reste… Mais j’avoue avoir fait le bon choix pour la robe. Elle était sublime avec, je n’arrive pas à détacher mon regard d’elle. En plus à même la peau… Toutes ses courbes tracées à la perfection. Tomber amoureux une nouvelle fois de cette femme. C’était peut-être une erreur en fait. Je n’arriverai pas à me tenir avec une telle beauté.
Elle a bien dû rester une bonne vingtaine de minutes devant ses un million de paires de chaussures… J’ouvrai la bouche pour une remarque moqueuse, mais elle la déjà vu venir vu son ton. Cette femme me connait trop pour mon propre bien
« J’oserai jamais me moquer de la collection de chaussure d’une femme, je tiens trop à mon service trois pièces. »
Madame est prête. Quand elle s’apprêtait à monter je la retiens avant de lui ouvrir la porte passagère. C’est d’un regard que je lui fais comprendre que c’est à l’homme d’emmener sa dame jusqu’à la salle. Gentleman. Arriver sur place je souris en la voyant s’extasier sur la décoration.
« Quelques conseils quand on est chez notre cher Jefferson. Ne boit pas de thé qui te semble suspect. Et ne goute pas d’aliment d’une couleur ou d’une forme inconnue. »
Pourquoi on n’a pas de détecteur de drogue wonderlandienne… Je dois investir dans cette découverte et déposer un brevet. Ma dame à mon bras crochu on s’enfonce dans la salle bondée de monde, le rendez-vous de l’année pour Storybrooke à n’en pas douter, de ma main j’attrape une coupe de champagne que je donne immédiatement à Diana avant d’en prendre une moi-même. Je sais qu’elle n’aime pas le champagne, j’ai une solution pour ça. Je renverse le contenu des verres dans une plante qui traine par-là avant de remplir légèrement le verre de Diana de ma flaque de rhum et d’en verser une portion plus généreuse dans la mienne.
« A un nouveau départ. »
Sans tricherie, coup dans le dos, mensonge et toute ses choses peu recommandables pour une relation durable. C’est d’une gorgé que je fini mon verre comme d’habitude. Trinquer c’est fait, je peux le rayer de la liste. Manque encore quelques petites choses, espérons qu’elle arrive durant la soirée. Quand cette musique, ce début de slow, se fait entendre je ne peux m’empêcher de la regarder. Chanson quelque peu parfaite qui nous représente.
« Accorderas-tu cette danse à ce pauvre capitaine ? » J’imite une révérence royale lui présentant ma main. « Je me suis amélioré depuis nos dernières danses chez Uther. »
C’est ça aussi d’être pirate, savoir danser. Enfin non, pas tout à fait, c’est savoir danser pour se glisser dans les bals royaux et profiter que tous ce beau monde soit occupé à se déhancher pour fouiller les tiroirs, charmant quelques princesses au passage pour faire diversion.
Je l’attire alors jusqu’à la piste où, pour une fois c’est moi au commande. Sa main dans mon crochet, je pose la mienne dans le bas de son dos à même sa peau. J’aime cette robe pouvoir la caresser, ni vu, ni connu comme ça j’apprécie grandement. Je peux même jouer un peu à l’idiot à l’embrasser de temps en temps sous son oreille pour tenter de la déstabiliser, chose dont je profite tant qu’elle est collée à moi. J’aime ses talons aussi, la hauteur parfaite. Ça pourrait être mon jeu de la soirée tiens. Je me tiens à carreau pour le reste de la chanson, profitant seulement du temps que j’ai avec elle, embrassant de temps en temps ses cheveux mais restant le plus souvent les yeux fermés la joue contre ses cheveux jouissant des sentiments qui s'empare de moi à ce moment-même. A la fin de la chanson c’est à contrecœur que je me dégage d’elle lui déposant un baiser sur le front comme pour la remercier.
C’est en lui prenant la main que je balaye la salle du regard essayant de repérer certaine personne, c’est avec un sourire que je fais remarquer à Diana.
« Notre fille est là, avec une fille. T’étais au courant toi ? »
Je suis heureux pour elle. J’aurai juste aimé être mis au courant pour cette dernière. Je reprends un peu de rhum pour calmer le stress qui me reste encore, en proposant aussi à ma partenaire. La soirée a un peu trop bien commencée, c’est étrange surtout chez Jeff…
La saint Valentin. Le jour le plus merveilleux de l'année, le plus rayonnant, le plus heureux et le plus beau ! Le temps frémissant, Le soleil commence à peine à réchauffer l'atmosphère, et le vent est encore frais, forçant les couples à se rapprocher en ce jour béni. Il n'y avait pas que le vent qui frémissait. Valentina aussi, ses ailes s'agitant derrière elle, toute à l joie de ce moment. Un bal, cela faisait des années, non, des siècles, qu'elle rêvait d'en organiser un ! Bien sûr, il lui arrivait d'en faire à Valentine's Town, sa ville adorée, mais ce n'était pas vraiment pareil, pas comme avec les humaines du monde extérieur. Chez elle, l'amour régnait déjà en maitre, dans la paix et l'amour. Hors, ce qu'elle recherchait dans ce bal, c'était l'amour naissant, et celui qui croit, comme on le nourrit de lumière et de chaleur, lorsque les couples en découvrent toujours plus sur eux et qu'ils passent un moment plus merveilleux encore que le temps déjà passé entre eux. A Valentine's Town, l'amour était toujours puissant, rayonnant. Alors elle rêvait d'en organiser un dans le monde extérieur. Pas très réalisable comme rêve. Et pourtant ! Elle était là, dans la ville de Storybrook, dans l'immense manoir de cet homme, Jefferson, qui avait accepté de lui prêter le temps d'une soirée (et tout les jours d'avant pour la préparation). Et elle était là, et le bal avait commencé. Cupidon avait mis un point d'honneur à adresser un petit mot à chaque couple, les couvant d'un regard bienveillant. Toute heureuse de cette soirée, terminant en apothéose la journée folle qu'elle avait passé, Valentina voletait de-ci de-là, tout sourire, prête à tout faire pour satisfaire ses invités et faire régner l'amour. Le problème, parce qu'il y a toujours un problème, c est que Valentina est maladroite. très maladroite. Lorsqu'elle préparait la Saint Valentin dans sa ville, les angelots qui l'accompagnait était toujours là pour rattraper ses bêtises, sans qu'elle ne s'en aperçoive un seul instant, afin que tout se passe bien. Sauf que voila, à Storybrook, les angelots, y en a pas. Vous sentez les ennuis arriver ?
Valentina voguait de couples en couples, s'assurant que tous se passe bien - à merveille même ! - et essayant d'accueillir tout le monde avec quelques mots. Mais les invités affluaient ce soir, à son plus grand bonheur bien sûr, et elle peinait un petit peu à gérer ses bienvenues avec toute l'organisation du bal. Là, par exemple, elle avait bien vu de nouveaux couple se mêler aux autres, mais le buffet commençait déjà à souffrir. Un plateau entier de champagne avait disparu ! Et pourtant il n'y avait qu'un seul couple à proximité à ce moment-là ! La femme ailée aurait bien voulut connaître le sort de ces merveilleux verres pailletés puisque le Docteur Whale et sa compagne n'avait pas l'air émécher. Un mystère de plus. Toujours est-il donc, que le cas des amuse-gueules étaient plus préoccupant ! Elle voyait leur nombre drastiquement diminué, et elle devait vite renouveler les stocks ! Sauf que voila, Cupidon n'avait pas prévu que ses invités se jetteraient sur le buffet. Cela ne se passait pas comme ça à Valentine's Town, oh non ! Les couples s'embrassaient, s'enliassaient et discutaient ensemble, ils ne se goinfraient pas ! Soupirant, elle se dirigea vers la cuisine du Manoir de Jefferson, heureusement assez grande pour accueillir la foule de serveurs et de cuisiniers célibataires qui avaient bien voulut l'aider. Pauvres petits, elle s'assurerait de leur trouver compagnes après tout ceci. Elle débarqua donc dans ce joyeux désordre, et fit une moue septique face au manque clair d'apéritif. Elle vogua gracilement dans la salle, laissant son regard dérivé, quand son œil fut attiré par des plateaux rangés dans des placards. Miracle, qui avait donc laissé cela rangé !
Valentina s'empara aussitôt des plateaux, s'envolant même au-dessus des cuisiniers pour ne pas prendre de risque avec sa petite trouvaille. Elle reposa le pied dans la salle, elle devait ménager ses ailes toujours un peu sensible après les évènements de Noël. Elle leva bien haut ses deux plateaux, zigzaguant entre les convives sur la piste de danse, qui était le moyen le plus rapide d'arriver au buffet. Au passage, elle frôla - et même un peu plus - de ses ailes un couple, vacillant sur ses pieds, et pour se rattraper elle tourna sur elle-même, se rétablissant tant bien que mal face aux deux personnes. Une femme dans une robe rouge, perché sur de luxueuses louboutins, un homme dans un costume magnifique avec un.... un crochet à la place d'une main, vraiment ? Elle était face au célèbre Capitaine Crochet ?! Il existait donc, ce légendaire pirate ! Il était plutôt bel home en tout cas, bien plus que dans le dessin animé de son enfance ! Ah les pirates, un fantasme pour beaucoup de petite fille, et Valentina n'y avait pas échappé !
-Oh pardonnez-moi je ne voulais pas vous bousculer, j'essaie d'amener ces petits rescapés jusqu'au buffet ! annonça-t-elle joyeusement. Puis, ne pouvant s'en empêcher, elle poursuivit, enthousiaste. Vous êtes le Capitaine Crochet ? Je suis ravie de vous voir ce soir, c'est un honneur, vraiment !
Elle voulu alors déposer le plateau sur son avant bras, afin de libérer une main pour serrer la sienne, mais les petits apéritifs vacillèrent, et elle s'empressa de le reprendre en main, riant nerveusement.
-Il ne vaut peut-être mieux pas. Elle se tourna alors vers sa cavalière, un sourire aux lèvres. Madame, vous êtes ravissante ! Vous en avez de la chance, si jamais il vous ennui, appelez-moi ! ria-t-elle.
Elle repartit alors avant qu'elle ne puisse répondre, tournoyant à peu près adroitement entre ses invités pour arriver au buffet saine et sauve. Tout sourire, elle déposa finalement le pauvre plateau sur la table, mission accomplit ! Elle repartit tranquillement, discutant avec des invités. Au loin, elle repéra une jeune fille en jeans, inadmissible ! Valentina se dirigea aussitôt vers elle et sa cavalière, oubliant totalement les amuse-gueules trouvé dans un placard abandonné, sur lesquels il était écrit « Mangez-Moi ».
Votre Mission:
La Dame du Lac n'a rien remarqué d'étrange à ces petits apéritifs, et c'est donc sous l'œil horrifié de son compagnon qu'elle en porte un à ses lèvres. Le capitaine Crochet parvient au derniers instant à l'empêcher d'en manger un. Malheureusement, un couple juste à coté d'eux n'ont pas la même chance, et finissent aussi minuscule que les petits gâteaux. L'effet ne durera qu'une quinzaine de minutes, mais il faut tout de même aider ces deux personnes et empêcher d'autres de manger les gâteaux !
Dernière édition par Valentina A. Sweetheart le Lun 14 Mar - 10:11, édité 1 fois
Sujet: Re: Pretty Valentine || Diana ♥ Sam 5 Mar - 11:54
Pretty Valentine
Je connais quand même bien mieux Jeffque lui, il semble l'oublier parfois. Mais je sais qu'il dit ça pour me protéger, je ne vais pas lui rapeller que je suis sortie avec Jeff, autant éviter d'ouvrir le carnet à ex... Je lui souris simplement amusée, il comprendra tout seul. Nous nous dirigeons vers le buffet. Il me connait vraiment par coeur puisque il remplace le Champagne par son rhum. Je le regarde un peu agacé mais je trique avec lui, je lui ferai plus tard la remarque sur les demie-portion qu'il me donne en rhum. Nous dansons alors sur une musique qui nous correspond bien. Le vois si tendre et en même temps dragueur avec moi devant toute la population de la ville me touche énormément. Il veut être avec moi, réellement. Il veut que tout le monde le sache que je suis à lui. Et même si c'est vrai depuis plus de 3 siècles, ça me fait toujours sourire ça possessivité. A la fin de la danse Killian me faite remarque que Ceri est là avec une fille. Je répond à sa question.
- « Je me doutais qu'il y avait une personne importante puisqu'elle m'a demandée pour venir ce soir. Après que ça soit une fille où un garçon, du moment qu'elle est heureuse et que la personne prend soin d'elle, moi ça me va. »
Nous nous faisons heurter par l'organisatrice de la soirée, quelques seconde après. J'ai envie de lui dire d'arrêter de dévorer des yeux Killian ainsi. Non je ne suis pas jalouse, je ne dis rien. Surtout quand je me rend compte qu'elle agit ainsi avec tout le monde à peu près. Ca me fait sourire amusée de sa remarque et je lui répond.
- « Oh ne vous inquiétez pas pour moi, ça fait 300 ans que je suis roder avec lui. Merci quand même. »
Nous nous approchons du buffet nourriture et sans regarder j'attrappe un canapé. C'est le regard horrifié de Killian et sa réaction vive quand je suis à deux doigts de le mettre en bouche qui m'évite une catastrophe. Immmédiatement je pense au fromage de chève. Oui j'ai une violente réaction allergique avec cet aliment. Mais j'enttends Killian grogner sur les Wonderlandien. Je regarde le petit four au sol, dessus on lit l'inscription "Mangez moi". Le temps de mon sauvetage, nous n'avons pas vu Killian et moi que deux personnes en mangeaient aussi. C'est sous nos yeux qu'on les vois diminuer à vue d’œil. Je regarde mon pirate.
- « Killian met les en sécurité s'il te plaît, je vais m'occuper de cette nourriture. »
Sans la moindre pitié, sous le regard ahuri des gens je lance une boule de feu sur les petits fours source du délit et une sphère d'eau pour ne pas propager le feu. Je montre alors à l'organisatrice ce que ça fait si on en mange. Je retourne près de Killian qui me montre les deux personnes en sécurité assis sur un bureau en bois massif. Nous nous offrons une seconde danse mais cette fois c'est mon tour de lui montrer que moi aussi je veux de tout ça. Encore un slow, mais cette fois on aurait pu croire que c'était moi qui voulait lui parler. Je poser des baiser dans son cou, mon corps se rapprocha encore plus du sien et je murmure à la fin de la chanson en même temps que la chanteuse, mais en français.
- « Je suis morte chaque jour en t'attendant Chéri, n'aie pas peur, je t'ai aimé Depuis un millier d'années Je t'aimerai pour un millier de plus Et tout ce temps je savais que je te trouverais Le temps m'a apporté ton cœur Je t'ai aimé depuis un millier d'années Je t'aimerai pour un millier de plus »
Je lui suçote fugacement le lobe de l'oreille, et quand la musique se stoppe, je dépose un baiser sur ses lèvres puis je lui dit.
- « Je suis à toi, Killian. Mais n'oublie pas que l'inverse est vrai aussi. Je suis tienne et tu es mien, Captain. »
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