Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Lun 11 Jan - 8:31
Monster Like Me
Victor Whale
Tout étais revenue à la normal. Ou presque … Du moins c'est ce que j'aurais voulu espérer, c'est ce que j'aurais voulu croire. Que tout était parfait dans le plus parfait des mondes. Mais non. Loin de là, ce monde n'étais pas parfait, et ma vie non plus. Pourtant je souriais, je paressais sereine remplis de joie et d'amour. Alors quand réalité, j'avais juste peur, un peur extrême. Peur de faire du mal au personne qui m'entoure. Peur de moi … Moi Ruby, Scarlett mais plus encore de la louve. Louve que j'étais. J'avais tellement fait souffrir de gens quand j'étais cette bête sauvage. J'avais tellement tuer. J'étais ce loup garou assoiffé de sang, affamer de chaire fraîche, de chaire fraîche humain. Mais au final … Ne serait-je pas toujours cette même bête ? Si je l'étais … Et je le serais jusqu'à ma ma mort. Je serais toujours cette louve, cette bête, ce monstre, ce vampire et tout autres surnom que l'on pouvait me trouver. Et je le serais toujours jusqu'à la fin des temps. Même après ma mort, je le resterais. Dans les années à avenir on se souviendra de cette féroce créature. Dans les souvenirs des personnes qui les feront passer à leurs enfants et ainsi de suite.
Enfin, on avait beau me répéter que non je n'étais pas se monstre, je n'y croyais pas. Grand-mère, Snow, David et même Juliet et Ellie qui ne connaissait pas ma véritable histoire me disaient que je ne pouvais pas être cette créature. Pour elles se n'étaient tout bonnement impossible. Moi Ruby, la serveuse, tout gentille et attentionné, un loup-garou qui mange des êtres humains ? Paradoxale … Même si toutes ses personnes me disaient que je ne mangerais pas de personnes, que je pouvais me contrôler, je n'y croyais pas. Depuis la fin de la malédiction, le temps de loups n'avait pas encore eu lieu. Mais ce ne serait tarder … Dans quelques mois, même pas, dans quelques jours cela allait arriver. Et je ne pouvais m'empêcher de stresser, d'avoir peur. Je ne savais pas si ma cape allait pouvoir correctement m'empêcher de me transformer dans ce monde ci. Et je savais sinon que tout allait dégénérer. Je ne pourrais pas me contrôler comme j'avais su le faire dans la forêt enchantée en compagnie de la meute de ma mère. Cela faisait plus de 28 ans que je n'avais pas peu ''m'exercer''. Cela faisait 28 ans. Depuis le temps maintenant, je devais me montrer quelque peu rouiller tout de même. Et je ne voulais mettre personne en danger à cause de moi. Pas encore une fois. Alors je priais juste, tout les soires. Pour que ma cape fonctionne normalement. Sinon, j'en avais quelque peu parler avec mère-grand mais on m'enfermerais dans le grand congélateur. Pour m'empêcher de m'enfuir si tout dégénère. Au départ, elle avait été contre mon idée, elle devait toujours l'être par ailleurs, mais elle avait aussi bien vu que je ne changerais pas d'avis. Alors elle m'a simplement donnée son accord, me soutenant tout même.
Sinon, la plus pars du temps je le passait avec le sourire au lèvre. Seul grand-mère avait était un peu mise au courant pour mon angoisse mais sinon personnes d'autres ne le savait. Je ne voulais pas que cela se sache. Je ne voulais pas les inquiète plus qu'autre chose. Je voulais que tout reste comme d'habitude, que l'on ne change rien. Et je sais que si je le dit à mon entourage, ils vont tous vouloir me rassurer s'apitoyer sur mon sort et ce n'était vraiment ce que j'avais besoins. Ce que j'avais besoins, c'était de les savoir en sécurité. Et plus j'en parle moins, plus ils le seront. Alors je faisait quelque peu comme si de rien n'étais. Continuant toujours ma vie d'avant : serveuse dans le restaurant de ma grand-mère. Je souriais masquant tout autre sentiments. Passait les commendes, allait les poser au chefs, faire les boissons, servir au bar, aller servir sur les tables, puis après le départ des clients nettoyer, etc … Tous cela étaient mon quotidiens. Cela était devenu ma vie ! Une vie ou dans un sens je pouvais être quelqu'un d'autre. Une vie où je pouvais rester Ruby et où je n'étais pas Scarlett. Une vie que m'avait donner la malédiction. Et une vie que je comptais bien prendre en mains tout de même. Malgré les doutes, malgré l'angoisse. La malédiction m'as permis dans un sens de pouvoir changer de vie, de recommencer tout à zéro. Quand le temps des loups aura lieu. Alors je serais fixer. Si je ne me transformerais pas en louve, alors tout irais pour le futur. Je pourrais me décider à me refaire une nouvelle vie et oublier le passer. Mais si je me transformais en louve malgré la présence de ma cape et bien … Je ne sais pas ! Faudrait-il me tuer ?
J'étais entrain, comme à mes habitudes, de zigzaguer entre les tables du restaurant quand une main se tendit subitement vers moi. C'était Victor qui me donnait l'argent pour payer son verre. Je lui sourirais même si je ne pensais pas qu'il puisse me voir. Il évitait tout de regard avec moi. Même pas un simple coup d’œil en ma direction. Pardon mais c'était quelque peu bizarre pour la personne qui me reluquait le plus pendant la malédiction en tout cas. « Merci, attend je reviens, je ... » commençais-je à dire avant que le médecin ne interrompe pour me dire de garder la monnaie. Je n'étais pas contre le fait d'avoir un pourboire. Bien au contraire mais la le pourboire était tout de même très élevée. Il m'avait payer un peu trop pour le peu de verre qu'il avait pris. Je ne disais rien d'autre. Je voyais bien qu'il n'étais pas comme d'habitude. Même si au fond, je ne le connaissais pas plus que cela,. Je ne connaissais que ça fausse identité. Le docteur Whale et non le docteur Frankenstein si j'avais bien compris. « Toi aussi ! » criais-je un peu alors que la porte allait se refermer sur la silhouette de l'homme blond. Quelque chose n'allait pas. Je le sentais, sans doute cette instinct de l'animal que j'étais …
¤
Une semaine était passer. Et j'avais toujours quelque chose qui me titillait. Je sais pas il y avait quelque chose qui n'allait pas mais je ne savais aucunement qu'est-ce que cela pourrait être. Mon instinct ne m'avait jamais fait faux bon. Non encore jamais depuis le temps. J'avais passer toute cette semaine avec cette boule au ventre, avec cette chose qui me stressait quelque peu. C'était une personne qui me stressait et non pas n'importe laquelle : Victor Whale, le médecin, le docteur Frankenstein. Comme vous voulez, le blond aussi, enfin bref ! Depuis ce soir au Granny's, je savais que quelque chose clochait. Et plus le temps avancer et plus cette chose m’inquiétait. Je ne savais pas ce qu'il allait se passer. Mais c'était quelque chose d'important. Quelque chose qui ne fallait pas prendre à la légère. C'était en quelque sorte dans ce type de moment que enfin de compte, ce n'étais pas si mal que ça d'être à moitié humain à moitié animal. Pour justement ce côté instinct. L'instinct animal ne se trompe jamais ! Je peux vous l'assurer. En tout cas la semaines avait été dure pour moi. Justement en se qui concerne l'homme blond mais aussi parce que plus les semaines passer plus le temps des loup approchait à grand pas. Alors se qui signifiait pour moi que j'étais un peu plus sur les nerfs que je ne l'étais normalement. Même si encore une fois, bien évidement, j'avais encore une dois tout cacher à mon entourage. Pour une fois encore, ne pas les alarmer. J'avais cette sainte horreur de faire stresser les autres personnes par ma faute. Je ne voulais pas qu'ils s'inquiètent pour moi. Je ne voulais pas implorer la pitié dans leur. Je n'avais vraiment pas besoins de cela en ce moment. Je n'avais pas besoins de cela pour toujours, voilà tout. Je ne voulais pas qu'ils me regardent dans les yeux et que je puisse lire de la simple pitié qu'ils ont à mon égard. Non je voulais toujours passer pour une femme forte, une femme qui pouvait très bien s'en sortir sans aider. J'étais grande, je pouvais très bien tout faire toute seul. Comme j'avais toujours tout fait. Seul. Sans personne autour. Juste et uniquement moi.
Ce soir là, j'avais décider de prendre l'aire. De prendre l'air après une journée difficile encore une fois. Après une journée difficile au Granny's. J'avais eu besoins de prendre l'air de simplement me changer les idées. Et de pouvoir réfléchir tranquillement. J'étais sortie pour être sur de ne pas être déranger. Mais aussi parce que l'air frais, le vent sur mon visage me faisait le plus grand bien aussi. Je pensais, à tout et à rien en même temps. Je me vidais la tête tout en la remplissant. Très paradoxale encore une fois. Je pensais surtout à ma vie dans le monde des comptes. A de ce que j'avais pu vivre, en passant pas mon enfance ou j'avais rencontrer Regina ou Maria. Un moment de ma vie que je ne pourrais en sans doute pas oublier. Si j'avais su que Maria était en faite Regina, peut-être que je ne me serais pas si vaillamment battu auprès du prince Charmant et Blanche-Neige. Je me rappelais aussi du moment ou j'avais rencontré Mary. Le moment ou j'avais rencontré celle qui étais devenue ma meilleur amie, ma sœur de cœur. Celle sur qui je sais je peux conter à tout moment, n'importe ou , n'importe quand. Je sais que l'on sera là l'une pour l'autre. Et par la même occasion le prince charmant, David. Mon frère de cœur. Personne sur que je sais que je peux compter aussi. Je me rappelais aussi du moment ou j'avais fait la connaissance de ma mère et de Cuinn. Ou j'avais appris qu'elle était envie. C'était grâce à elle que j'avais pu apprendre à contrôler le loup que j'étais. Grâce à elle est sa meute. Mais malheureusement elle était morte. Morte quand j'avais voulu sauver Snow à la place. Bien évidement j'avais été triste de perdre ma mère alors que je venais de la retrouver. Mais je n'avais pas regretter mon choix. Au moins Snow était toujours parmi nous. C'était comme Peter. Lui aussi était mort par ma faute. Le premier amour de ma vie manger ma moi même en personne. Juste parce que j'avais été butté et que j'avais voulu aller tuer le loup. Si je n'avais pas été partit à la rechercher de cette bête, de moi même au final, Peter ne serait pas mort et sans doute qu'il serait toujours parmi nous. Avec moi …
Je repensais à tout cela. A ma vie d'autre fois quand quelque chose d'étrange me pris. Mon instinct reprenait encore une fois. Mais cette fois il était encore plus grand. Je ne savais pas qu'est-ce qu'il allait se passer mais quelque chose de grave allait se produire. En tout cas je ne savais pas avant de tourner dans une rue près du port. Une silhouette m'était apparue devant moi au bort du chemin. Au bord de la baie. Il faisait nuit et il y avait du brouillard. Heureusement que j'avais tout de même une excellente vue. Je reconnue la silhouette qui était un plusieurs mettre de moi : le docteur Whale. Qu'est-ce qu'il faisait là près du vide ? Je savais que quelque chose n'allait pas en ce moment avec lui. Qu'il avait été étrange la dernière fois dans la café. « Victor ? » avais-je dis assez fort en espérant qu'il m'entende. Sauf que je n'avais aucune réponde de sa part. Mes pas avançaient doucement en direction de l'homme. Il était étrange, il n'allait clairement pas bien. J'en était persuader, mais je ne savais pas qu'est-ce qu'il pouvait avoir. Comme je l'ai déjà dit, je ne le connaissais pas si bien que cela. « Docteur Whale ! » Redis-je encore une fois. Peut-être qu'il répondais mieux quand on l'appelait ainsi ? Je sais pas avec l'habitude. A force d'entendre cela à l’hôpital, toute la journée. Mais encore aucune réponse de sa part. Mes pas se fient de plus en plus précipiter. Mon souffle se faisait cours. Je sentais mon cœur battre à mille à l'heure. Je me préparais au pire.
Puis d'un coup, mon sang ne fit qu'un tour dans mon corps. Victor venait de sauter … Mon cerveau pris une demi seconde pour réagir. D'un seul coup j'enclenchais ma super vitesse. Punaise la vraiment qu'est-ce que j'étais heureuse d'être une loup-garou ! Je ne me mis même pas quelques seconde pour rejoindre le médecin. Je l'attrapais brusquement par la col de son manteau avant qu'il ne soit trop tard. J'arrivais à le tenir, grâce à ma super force, d'une seul main. Je me trouvais moi au bord du la plate forme. Mon souffle était rapide et cours. Je venais de sauver le docteur Whale de la mort. N'est-ce pas lui qui m'avait dit qu'il ne savait pas nager ? Il allait se noyer c'était sur. Je me sentis qu'elle peut soulager de le sentir au bout de mon bras. J'essayais de me calmer un peu … Le plus terrible était passer nous allons dire. Victor était en vie ! Mais pourquoi avait-il voulu mettre fin à ses jours ?
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Jeu 14 Jan - 0:27
Dernière édition par Victor Whale le Lun 14 Mar - 15:37, édité 2 fois
Ruby S. Lucas
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Ven 22 Jan - 8:08
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Il était la au bout de mon bras. Son corps était pendu, au bout de mon bras. Ma main resserrée au niveau du col de son manteau. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine et ma respiration était saccadé. J'essayais de ma calmer quelque peu. Maintenant que je venais de lui sauver la vie. Maintenant qu'il allait aller bien. Je me sentais soulagé dans un sens. Jamais je n'avais été aussi heureuse de ma vie, d'avoir mes supers pouvoir que en ce moment même. D'avoir se côté loup en moi qui me permettait de toujours le tenir dans le vide et d'avoir pu être rapide pour le rattraper à tant. Non, je vous jure que c'est bien la première fois que je remercie le ciel de m'avoir donner ce monstre, ce loup-garou comme deuxième personnalité. J'étais littéralement moi aussi sous le choc. Pourquoi avait-il sauté ? Enfin je sais pourquoi il avait sauté. Ce n'était pas compliquée à savoir qu'il avait voulu mettre fin à ses jours. Il m'avait dit en plus lors de cette soirée sur la plage, qu'il ne savait pas nager. Donc se n'était pas lui qui allait faire un petit bain de minuit. Non, il ne faut pas être stupide. Mais pourquoi vouloir mettre fin à sa vie ? Pourquoi ? C'était encore la plus grande question mystère que j'allais bien devinez. Il allait me devoirs des explications du comment et du pourquoi cette homme. J'avais le visage tendue par la peur lorsqu'il détourna son regard vers moi. Nos yeux plongèrent les uns dans les autres pendant quelques instants. En voyant sa tête je voyais bien qu'il aurait préféré que je le lâche pour qu'il puisse finir sa course dans l'eau froide de la nuit. Et il en était hors de question. Hors de question que je le lâche et hors de question que je le laisse se suicider. Je ne lâcherais pas quitte à se que mes jointures blanchisses. A ce que je saigne de la main à force de le tenir là. J'étais une personne qui n'abandonner pas aussi facilement … J'étais une personne qui voulait aidé les autres avant de s'aider soit même. J'étais Scarlett, Ruby ou qui vous voulez. Au fond je restais toujours la même personne avec le même caractère.
Je finis alors par remonter le blond sur la terre faire en le tirant le plus possible comme je le pouvais. Il finit par s'allonger sur le béton dur et froid du sol. Mais je n'étais toujours pas rassurer non plus, il était toujours au bord de l'eau. Nos respirations étaient de nouveau saccader, tous les deux par le stresse et l'adrénaline qui parcouraient notre corps. Je venait m'asseoir par terre non loin de lui, au bord, les pieds pendant dans le vide. Le silence devenait pesant. Nous entendions et surtout sentions le vent qui venait glisser sur l'eau et fouetter nos visages, faisant bouger me cheveux à son gré. Pendant plusieurs minutes aucun ne nous ne parlaient, ne lâchait ne serait-ce qu'un simple et petit mot. En tout cas avant que le médecin ne se redresse pour se joindre à moi, se plaçant juste à côté. Je regardais en face de moi, l'horizon qui était d'un noir de jais, il faisait nuit noir. Seul les lumières des lampadaires éclairaient quelque peu la ville et la brume blanche aussi donnait une petite touche lumière dans temps de pénombre. Seulement quand il commença à parler, elle détourna le regard. Il n'osait pas me regarder en face. Son regard regardait lui aussi l'horizon. Alors voyant que justement son regard n'était pas sur moi, je me détournais pour regarder une nouvelle fois, juste le ciel et la mers se rejoindre au loin. Non je ne voulais pas qu'il me remercie pour ce que je venais de faire. Et bien sur que si je me saurais donner autant de mal pour n'importe qu'elle personne qui aurait souhaiter se suicider. Dis on le clairement, c'était un suicide. Un suicide qui avait ''mal fini'' puisque j'étais intervenue. Et puis peut-être que justement, je m'étais donner du mal parce que c'était lui en particularité ? C'était étrange mais quelque chose me plaisait c'est ce médecin. Et puis nous devions encore en apprendre plus sur le médecin. Savoir qu'il était vraiment, celui qui se cachait derrière ce corps. Le vraie Victor Whale et non juste la couverture. Comme dans les livres. Il faut lire le contenue pour dire vraiment ce que l'on pense et non juste regarder la page de couverture. « Oui ! Les personnes font des choses parce qu'ils ont sans doute une bonne raison. Mais pour moi, il n'y a aucune, et aura aucune raison pour que quelqu'un mette fin à ses jours de la sorte. Personne ne devrait ne même que penser à se suicider. C'est stupide sans doute. Moi aussi j'ai déjà dû y penser, mais aucune raisons et valable pour se suicider. » commençais-je a dire détournant cette fois-ci mon regard sur le visage du l'homme blond juste à côté. « Et si tu mérites de vivre ! Je me serais donner autant de mal pour n'importe qui, je n'aime pas voire les gens mourir. » J'étais sincère. Il le méritait sérieusement. Il méritait d'être en vie. Il méritait de vire dans cette vile, dans ce pays et même sur cette terre. Chacun avait sa propre place. Il avait la sienne comme j'avais la mienne. Comme tout le monde l'avait.
Mon regard ne quitta pas son visage, qui ne montrait aucune émotions. Il était entrain de réfléchir. Les mêmes questions tournaient en rond dans ma tête. Je ne pouvais pas arrêté de me les poser. Même si, il valait mieux que je les pose à la personne directement concerné. Elle aura plus de chance de me donner des réponses. Mais j'hésitais à les lui poser. C'était tout même un cas assez délicat dans un sens. Ma curiosité et mon avis de savoir la vérité ont été tout même plus forte. La questions fini tout de même par sortir d'entre mes lèvres. « Pourquoi ? » demandais-je. Je n'avais pas besoins d'être précise. Il savait de quoi je voulais parler. C'était si évident. Il mit quelque temps à me répondre mais il fini par parler quand même. Ses paroles venaient directement me serrer le cœur. Je ne pouvais pas vraiment le comprendre sur le fais d'être seul. J'avais toujours eu quelqu'un avec moi, pour m'épauler dans les pires moments. J'avais toujours quelqu'un, un amie, un membre de ma famille pour m'aider dans toutes circonstances. Je ne comprenais pas pourquoi par contre c'était de sa faute. Qu'est-ce qu'il avait bien pu faire de si terrible dans sa vie pour ne plus revoir sa famille avec lui ? Je pouvais sans doute l'idée. Ce n'était pas non plus comme si moi j'avais manger mon petit amie croyant que c'était lui le loup alors que ce n'était que moi depuis le début … Quelle ironie du sort ! Je viens essuyer une larmes qui commençait à rouler le long de ma joue d'un revers de la main. J'avais toujours cette larme à chaque fois que je pensais à se souvenir. A Peter. Parfois je me demande qu'est-ce qu'il se serait passer si je n'avais pas eu la stupide idée d'aller chasser le loup. Si, mon ancien petit ami était toujours parmi nous. Là maintenant et pour toujours. A chaque fois que j'y pensais. La culpabilité de mon choix revenait au grand galop et j'avais toujours des larmes qui coulaient.
« Tu as moi maintenant ! » lui dis-je. Il est vraie que dit comme cela, pouvait être un peu étrange. Mais c'était vraie … « Moi je suis là … J'attends toujours à te connaître Victor. C'est pas ce qu'on c'était dit ? » Lors de cette soirée sur la plage. J'étais sans doute un peu pompette mais je m'en rappelais. Je n'avais pas oublier cette partit de la soirée. Je n'avais rein oublier de cette soirée. Cette soirée, où j'avais pu apercevoir le médecin d'une autre manière. Sous un jour différent. Et je voulais encore en savoir plus sur cette personne. Puis je voulais savoir au passage, qu'il était vraiment. Dans notre monde, dans le monde des contes. La réponse de tarde pas arriver. Il était donc le docteur Frankenstein ? Ce scientifique qui veut juste ramener les morts à la vie. J'étais quelque peu surprise de le voir se confier autant. D'être si précis sur certain point qui personnellement j'aurais sans doute virer pour ne pas ennuyer plus qu'autre chose la personne en face de moi. Mais j'étais captivité. Je ne pouvais pas l'aider au sujet de son père par rapport à son frère. J'ai toujours été fille unique. Je ne pouvais pas vraiment ressortir, ce truc de jalousie, ou le fait que nos parents préfère plus l'un que l'autre. Non, il y avait toujours eu ma grand-mère et moi. Rien que nous deux. Et dans les faux souvenirs ça n'avait pas changer. Même avec le présence de Juliett. Nous étions si proches toute les deux, que je n'avais ressentis aucune jalousie. Je déposais une main sur son épaule quand il m'annonça la mort de son frère. Je pouvais savoir qu'est-ce que s'était de ressentir aussi la mort d'une personne chère. Qu'est-ce que cela pouvait bien faire. Je frottais un peu son épaule quand il se tu brusquement. Sa voix avait baisser, avant de finir muette. Cela ne l'aiderait pas vraiment, mais je ne pouvais que compatir à son chagrin. Compatir et c'est tout. Je pense qu'il avait besoins de tout sauf de la compassion venue de la simple serveuse du Granny's. Venue d'une juste fille à moitié louve. Il évitait toujours de me regarder. Je ne le forcerais à rien. S'il n'avait toujours pas envie de me regarder droit dans les yeux, il n'y avait aucun mal. Il prendrais le temps qu'il veut pour pouvoir me faire face. Un nouveau soupir sortie de sa bouche avant qu'il ne reprenne la parole.
J'appris alors qu'il s'était rendue dans notre monde. La forêt enchantée. C'était vraie que lui venait du monde sans couleur. Il avait eu besoins d'un cœur magique. Un cœur arracher de la poitrine de quelqu'un. J'avais vue plusieurs fois devant mes yeux une personne arracher le cœur de quelqu'un. C'était ce qu'on pouvait dire la mode parmi nous non ? En tout cas Regina c'était donner à cœur joie pendant toute la période où elle régnait encore. Au moins, l'un de ces cœurs avait pu servir à quelque chose. Et non a rester enfermer dans des boîtes pour plusieurs années. Non, l'organe avait servis à redonner la vie à un mort. A redonnez la vie ? Vous vous rendez compte ? C'était juste magique ou plutôt scientifique dans ce cas là. Mais du coup je ne voyais pas pourquoi Victor était si ''triste''. Il avait réussis non ? C'est ce qu'il voulait redonner la vie. C'est ce qu'il voulait que son nom définisse. « Mais, ce n'est pas sensé être merveilleux d'avoir ramener la vie ? » demandais-je « Je veux dire, tu as réussis ! C'est ce que tu voulais faire. En plus c'est ton frère, c'est juste fantastique. Qu'est-ce qu'il y a derrière ? » Quelque chose devait bien arriver par la suite. De toute manière c'est bien connue, après le bonheur, le malheur. Arès la réanimation, de son frère, quelque chose de grave avait dû se produite. Comme ça, cela expliquerait pourquoi tout était sans doute de sa faute ...
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Mer 27 Jan - 23:25
Dernière édition par Victor Whale le Lun 14 Mar - 15:39, édité 1 fois
Ruby S. Lucas
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Mer 3 Fév - 14:24
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Victor Whale
J'avais eu en quelque sorte toujours le soutient de ma grand-mère. Serte elle m'avait caché des choses. Des choses plutôt très importante qui me concernaient personnellement. Elle ne m'avait pas fait par que j'étais ce monstre, ce loup garou qui terrifiait en continue les villages du coin. Qui me terrifiait moi même. Serte elle m'avait caché la plus grosse partit de ma vie. Mais au final, n'avait-elle pas toujours était là pour moi ? Je pouvais toujours conter sur sa présence. Elle avait pensée bien faire. Me protéger de toutes les personnes qui voulait me tuer. Je ne pouvais plus en vouloir maintenant. Elle avait été la seul famille que j'avais eu, connu depuis mon plus jeune âge. Elle était devenue comme mon modèle, mon idole. Même dans ce monde si. J'avais toujours la sensation de ne pas faire comme il fallait pour qu'elle soit fière. Que plus tard, je ne pouvais pas être comme elle. Voilà toutes les fois où nous nous disputions. Juste deux personnes qui ne se comprenaient pas. Mais deux personnes toujours présente pour l'autre. Alors non je ne pouvais pas vraiment comprendre Victor sur le fait de se retrouver tout seul sans personne sur qui comptait. Mais maintenant j'étais en quelque sorte là pour lui comme je lui en avais fait par. On s'était dit qu'on allait apprend à se connaître. Et je le voulais encore en savoir plus sur lui, même si j'avais l'impression que ce n'était plus vraiment le cas pour lui …
Il m'avait alors raconter le récits avec la mort de son frère. J'avais juste posé une main sur son épaule. Le sentant quelque peu sursauter. C'était le seul geste que je pouvais faire envers lui. Il n'avait sans doute pas besoins de compassion. Surtout venant de moi … Non il n'avait pas besoins de ce sentiments maintenant pas après ce qu'il avait voulu faire. Et pourtant … Je ne pouvais que ressentir se sentiments. Je savais cette fois-ci ce que s'était de perdre quelqu'un qui nous était chaire. Je savais ce qu'on pouvait ressentir. J'avais perdu mon petit ami et ma mère. Et le deux fois c'était ma faute. C'était à cause de moi et rien que de ma faute. Je ne pouvais que m'en prendre à moi même. Même si Granny et Blanche me disait le contraire. Je savais pertinemment que je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même. C'était moi qui avait voulu pourchasser le loup ! C'était moi qui avait pousser ma mère ! C'était de ma faute … Mais je ne comprenais pas pourquoi il était aussi triste alors qu'il avait ramener son frère à la vie ? C'était plutôt quelque chose de formidable, non ? Personne n'avait réussis jusqu'à lui, à ramener les personnes d'entre les morts. Si seulement, je pouvais ramener les personnes qui m'étaient chère à la vie. J'avais tout de suite compris que son histoire ne se finissait pas là. Que quelque chose de pire arrivait par derrière. Toutes les histoires ne se finissait pas avec une fin heureuse comme tout le monde le pensait. J'avais l'espoir, la foie comme m'avait appris Blanche. Elle, elle savais que les gentils arrivaient toujours à vaincre les méchants. Que les gentils avaient toujours le fin heureuse. Mais de ce côté là, je n'étais pas forcément de même avis qu'elle. Cela voulait dire que j'étais une méchante alors ? Que Victor était un méchant ? Puisque nous n'avions pas nos fin heureuse ? Pourtant nous pensons toujours que nous faisons juste le bon choix. Malheureusement ce n'est jamais le cas … Nos chois s’avèrent être le pire. Des choix qui font du mal autour de nous. Qui nous font du mal directement.
Il avait fait le choix de ramener son frère à la vie. Mais cela n'avait pas marcher comme il l'aurait souhaiter. Je le savais je le sentais. Et son récit ne venait que appuyer mes propos. Il avait passer une marcher avec Rumplestiltskin pour avoir un cœur magique … Et effectivement la magie à toujours un prix à payer. Notre monde s'était si connu. Toutes personne qui utilisait de la magie, surtout venue du ténébreux, savait pertinemment que quelque chose allait arriver dans les jours qui allaient venir. Mais le pire avec le ténébreux ! C'était qu'il a déjà tout préparer. Il s'est déjà que vous aller le voir, il s'est déjà qu'est-ce que vous aller lui demander. Nous étions tous des pions de son petit jeu. Un petit sourire au coin de mes lèvres était apparue quand il me disait être si fière de voir son petit frère bouger de nouveau. Mais celui-ci disparut aussi vite à la suite de son récit … Son frère avait tuer son propre père … Les images de ma mère me revenait alors en mémoire. J'avais été dans le même cas. J'avais tué ma mère en la poussant. Je l'avais moi aussi tué de mes propres mains. D'accord s'était ce pieux qui l'avait transpercé. Ce n'était pas directement moi qui l'avait tué mais c'était moi qui l'avait poussé. Je ne pouvais que comprendre se que ressentait Victor. Mais alors que mon regard ne quittait son visage. Je voyais très bien qu'il fuyait encore mon regard. Que la culpabilité le prenait violemment. Je le voyais mais je le sentais surtout. Sans doute encore se côté loup qui me permettait de ressentir plus de chose que les autres encore. Comme quand on voit que les chiens savent si vous êtes triste ou content. C'était comme une sorte de .. don qui me venait de mon côté loup. Un silence mort s'installa entre nous, sentant seulement le vent qui venait toujours et encore nous fouetter le visage. Les vagues qui venaient se jeter sur les murs de la baie. Je sentais encore que l'histoire n'étais pas terminée. Je sentais qu'il y avait quelque chose encore derrière. Que ce n'était pas la seul chose que le médecin se reprocher. D'accord, il n'avait rien fait pour arrêter son frère. Mais qu'est-ce qu'il y avait encore d'autre ? Pourquoi avoir voulu mettre fin à sa vie pour cela ? Ce n'était pas de sa faute si son frère avait fini par tuer son père de ses propres mains ? Et pourtant …
Il finit par rompre une nouvelle fois le silence pour m'annoncer que l'histoire n'était pas exactement la vraie. Que ce n'était pas son frère qu'il avait tuer mes le monstre qu'il avait crée. J'arrivais à comprendre se qu'il me disait même si je n'avais pas vécu quelque chose de similaire cette fois-ci. Je savais, ou en tout cas comprendre ce que c'était de croire qu'il y avait toujours un brun d'espoir dans notre cœur. Un brun qui nous disait de toujours croire, qui nus disait que c'était encore possible. Alors que notre cerveau lui nous justifiait que non, c'était terminée. Deux sentiments, deux choses complètement contradictoire qui nous faisait devenir complètement fou. Au moins, il avait toujours son petit frère pendant un certain moment ? Je donnerais n'importe quoi pour revoir Peter à certain moment. Revoir son visage, ses cheveux bruns, ses yeux. Pouvoir lui toucher le visage comme avant, déposer mes lèvres sur les siennes. Mais depuis le temps j'avais fini par faire mon deuil. Il restera toujours dans mon cœur serte. C'était mon premier amour, celui qu'on oublie jamais. Mais pour l'instant, Victor ne devait pas s’apitoyer sur son sort comme cela. Il avait pensée simplement faire le bon choix ! Il ne pouvais s'en vouloir comme cela. Je restais plonger dans mon silence. Quoi lui dire de plus au sujet de son frère ? Je ne pouvais rien, rien lui dire. Cela ne servirait à rien de vouloir le rassurer. Je le savais plus que quiconque au monde. Il n'avait pas besoins de cela maintenant. Pas tout de suite.
Mais le reste de ses paroles venait tout de même serrer mon cœur. Il voulait que son nom signifie la vie et non le nom du monstre qu'il avait crée. Ce monstre qu'il était. Pourtant ce n'était pas un monstre. C'était un humain. Un simple humain qui fait des expériences. N'est-ce pas le bute des scientifique ? N'est-ce pas ce qu'il était un scientifique ? Si, le docteur Frankenstein. Il n'était en aucun cas un monstre. Loin de là ! Les dernières paroles qu'il avait dit me fit plus de mal que les précédentes. Si les monstres ne devaient pas vire … Dans ce cas moi non plus ? J'étais un monstre. Une personne à moitié humain le jour et à moitié loup la nuit … Une personne ayant dévorée plus d'une centaine de personne à elle seul.. Un monstre qui aime la chaire fraîche, et le goût du sang dans sa bouche. Une énorme monstre plein de poil avec des dents acérées. Si lui disait devoir mourir parce qu'il était un monstre. Alors je méritais quoi moi ? Quelque chose de bien pire que la mort non ? Mais qu'est-ce qu'il y avait de pire que la mort ? Rien … Rien n'était pire que la mort. « Alors dans ce cas, je devrais mettre fin à mes jours aussi, non ? Si les monstres ne devraient pas exister » commençais-je alors à lui dire détournant mon regard sur l'horizon. « Dans ce cas je n'ai pas le droit à ma fin heureuse non plus ». Et je peux dire que j'y croyais fortement. Au fond, j'avais toujours cette petite lueur d’espoirs qui me disait que si je pouvais avoir ma fin heureuse. Qu'il me suffisait d'être patiente. Qu'un jour ou l'autre se sera mon tour d'être totalement heureuse. J'avais la foie ! J'avais une famille et des amies qui m'aidaient, tous les jours, à garder cette fois en moi.
Pourtant les paroles du blond m'avaient tout de même toucher, fait mal. Ce n'était pas forcément son bute. Il ne le savait pas, il ne le voulait certainement pas et pourtant c'était le cas. Personne ne connaissait véritablement l'histoire du petit chaperon rouge et du grand méchant loup. Personne ne savais qu'en réalité les deux personnages se retrouvait en un seul et unique être humain : moi. « Si tu es monstre, qu'est-ce que je suis alors ? Si toi un être humain, un scientifique pense être un monstre. Alors cette personne à moitié loup, à moitié humain, que je suis, est quoi ? Tout le monde pense que le petit chaperon rouge et le grand méchant loups sont deux personnes totalement différent mais ce n'est pas le cas. Et oui je suis un loup-garou. Un être diabolique qui se nourrir de chaire fraîche d'être humain. » Dis comme cela, c'était sans doute violent. Il allait sens doute s'enfuir en courant de peur que je le mange non ? Mais pourtant tout cela était al vérité. « J'ai … J'ai tué une centaine de personnes. J'ai dévoré des villages. J'ai rependue la terreur partout autour moi. Tout le monde partait à ma poursuite pour me tuer. Il voulait juste avoir ma tête de loup sur un pieu. Mais à chaque fois c'était la même chose. Je les dévorais chacun leur tour. Je me faisait peur à moi même. Je ne savais même pas que j'étais cette bête. La nuit je me transformais et le jour je n'avais aucun souvenir. » non aucun souvenirs. Je ne savais pas ce qui se passer. Je ne me contrôlais pas encore. Tout les matins, je me levais avec la peur de savoir qu'est-ce que loup avait encore pu faire pendant la nuit. Qui avait-il encore déchiqueté entre ses canines. Je me baladais avec cette foutu cape tout les jours parce que ma grand-mère me disait que cette couleur repoussait les loups. Mais en réalité je la portais pour une toute autre raison. Parce que c'était la seul chose qui me permettait de ne pas me transformer. La seule chose que m'empêchait de ne pas devenir cette bête, ce monstre, ce loup.
« Depuis que je suis toute petite, ma grand-mère me fait porter une cape rouge. Disant simplement que la couleur repousse le loup, que cela me protégera. Sauf que ce n'était qu'un simple prétexte, pour que je la porte ! En réalité, elle était magique et elle m'empêchait de me transformer en ce loup. Le jour ou j'ai appris qui j'étais réellement ... » Je me tue qu'elle quelque instant en repensant à se douloureux souvenirs. Souvenirs qui venait me hanter touts les soires, tous les jours à n'importe qu'elle moment. « Le jour où j'ai appris que j'étais ce dévoreur, c'est aussi le jour ou j'ai appris la mort de mon petit ami. Le matin même je m'étais dit pourquoi ne pas aller chasser le loup ? Tout le monde le chasser la nuit mais pourquoi nous n'irions pas le trouver dans sa tanière le jour pendant qu'il dort ? J'étais si naïve … J'ai cru que Peter, mon petit ami, était le loup. Alors avec l'aide mon ami, je lui ai passé ma cape pour que ma grand-mère pense que j'étais toujours dans notre chaumière et je suis partit avec Peter dans un endroit pour l'attacher solidement avec des chaînes. Pour qu'il ne puisse pas faire de mal à personne » J'essuyais une larme qui commençait à couler le long de ma joue. J'avais mal … Je n'avais jamais raconter ma vie comme cela à quelqu'un. Surtout ce souvenirs de Peter. Le dernier souvenirs que j'avais de lui. « Ce fut alors le troue noir … Mais en faite je m'étais simplement transformer un loup, et quand je me suis réveillée. Ma grand-mère et mon amie étaient devant moi, ma cape se retrouvait de nouveau sur mes épaules. Et quand je me suis retournée pour voir où était … Peter … J'ai vue l'horrible scène … et … Et j'ai alors tout compris ... » Mon regard était tourner vers le bas. Je baissais la tête. Je sentais quelque goutte d'eau tomber sur mes mains qui se trouvait sur mes jambes. Des gouttes qui n'était d'autres quelque larmes. Prenant une grande inspiration, j'essayais de me calmer quelque peu essayant mes yeux.
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Mar 16 Fév - 15:14
Dernière édition par Victor Whale le Lun 14 Mar - 15:39, édité 1 fois
Ruby S. Lucas
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Ven 26 Fév - 10:36
Monster Like Me
Victor Whale
Je pouvais comprendre Victor comme je n'arrivais, ne pouvais pas à le comprendre. Deux sentiments me partageaient complètement, deux sentiments complètement contradictoire. Je ne pouvais pas comprendre exactement son histoire, ce qu'il avait réellement vécu. Il avait beau me raconter sa véritable histoire, je ne pouvais pas être dans sa tête et savoir ce qu'il avait pu et pouvait ressentir en ce moment même. Le pourquoi du comment il voulait depuis que nos souvenirs étaient revenue mettre fin à ses jours. D'accord il voulait que son nom signifie la vie éternelle, pouvoir ramener la personne d'entre les morts et il avais réussis. Il avait ramener l'un des êtres les plus chère à son cœur : son frère. Il avait ramenée un membre de sa famille. En quelque sorte du moins … Tout ne c'était pas passer comme il l'avait espéré, il avait plus crée un monstre qu'autre chose et il disait que c'était lui le monstre. Que c'était de sa faute si son paternel avait été tué, parce qu'il avait été tué à cause de la personne qu'il avait ramenée à la vie. Problème. Tout ne pouvait pas ce passer comme on le souhaitait. C'est quelque chose de complètement aléatoire. C'est comme on ne pouvais pas prévoir le temps qu'il allait faire à cent pour cent. D'accord dans la forêt enchantée des personnes avait le pouvoir de lire l'avenir, mais cela pouvait rester encore flou. Le futur est comme un puzzle dont il faut retrouver les pièces éparpillées un peu partout. On pouvait savoir ce qu'il allait se passer seulement et seulement si on faisait tout pour ce que cela arrive de tel manière. Le médecin à côté de mois n'avait pas pu prévoir que ce qu'il allait ramener à la vie n'était pas véritablement son frère, du moins pas complètement à ce que j'avais pu comprendre. Il n'avais pas prévue que cette personne qu'il avait ramené n'était en réalité qu'une fine partit de son frère, mais plus principalement de la personne à qui appartenait ce cœur. Rumpelstiltskin avait eu raison. La magie avait toujours un pris à payer et les personnes venant du même monde que le mien, d'un monde ou régnait la magie le savait plus qu'autre chose. C'était comme si c'était la première chose que l'on nous apprenait. Bien sur que non il avait eu faux. La science n'avait pas de prix à payer. La seul prix qu'elle avait c'était de pouvoir faire évoluer un monde, rendre le monde meilleur. Il avait utilisé un cœur magique. Un cœur arrachée à main nue de la poitrine d'une personne en vie. Voilà dont venait le prix. Il avait usé de la magie alors il devait en payer le prix comme cela était écris. Bien évidement, le prix n'est pas facile à supporter, il ne les jamais. Surtout lorsque l'on passe un accord avec le dark one ! Il faut toujours s'attendre à payer le plus chère, toujours s'attendre au représailles de se que nous avions demander. Voilà ou le scientifique avait fait l'erreur, demander un cœur magique au ténébreux.
Les paroles qu'il avait eu sur le fait que les monstres ne devaient pas avoir de fin heureuse, qu'ils ne devaient pas exister, m'avait touché plus que je ne l'aurais pensé. Cela me touchait particulièrement et énormément. Je me considérais moi-même comme un monstre. Un monstre dont tout le monde se méfiait dont tout le monde avait peur. Un monstre que tout le monde voulait voir avec sa tête en haut de leur pieu. Les plus courageux d'entre eux osaient partir à la recherche de ce loup et ils finissaient comment ? Mangés, déchiquetés, en mille morceau, leur sang vidé. Il ne restait aucun survivant. Le loup prenait un grand plaisir à dévorer leur organes, leurs peaux, et à ne laisser que des miettes et du sang éparpillées un peu partout dans la neige. Du rouge vif dans la neige d'une blancheur si éclatante. Et dire que j'avais moi-même était si naïf. Moi qui avait voulu partir à le recherche de cet bête. Bête qui n'avait était que moi depuis le début. Tout le monde partait à sa recherche la nuit. Pourquoi ne pas partir à sa rencontre le jour ? Dans sa tanière, pendant qu'il dormait encore. Cela serait tellement plus simple … Quel naïf je faisais. Avec Blanche, nous avions poursuivis ces traces de pas dans la neiges avant de ne revenir aux points de départ : ma chaumière. La seul personne avec qui m'avait rendu visite au niveau de ma fenêtre n'était rien d'autre que Peter. Alors nous avions tout de suite penser que c'était lui enfaîte le loup. Plus rien de nous surprenais dans notre monde. Un loup-garou ne serait pas plus étonnant que de voir un cœur arracher d'une poitrine. Nous ne savions exactement ce qu'il pouvait faire. Je me souviendrais toujours des sentiments que j'avais ressentis lorsque avec Mary j'avais découvert tout ce sang dans le puis. Il n'y avait que ça, même pas un reste d'eau. Non, du sang du sang et encore du sang et des cadavres. Le choque que j'avais ressentis dans ma tête en voyant ce carnage. Et dire que quelques heures plutôt, ces même personnes étaient encore en vie venant toquer à la porte de notre chaumière. Et les voilà qu'ils avaient était devant moi ou que en tout cas les restes de leurs corps se trouvaient devant moi. J'en avais vue des atrocités mais pas aussi violent que celui là pas de mes propres yeux. Quel naïf avais-je fais en pensant pouvoir le retrouver moi même alors que des chasseurs n'avaient même pas réussis. Quel naïf avais-je fait en pensant que ce monstre était Peter, en pensant que l'attacher pour la nuit avec des chaînes serait la meilleur solution pour qu'il ne puisse pas s'échapper. Si seulement … Si seulement je l'avais attacher avec les cordes comme c'était prévu au début. Il aurait eu beaucoup plus de chance de pouvoir s'échapper face à ce loup immense qui n'avait été que moi depuis le début.
J'avais simplement lâché un rire sens doute nerveux face aux paroles du blond qui se trouvait à côté. Si seulement j'avais été une reine. J'aurais bien voulu être une reine, vivre dans un immense château, avoir une immense garde robe, des bijoux et de la nourriture et de l'eau gratuite. Mais malheureusement cela n'avait pas été le cas. Non, je n'avais pas eu la chance de certaine personne de naître princesse, ou même de naître dans une famille de noble qui gagnait parfaitement bien leur vie. Mes parents étaient morts, du moins c'était ce que m'avait toujours dit mère-grand. Maintenant j'étais sur que j'avais perdu ma mère pour toujours mais l'existence de mon père ? Aucune idée à son sujet. Apparemment il n'était qu'un simple humain, un simple mortelle mais je ne savais pas plus de chose sur lui. En tout cas, j'avais vécu dans une simple chaumière assez simple. Perdu en pleins milieu de la forêt. Je ne pouvais pas dire que j'étais malheureuse, loin de là même. Granny était tout ce que j'avais de plus chère. La seul est unique famille que j'avais eu. Elle était tout pour moi et j'étais tout pour elle. Nous n'étions que tout les deux, c'était mon modèle pour tout. Je pourrais me sacrifier pour elle. Je ne sais pas qu'est-ce que je ferais s'il lui venait de perdre la vie. J'étais sa petite-fille et elle avait tout fait pour que je sois heureuse et que je reste en sécurité, même si elle devenait parfois un peu trop protectrice à mon goût elle n'avait voulu que mon bonheur. Je savais qu'elle ne pouvait pas, ne voulait pas me perdre. Et maintenant je pouvais comprendre son inquiétude. En tout cas, je n'étais pas ce genre de personne à être une princesse dans son ancienne vie. Cela ne se voyait peut-être bien mais j'étais belle et bien un monstre … Je ne sais pas pourquoi, j'avais commencer à raconter une partie de l'histoire à Victor. La partit la plus dure, la plus cru. C'était étrange, j'avais besoins de lui dire, comme pour lui montrer que comparer à ce que j'avais pu faire il n'était en réalité par vraiment le pire dans cette ville, qu'il était en réalité pas vraiment le monstre qu'il pensait. J'avais vue son mouvement du recul du coin de l’œil. Cela serait mentir si je disais que cela me faisait rien. Mais c'était presque le cas. J'avais pris l'habitude maintenant de voir les gens avoir peur de moi quand je leur disais. J'avais l'habitude de les voir fuir tout en prétextant un faux rendez-vous ou autre chose. Cela ne m'étonnerais pas voir Victor s'éloigner de moi juste par sécurité, pour sa propre survie. Heureusement ou malheureusement, ce que ne fut pas le cas. Je ne savais lequel des deux était le plus juste pour lui, mais le fait de le voir rester assis ici me poussa alors dans mes paroles lui avouant toutes les terribles choses que j'avais pu faire en étant cette louve dévoreuse de chaire fraîche. J'avais lâché cette partie d'histoire comme une bombe : d'un seul coup. Je lui avais raconté ce que j'avais pu faire, ce que j'avais vue, ce que je ressentais. Tous mes sentiments étaient remonter d'un coup et je n'avais pas pu le supporter. Tous ce que j'avais voulu cacher depuis des années avaient réapparu et j'avais fini par craquer. Les larmes qui coulaient le long de mes joues venant s’échouer sur mes mains pouvait en témoigner. Parfois je me demande tellement qu'est-ce qui se serait passer si je n'avais pas essayer de partir à cette foutu sache. Si mère-grand m'avait avouer dès mon plus jeune âge ce que j'étais réellement. J'aurais porté cette cape dans tout les cas mais au moins j'aurais su. Au moins j'aurais fait moins de mal autour de moi. Peter serait même toujours en vie à leur actuelle. Je serais sans doute toujours avec lui. On ne peux jamais savoir ce qu'il se serait passer si nous avions décider de choisir l'autre option que l'on nous proposer. Je savais que Granny avait simplement penser à me protégé. Voilà pourquoi dans un sens je n'en lui avais pas voulu pendant très longtemps. J'avais compris qu'elle avait fait cela seulement pour mon propre et unique bien malgré que cela ne se soit pas passer comme elle l'avait espéré. Elle avait avoué ces fautes, elle avait avoué qu'elle aurait du me le dire plutôt et c'était tout ce qui compter. Un sourire niait apparue sur mon visage en sentant et en voyant la main du médecin venir enlacer la mienne. J'avais du finir mon histoire pour lui montrer que j'étais en réalité ce monstre aussi, même si j'aurais préféré complètement oublier cette partit de ma vie. Pourtant elle était là et elle me hantera à jamais. Cela s'était produit et nous ne pouvions pas revenir en arrière. La vie en avait décidé ainsi. De ma main libre je venais essayer d'essuyer quelques larmes alors que je sentais Victor venir replacer des mèches de cheveux pour dégager mon visage. Je pouvais sentir ces mèches glisser le long de mon visage tout en restant coller jusqu'au dernière moment.
Je prenais de grande respiration pour me calmer, pour calmer toutes ses émotions, pour calmer les battements de mon cœur qui avait automatiquement augmenter à l’intérieur de ma poitrine. Je relevais la tête les yeux fermer juste pour sentir le peu de vent venir fouetter mon visage. Pour pouvoir respirer complètement. Ouvrir mes poumons et inspirer le plus d'aire possible pour pouvoir l'expirer de nouveau. Puis je ré ouvris les yeux les plongeant dans l'horizon qui était d'un noir obscure et j'écoutais simplement les paroles de l'homme assis à côté de moi. Je l'écoutais sans rien. Dire pourtant je n'étais pas tout à fait d'accord avec ce qu'il disait. J'étais la seul et unique fautive de mon malheur. J'avais beau accuser les autres à ma place, j'avais mérité ce que j'avais semé. C'était aussi simple et claire que cela. « Malheureusement, nous avons tous le choix ! Et ce que j'ai fait je l'ai fait. Je ne peux désormais plus revenir en arrière. Tout les malheur que j'ai causé son là et seront toujours présente voilà ce qui fait de moi le monstre. Ce loup ne reflète qu'une partit de moi effectivement. Ce n'est pas forcément le moi entier mais ça reste moi tout de même. J'aurais pu savoir la vérité d'une autre manière en tout cas. Si j'avais seulement pas désobéit à ce que ma mère-grand m'avait dit. Si seulement j'avais gardé cette cape comme elle me l'avais simplement demander rien de tout cela ne se serait passer de cette manière. Si atrocement ... » Il aurait fallut simplement que je garde cette cape sur moi. J'aurais du, comme on me le demandais, et alors rien de tout cela ne se serait passer aussi cruellement. De plus il ne savais toutes les personnes que j'avais pu tuer aussi après avoir appris la vérité. Ce qui faisait de moi encore plus un monstre. J'avais tué encore et encore en passant par ma propre mère jusqu'à des gardes qui ne faisait que suivre les odres de leur roi. Ils n'avaient rien demander. Et pourtant je me persuadais que je le faisais pour la bonne cause. Que je le faisais pour charmant et Blanche, pour qu'ils puissent reprendre les rôles qui leur convenait. Mais cela serait mentir. Il y avait tout de même un goût de plaisir derrière. Un plaisir que le loup en moi appréciait plus que tout. Je détournais rapidement la tête vers Victor lui jetant un regard qui se voulait remerciant alors que je sentais sa main venir caresser doucement mon dos. Je mes mains je venais essayer le reste des larmes qui coulaient encore un peu. J'en revenais pas à quel point l'histoire de petit chaperon-rouge que l'on pouvait raconter au enfant dans ce monde était si éloigner la véritable histoire et dans un sens cela valait mieux pour eux. Il ferait des cauchemars en apprenant cette histoire aussi cru qu'elle soit. « Nan effectivement je n'étais pas obligée de te raconter tout cela mais j'en avais en quelque sorte envie. Pour te montrer que tu n'es pas forcément le monstre que tu prétends être. Je l'espère aussi ... » Oui j'espérais pouvoir trouver ma fin heureuse un jour où l'autre même, même si l'espoir diminuait de jour en jour. Heureusement j'avais toujours cette tête brune, Mary, à côté de moi pour essayer de me garder la tête de haut. Blanche avec ses discours d'espoir qui me faisait rire.
Et les paroles du docteur venait encore une fois de me toucher. Cela faisait toujours mal d'entendre quelqu'un te dire à côté de toi qu'il va sens toute mettre fin à ses jours dans les minutes, les heures ou les jours à venir. Cela me touche énormément. Je n'avais pas forcément une forte relation avec Victor, nous n'étions par forcément proche l'un de l'autre mais j'avais appris tout de même à l’apprécier depuis cette nuit à la plage, de puis que j'avais appris qu'il n'était pas la personne qu'il avait voulu prétendre être loin de là. « Tu sais j'ai une grande amie qui me dit toujours que l’espoir fait vivre. Qu'il faut toujours continuer à espérer si on veut que les choses changent dans notre vie. Que s'il n'y a plus d'espoir alors il n'y a plus de vie comme s'il n'y a plus de rêve il n'y a plus de vie non plus. L’espoir et les rêves sont deux choses qui sont très lier. Les enfants ont toujours espoir que leurs rêves deviennent réalité … Tu disais que si j'avais su j'aurais pu choisir. Mais tu ne sais pas les horreurs que j'ai pu faire malgré le fait que je sache que j'étais cette louve-garou. » Je n'allais pas tout lui raconter. Il n'avait pas forcément envie de savoir qui j'avais pu manger. Cela n'était clairement pas appétissante du tout. Mais surtout il n'avait pas forcément besoins de cela alors qu'il n'allait clairement pas bien. « Regina pensait nous faire souffrir en nous séparant de nos souvenirs et des personnes que l'on aime. Mais je pense qu'elle a sous-estimé le nombre de souvenirs ignobles que nous voulions oublier. Toutes les choses atroces que nous avions pu commettre par nous même et voir. Pourtant sans le vouloir elle nous a aussi donner une seconde chance. La malédiction nous permet de nous donner une nouvelle vie. Elle nous donne la chance de devenir quelqu'un d'autre et je ne veux pas laisser cette chance me filer sous le nez. Ce qu'on peu faire c'est seulement faire la paix avec notre passer. C'est quelque chose qui s'est déjà produit et dont on ne peut pas changer. Il faut juste savoir faire avec et arrêter de le ressasser continuellement. » Nous ne pouvions tout de manière que vivre avec ce que nous avions pu faire dans la passée. Personne n'avait trouver le moyen encore de remonter le temps malheureusement. Ce qui était fait, était fait et rien ni personne ne pouvais le changer. Tout le monde avait du faire des choix, sans doute n'étais-ce pas forcément le bon mais c'est celui-ci que nous avions choisis. Seulement parce que nous pensions que c'était le plus juste. Je savais que je continuerais de vivre dans la peur de faire du mal à quelqu'un lorsque la pleine lune serait haut dans le ciel. Mais je devais me montrer plus forte que la peur. Je devais garder le sourire pour pouvoir continuer d'avancer. « Je ne veux pas abandonner aussi facilement. Non je veux continuer de me battre encore et encore jusqu'à que je tombe. Puis je me relèverais tout de même malgré le peu de force qui me reste pour me battre jusqu'au dernier moment. Et il faut que tu te battes encore. La vie n'est qu'un montagne russe de sentiments. Tout n'est pas toujours tout roses comme on le veux. Chacun à ses propres partit sombre dans son cœurs mais il faut continuer de vivre, de rêver et espérer ... » Garder espoir. Continuer de rêver. Parce que sens les rêves et l'espoir nous ne sommes plus rien, qu'une simple coquille vide. Sans ses deux choses la vie n’existerais plus. «
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Dernière édition par Ruby S. Lucas le Ven 4 Mar - 23:47, édité 2 fois
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Mar 1 Mar - 12:23
Dernière édition par Victor Whale le Lun 14 Mar - 15:40, édité 1 fois
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Sujet: Re: A Monster like Me | Ruby S. Lucas Sam 5 Mar - 12:35
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Victor Whale
Espoir … Un si petit mot pour une si grande signification. L'espoir c'est quelque chose qui m'a toujours suivis si on peut le dire comme ça. J'avais été pleine d'espoir, un moment dans ma vie. J'avais eu l'espoir de pouvoir faire ma vie avec l'homme que j'aimais. L'espoir de construire quelque chose de solide. L’espoir d'avoir un beau futur tout simplement. Un futur qui serait à l'image que j'avais tant voulu, tant rêvé quand j'étais encore toute petite. mais ce n'était qu'un futur que j'avais gâché par moi même. Depuis la mort de Peter, tout once d'espoir c'était comme envolée de chaque partit de mon corps. Je n'en avais aucun. Tous c'était effondré, mes espoirs, mes rêves … Absolument tous, il n'y avait aucun reste. Et je ne serais sens doute peut-être pas ici, si Mary n'avait jamais été là pour moi. Elle me faisait rire avec toujours ses grands discours sur l'espoir. Je me demandais parfois comment elle faisait pour rester aussi forte alors que tout était contre elle. Elle n'avait plus de demeure, elle avait perd ses parents, la méchante reine qui était aussi sa belle mère était à sa poursuite pour la tuer. Je veux dire, qu'il n'y avait pas de quoi pouvoir sourire avec son histoire. Et pourtant cela, avait toujours été le cas. Elle avait toujours cette rage de pouvoir réussir, cette rage d'y arriver un jour et je ne pouvais que l'admirer pour cela. De plus, malgré tout ses problèmes à elle, elle avait toujours été là pour moi. Elle m'avait été d'une grande d'aide quand je n'étais pas au mieux de ma forme. Elle m'avait toujours poussé à aller de l'avant et à donner le meilleur de moi même dans n'importe quelle circonstance. Et le plus important dans l'histoire c'était qu'elle avait été la seul, mais vraiment la seul à m'accepter comme j'étais. C'est à dire avec ce côté humain et ce côté louve. Elle ne m'avais jamais réellement demander de choisir pour un côté ou l'autre. Elle m'avait simplement accepter tel quelle. Alors que Granny m'avait caché le plus grand secret de ma vie pour pas que je devienne un monstre – ce qui avait été le cas au final – et ma mère et sa meute voulait faire de moi une véritable louve. Ce monstre assoiffé de sang. Jamais je ne pourrais réellement remercier Blanche pour toute l'aide qu'elle avait pu me fournir dans le moment le plus difficile. Elle avait ses discours d'espoir, avait finalement réussis à m'en redonner quelque peu.
Et je voulais faire de même avec Victor en ce moment même. Je voulais l'aider alors qu'il n'allait pas bien. Je voulais être son pilier, la personne qui l'a pousserait jusqu'au bout. Parce qu'il disait n'avoir personne. Je sais parfaitement que la vie ne pouvait pas toujours être des plus facile pour tout le monde. J'en étais moi même la preuve que la vie n'était jamais ce que l'on espérait qu'elle soit. C'était comme si notre histoire était écrite à l'avance et qu'on ne faisait que suivre les lignes du bouquin. Et enfin de compte, j'avais l'impression que c'était cela en voyant le livre de contes d'Henry qui racontait nos histoires, nos véritables histoires. Pas celle de ce monde-ci, non bien évidement. Celles de cette terre étaient faite pour les enfants. On enlevait, modifiait clairement les partis les plus horribles. Rien qu'à voir mon histoire. C'était deux choses complètement différentes. Une simplement petite fille qui apportait à manger à sa grand-mère mais qui se fessait dévorer pas le grand-méchant loup. C'était une histoire juste pour endormir les enfants. La vraie, était beaucoup plus violente et crue. Le petite chaperon rouge et le grand méchant loup étaient une seul et unique même personne. Avec un loup beaucoup plus violent. Et dans un sens, j'espérais que les enfants continuent de connaître l'autre version. Je n'avais pas envie de les voir effrayer par la vraie version des faits. Quand on me vois comme cela, on ne pense pas forcément que je suis un monstre. Une créature sanguine dont il faut se méfier et pourtant c'était le cas. Mais tous les jours je vivais avec le grand sourire sur le visage, parce que je savais que peu de personnes connaissaient mon histoire ou en tout cas très peu. Peux de personnes pouvaient réellement me juger ou non et que je ne voulais pas effrayer le reste. Je gardais le sourire pour ne pas inquiéter les personnes qui m'étaient proches. Je ne pouvais pas leur montrer que peut-être tous n'étaient pas tout rose et tout beau parce qu'ils avaient besoins de moi à leur côté. Comme par exemple Ellie, avec sa grossesse quelque peu non désirer elle avait besoins de moi plus qu'autre chose. Elle avait besoins de personne pour venir la soutenir, elle avait besoins de sa grande sœur en ce moment et je ne pouvais pas la laisser sens sortir seul. On avait besoins de moi et tant que ce serait le cas, j'essayerais de me montrer forte, de venir à leur aide. Jusqu'à qu'ils en aient plus besoins. Alors là, je pourrais me laisser aller.
Et pour l'instant j'étais là pour le médecin à côté de moi qui venait arrêté se caresse dans mon dos. Je voulais lui montrer que Regina sans le vouloir nous avait donne une sorte de seconde chance. Elle qui voulait nous faire souffrir en nous séparent de nos souvenirs n'avait pas pensée qu'il y en avait dans le lit qu'on aurait véritablement préféré oublier pour toujours. Ces souvenirs douloureux qui nous rappelle constamment ce qu'on avait pu faire de mal dans notre vie. Et pourtant cette malédiction était comme un nouveau départ un seconde souffle de la vie. A Storybrooke, nous n'étions pas obliger d'être celui qu'on était dans le passer. C'était une nouvelle vie qui commençait. Un point de départ pour tout reprendre depuis de le début. Montrer au autres qu'est-ce que nous vallons réellement mais surtout nous prouvez à nous même que nous pouvions le faire. Moi je voulais saisir cette chance, essayer d'être une autre personne, d'avoir une autre vie. Quelque chose que je reprendrais sur de bonne base. Si nous ne faisons rien alors rien ne pourra être changer. Nous étions nous même responsable de ce que nous voulions faire de notre vie tout même. Tout était fait à partir de notre propre choix de base. Choix que nous pensions être le meilleur. Mais comme tout, rien ne se passe forcément comme prévue, comme nous l'aurions voulu. Et c'était le cas avec notre passé pour Victor et moi. Pourtant, il fallait savoir continuer à vivre avec même si cela était dure. Il fallait juste savoir faire la paix avec nos douleurs du passé. Ce qui était arrivé était arrivé et même si cela était dure en soit de l'accepter, rien n'y personne ne pourrait le changer. Même avec la magie, personne n'avait encore réussis à remonter le temps. Et dans un sens même si un jour quelqu'un y arrive, je me demande pas s'il serait préférable de laisser tout comme cela s'était dérouler. Parce que si la vie en avait décider ainsi c'était peut-être pour une bonne raison. Si on change mon passé douloureux peut-être que je n'aurais pas rencontrer toutes ses personnes qui m’entoure et au fond je ne voulais pas les perdre. Il fallait simplement arrêté de ressasser le passer en boucle dans notre tête. Cela ne faisait qu'empirer les choses, qu'empirer notre mal-être. Ne ne pouvions de toute manière que vivre avec désormais alors pourquoi se torturer autant ? Je voulais pas abandonner aussi facilement, il en était hors de question. Parce que je savais que des personnes avaient encore besoins de moi ici sur cette terre et que je ne pouvais tous simplement pas mourir avant qu'il puisse se passer de moi. Je voulais rester jusqu'au bout pour eux et seulement eux. Ils étaient ma force de continuer.
Au fond j'étais sur de moi, que des personnes dans cette ville avait encore besoins du docteur Whale. Après tout il était médecin et des personnes pouvait très bien se trouver entre le vie et la mort s'il n'avait pas d'opération. D'accord, il n'était pas le seul chirurgien dans l'hôpital mais il devait être tout aussi important que les autres. Je voulais qu'il continue à se battre lui aussi. Pour les personnes malades, pour cette raison de vivre pour lui qui était la médecine, la science. Pour cette conviction qu'il avait qui était de triompher la vie. Je voulais qu'il retrouve cette rage. Il m'avait expliquer qu'il avait tout fait pour ramener les personnes morts à la vie et dans un sens il ne fallait pas qu'il abandonne. Pour ramener les morts à la vie si on peut empêcher le vivant de mourir ? Il devait se montrer fort même si parfois la vie nous faisait des coups bas. Il devait prendre son passé comme quelque chose pour l'aider à rebondir. Je ne pouvais que sourire face au paroles que le blond pouvait dire. J'étais persuadé qu'il n'a jamais été quelqu'un de mouvais. Non juste une personne avec des rêves et des espoirs qui ne se sont pas déroulés comme il l'aurait réellement voulu. Je ne pouvais qu'être heureuse face à son discoure. Voir qu'il n'allait peut-être pas abandonner de sitôt. « Je pense que essayer c'est déjà beaucoup ... » Oui essayer c'était énorme et il ne pouvait pas savoir combien cela pouvait être positif. Il faut toujours essayer dans la vie coûte que coûte, même si parfois on chute. Il faut se relever plus fort et avoir appris de nos erreurs passés. Les rêves parfois c'est tout ce qui nous reste et il faut s'y accrocher plus qu'à n'importe qu'elle autre circonstance parce que c'est cela qui nous maintiendra la tête en dehors de l'eau. Cela me faisait si chaud au cœur que de voir le médecin à côté de moi sourire. Alors je ne pouvais que lui rendre. Un sourire c'est le plus beau des cadeaux que je pouvais recevoir suite à cette soirée. Je le vis alors se relevait doucement du sol avant de mes tendres ses mains que je pris avec grands plaisir. Je pivotais alors sur moi même pour déposer mes pieds sur le béton avant de me relever avec son aide. La mort pour le médecin ne sera pas pour ce soir du moins je l’espérais. Comme j'espérais que cela se fasse le plus tard possible pour lui.
J'avais eu raison en pensant que l'hôpital avait besoins de lui qui n'étais pas forcément indispensable par rapport aux malades qui l'attendaient. Avec l'histoire qu'il venait de me raconter, je ne pouvais que comprendre ses craintes bien évidement. Avec ce qui lui était arriver c'était logique après tout. Mais comment en être persuadé si on essaye même pas ? « Je serais ravie de t'accompagner Victor … Mais surtout regarde comme tu n'es pas aussi indispensable que tu le penses. Ce patient à besoins de toi plus qu'autre chose. C'est normale que tu es c'est peur. Je pense que tous les médecins là, de raté l'opération. Mais je suis sur que rien de grave ne se passera et je serais là si tu as besoins ... » Je ne pouvais pas refuser sa demande après tout. Parce qu'il avait besoins de quelqu'un, il avait besoins de moi et c'était si gentiment demander. De plus je n'avais rien à faire de ma soirée alors c'est rapidement que nous prîmes le chemin vers les services d'urgence. Courant aussi vite qu'on le pouvait pour atteindre les dit lieux. A peine nous étions rentrées dans l'établissement qu'une infirmière venait à la rencontre du médecin s'inquiétant de où il pouvait bien être et qu'ils avaient besoins de lui. Alors j'avais eu raison, des personnes dans ce monde avait encore besoins de lui pour qu'il ne disparaisse pas aussi facilement de la surface de la terre. Je le laissais alors se dirigeais vers la partit interdite au publics. Lui faisait un petit sourire pour l'encourager et lui dire que tout se passerait bien. Lui répondant ainsi à son hochement de tête dont je savais la signification. Pendant plusieurs je restais là dans la salle d'attente sois assises à regarder les personnes aller venir soit en marchant pour essayer de me détendre un peu. Qu'est-ce qui se passera si l'opération ne se passe bien ? Toutes opérations étaient dangereuse de toute manière et chaque docteur pouvait en ratée une. Je ne voulais simplement pas savoir que celle de Victor avait échouer, ne sachant pas l'état dans lequel je pourrais le retrouver après. Mes yeux fessaient des allers retours entre la salle et les portes dès que j'entendis celle-ci. Jusqu'à que ce soit enfin le médecin que je voulais voir qui les traversa. Je me précipitais alors jusqu'à lui. J'étais resté jusqu'au bout pour lui parce qu'il en avait besoins. Avant que je ne puisse poser une quelconque question, le médecin pris la parole. « J'en suis ravie. ». Le patient avait l'air d'aller parfaitement bien et c'était un soulagement. Parce que même si je ne connaissais aucunement cette personne, j'étais heureuse d'apprendre la bonne nouvelle. Mais je l'étais encore plus en sachant que le blond avait réussis. Je savais qu'il pouvait le faire, je n'en doutais pas une seconde.
Je lui fit un sourire sincère, vraiment heureuse devoir qu'il n'allait pas abandonner. Pas aujourd'hui en tout cas. Je voulais qu'il se batte encore et encore et toujours plus. Parce qu'il n'y a que comme cela qu'on arrivera à faire bouger les choses dans notre vie. Il me remercia et je savais l'importance de sa phrase. « De monstre à monstre ... » Je ne pouvais pas être plus heureuse que ce soir. J'aurais aimé lui dire que s'il avait besoins d'aide il pourrait venir me voir quand il le voulait mais il fut appelé pour autre chose. Il me regarda et je savais pertinemment que tout irait bien. Je le regardais alors partir vers une nouvelle urgence avant de quitter quand à moi les lieux. Il savais que dans n'importe quelles circonstance, il pouvait venir me voir. J'en étais sur …
I'm still falling for you
Your heart got me feeling so fine. And just like that all I breathe all I feel You are all for me. No one can lift me, catch me the way that you do