A man of big-hearted honor

honnorable, loyal, serviable, il est reconnu pour son incroyable loyauté, pour être un homme d'honneur, respectant n'importe quels engagements. Il suit un code qui résume son mode de vie, en tant que personnage mythique. Il s'est toujours démené pour venir en aide aux personnes démunies, et à son peuple qui vit sous oppression, et la pauvreté depuis la disparition de Richard Coeur de Lion.

généreux, confiant, aimant, le grand coeur du voleur permettra de donner à quiconque, sans réclamer une récompense, uniquement pour porter secours. Il aime son enfant de la prunelle de ses yeux. Il est prêt à se mettre en danger, au risque de périr pour le protéger. Il est un homme de confiance, tenant à ses engagements, aux sermets qu'il tient énormément. Jusqu'à leur être d'une loyauté incomparable, à compromette ses sentiments.

courageux, protecteur, fidèle, il est un homme qui fait preuve d'énormement de bravoure pour protéger les personnes qui lui sont cher. Il voue un amour inconditionnel à l'élu de son coeur, malgré que sa loyauté a tout épreuve peuvent devenir un défaut. Il brisera le code pour la femme qui sera conquérir son coeur.

Avant la malédiction

On raconte des tas de légendes, et d'histoires à dormir debout sur Robin des Bois, toutes différentes d'ailleurs. Et bien nous autre aux royaumes des animaux, nous avons notre version. Voilà ce qui est réellement arriver dans la Forêt de Sherwood.

Je me nomme Robin de Locksley, mais plus couramment Robin Hood (Robin des Bois). Je suis né au plein cœur de Sherwood, en compagnie de ma mère, Angélique, une magnifique femme, d'une grande beauté, d'une immense sagesse, qui a longtemps vécu dans la cours du Roi Leopold. Et de mon paternel, connu sous le nom de Richard, un homme bon qui proposait son aide à quiconque qui aurait besoin, voir même au plus offrant. Alors qu'il n'était qu'un pauvre, qu'un artisan, se contentant de ce qu'il pouvait avec ce qu'il gagnait, en exerçant son métier de bûcheron. Je ne vais pas vous conter la romance de mes parents, cela prendrait beaucoup trop de temps. Mais voilà en gros ce qui s'est passé en ce moment, pour qu'un jour naquit « Robin des Bois »

Oh, à propos je suis Adam de la Halle, un ménestrel. Un chanteur qui raconte des belles histoires. Et c'est à moi de conter ce qui se passe. Ou s'est passé. Comme vous voudriez.

Je n'ai vécu que sept ans en compagnie de mes cher parents, sept ans un âge précoce pour commencer une vie. Il y a d'abord eu un drame qui a chamboulé, même ébranler la santé de ma mère, qui enchaîne les maladies, les unes après les autres, essayant de surmonter ça comme elle pouvait, pour pouvoir s'occuper de moi comme elle pouvait. Ce drame, dont je vous parlai, c'est quand mon père a été violemment assassiner, par cet homme que tout le monde connaît sous le nom du Prince Jean. Il a employé tous les moyens pour se débarrasser de cet homme, en apprenant, qu'il a épousé une femme de noblesse, qu'elle avait mis au monde un merveilleux enfant, prénommait « Robin ». Il considérait ça comme une infraction, une condamnation a mort. Angélique a eu beaucoup de mal à surmonter ce drame, ce meurtre, et tomba gravement malade, provoquant une mort douloureuse, mais lente au cours duquel elle lutta beaucoup contre une quantité incroyable de maladie, que son corps ne pouvait pas vraiment supporter.

Là commença ma vie de solitude, et de désespoir, étant qu'un orphelin abandonnait, rejeté, voir même isolé, que beaucoup me voyaient comme un enfant contaminait par d’innombrable maladie, comme la Lèpre, par exemple, pour empêcher leur gamin de s'approcher d'un enfant comme moi, d'un orphelin quelque peu délabré, sale, et épuisé par les intempéries, ou le manque de viande, qui me rendait vraiment amaigri. La seule personne, ou plutôt animal qui est bien voulu me montrer le chemin, me recueillir, ou même me guider pendant mon long chemin afin de devenir un homme, ce fut une mystérieuse luciole prénommait Raymond. Il était en compagnie de sa nombreuse famille, il m'a donné le goût de la musique, retrouver un bonheur que je croyais perdu, et comment devenir cet homme, que je suis à présent, même s'il n'est pas beaucoup reconnu apparemment.

Robin avec Petit Jean , aux bois se promènent.  Ils s'en vont le cœur content, et devisent gaiement. Des souvenirs du passé,  heureux, ils se souviennent. Oh de lali, Oh de lali,  Quel beau jour vraiment ! 

Aujourd'hui, je vis au plein cœur de la Forêt de Sherwood, en compagnie de mes compagnons, mais appelons-les « les Merry Man » cela semble plus correspondre à ce qu'ils sont vraiment. La vie était magnifique, ensoleillé, Sherwood ne manquait vraiment de rien, mais vraiment de rien, quand notre bon Roi Richard « Coeur de Lion » mais il est plus connu à présent sous le nom de Leopold. Je posséde même son tatouage, le symbole de Leopold, cela représente ma fidélité pour cet homme, comme mon peuple. Cependant, un jour tout bascula, moi un simple homme, un noble, changea ma « destinée » en apprenant que lors d'un séjour du Roi, le Prince Jean usurpa la couronne, et devient à présent le seul à gouverner d'une main ferme, et malveillante, sur Sherwood, montant les impôts, privant le peu de revenu du peuple, venant même enfermer les personnes ne pouvant pas payer les impôts qu'il imposait. Je décidais de voler voyant comment frapper le Prince Jean, aidait par le shérif de Nottingham. J'étais qu'un misérable voleur, empruntant, volant, tout ce que je pouvais, même si l'objet que je convoitais, était déjà dans mon campement. Car nous autre, avons eu beaucoup plus de mal, a combattre le manque, et le froid, sans aucun revenu, et en voyant comment cet homme privait Sherwood, de leur or, comme de leur bien pour compenser la somme qui leur manquait.

Un beau matin, j'ai voulu tenter le diable, en volant un bien quelconque à cet ignoble crapule du Prince Jean. Il le méritait bien après tout le mal qui faisait au peuple de Sherwood, en augmenta les impôts, et enfermant quiconque ne possédant aucun bien pour combler leur « dette ». Ce même jour, je tomba cette femme, qui était la femme convoitait du shérif de Nottingham, le vrai bijou de Sherwood, on a engagé quelques conversations, avec la bonne humeur, et promit de ne pas toucher au cheval, que je comptais dérober à cet homme, mais le lendemain de ma visite, je lui remis en personne deux chevaux, pour qu'elle en est un pour chacun, et qu'ils puissent vagabonder jusqu'au cœur de Sherwood pour récupérer, obtenir quelques provisions qui dureront une semaine, même moins vu comment la famine se propageait sur Sherwood. Je décidais de remanier à ça, pour amour que je portais pour Maid Marian, et pour sauver le peuple de la famine, et de l'oppression du Prince Jean. A partir ce ce jour je suis devenu « Robin des Bois » un noble voleur qui vole aux riches pour donner aux pauvres. Ce qui m'a rendu beaucoup plus heureux, comme j'ai eu en gage de remerciement, des immenses sourires, des biens, ou même la reconnaissance de ma personne, et même devenu une légende à Sherwood. Et ce malgré quelques personnes qui ont encore du mal, avec mon titre de simple voleur qui me voyait uniquement comme le méchant.

Je me suis fais poursuivre longtemps par les soldats du Prince Jean, comme du shérif de Nottingham pour avoir voler la personne qu'il convoitait, et aidait de nombreuses personnes. Il n'empêche qu'on a du s'éloigner avec Maid Marian, pour pouvoir commencer une nouvelle vie ensemble, au plein cœur de la Forêt de Sherwood en compagnie de mes compagnons, vivant de bonheurs, de chansons, et de voyage. Et décidant de nous marier pour former une famille, en commençant à penser à une enfant qu'on pourrait concevoir ensemble, et vu qu'on a voulu prolonger la lignée, par des prénoms commençant par « R » on aurait décidé d'appeler un garçon par Roland. Il serait sûrement comme moi, un homme défendant de nobles causes, et protégeant des personnes du danger, ou de n'importe quelle menace ! Maid Marian tomba enceinte d'un garçon, cependant ce qui était normalement le plus magnifique jour, et devenu un véritable cauchemar, car nous apprenons qu'elle était gravement malade, et que pendant notre longue absence, Leopold mourut dans de malheureuses circonstances, tuait par une personne que je contemplais souvent, Regina. Je m'en vais donc volé une baguette magique pour sauver Marian, et notre enfant, cependant le vieux mage m'en empêcha. Il me provoqua, et me menaça, en m'expliquant que la magie a un prix, ce qu'à cette époque, je m'en moquais, et m'en souviens pas vraiment, vu que le principal c'était pouvoir protéger mon entourage, ma famille, et donc sauver Marian de la mort. Je me retrouve comme ça, enfermé dans une pièce du château, subissant un grand nombre de torture inimaginable, pour avoir tenter un objet magique, et d'avoir menacer le Ténébreux avec une arme, mon arc magique, vu que je ne rate aucune flèche pratiquement. Belle vient à ce moment me délivrer de l'emprise de cet homme, en détachant les chaînes qui m’oppressait, et empêcher mon évasion, avant qu'elle me demande de me dépêcher. Je prend la baguette, et m'empresse de m'échapper, pour retrouver Marian mourante.

Lors de mon retour, je soulage ma femme de la douleur, et de la maladie qui l'oppressait, empêchant accouchement. Le mage nous avait retrouvé, et avait lancé une flèche pour nous tuer, cependant Belle l'y empêcha, nous permettra de nous enfuir ensemble, pour pouvoir accoucher, et venir accueillir dans ce monde notre garçonnet prénommait Roland. Les quelques années qu'on a passé ensemble, était un pur moment de bonheur. On était heureux, on formait une grande famille, tout le monde aimait, appréciait Marian, comme une compagne, une deuxième mère et même comme la seconde du campement. Le drame s’abattit au moment ou je demandais à mon épouse de partir en mission quelques temps après accouchement. Ce jour là, le même que je lui ai demandé, ce fut le dernier jour ou nous avons pu apercevoir, ou même voir Marian, qui avait soudainement disparu. On a d'abord rechercher, voir même demander de l'aide, mais au bout d'un temps nous avons compris qu'elle était décédée..

Pendant la malédiction

Être un héros, pour les autres, tel qu’il apparaît dans la lumière, j’ai pas choisi. Risquer ma peau pour les autres, quand il le fallait, je l’ai fait, mais pas choisi.

Le vide s'empara de mon esprit. Les questions fusillent par milliers, sous incompréhension. La vision d'un monde qui me paraît quelque peu étranger, m'est familier. Les personnes inconscients, reprennent leur vie comme une pendule rythmique. Les bandits arnaquent, commet des vols, pour pouvoir survivre quelques temps, aux intempéries, à la pauvreté, ou beaucoup de personnes démunies meurent. Le campement est stable, résistant, quelques tantes, un feu de camp, du bois. Et nous sommes prêt pour un prochain jour ! Et au delà du règne de la mairesse, craint, et redouté par de nombreuses personnes, comme si elle était une menace imminente. Je ne vois qu'une femme autoritaire, associable, stricte, égoïste principalement. A-t-elle un cœur ? Oui, principalement pour Henry. Leur relation est pourtant conflictuelle, tendue, selon les paroles de mon garçonnet prénommait Roland. Les compagnons partagent énormément, leur bien, comme leur consommation.

Se vouloir pour une vie en savoir tout le prix. Se promettre d’être là en connaître tout le poids. Si l’amour existe. Tu en es l’histoire, le tout premier souffle, le dernier espoir. Si l’amour en doute, moi je veux y croire. On n’a qu’une route rien qui nous sépare.

La prophétesse du campement, de son regard énigmatique, mystérieux, m'a conté qu'une personne dans ce monde m'est comme destiné. Qui me protégera d'un immense danger. Il serait même plus profond, plus magique que celui partager avec mon ancienne femme. Maid Marian. J'ai encore du mal que le bonheur, que mon happy ending est soudainement disparu. Les paroles ont beau être rassurante, magnifique, mais sont-elle réel, vrai ? La douleur est oppressante, et elle s'est logé dans mon cœur définitivement. Je doute qu'une femme puisse m'enlever cette douleur, ce « fardeau », qu'on m'a mystérieusement donné comme punition d'un abandon. La vie ne semble pas me donner une « seconde chance » malgré ma croyance. Les gens changent, moi-même en suit la preuve malgré que ma mémoire ne s'en rappelle apparemment pas.