Who knew you could be so caring ? [OS 1/??]

La soif d'aventure, cette envie de quitter les murs oppressant du palais royal et de voir de nouveau horizon, d'explorer des terres inconnue, d'étudier de nouvelle culture, de rencontrer de nouvelle personnes, c'est cette envie qui m'avais pousser à suivre Julianna à quitter notre pays de naissance, d'abandonner nos famille, notre identités, notre devoir pour aller ailleurs et de nous retrouver sur une île remplis de pirate, avant de rencontrer l'homme qui nous aiderais dans notre nouvelle vie où nous serions libre de faire ce que nous souhaitions, sans avoir à penser au conséquence que pourrait avoir nos actions sur nos familles respective. Cette soif d'aventure qui m'envahissais depuis des années m'avais pousser à rester à bord du Queen Anne's Revenge tandis que Julianna avait décider qu'elle avait assez vécue d'aventure pour toute une vie et qu'elle voulais à présent vivre une vie simple; Alexander avait accepter que je reste à bord, à la condition que je fasse ma part du travail, ce que j'avais avait accepter bien entendu, il était hors de question que je passe mes journées à ne rien faire tandis que tout les autres accomplissais leur tache quotidienne.

Bien sur, vivre à bord d'un navire pirate pour pouvoir découvrir de nouveau horizon n'étais pas sans contrepartie, car nous n'étions pas seul sur les mers et les pirates n'étais pas connue pour leur personnalités chaleureuse et leur bonne disposition; durant ces quelques mois où Julianna avait été avec nous, seul l'équipage du Revenge avait procéder à aborder d'autre navires, tandis que nous avions toujours été protéger, à rester dans la cabine du Capitaine en attendant que tout ce termine malgré le fait que je savait parfaitement me servir d'une arme. On ne m'avais jamais convié à participer, même si l'idée de tuer et de piller d'autre gens ne m'enchantais pas plus que ça, j'étais à chaque fois assez soulager qu'on me guide loin de l'action.

Hors, cette fois-ci on ne m'avais pas laisser le choix, cette fois-ci les ennemies était venu à nous et le combat s'était engager avant même que les capitaine ne puisse échanger la moindre parole, signe que nos ennemie semblait déterminer à nous tuer tous avant de récupérer nos bien voir même le navire. Epée en main, j'observais le combat qui se déroulais sous mes yeux avec une boule dans l'estomac, l'odeur de la poudre et du sang m'envahissais les narines, mon instincts de survie me criait de simplement courir le plus vite possible soit en direction de la cabine d'Alexander soit de simplement me jeter par dessus bord; hors, je ne pouvais tout simplement pas abandonner tout ces hommes que je considérais comme des camarades, ni même leur capitaine, je n'étais pas un lâche, je n'avais pas été élever pour être un lâche, et je savais que je ne me le pardonnerais jamais si je ne faisait rien et que par mon inaction, quelqu'un finissais par mourir.

Prenant une inspiration, que je relâchais bien vite, j'observais la scène qui se déroulais sous mes yeux avec attention, la majorité du combat se déroulais sur le pont, ce qui voulais dire que ma marche de manœuvre allait être serrer et qu'il allait falloir que je coopère avec les autres tout en faisant en sorte de ne pas mourir ni de me blesser. Une autre inspiration, je sortais l'épée de mon fourreau, et parais le coup d'un ennemie qui s'était avancer vers moi durant mon temps de réfléxion, par chance je l'avais vu venir. Le combat s'engagea et je me défendais tant bien que mal, les pirates ne se battais pas comme on m'avais appris à le faire en Espagne.

"Ils ferons tout pour survivre, même si les méthodes sont plus que questionnable, tu va devoir en faire de même si tu veut en faire autant." M'avais expliquer Alexander un jour alors que nous nous entrainions à l'épée, et je comprenais mieux à présent ce qu'il avait voulu dire. La chance semblait être de mon côté pour le moment car l'homme était rentrer en pleine collision avec Billy qui l'avais repousser d'un geste de l'épaule dans ma direction sans vraiment s'en rendre compte, et j'avais profiter de ce moment pour l'empaler sur mon épée; je croisais le regard de l'homme une dernière fois avant d'esquiver deux hommes qui passait à travers mon chemin, ce n'était pas le moment de contempler ce que je venais de faire, poussant violement l'homme vers le sol, je retirais mon épée de son estomac pour la planter dans son cœur avant de continuer mon chemin.

J'étais comme posséder, cette envie de fuir m'avais quitter, il ne me restais plus que l'envie de survivre à cette bataille, toute pensée rationnelle m'avais quitter, il n'y avais à présent que des stratégie pour gagner, le calcul d'un angle par-ci, une manœuvre d'évitement par là, tout s'enchainais dans ma tête à une vitesse folle et tout se traduisais dans la vrai vie pour vaincre et aider dans ce combat. Et soudain, plus rien, il n'y avait plus d'ennemie à éliminer, juste des corps qui jonchait sur le pont du navire, la plupart ne bougeais plus mais d'autre s'agitais encore, je pouvais entendre des cris de douleur, mais je ne bougeais plus, je reprenais peu à peu ma respiration tandis que je me rendais enfin compte de ce qui venais de se passer, du nombre d'hommes que j'avais aider à tuer. Mon regard fixais un point dans le vide, mon esprit se vidais de toute pensée cohérente, j'avais l'impression de plus rien voir, de ne plus rien entendre; je ne sais pas combien de temps j'étais rester comme ça sans bouger, à lutter pour reprendre le contrôle de moi même, mais quand je revenais plus ou moins à moi, j'entendais quelqu'un me parler, hors je n'arrivais pas à savoir qui c'était, ni à comprendre ce qu'elle me disais.

"Rafael ! escùchame ! estàs bien ?"Battant des cils, je regardais l'homme en face de moi qui me regardais avec inquiétude.

"Qué ?"Puis le trou noir, plus rien, le vide complet, encore une fois, je ne savais pas combien de temps ça avait durée, mais j'avais finit par revenir petit à petit à moi, ouvrant les yeux pour découvrir que je n'étais plus dehors en plein soleil mais dans une pièce assombrie, je remarquais que je n'étais plus debout mais plutôt allonger sur un lit. Je me redressais légèrement, les sourcils froncer tandis que je tentais de comprendre la situation dans laquelle je me trouvais à présent.

"Evite de trop t'agiter, tu est en sécurité à présent."La voix m'étais familière, je suivais le son de celle-ci sur ma gauche pour remarquer que je n'étais pas seul sur le lit, Alexander étais là, assis, un coussin derrière la tête et un livre en main.

"Qué sucedio ? No recuerdo nada."Je n'avais pas la force de communiquer en anglais, c'était beaucoup trop dur pour le moment; me pinçant l'arrête du nez un cour instant, je fermais les yeux pour tenter de reprendre un peu plus mes esprit, je baissais ensuite les yeux pour remarquer que je ne portais pas vêtement originaux, mais juste ma culotte et ma robe de chambre.

"Lachlan à dit que c'était juste le contrecoup de toute cette violence, comme c'est la première fois que tu participe à un massacre, c'est normal que tu réagisse comme ça."Expliqua-t-il tout en tournant la page de son livre, je tournais la tête pour le regarder faire avant qu'il ne dépose le livre par terre avant de porter toute son attention sur moi. Ses paroles créèrent de l'agitation dans mon cerveau et petit à petit, les images de ce qui s'était passer me revinrent en mémoire sans même que je ne puisse les contrôler, finalement, j'aurais presque préférer ne me souvenir de rien.

"C'est jamais simple les premières fois, mais dit toi que tu t'en ai sorti avec aplomb et que tu n'aura pas été inutile comme tu l'avais redouter."Il faisait allusion à une conversation qu'on avait eu un soir alors que nous étions en train de boire un verre autour de son bureau, je m'étais confier à lui sur ma peur de ne pas être à la hauteur, que si combat il y avait je serais peut être complétement inutile, il m'avais ensuite expliquer à sa manière qu'il n'attendendais pas à ce que je soit aussi douer à l'épée que lui ou les hommes de son équipage.

"Des blesser ou des morts chez nous ?"Questionnais-je avec difficulté tandis que j'observais la pièce où je me trouvais, reconnaissant la cabine d'Alexander et j'en déduisais donc que nous étions tout les deux sur son lit.

"Quelques blesser et deux trois mort, c'est pour ça d'ailleurs que tu te trouve ici et non avec Lachlan, quand il vu que tu allait t'en sortir il n'a pas insister pour que finisse avec les autres, donc je t'ai emmener ici."Il m'offrit un sourire en coin tandis qu'il s'installais un peu mieux pour me faire face.

"Et je suppose que c'est toi aussi qui m'a retirer mes vêtements ?" Son sourire devint amusée et je levais les yeux au ciel, bien sur, qui d'autre que lui pour le faire. "Claro."

"Tu était couvert de sang, il étais hors de question que tu en mette partout sur mon lit."Je lui jetais un regard qui lui montrait bien de ce que je pensais de son excuse pour me changer sans mon autorisation ce qui bien sur n'eu pas l'effet rechercher."La prochaine fois, tu te démerdera."

"Mentiroso."

"C'est toi qui le dit, mais si tu veut la prochaine fois je peut demander à Izzy de te retirer tes vêtements."

"Mr Hands à surement autre chose à faire que de me changer pendant que je suis inconscient."

"Exactement, donc soit content que tu ne soit pas en train de baigner dans tes vêtements plein de sang à l'heure actuelle."Je secouais la tête exaspérer par son attitude, même si un sourire pris place sur mon visage.

"Gracias capitàn."Il balaya mes remerciement d'un revers de la main avant qu'il ne récupère son livre.

"Maintenant repose toi, c'est un ordre."Il ouvrit son livre là où se trouvais son marque page et recommença sa lecture.

"Tu compte rester ici ?"Il releva les yeux et croisa mon regard une fois de plus, il avait bien autre chose à faire plutôt que de rester ici à mes côtés, des ordres à donner, un cap à trouver, quelque chose, il y avait surement plus important à faire que de rester avec moi.

"Si... ahora, callate."Et sans rien ajouter de plus il retourna dans sa lecture, je l'observais en silence pendant quelque instant, confus, avant de simplement fermer les yeux pour me rendormir.

J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...

Pando