Ensemble...

Rp éditer sans faire exprès en gros Zelena refuse les sentiments de Arthur, disant qu'il ne peut pas l'aimer, que personne ne le peut car elle et mauvaise et que elle, elle est dépourvue de sentiment

C'était impossible. Il ne pouvait pas m'aimer. J'étais comme maudite, aucune personne ne pouvait réellement m'aimer et encore moins Arthur. Il était méchant, il se nourrissait du chaos, de la souffrance que les personnes tout autour de lui pouvaient ressentir. C'était une personne malsaine jusqu'au plus profond de lui, jusque dans son âme, et ce depuis qu'il est née. Même lui l'avouait dans ses propres paroles. Et dans tout cette histoire il pensait réellement m'aimer ? Il ne se faisait que des illusions. Il pensait pouvoir m'aimer, il pensait ressentir de l'amour à mon égard mais il se voilait la face plus qu'autre chose. Je savais ce que c'était d'aimer, bien plus que ce qu'il pourrait penser. Je savais que tout cela n'apportait que perte et souffrance. Je m'étais laissée tomber amoureuse une fois, j'avais accepté que l'on puisse m'aimer pour qui j'étais plusieurs fois, j'avais laisser mon cœur entre les mains de plusieurs personnes et au final qu'est-ce que j'avais récolté ? On m'avait abandonné lâchement. Tout le monde avait fini par m'abandonner sans exception. Je m'étais retrouvée seule plus d'une fois, trahis par tous. On m'avait mentis et manipulé alors j'avais simplement décidé de changer les rôles. C'était désormais à mon tour de mentir, à mon tour de manipulé les gens comme bon me semblait pour simplement les faire souffrir un par un. Je voulais que tout le monde souffre. Que tout le monde comprenne ce que j'avais pu endurer dans ma vie. J'avais quelque peu rigoler face à l'absurdité qu'il faisait preuve lorsqu'il m'avoua m'aimer réellement, que c'était comme une évidence.

Je plisse les yeux lorsqu'il me dit que je n'étais pas dénudée de sentiments comme j'aimerais le faire croire. Non. C'est vraie je n'étais pas dénudée de sentiments. Après tout j'étais peut-être une sorte de sorcière mais je restais humaine de base. Les sentiments c'est humain. Mais les sentiments amoureux n'étaient clairement plus fait pour moi. Je me refusais de retomber amoureuse de qui-que se soit même lui, même Arthur. C'était plus fort que moi. Je ne pouvais plus, et je ne voulais pas. Plus jamais. J'avais directement serrer les dents à l'entendre du prénom de la méchante reine. Je ne pouvais pas supporter cette personne et encore moins depuis que j'avais pu la côtoyer de près. Je levais les yeux au ciel lorsqu'il me dit que jamais il ne m'abandonnerait, que jamais il ne me laisserais toute seule à part si un jour la mort vient le chercher. J'avais tellement entendue cette phrase dans toute mon existence. C'était si cliché que j'avais presque envie de vomir en l'entendant venir de la voix d'Arthur. Il pouvait faire beaucoup mieux. Je ne le repousse pas lorsqu'il vient me prendre par la taille pour me coller un lui. Mon visage ne montrait rien. Je restais complètement impassible. Il voulait savoir ce que je voulais le plus au monde ?

« Ma vengenace » avais-je dis d'un ton complètement froid. « Tu pensais réellement me connaître par cœur ? Tu pensais réellement que j'allais dire que je voulais simplement que quelqu'un m'aime ? Et bien tu te trompes je suis navrée pour toi ... »

Je l'avais poussé un peu pour m'éloigner de lui. Je l'avais contourné alors qu'on était dos à dos l'un à l'autre. J'étais simplement parti déposer mon manteau sur l'une des chaises plus loin. Il ne me connaissait très certainement pas autant qu'il voulait le prétendre. Je ne voulais pas être aimer, je voulais simplement avoir ma vengeance et c'était tout. Voir les personnes qui m'avait fait souffrir, souffrir à leur tour devant moi. Je voulais qu'ils pleurent tous à mes pieds. Ça et rien d'autre du tout. Je fini par me retourner vers lui en restant toujours loin de lui et lui dit d'une voix toujours aussi froide et dépourvue de sentiments.

« De plus si tu m'aimais réellement comme tu le prétends si bien, tu ne viendrais pas me proposer un deal. Tu ne fais que te voiler la face, tu crois m'aimer ? Mais ce n'est qu'une illusion. Je suis bien d'accord avec toi sur un points. Je ne suis pas totalement dépourvue de sentiments. Plutôt de sentiments amoureux. Je ne connais que violence, souffrance, douleur, peine, jalousie tout autour de moi de puis bien longtemps maintenant. J'ai peut-être endurée tout ce que tu m'as fait depuis le début parce que je retrouve justement tous ses sentiments, les seules qui me restent. Je ne peux pas aimer et je ne veux pas prendre le risque d'aimer une nouvelle fois, de laisser mon cœur dans la mains d'une personne. Parce que je sais que tôt ou tard, je finirais par souffrir une nouvelle fois, peut importe comment. Peut-être que je suis destinée à souffrir, à rester seule le reste de ma vie. Et cela ne me déplaît pas forcément … »

Au moins si je restais toute seule, je ne pouvais plus souffrir de perdre quelqu'un. Je ne pourrais plus souffrir comme j'avais pu souffrir dans le passer. Maintenant, je voulais simplement oublier toute cette conversation et faire comme si rien ne c'était passé. Juste reprendre notre relation qui n'était basé que sur le sexe et la violence.

J'avais eu mal tant de fois. On m'avait briser le cœur depuis que j'étais toute petite. Les choses avaient pourtant si bien commencer … Comment tout avait pu basculer ainsi ? Parfois je ne pouvais m'empêcher de me poser la question. Si seulement ma mère, celle qui m'avait élevé pendant toutes ses années n'était pas morte. Rien de toute cela n'aurait pu arriver. J'en étais persuadé. Elle, elle m'avait aimé sincèrement et c'était bien le seule depuis des années. Elle avait été la seule à m'accepter comme je l'étais, avec me pouvoirs ou non je restais la même jeune femme à pour elle. Je restais sa fille. Elle avait été la seule depuis tout ce temps à me comprendre et parfois j'aimerais tellement qu'elle soit à mes côtés pour m'aider. Cette vision que j'avais eu d'elle dans ce monde de rêve n'avait pas pu être elle. Je le savais pertinemment, jamais elle n'aurait pu me dire des choses aussi froide que celle-ci. Elle m'aurait aidé, aidé à me sentir mieux dans se monde. Si elle était encore présente, jamais je n'aurais eu l'idée de me venger parce que enfin de compte c'était elle que je voulais le plus au monde. Si j'arrivais un jour à remonter le temps, je ne sais ce que je pourrais faire exactement … La sauver ou reprendre ma vraie place ? Je ne savais pas et cette pensée venait me faire un peu plus souffrir sur le moment même. Après tout, si je reprenais ma place, je ne ferais jamais partie de sa vie, je ne la rencontrerais pas et alors peut-être qu'elle survivra dans tout les cas. N'est-ce pas ? Mais jamais je ne la rencontrerais. Je ne me souviendrais même pas de se sourire qu'elle pouvait faire quand je lui montrais mes tours de magies, se regard bienveillant qu'elle avait à mon égard lorsque l'on sortait de la maison. Sa voix qui me permettait de m'endormir paisiblement le soire. Jamais je ne m'en souviendrais et pourtant, j'avais envie de m'en souvenir. C'était comme un doux souvenirs qui me rendait encore plus fort.

J'écoutais les paroles d'Arthur sans bouger d'un poil. Mon visage aussi froid que d'habitude. Il me dégouttait plus que jamais avec ses paroles. Je ne savais pas qu'il pouvait sortir autant de conneries à la minute. Je détournais le regard, ne pouvant même plus le regarder dans les yeux. Il le disait si bien lui même … Il se nourrissait du chaos et du malheur des personnes qui pouvaient se trouver autour de lui, et par conséquence de la mienne aussi ! Ces paroles n'étaient là que pour venir me torturer l'esprit, ce n'était qu'un stratagème venant de sa part. J'en étais plus que persuader. Il voulait que je souffre plus qu'autre chose. Et au fond de moi je ne comprenais pas réellement pourquoi. Je ne bronchais rien en retour, ne le regardant même pas partir pour aller à son travaille. Je n'avais rien à lui dire. Je ne préférais rien lui dire. Il ne valait mieux pas si il ne voulait se prendre une boule de feu dans la figure ou que je fasse brûler la maison entière parce que j'étais en colère. Cette nuit je n'arrivais pas à dormir, repensant un peu trop à tout ce qu'il m'avait dit. Je n'arrêtais pas de me tournez dans le lit. J'avais bien trop de supposition qui faisait leur chemin jusqu'à mon cerveau. Pourquoi m'avait-il demandé de vivre avec lui ? Au fond quelque chose me disait que ce n'était pas juste pour m'aider dans ma vengeance, il y avait bien plus derrière. Je finissais pas me lever allant dans la cuisine pour me préparer un café lorsqu'il rentra à la maison. Je ne lui adressais même pas la parole, regardant plutôt par la fenêtre. Mais une question venait perturber mon esprit et il fallait plus que tout que je lui demande. Je me dirige donc vers la salle de bain, attendant qu'il sorte de la douche.

« Qu'est-ce que je veux ? Juste une question … Pourquoi à tant voulu m'aider dans ma vengeance ? Il y a autre chose derrière. J'étais entrain de me demander si ce n'était pas justement pour te nourrir. Après tout c'est toi même qui le dit n'est-ce pas ? Tu te nourris du chaos et de la souffrance des personnes qui t'entourent et tu sais parfaitement que je suis l'une des personnes. Tu sais que je souffrais. »

Il le savait. J'avais toujours souffert et ce depuis bien longtemps maintenant. Pratiquement toute ma vie, je n'avais connu que de la souffrance. C'était comme si, c'était la seule émotion qui me restait, comme si je ne pouvais ressentir que ça. Et il fallait que je le dise … C'était douloureux. Très douloureux, je voulais simplement connaître le bonheur. Je voulais retrouver la place qui m'appartenait plus que tout. Je voulais tout prendre à ce qui m'avait tout pris, surtout Régina. Je voulais qu'elle me vois heureuse alors qu'elle ne faisait que souffrir encore et encore un peu plus tous les jours.

« Et pour te répondre par rapport à hier … Je ne penses pas que tu peux me mentir comme je le pense quand même. Je ne fais plus confiance à personne, je reste sans cesse sur mes gardes parce que c'est comme cela que j'arrive à survivre depuis tant d'années désormais ... »

Survivre. C'était tout ce que j'avais trouvé à faire depuis tant d'années maintenant. Je ne faisais confiance à personne, je restais sans cesse sur mes gardes pour ne plus avoir mal. Je n'avais même pas totalement confiance en Arthur, je me méfiais toujours de lui et encore plus maintenant …

Non, il ne pouvait pas. Il ne pouvait pas tout simplement m'aimer comme cela. C'était complètement inimaginable. Qui m'avait réellement aimer depuis tout ce temps ? Personne. J'avais été seule pendant plusieurs années sans personne pour venir m'aimer et on pouvait dire que j'avais comme perdu l'habitude depuis le temps. La dernière personne qui m'avait aimé était ma mère, ma mère adoptif et cela remontait à bien des années maintenant. Tous les autres n'avaient fait que jouer avec moi et mes sentiments. J'avais cru que Rumple m'aimerait. J'avais cru, qu'il n'avait fois que en moi pour lancer sa malédiction. Mais il n'avait fait que jouer mais malheureusement pour lui, sur le coup l'élève avec dépasser le maître. Lui qui voulait retrouver son fils, j'avais eu un moyen beaucoup plus rapide. Ses fameux souliers d'argent qui en trois claquement de talons nous emmènent où l'on souhaite. Il avait voulu me les prendre en m'arrachant le cœur mais j'avais su déjouer son plan. J'avais simplement mis en application ce qu'il m'avait appris et j'avais réussis à lui échapper. Puis il y avait eu Glinda, cette gentille sorcière du nord qui m'avait fait croire que je pouvais être gentille. Elle m'avait mis dans un piège, jusqu'à que cette Dorothy ne vienne dans le pays et me jette de l'eau à la figure. Elle m'avait fait croire à des chose qu'il n'était tout simplement pas possible. Alors pourquoi je devrais croire désormais ? Pourquoi je devrais faire confiance aux gens et surtout pourquoi je devrais avoir confiance à Arthur ? Lui qui était aussi méchant, un vil manipulateur. Pourquoi devrais-je croire qu'il était si différent des autres ? Pourtant il y avait quelque chose en moi, une petite bout de mon cœur qui voulait le croire. Qui voulait s'accrocher à cet espoir comme si c'était ma dernière chance de survivre, le dernier souffle qui me restait avant de m'étouffer. Je voulais lui donner une chance, une toute petite chance à lui et seulement lui. Je voulais voir s'il allait tenir paroles ou non. Mais je me promettais que si lui aussi venait à me faire souffrir, j'allais l'anéantir, j'allais le faire souffrir. Tout le monde allait savourer ma colère, ma méchanceté. Je ne laisserais aucun survivant sur mon passage. Absolument personne …

Ces paroles avaient l'air vraie, avait l'air sincère mais je restais toujours sur la défensive. On pouvait mentir facilement en parlant, mes les actes étaient bien plus grands, bien plus important. J'attendrais de voir ce que toute cette histoire pouvait donner maintenant qu'il venait de m'avouer ses sentiments. Mais je ne pourrais toujours pas avouer les miens envers lui ? Est-ce que je l'aimais réellement ? Je ne sais pas. C'était une sensation si étrange, une sensation que je ne connaissais plus depuis bien longtemps maintenant. Il allait très certainement me falloir beaucoup de temps pour un jour pouvoir les mettre au grand jour. Et ce serait en quelque sorte cette épreuve qu'il allait devoir tenir. Est-ce même si je met du temps à m'en rendre compte, même si je mets du temps à accepter qu'il m'aime, est-ce qu'il restera à côté de moi ? J'avais besoins de savoir s'il allait rester pour pouvoir entièrement lui faire confiance. Je ne voulais pas lui dire tout maintenant et qu'il s'en aille en courant pour faire encore plus souffrir. Pourtant il y avait une chose que je devais absolument lui dire, une chose que je ne pouvais pas lui cacher pour je ne sais quelle raison. Une chose bien plus important, je pense, que toutes ces conneries. Alors c'est sans compter sur la question qu'il me demande que je lui dis sans détour, directement.

« Arthur, je suis enceinte. »

Mon visage n'exprimait aucun sentiment, mon visage était des plus neutres possible. Qu'est-ce que je devais ressentir par rapport à tout cela ? J'avais appris il y a environ deux semaines que j'étais enceinte. Devrais-je être heureuse ? Triste ? Je ne sais pas, je savais pas ce que je ressentais du fait que j'attendais un enfant. Et qui plus est, un enfant d'Arthur également. Oui, je savais que c'était lui le père, il n'y avait personne d'autre qui pouvait prétendre au titre. Maintenant c'était de savoir comment, lui, il allait réagir ? Qu'est-ce qu'il allait faire ? Allait-il relevé l'épreuve haut la main ? Il savait parfaitement que je ne m'entais pas par rapport à mon état. Je ne pouvais pas mentir sur une grossesse ainsi. S'il ne me croit pas, tant pis. Il en aura la preuve très bientôt, c'est un médecin, il s'en rendra vite compte ...

Les choses étaient bien plus dure que je ne l'aurais pensé. Toute cette histoire venait me perturber l'esprit à m'en donner mal à la tête à force de toujours réfléchir. Mon cerveau ne s'arrêtait jamais, il fonctionnait toujours et encore, ne me laissant jamais une seconde de répits. J'essayais ne laisser rien passer sur mon visage ou dans mes gestes, restant la plus froide possible alors qu'à l'intérieur tout mon corps était entrain de hurler pour que tout ceci s'arrêter. J'avais envie de hurler pour me libérer de ce poids qui s'appuyait sur mon cœur. Hurler à en perdre la voix parce que cette situation était si dérisoire. J'avais tellement été abandonner dans ma vie que je ne pourrais pas supporter une autre abandon, c'était comme l'épée de Damoclès qui venait prendre au dessus de ma tête, le coup de grâce qui viendrait m'achever et dont je ne pourrais venir me relever. Je le savais pertinemment. Cela avait été les épreuves les plus dur de ma vie, celles qui faisaient de moi ce que j'étais aujourd'hui même. Elle m'avait permis de me forger mon caractère, sans doute pas facile à vivre mais c'était ainsi. Je ne voulais jamais plus laisser une personne venir atteindre mon cœur, pour ainsi venir l'écraser un peu plus dès que j'aurais le dos tourner, dès que je serais la plus faible. Je n'étais plus une vulgaire poupée avec laquelle on pouvait jour comme bon lui semblait. Désormais j'étais bien plus forte et c'était désormais moi qui jouais avec les autres, comme si les rôles s'étaient brusquement inverser. C'est moi qui faisait autant de mal au autre que l'on m'avait fait, ainsi ils pouvaient ressentir mes anciennes douleurs et c'était presque jouissif de pouvoir les voir se torturer l'esprit ainsi, venant par la même occasion redonner de la force pour continuer. Je savais que rien ne pourrait venir penser les blessures que mon cœur avait désormais, c'était presque impossible. Si le temps n'avait pas réussis alors personne ne pourrait le faire. Mon cœur s'était alors noircis de l'intérieur, devant méchante par pur instinct de me protéger de tous car c'est bien connu n'est-ce pas ? Les méchants ne peuvent pas aimer, ils sont dépourvus de sentiments. Leur cœur est bien plus noir que le charbon, ne restant aucune petite lueur rouge signe d'espoir.

Pourtant j'avais l'impression qu'Arthur avait réussit à briser certaine rempart que j'avais construit avec le temps. Comment ? Je ne savais pas du tout, moi même. C'était un grand mystère qui restait encore et encore et c'était peut-être pour cela que ça me faisait aussi peur de voir que je pouvais très certainement l'aimer. Ces paroles venaient me toucher, passant les petites fissures qu'il avait réussis à faire mais pourtant je savais que des mots n'étaient absolument rien contre des gestes. Je voulais le croire plus que tout, mais cela m'était impossible, pas complètement. Il disait qu'il serait présent pour moi et pour cette enfant qui commençait déjà à grandir en moi, qu'il fera tous son possible pour nous mais qu'il ne promettait pas de pouvoir l'aimer. Je savais pertinemment que cela aller contre sa propre nature et je ne pouvais pas aller lui demander plus. Je continuais de l'écouter parler, mes bras croiser sur ma poitrine alors que mes yeux continuaient eux de le fixer sans jamais bouger. Je ne savais tout simplement pas quoi lui dire actuellement … Tellement de choses étaient entrain de bouger dans ma tête que cela venait presque m'en faire mal. Qu'est-ce que je pourrais bien lui dire de toute manière ? Seul le temps pourra me prouver s'il tient ses paroles ou non. Je ne me fiais plus à de simple promesses désormais que j'avais été trop trahis. Pourtant j'avais l'impression qu'il était plus sincère que tous ses autres personnes qui m'avaient mentis tout au long de ma vie. J'avais l'impression que ses paroles n'étaient que vérité, une sensation qui ne m'était pas apparut depuis bien longtemps. Il voit bien que j'ai peur au fond de moi, qui ne me laisse ainsi seule et bien que je le veuille ses paroles murmurées viennent me rassurer tout de même. Alors je me laisse aller depuis bien des années, j'essaye de faire un effort aussi de mon côté et je m'approche de lui. Je viens entouré mes bras autour de son corps alors que je dépose ma tête contre son épaule venant à regarder le mur. J'essaye de lui montrer que d'une certaine manière je le crois, que j'essayais du moins. Les choses ne seront pas facile, je le savais pertinemment, mais il avait fait des efforts envers moi … Pourquoi je n'essayerais pas de mon côté aussi ? Je fini par m'éloigner de lui venant à le regarder.

« J'essaye crois moi … J'essaye de te croire que tu ne partiras pas mais ce n'est pas facile. En tout cas j'accepte pour l'enfant que se soit toi qui s'occupe de mon suivis ... »

Je m'éloigner de lui me dirigent vers la porte de sortie. Je me retourne une dernière fois lui faisant un simple petit sourire avant de disparaître dans le couloir …